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remboursement d'emprunt

Chapitre 4

Inceste
Cette soirée commence à prendre une tournure qui me plaît de moins en moins, je n’ai pas du tout envie de me faire sodomiser par l’un ou l’autre de ces messieurs, heureusement papa vient à mon secours."Non, pas ce soir, on va attendre encore un peu pour ça. Elle m’a dit qu’elle était encore vierge de par là, donc ne brusquons pas les choses. D’autant plus qu’un aussi beau bijou n’est pas facile à trouver, faisons donc preuve de patience si nous voulons la garder longtemps. Nous attendrons que ce soit elle qui nous le demande, je dirais même qu’elle nous implore"."Tu as absolument raison, nous avons tout le temps, si ça n’est pas aujourd’hui cela sera un autre jour" confirme René, "de toute façon, nous avons à notre disposition deux autres femelles qui ne demandent pas mieux que de se faire fourrer par cet orifice" rajoute-t-il.La soirée bat son plein à présent, je ne compte plus le nombre de doigts qui se sont introduits dans ma vulve ou qui m’ont caressé l’anus, le nombre de fois ou une bouche m’a sucé les tétons. J’ai léché et sucé plusieurs fois le clito et les seins de maman et de ma belle-mère, les faisant même jouir parfois. J’ai atteint un degré d’excitation comme jamais, j’ai le bas-ventre littéralement en feu mais je n’ai toujours pas pu jouir, obéissant à mon père aucun des participants n’est allé au bout, s’arrêtant lorsque je donnais les premiers signes d’un orgasme à venir. Les deux femmes sont maintenant tête bêche en train de se lécher mutuellement. Maman est à cheval sur ma belle-mère, son visage plongé entre les cuisses largement ouvertes de celle-ci. Maman écarte les siennes au maximum pour descendre sa vulve et la poser sur la bouche d’Alice.Papa, m’appelle :"femelle! viens ici".Je m’approche, il a dans la main un gode ceinture dont il m’affuble rapidement avec une grande dextérité, puis il m’ordonne de m’agenouiller derrière le fessier de maman, j’obéis. Maman est complètement écartelée, offrant à la vue de toute l’assistance son œillet brun plissé ainsi que sa chatte dans laquelle fourrage la langue d’Alice."Enfonce lui un doigt dans l’anus" ordonne papaQuoi! enfoncer un de mes doigts dans l’anus de ma mère, jamais je ne pourrai faire ça."Tu as entendu ce qu’il t’as dit, qu’est ce que tu attends" C’est ma mère qui vient de prononcer ses paroles tout en tournant sa tête vers moi."Tu vois c’est elle qui te le demande, alors qu’attends-tu, obéis sinon tu connais les conséquences" me dit papa.Et puis après tout personne ne sait qui je suis, sauf papa, je lève ma main puis pose mon index sur la rosette maternelle."hummm oui, vas-y enfonce le" dit mamanJ’obéis et pousse, à mon grand étonnement mon doigt ne rencontre aucune résistance et disparaît de suite entièrement dans l’orifice anal ; "ouiii, c’est bon, vas-y bouge le maintenant, branle-moi mon trou"Jamais je n’aurai imaginé que ma propre mère soit capable de dire et faire ce que je vois d’elle ce soir. Comme quoi on ne connaît jamais vraiment les gens, à plus forte raison ceux de sa propre famille. Je pistonne les fesses de maman depuis quelques minutes maintenant, quand elle s’écrie : "je veux quelque chose de plus gros, je veux qu’on m’encule vraiment, vite, vite, je veux jouir"C’est Roger le copain à maman qui s’adresse à René :"si ça te dit, ne te gêne pas" dit-il en lui désignant les fesses à maman.Celui-ci ne se fait pas prier et s’agenouille de suite derrière elle, saisit son braquemart à pleine main, pose le gland sur l’orifice en attente et le pénètre d’un trait."wouahhhhhhh, espèce de sauvage, tu me défonces" s’écrie maman,"c’est ce que tu voulais, non!" lui dit ce dernier,"oui, vas-y à fond, fais moi jouir".René se cramponne aux hanches plantureuses puis débute un ramonage en règle du conduit qu’il a investi. Maman délaisse Alice pour s’arc-bouter sur ses avant-bras afin de mieux résister aux assauts déchaînés de son partenaire. Ma belle-mère se relève et vient se mettre en levrette à côté de maman.
"et moi, personne ne veut goûter à mes reins, ma raie ne vous inspire pas " dit-elle tout en ouvrant ses cuisses au maximum pour faire saillir sa croupe. Roger se prépare pour se mettre en place mais papa l’arrête :"attends, j’ai une meilleur idée, que penserais-tu de la faire saillir par Femelle, regarde elle est équipée pour ça","oui, très bonne idée, je veux voir ça","Femelle ! tu as entendu, sodomise Alice" me dit mon père.Quoi!je rêve, mon père m’ordonne d’enculer ma belle-mère avec le gode ceinture. Non, je ne peux pas faire ça!"alors tu as entendu ce que je t’ai dit, je te rappelle que tu as promis d’obéir à tous mes ordres, sans quoi tu connais les conséquences"Oui mais bon, il y a des limites, me dis-je"alors ça vient, je veux une bite moi aussi" s’écrie Alice qui s’impatiente.Décidément les deux femmes que je respectais le plus dans ma vie jusqu’à présent se révèlent en fait être de vraies grosses cochonnes. Après tout c’est elle qui le veut et cela me permettra d’économiser 1000 euros."approche-toi de ses fesses et mets la pointe du gode sur son anus" m’ordonne papaJ’obéis et fais ce qu’il demande. Dès qu’Alice sent le contact c’est elle qui pousse son fessier vers moi s’empalant elle-même sur le sexe factice. Pendant ce temps Roger, à qui cette scène a donné un regain de force bande à nouveau comme un étalon. Il se couche sur le dos devant Alice qui s’empresse d’engloutir cette superbe colonne de chair. Le gode est totalement enfoncé dans son fondement, mon ventre est au contact de ses fesses, toutes ces scènes me font mouiller à nouveau. Je sens la cyprine humectée mes lèvres, le feu qui couvait dans mon ventre renaît, inconsciemment je remue mon bas-ventre sur un sexe imaginaire, mais en fait la réalité est toute autre, affublée du gode ceinture j’ai débuté des mouvements de va-et-vient dans les fesses d’Alice qui, du reste, apprécie au plus haut point si j’en juge par les grognements qu’elle émet, sa bouche étant pleine du sexe de Roger. Je me prends au jeu, imitant René qui s’épanche dans le cul de maman, je copie tous ses mouvements et sa façon de faire. Papa s’est allongé devant maman et lui a enfourné son gros sexe dans la bouche qu’elle suce d’ailleurs avec avidité. Comme toujours tout le monde est comblé sauf moi, j’ai envie de jouir comme jamais auparavant. Papa me regarde faire et me sourit puis soudain il se relève et vient à mes côtés."tu te débrouilles très bien, j’estime que tu as droit à une récompense" me dit il ; avançant son sexe turgescent il le présente devant l’ouverture de ma bouche."tiens régale toi si le cœur t’en dit, mais tu ne me touche pas, continue ce que tu fais. Tu as juste le droit de me sucer". J’ai tellement envie que sans réfléchir une seconde j’ouvre ma bouche et avale le gland. C’est chaud, c’est bon, enfin le sexe de mon père est en moi, pas là où je l’aurai voulu mais c’est un début. Je l’enfonce aussi loin que je le peux, le suçant le mieux possible, je le sens palpiter contre mon palais. Enfin je profite de ce sexe qui me hante depuis plusieurs jours maintenant."hummmm!, tu te débrouilles très bien, tu veux me goûter ?" Je lui réponds d’un signe affirmatif de la tête et redouble d’efforts autant sur ma fellation que sur les fesses d’Alice, je suis prise d’une vraie frénésie sexuelle. Alice apprécie également à en juger par ses gémissements qui vont crescendo."ouiiiiiiiiiiii, plus fort, encore, vas-y je vais venir" hurle-t-elle, "moi aussi je vais venir" me dit papa tout en prenant ma tête entre ses mains, quelques secondes et je sens enfin les giclées de sperme s’écraser contre le fond de ma gorge. Papa ne me relâche pas, je suis obligée de tout avaler si je ne veux pas étouffer. Je me cabre, envoyant mon ventre en avant dans une ultime poussée qui fait hurler Alice."je jouiiiiiiiiiiiiiii" hurle-t-elleMon bas-ventre se noue au même instant, je jouis, je jouis d’une façon bizarre que je n’ai jamais ressentie auparavant. C’est si fort, je tremble des pieds à la tête, je me dis que cela doit être comme ça lorsque l’on prend un shoot.Papa se penche vers moi, me prenant par les épaules, "alors ça va, tu te sens bien", je lui réponds que oui d’un signe de la tête."OUI, OUI, envoie-moi ton jus, AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH".C’est au tour de maman de jouir, elle crie comme une démente, quelle cochonne!Petit à petit je redescends sur terre, je me calme. J’essaie de comprendre ce qui m’est arrivé, j’ai joui sans que l’on me pénètre ou que l’on me touche, juste en faisant une fellation, c’est dingue. Ca doit être ça que l’on appelle la jouissance cérébrale, en tout j’en redemanderai."on va boire une petite coupe pour se remettre puis chacun rentrera chez soi, il se fait tard et Femelle doit nous quitter" dit papa.Après les embrassades de rigueur tout ce petit monde prend congé, je me retrouve seule avec papa."Alors Virginie, as tu apprécié la soirée ?""Au début j’étais crispée mais après je me suis un peu détendue. Quelle drôle d’idée tu as eu de me faire sodomiser ma belle-mère.""Tu n’as pas aimé ?""Au début non, mais après je dois avouer que j’y ai pris un certain plaisir surtout lorsque tu m’as fait l’offrande de ton sexe pour que je te suce", "et tu as joui comme jamais certainement", "oui je l’avoue, jamais je n’ai joui aussi fort, c’était super","en tout cas tu as largement gagné tes 1000 euros ce soir. Si tu veux continuer, la prochaine fois on va placer la barre un peu plus haute. Si tu viens tu contribueras pour le restant de ta dette qui se monte encore à 3000 euros","oh là tu me fais peur, que faudra-t-il que je fasse quand je vois ce que tu m’as fait faire pour 1000 qu’est ce que ça sera pour 3000 alors ?""si tu viens tu le verras, réfléchis bien, tu risques tout comme aujourd’hui de connaître quelque chose dont tu n’as même pas idée","on verra papa, je vais réfléchir, je m’en vais maintenant il se fait tard, sinon mon mari finira vraiment par s’inquiéter, bonsoir papa","bonsoir virginie, je t’appellerai le moment venu"
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