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La remplaçante

Chapitre 1

Erotique
Laissez moi vous remettre en mémoire quelle était ma situation à l’époque des faits.Pour la seconde fois en quatre ans, j’étais à nouveau veuf. Mon épouse (mère de mes enfants) était décédée d’une longue maladie et j’avais refait ma vie avec une amie de la famille, veuve également. C’était plus un mariage de circonstances même s’il y avait beaucoup d’amour et de tendresse... à plus de 45 ans, on n’a plus les mêmes élans qu’à 20 ans...Hélas, le nouveau bonheur n’a pas duré longtemps. Quelques mois après notre union, ma seconde épouse était emporté brutalement par une maladie contre laquelle les médecins n’ont rien pu faire, et entre temps les enfants avaient quitté le cocon familial.
Pour faire face aux obligations domestiques, j’avais trouvé par l’intermédiaire d’une agence de placement une femme de ménage qui avait pris en charge la maison et les soins de mon épouse car je travaillais. Je n’avais qu’à me louer de son travail aussi, j’ai conservé cette personne à mon service...

Bien des années plus tard...Hélas, il fallait bien qu’elle prenne des congés...Une fois que les dates souhaitées étaient arrêtées, le bureau de placement me présentait la personne qui allait effectuer le remplacement pendant les trois ou quatre semaines.Généralement, (et comme cela avait été convenu depuis le début), il s’agissait d’une personne discrète, de plus de cinquante ans mais cette année, il n’y en avait pas de disponibles aux dates souhaitées. A la place, le responsable de l’agence m’a présenté une femme d’origine arabe, cheveux et épaules recouvertes d’un foulard, vêtements amples et longs. Seuls le visage et les mains étaient découverts...
Après les présentations d’usage et la description des travaux qui lui seraient confiés, Fatima est allée attendre dans une pièce contiguë pendant que je réglais les formalités administratives. Le responsable de l’agence m’a dit alors que Fatima venait d’être répudiée par son mari car elle ne pouvait pas avoir d’enfant. Ce dernier serait, selon lui, ‘’parti au bled’’ chercher une nouvelle épouse plus jeune, et certainement ‘’fertile’’ a-t-il ajouté avec un clin d’œil...
Bien que Fatima n’ait pas plus de vingt-cinq ans, je devais m’en satisfaire, et j’ai été plus que satisfait...

Elle venait deux fois quatre heures par semaine à la maison qui jamais n’avait été aussi bien tenue : pas un grain de poussière, les habits repassés et rangés, tout était pour le mieux, les trois premières semaines s’achevaient...Comme cela arrivait deux fois par mois, je ne travaillais pas le vendredi après midi car j’en profitais pour me détendre en vue d’une sortie coquine en soirée. J’avais mes habitudes dans un club parisien...J’avais bavardé quelques minutes avec Fatima avant de passer dans la salle de bains où je comptais me relaxer dans le bain à remous. Au moment où je sortais de l’eau, Fatima est entrée (j’avais oublié de mettre le verrou). Nous étions aussi surpris l’un que l’autre mais quand je m’efforçais de cacher mon sexe avec mes mains Fatima s’est exclamée :
— Oh non, ne le cachez pas. Je n’ai jamais vu un sexe d’homme. Mon mari me baisait toujours dans le noir !— Tu es sure ?— Oui, montrez moi votre sexe !— Tu l’auras voulu !

La situation quelque peu équivoque devant cette jeune femme que je connaissais à peine avait eu un effet immédiat : je bandais comme un taureau en rut !
— Oh. Il est gros et long. Je peux toucher ?— Oui, au point où on en est !
Fatima a entouré mon sexe de ses deux mains et je n’ai pas pu m’empêcher de faire aller et venir ma bite dans ses paumes qui m’enserraient à peine. J’étais bien et je portai mes mains sur ses seins couverts de son habituelle abaya...Quelle surprise ! Son vêtement ample cachait une paire de seins de folie, souples et durs à la fois, et Fatima ne se déroba pas, bien au contraire, sa respiration s’accélérait comme si elle avait été excitée...
— Tu as ma bite en mains, et si tu me montrais tes seins. Ils ont l’air beaux !— Je n’ose pas, je les trouve trop gros...— Je demande à voir. Allez ne fais pas ta timide, je sens que tu as envie qu’on aille plus loin !— Oh Monsieur !...ça ne se fait pas...— Et alors, on est entre nous. Personne n’en saura rien...— Puisque vous insistez, je montre ma poitrine ! Mais on ne touche pas !
Fatima a relevé le bas de sa longue tunique, dévoilant des jambes un peu rondes puis son pubis masqué par une culotte noire informe et finalement elle a montré ses seins emprisonnés dans un soutif noir qui ne la mettait pas en valeur...Je ne m’étais pas trompé ! Elle avait une paire des seins ronds et généreux sur lesquels je posai immédiatement mes mains pour les masser. Contrairement à ce à quoi je m’étais attendu, Fatima ne se déroba pas...
— Oh oui, continuez. Vous me faites du bien...
Je la sentais réceptive...
— Ce serait bien meilleur si tu avais la poitrine nue !— Vous croyez ?— Si je te le dis. Je vais faire rouler tes tétons au creux de mes mains et ils vont bander...— Si tu veux, enlève mon soutif et je suis à toi !— Tu es à moi ?— Oui, faites moi ce que vous voulez. Je sens bien que vous avez envie de me baiser !!! Mais ça fait si longtemps que cela ne m’est pas arrivé...— Viens dans la chambre. Nous y serons mieux...
J’étais entièrement nu au sortir de la baignoire et dès que nous sommes arrivés dans la chambre, j’ai aidé Fatima à retirer ses vêtements, des vêtements traditionnels simples, mais qui cachaient un véritable trésor, car bien qu’un peu ronde, j’avais devant moi une jolie femme à la poitrine opulente et ferme qui se tenait fièrement et des hanches galbées que son habit cachait bien, tout comme il dissimulait des cheveux noirs presque ras...
— Tu es bien jolie. Je me demande pourquoi ton mari t’a répudiée... — Il voulait des enfants, et en dix ans, je n’ai jamais pu être grosse !— Et bien moi, je vais te baiser ! Tu es contre ?— Oh non. Depuis six mois que je suis réfugiée au Foyer, je me contente de me masturber de temps à autre...
Je fis allonger Fatima sur le lit (qui depuis longtemps n’avais plus vu de femme) et j’ai approché mon sexe bandé de la poitrine de ma conquête. J’ai pétri ses seins quelques minutes puis j’ai logé mon sexe entre les globes chauds et souples en disant :
— Laisse-toi faire. Tu as des seins avec lesquels faire une branlette espagnole devrait être un délice !— Montrez-moi, je ne connais qu’une seule position : mon mari me faisait mettre à quatre pattes et me prenait comme une bête jusqu’à ce qu’il se répande en moi...— Je vais te montrer mais c’est dans ta chatte que je veux gicler ! Ce sera bien meilleur !
Pendant quelques minutes, j’ai fait aller et venir mon sexe entre les globes de Fatima que je sentais de plus en plus réceptive. Les pointes de ses seins étaient sorties et elle agitait son bassin... Je me suis retiré de ce fourreau de chair et je suis descendu entre ses cuisses. Son Mont de Vénus était un peu proéminent et j’ai fait aller et venir mon gland entre ses lèvres intimes et rouler le clitoris : elles étaient inondées de cyprine, et c’est lentement que j’ai introduit mon sexe dans celui de Fatima. Waouh, qu’elle était chaude !
— Oui Monsieur. Baisez-moi bien !
Je n’avais besoin d’aucun encouragement. Je faisais l’amour à une fille qui avait la moitié de mon âge et qui ne connaissait que peu de choses dans ce domaine. J’allais et venais dans cet antre chaud, tantôt d’une allure vive, tantôt plus lentement de manière à ce que Fatima sente bien ma bite aller et venir en elle ! Décidément elle était de plus en plus réceptive jusqu’au moment où sa chatte s’est contractée : la jouissance était proche. Quelques coups de reins de plus et la jouissance nous emportait tous les deux dans un concert de cris et de soupirs...Aucun mot tendre n’avait été échangé. Nous étions là pour baiser, et c’est ce que nous venions de faire : le corps de Fatima était qui était en manque sous le mien semblait repu. Nos respirations retrouvaient un peu de calme mais j’étais bien : j’avais copieusement arrosé la chatte de Fatima !J’ai roulé sur le côté et Fatima est venue poser ses lèvres sur mon vit tout gluant de nos fluides pour dire en une sorte de confidence :
— MERCI !!!
Puis elle l’a pris entre ses doigts et a commencé à les faire monter et descendre le long de la tige sans oublier de caresser le gland qui n’en demandait pas tant... Bientôt ma bite a retrouvé une rigidité suffisante pour que Fatima me demande de l’aimer à nouveau...
— Oui, je reste sur le dos et tu vas me chevaucher. Je verrai mon sexe entrer dans ta chatte et tes beaux seins danser devant mes yeux...— Oh oui, comment vous appelez cette position ?— C’est la cavalière, on peut la faire face à face ou en tournant le dos à la "monture’’ ! Dans ce cas, on peut voir le trou étoilé s’ouvrir. Vas-y, empale toi et laisse-toi aller à ton rythme. Tu as les rênes...
Aussitôt, un peu comme si elle était avide de découvrir des choses nouvelles, Fatima m’a chevauché et saisissant mon vit dans sa main, elle s’est laissé descendre lentement, elle voulait savourer la pénétration...Je savais que dans cette position, j’irais au plus profond de sa chatte. Après quelques secondes d’arrêt, Fatima est remontée puis à nouveau, elle s’est empalée à plusieurs reprises, montant et descendant sur mon pieu jusqu’à ce quelle se tétanise en poussant un grand cri. Elle jouissait une fois de plus, mais moi, j’étais à la traîne...Je l’ai désarçonnée et en le couchant sur le dos, je me suis masturbé brièvement pour gicler sur ses seins...Mais le temps avait passé. Il était 20 heures bien sonnées lorsque Fatima a émergé de la béatitude dans laquelle elle était plongée...
— Je dois téléphoner au Foyer, je ne serai pas rentrée à temps pour le dîner !— On va bien trouver quelque chose à manger dans mon réfrigérateur et si ça te dit, on remet ça après !— Oh oui, j’ai tant de choses à découvrir, je n’avais jamais eu autant de plaisir !— Et ce n’est pas fini ! C’est inutile de te demander si tu as déjà sucé un homme !— Ça se fait ?— Oui. Pour l’exciter ou réveiller sa libido après un certain nombre de saillies ! On peut même se faire plaisir en même temps, tu me suceras et je te boufferai la chatte...— Waouh. Je n’aurais jamais imaginé tout cela !— Si tu savais...
Nus tous les deux, nous sommes allés dans la cuisine où nous avons trouvé de quoi reconstituer nos forces. De bonnes choses disposées sur un plateau que nous avons picorées assis en tailleur sur le lit dévasté par nos précédentes étreintes...Mes yeux étaient comme aimantés par la vision ô combien charmante des seins de Fatima et par sa chatte imberbe comme c’est d’usage chez les filles du Maghreb. Les lèvres intimes étaient gorgées de sang et tout en haut, je distinguais le bourgeon de son clitoris que je me promettais d’aller titiller...
— Tu m’as promis un 69...— Oui, je vais me mettre au-dessus de toi, la tête entre tes jambes et toi, tu auras ma bite en face de ta bouche ! Je te guiderai ! Tu pourras te servir de tes mains et après avoir sucé mon gland, tu avaleras ma tige. Pour me pomper, tu trouveras comment faire ce n’est pas difficile. Tu feras aller et venir ma bite entre tes lèvres...— Et pendant ce temps, tu me lécheras la chatte !— Tu as tout compris et je ne ferai pas que ça ! Tu sentiras !
Si au début Fatima était timide, elle n’a pas tardé à sucer ma bite avec ardeur, suivant les instructions que je lui avais données avant de commencer. Je sentais la chaleur de sa bouche comme j’avais senti celle de sa chatte auparavant et le plaisir de cette première fellation montait dans mes reins. Bien qu’encore un peu maladroite, je savais que cette pipe n’allait pas tarder à me faire gicler. J’imaginais déjà le scénario : une première giclée dans sa bouche pour qu’elle goûte au sperme et les autres sur sa poitrine et son visage...Chaque fois que je faisais rouler son clitoris entre mes lèvres et le titillant du bout de ma langue Fatima ruait littéralement, enserrant ma tête entre ses cuisses, imaginant certainement que j’allais la lasser en plan, mais non, je voulais qu’elle jouisse !Et nous nous sommes libérés presque en même temps quand j’ai pénétré sa chatte avec deux doigts...
— Waouh, je ne savais pas que le sperme avait ce goût ! Ce n’est pas désagréable...— C’est une façon de satisfaire un mec si t’as pas envie de coucher avec lui ou alors, tu le prépares pour autre chose...— Et quoi ?— Si tu as déjà sucé le mec à fond, quand il te baisera, il sera plus long à jouir. Il pourra t’envoyer en l’air plus d’une fois avant de jouir lui-même !— Mais c’est génial. Tu m’en as appris beaucoup ce soir !— Si tu veux, on n’a pas fini. J’imagine que tu bosses pas demain ?— Non. Pourquoi ?— Ce soir, je devais aller au club "Aphrodite’’ pour m’encanailler mais j’ai bien mieux à faire avec toi !— Tu vas en club pour baiser ? De drôles de clubs...— Oui, comme ça je peux lever une minette ou une quadra et la baiser sans m’encombrer de sentiments. Elles savent ce qu’elles sont venues chercher...— Je n’oserais jamais aller dans un tel lieu. Je peux te sucer encore un peu. J’ai envie que tu me baises à nouveau !— OK, je vais te montrer une position très jouissive pour les deux partenaires...— Oh oui. Expliquez-moi...— Tu vas te remettre sur le dos, les cuisses un peu ouvertes. Je prendrai tes jambes et je les remonterai sur mes épaules et ensuite, tu seras bien ouverte pour que je te prenne.— Oh oui...— Quand je serai bien en place, chaque fois que j’entrerai dans ta chatte, tu sentiras mes bourses frapper ton périnée qui est très sensible ainsi que ta rosette...
J’ai fait prendre la position à Fatima et j’ai remonté ses jambes pour qu’elles reposent sur mes épaules. Comme sa chatte était déjà pleine de cyprine, j’ai pénétré le sexe qui n’attendait que cela, et lentement, j’ai commencé à copuler cette belle jeune femme dont je faisais l’éducation sexuelle.
— Oh. C’est bon. Je vous sens tout au fond de moi et vos couilles qui frappent ma rondelle plissée. C’est bon...— Alors profite ! Je vais te limer longtemps et tu vas jouir comme jamais, je ne pense pas que mon bout arrive jusqu’à ta matrice. Tu vas me sentir gicler contre...— Oui, oui, oui, baisez moi, je suis devenue une salope en quelques heures et c’est bon...
Entre mes bras tendus de chaque côté du buste de Fatima, je voyais ses seins ronds et laiteux se balancer doucement sous les coups de boutoir que j’assénais dans son sexe, et elle m’encourageait toujours. Mais cette jeune femme était réellement bonne et avide découvrir ce que sa civilisation rigoriste et un mari complètement obtus et réfractaire au plaisir de sa partenaire ne lui avait pas fait connaître...Rarement depuis mes veuvages, j’avais eu une partenaire aussi réceptive et c’est dans un concert de cris et de soupirs que nous avons joui pratiquement en même temps...C’est blottis dans les bras l’un de l’autre que nous nous sommes endormis, les fesses de Fatima logées contre mon pubis et ma bite dans sa fente culière...

Le matin, je n’osais pas bouger. J’étais bien mais comme souvent au réveil, ma bite de dressait, et Fatima a senti mon désir... Elle a remué ses fesses contre mon pubis et fait rouler mon sexe. C’était bon, mais j’avais envie de faire découvrir autre chose à Fatima : je voulais qu’elle se voit en train de baiser et de jouir...
— Bonjour ma belle ! Bonne nuit ?— Oh oui, je n’ai pas cessé de repenser à ce que vous m’aviez fait vivre !— Ne crois-tu pas qu’il est temps de se tutoyer ? Après tout ce qui s’est passé hier !— Oui, si tu veux, mais je sens que tu as encore envie de moi...— Oui, et je vais te montrer comment tu es belle et radieuse quand tu jouis ! Jure-moi que tu ne fermeras pas les yeux !— Non, mais qu’envisages-tu ?— Je vais m’asseoir sur le fauteuil en le tournant vers les portes miroirs du dressing et en me tournant le dos, tu te laisseras descendre sur ma bite. Tu la verras entrer en toi et ensuite, tu n’auras plus qu’à monter et descendre sur mon vit. J’imagine déjà comment ce sera bon !— Oh oui. Je me verrai prendre du plaisir et t’en donner en même temps car tu joueras le voyeur !— Pas spécialement puisque je participerai à ton plaisir. Un voyeur regarde mais ne participe pas, par exemple, lorsque je vais en club, rien ne m’excite plus que de voir deux filles ensemble...— Je sais comment cela se passe. Quand j’étais plus jeune, deux cousines plus âgées se donnaient du plaisir en couchant ensemble, et en plus elles ont voulu que je participe...— Et tu l’as fait ?— Oh non, j’étais encore ignorante de tant de choses. Quelques mois plus tard, mes parents m’ont mis dans les bras de mon mari, j’étais encore bien jeune et lui avait presque le double de mon âge...— Bon, assez parlé, en selle !
Je me suis installé confortablement dans ce fauteuil à l’assise un peu large, le sexe bandé, j’attendais que Fatima vienne me chevaucher...Dans le miroir, j’ai vu comment elle s’installait, les cuisses largement écartées reposant sur les accoudoirs et, saisissant ma bite dans sa main pour la placer au bon endroit, elle s’est laissé descendre. Tous les deux nous pouvions voir comment se déroulait la pénétration. Fatima devait la savourer car elle descendait lentement, laissant mon sexe envahir le sien...J’ai placé mes mains sur ses seins pour faire rouler le téton entre mes doigts et j’ai dit :
— Vas-y ma belle, fais-toi plaisir. Tu es magnifique !
Oui, la vision de nos deux corps emboîtés l’un dans l’autre était magnifique. J’ai aidé Fatima à monter et descendre sur mon sceptre de chair jusqu’à ce que le plaisir nous emporte l’un et l’autre presque simultanément...
Après un petit-déjeuner pris nus tous les deux en chahutant comme deux amants de longue date, nous sommes passés à la salle de bain où nous avons pris une douche à deux avant de regagner ma chambre où nous avons passé de longues heures jusqu’à midi à faire l’amour...

La semaine prochaine Fatima revient achever son contrat et je sais que le dernier vendredi, ce sera un feu d’artifice ! Je veux lui faire l’amour avant qu’elle reparte à son foyer...
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