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La Renaissance de Sonia

Chapitre unique

Erotique
Julien, 45 ans, grand, mince, plutôt bel homme travaille au service des eaux de la mairie de sa petite ville du nord-ouest de la France. Divorcé depuis une dizaine d’année, il n’a jamais eu depuis de relations suivies avec une femme et s’est petit à petit enfermé dans un célibat volontaire que ses quelques amis ne comprennent pas ; fragilisé mentalement par sa séparation, Julien se complait dans cette vie sans âme, sans joies, sans sexe ; les jours et les nuits se suivent et se ressemblent, leurs successions paraissent aussi tristes qu’inutiles. Bien sûr Julien n’est pas devenu impuissant et de temps à autre les pulsions sexuelles réveillent sa libido, il a recours à la masturbation stimulée par les images de son ex qui, à chaque fois, reparaît devant ses yeux.
Bibliothécaire dans sa petite ville du sud-est de la France, Sonia, une femme de 40 ans, célibataire, plutôt maigre et physiquement pas très attirante, noie sa solitude dans le travail et dans les soins qu’elle porte à sa mère chez qui elle habite. Elle a connu très jeune un amour fulgurant pour son petit ami qui l’a dépucelée, mais celui-ci l’a laissé tomber quelques temps après. Elle ne s’en est jamais remise. Depuis elle s’est laissé aller, ne prends aucun soin d’elle-même, s’habille n’importe comment, et fait figure de la vielle fille qu’aucun homme n’a envie de séduire. Son seul amant est un gode acheté il y a des années dont elle se sert de moins en moins ou occasionnellement un concombre quand l’envie lui en prend.
C’est l’été, nous sommes dans le centre de la France dans une petite station thermale, les hôtels un peu vieillots font le plein de clients atteints de pathologies circulatoires ou cardiaques. Les installations médicales ultra-modernes ne font pas oublier le côté retro de cette station, qui a néanmoins son charme.
Le cardiologue de Julien lui a conseillé cette cure pour un léger problème circulatoire. Il a réservé une chambre à l’hôtel Impérial, au style Belle Epoque suranné. Pour les mêmes raisons, Sonia a également trouvé une chambre dans le même établissement.
Le premier soir, l’heure du diner venue, Sonia descend au restaurant et le maitre d’hôtel lui désigne une table. Elle a mis pour une fois une robe un peu vieillotte, mais de bonne tenue, une paire de bas, des chaussures plates, les cheveux raides lui tombent sur les épaules, sans maquillage.
Julien arrive quelques minutes après, et s’assied à la table désignée, face à celle de Sonia. Il fait un petit signe de tête à cette dame qui lui répond de la même façon.Le diner se passe un peu tristement, quelques couples bavardent entre eux, les autres tables sont des célibataires qui ne se connaissent pas. Julien jette un œil de temps en temps à sa voisine mais quand leurs yeux se croisent elle replonge le nez dans son assiette, peu habituée aux regards des hommes. Il se demande pourquoi il n’essaierait pas de se présenter à cette personne qui lui semble quelque peu distante, mais qu’il pourrait peut-être dérider.
Sonia quitte sa table et Julien la voit se diriger vers la sortie de l’hôtel sans doute pour faire quelques pas dehors. Il décide d’en faire autant et marchant plus vite il la rattrape assez rapidement. Arrivé à ses côtés il entame la conversation et se présente :
— Bonsoir Madame, je ne voudrais pas vous importuner, est-ce que nous pourrions faire cette ballade ensemble ? Je m’appelle Julien Debord, je viens du Finistère et je suis chef de service à la mairie de ma petite ville.
Tétanisée, Sonia aimerait rentrer dans sa coquille si elle en avait une, mais par politesse s’arme de courage et lui répond hésitante :
— Bonsoir Monsieur, je m’appelle Sonia Lagrange et je viens de Grasse dans les Alpes-Maritimes.— Eh bien dites-moi, je crois que la distance qui nous sépare ne peut guère être plus élevée en France!— En effet, oui.
Pendant la promenade Julien monopolise la parole, Sonia n’y participant que par onomatopées, elle décide d’ailleurs du moment où elle fait demi-tour sans concerter son voisin ; de retour à l’hôtel Julien demande dans l’ascenseur à quel étage se rend Sonia :
— Au troisième s’il vous plait.— Tiens moi aussi, curieux non ?— Oui.
Elle tourne à droite dans le corridor en bégayant un vague bonsoir le nez vers le sol alors que Julien part à gauche.Sonia rentre dans sa chambre ferme la porte à clé à double tour comme si Julien allait venir la forcer et se réfugie sur le lit où elle s’allonge ; elle se dit que cet homme n’est finalement pas si dangereux et qu’elle s’est comportée avec lui comme une idiote et une mal élevée; insensiblement sa main droite se dirige vers son entre-jambe et caresse doucement le clitoris au travers de sa robe et de sa culotte ; son geste est assuré, précis, sa main gauche soulève la robe, écarte la culotte, le clitoris apparait gonflé et d’une dimension respectable ; elle se lève brusquement et se dénude en une seconde, elle ne se reconnait pas excitée comme rarement, reprend sa masturbation de plus belle ; elle regrette de ne pas avoir amené son gode et le remplace par ses doigts unis qu’elle enfonce le plus profond possible dans sa grotte en feu à cadence effrénée ; elle sent venir l’orgasme, ses petits seins se gonfler, les tétons durcir, la respiration se fait plus rapide et tout à coup elle se tend, le corps s’arque-boute, la cyprine englue ses doigts, la rosace de son cul se contracte, c’est l’explosion. Relâchée, sa première réaction est de culpabiliser, mais peu à peu elle est consciente que c’est la présence de Julien à ses côtés qui est la cause de ses jouissances et cela la rassure.
Julien de son côté, lui aussi sur son lit en repensant à sa voisine se dit tout simplement : « ce n’est pas gagné » ! Il va dans la salle de bain, se dénude, se regarde dans le miroir, il aperçoit sa bite en légère érection, se tripote les couilles bien pendantes, sort le gland de son capuchon et face au miroir commence à se branler doucement. Sa queue atteint sa taille optimum et au lieu d’apercevoir l’image de son ex comme à l’habitude, c’est celle de Sonia qui la remplace ; il ne sait trop pourquoi, mais ce corps assez anodin le tourmente, et s’il bande maintenant c’est en l’imaginant nu ; une goutte de liquide pointe au bout de son gland, il la prend d’un doigt qu’il porte à sa bouche ; à quelques chambres de là, alors que Sonia jouit, Julien sent la montée de sperme arriver et gicler tout à coup, aspergeant d’abord le miroir, les dernières gouttes tombant au sol.
Chacun des deux inconscients qu’ils viennent de se donner du plaisir grâce à l’autre, vont prendre une douche puis s’endorment dans une béatitude pleine d’espérance.La journée suivante est consacrée aux soins, les femmes et les hommes répartis en plusieurs groupes ; Julien s’arrange pour être dans le groupe de Sonia ; il a pu la voir en maillot noir une pièce et ma foi il se dit que si ce n’est pas miss Univers, elle est plutôt pas mal faite et que c’est parce qu’elle ne se met pas en valeur qu’elle paraît si transparente.
Sonia a également vu Julien en maillot et elle se trouble en le regardant avec une envie sensuelle inattendue qui réveille sa libido ; mais que lui arrive-t-il donc ? Le soir au diner, les regards de l’un vers l’autre sont plus soutenus, Julien a cru apercevoir une esquisse de sourire de Sonia et le lui a rendu ; c’est lui qui quitte la table le premier et attend sur le perron de voir si Sonia va elle aussi vouloir sortir comme hier soir ; quelques secondes plus tard il entend des pas derrière lui, c’est elle et il l’invite à faire la ballade ensemble.
Il y a un bassin face aux Thermes avec un jet d’eau, Sonia et Julien le contemplent un moment et s’assoient sur un des bancs qui lui fait face ; ils discutent  de leur travail, de leurs vies, de leurs espérances ; Sonia se sent de plus en plus à l’aise avec cet homme qu’elle ne connait que depuis 24 heures, elle souhaite même qu’il s’approche d’elle, ce qu’elle n’oserait jamais faire ; comme s’il avait entendu cette petite voix, Julien approche sa main de la cuisse de la jeune femme ; un petit sursaut accompagne ce premier contact, mais subjuguée, Sonia laisse faire cette main qui l’électrise et à sa grande surprise va même y poser sa propre main ; ils cessent de parler les yeux fixés sur le jet d’eau. La fraicheur qui tombe sur la petite ville les sort de leur torpeur et main dans la main ils rentrent à l’hôtel.
Dans l’ascenseur, Julien appuie sur le 3, toujours liés par les mains, tous deux tournent à droite en direction de la chambre de Sonia.La porte se referme sur l’improbable ! Julien s’y adosse et attire Sonia vers lui, les deux corps atones depuis des lustres se touchent et ce contact y met le feu ; Sonia s’accroche au cou de Julien et l’embrasse fougueusement, leurs langues se mélangent, puis celle de Julien pénètre la bouche de Sonia comme une pine pénètre une chatte ; cela fait une bonne vingtaine d’années que Sonia n’a pas été embrassée, elle se sent flancher sous cette assaut lingual, de plus son ventre collé à Julien sent le sexe de celui-ci grossir d’autant que les mains de Julien plaquées sur ses fesses la compriment contre cette bite dont la taille augmente sans cesse ; elle se sent trembler, défaillir, espérant suspendre à jamais cet instant qu’elle craint ne jamais revivre ; sans effort apparent, Julien la soulève et la dépose délicatement sur le lit, le visage a pris des couleurs, il déboutonne sa robe délicatement, l’entrouvre et aperçoit le corps mince de Sonia à la peau blanche, le soutien-gorge cache une petite poitrine, la culotte un pubis dont quelques poils s’échappent, de belles cuisses bien charnues ; il la tourne sur le ventre, dégrafe le sous-tif, enlève la culotte qui laisse apparaître une belle paire de fesses ; l’une de ses mains parcoure la vallée encaissée entre les deux collines, ses doigts s’arrêtent un moment sur la corolle de son anus avant de descendre vers sa chatte qui ouvrent ses grandes lèvres bien charnues et humides et buttent sur le clitoris qui lui paraît déjà bien gros et tendu.
A nouveau Julien la remet sur le dos, elle se laisse manipuler docilement découvrant peu à peu le bonheur d’être touchée, palpée, caressée par un homme ; sa poitrine apparaît petite mais bien ferme, les tétons bien dressés sur les petites couronnes brunes, son ventre plat surplombe une touffe de poils assez fournie qui ne cache pas un gros clitoris en érection que Julien avait cru deviner.
Il se sent attiré comme un aimant par cette bite miniature, la décalotte et y dépose un baiser, puis l’aspire entre ses lèvres qui déclenche chez Sonia de petits gémissements saccadés en se caressant la poitrine ; la succion de son clitoris la transporte dans un monde inconnu, des étoiles fourmillent devant ses yeux, une giclée de cyprine inonde la langue de Julien ; celui-ci se relève, baisse son pantalon et demande à Sonia de venir lui enlever son boxer ; elle hésite un moment, il l’aide à se relever et elle s’exécute ; libéré du slip un gros sexe en érection se détend sous le nez de Sonia ; bien sûr elle a déjà vu sur des sites porno un tas de pines, grosses, longues, droites, tordues, d‘autres normales, mais d’en avoir une en chair et en os devant elle, sous son nez, la paralyse ; Julien qui perçoit son émoi approche calmement son gland des lèvres de Sonia et lui dit :
— J’aimerai que tu me suces, mais si tu ne le sens pas on laisse tomber pour aujourd’hui, d’accord ?
Sonia le remercie intérieurement, elle est touchée par sa gentillesse et d’un coup elle avale une bonne partie de sa bite puis reste immobile ; c’est la première fois à quarante ans qu’elle suce une bite et elle le fait avec plaisir pour lui. Ce gros morceau de chair chaude lui remplit la bouche, ce n’est pas son gode impersonnel qu’elle suce régulièrement après avoir joui, c’est la chair de Julien qu’elle pompe maintenant parce qu’elle veut lui faire plaisir et c’est le cas si l’on en croit les spasmes qui parcourent le corps de son amant.C’est Sonia qui a trop envie que cette pine la pénètre qui se rallonge sur le dos et demande à Julien :
— Viens Julien, viens me baiser, j’en ai très envie, je veux ta bite !— Je viens Sonia, moi aussi j’ai envie de m’enfoncer dans ta chatte, ça fait si longtemps !— Moins longtemps que moi, c’est certain !
Ce faisant, Julien frotte son gland contre la vulve trempée de cyprine et s’enfonce délicatement dans la grotte qui n’espérait plus ressentir la présence d’une pine bien dure, d’une vraie queue ; les jambes largement écartées, les grandes lèvres largement ouvertes par les doigts de Sonia, cette chatte accueille la bite de Julien avec l’ardeur de la femme refoulée, mal aimée, rejetée par son copain d’alors ; c’est sa vengeance, sa remise en question, son cri du cœur ; Sonia est une femme comme les autres, sans artifices, c’est vrai, mais elle a tout à fait le droit de vibrer aux assauts de Julien et de sa pine libératrice ; chaque aller-retour de ce bâton de chair provoque chez elle des bouffées de désir, elle voudrait aspirer cette queue pour ne plus la relâcher, la garder à jamais dans sa grotte si longtemps inexplorée ; elle ne sait plus depuis combien de temps sa chatte accueille les à-coups de Julien, elle jouit bruyamment, un orgasme la transperce, elle ressent les assauts de Julien qui s’agite de plus en plus fort, elle voit son visage se contracter, elle a le temps de lui dire :
— Chéri retire-toi, viens jouir sur moi !
Au dernier moment celui-ci extrait sa bite, les jets de sperme s’éparpillent sur le corps de cette femme enfin revenue à la vie.Il veut aller chercher une serviette pour l’essuyer, mais elle le retient :
— Laisse, je veux garder ton jus sur moi.
D’une main délicate elle étale le précieux liquide, puis avec sa langue nettoie ses doigts. Au petit matin Julien a regagné sa chambre ; à la demande de Sonia ils sont tombés d’accord pour garder secrète cette liaison, du moins pour l’instant. Les jours qui suivent ressemblent au premier, soins dans la journée, diner et ballade le soir, puis nuit d’amour passionnée où Sonia découvre les différentes versions de l’amour physique total. Mais plus que tout, elle ressent aujourd’hui pour Julien une attirance déraisonnable telle qu’elle n’imagine pas une seconde être séparée de lui, il en est de même pour Julien qui a relégué son ex à des années lumières. La moindre occasion est bonne pour faire l’amour, comme s’ils voulaient rattraper le temps perdu ; il est vrai que si l’on tient compte de chacun de leurs passés, il y a du boulot. Ainsi chacun a sa cabine de vestiaire, après la piscine, ils attendent que tout le monde soit parti, Julien se glisse dans celle de Sonia, Sonia écarte le bas de son maillot, Julien sort sa bite du sien et il la pénètre quelques secondes et sans jouir il se retire juste pour le plaisir d’être soudés l’un à l’autre un court instant.
Leur liaison n’est plus qu’un secret de Polichinelle et ils dinent maintenant à la même table, sous l’œil attendri des autres clients. Le dimanche c’est jour sans, pas pour la baise, mais pour les soins. Julien a loué une voiture pour aller pique-niquer au bord d’un lac à une vingtaine de kilomètres. Sonia a mis une jolie robe à fleur que son chéri lui a achetée et ils partent sous un beau soleil et atteignent le lac peu après ; ils atteignent les bords du lac à pied après avoir garé la voiture ; l’ambiance est bucolique, l’ombre bienfaisante des sapins, le lac aux eaux calmes et en fond de décor des collines parsemées de gentiane.
Bucolique et propice au réveil des instincts bassement sexuels ; dans un élan incontrôlé Sonia saute au cou de Julien, frotte son pubis contre le sexe de Julien qui n’en demande pas tant pour entrer en érection ; il emmène Sonia dans le sous-bois toujours accrochée à lui, n’ose pas l’allonger au sol à cause de sa robe toute neuve, la retourne et lui demande de s’appuyer contre un arbre. Il lui baisse prestement la culotte et sans autre forme de préambule lui enfonce son pieu dans sa chatte gourmande et déjà humide, les va et vient qui s’ensuivent ponctués par des soupirs d’aise de Sonia, sont à la mesure du désir immodéré qui les anime ; malgré cela Julien arrive à repousser l’éjaculation bien que Sonia balance ses fesses de droite à gauche redoublant ainsi la sensation de pénétration que ressent le pénis de Julien ; mais il ne peut résister à l’orgasme qui secoue bruyamment Sonia et son sperme gicle dans sa grotte dont les parois sont inondées.
Julien se retire, Sonia écarte les jambes et lui demande de regarder son sperme couler au sol, ce qu’elle fait elle-même en baissant la tête.L’un et l’autre rajustent leurs vêtements et retournent vers la berge au moment où un couple de marcheurs passe à leur hauteur, un petit sourire ironique aux lèvres et un geste amical auquel ils répondent. Ils en déduisent que ces gens ont entendu les sons caractéristiques des jouissances et ils en rigolent sous cape.
Sonia avait mis les petits plats dans les grands, si l’on peut parler ainsi d’un pique-nique. Repus, un poil éméchés par le vin blanc bien frais, ils s’allongent sur la couverture et s’assoupissent tendrement enlacés ; ils n’ont pas besoin de rêver, puisque le rêve ils le vivent en ce moment bien réel.
Lorsqu’ils rangent les affaires et qu’ils replient la couverture, les regards se croisent et sans un mot, sans l’ombre d’une hésitation, ils repartent dans le sous-bois, la couverture à la main de Julien ; cette fois Sonia enlève sa robe et s’allonge ; Julien lui enlève délicatement culotte et sous-tif ; il se dénude et se positionne pour un 69 qu’ils apprécient particulièrement.
Elle pompe avidement la bite de son amant alors qu’il lèche sa vulve à grands coups de langue avant de l’introduire dans la chatte ; chacun de leur index scrute la raie des fesses de l’autre et s’enfonce doucement dans l’anus qui lui fait face ; ils sont tout à la recherche du bonheur sexuel de l’autre, le monde n’existe plus ; Sonia décide de prendre l’initiative et invite Julien à se mettre sur le dos, elle le chevauche, son vagin grand ouvert se pointe au-dessus du gland de Julien, elle s’y enfonce et l’engloutit totalement, restant un moment assise sans bouger goutant pleinement la chaleur de cette pine qu’elle adore ; puis c’est elle qui s’active , ce n’est plus le piston qui glisse dans la culasse, mais la culasse qui avale le piston ; ses allures d’abord lascives accélèrent progressivement pour devenir déchaînées, ses fesses claquent contre les cuisses de Julien, celui-ci lui souffle qu’il va jouir, c’est alors qu’épuisée elle se relâche et se repose sur lui ; elle fait alors quelque chose qu’elle était à mille lieues de penser qu’elle puisse la faire un jour: elle se remet en position de 69, mais elle dessus et pendant qu’elle goûte au sperme sur le queue de Julien, elle l’invite à faire de même avec sa langue dans sa chatte.
Heureux et saturés, ils vont prendre un bain revivifiant dans les eaux sombres et fraîches du lac, puis retournent à leur voiture ; en chemin ils entendent les sons très particuliers d’un couple qui baise et pensent qu’il doit s’agir du couple de marcheurs ; effectivement, alors qu’ils rangent leurs affaires dans la voiture, ils les voient arriver tout guillerets et leur rendent le sourire ironique de tout à l’heure ainsi qu’un petit signe amical.
La cure se termine. L’angoisse de quitter Julien rend Sonia très nerveuse, voire maladroite et agressive ; elle ne veut pas retrouver sa vie d’avant dont elle a horreur, d’autant que les moments de bonheur qu’elle connait depuis trois semaines lui ont prouvé que cela existait bel et bien. A cause de ses craintes leur dernière nuit passée ensemble ne fût pas, et de loin, la plus sexy ; ils se sont quittés en se promettant de tout faire pour se rejoindre le plus tôt possible.
Epilogue :Sur un quai de la gare de Cannes, une jeune femme mince et élégante attend patiemment le TGV dans lequel Julien vient la rejoindre : Sonia, transformée, a réussi à lui trouver un poste vacant à la mairie de Grasse ; le train s’arrête, elle aperçoit sa grande silhouette descendre sur le quai. La vraie vie commence pour Sonia.
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