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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Rencontre

Chapitre 1

Divers
Confiante, elle s?avança sur la terrasse et balaya l?endroit des yeux. Du coin de l?oeil elle l?aperçut et son regard vint se poser sur lui. Elle le reconnut immédiatement. Il était là, semblait songeur, perdu dans ses pensées. Puis, comme s?il s?était senti épié, il tourna la tête pour la voir. Il savait que c?était elle. Il l?aurait reconnu parmi toutes sans même l?avoir déjà entrevu. Elle s?approcha d?un pas rassurant vers la table et pris place à ses côtés. Elle était nerveuse; que devait-il penser d?elle? Le souffle couper, elle ne pus remarquer que la masculinité de l?homme assis à côté d?elle. L?homme le plus attirant qu?elle n?est jamais rencontrer. Il l?avait attiré avant même qu?elle le rencontre, et maintenant, elle se sentit frissonner d?excitation en sa présence. Il la dévisagea du bas vers le haut satisfait du corps présent à côté de lui, s?attarda vers sa bouche laissant clairement voir qu?il aurait aimé l?embrasser. Ils commandèrent chacun une boisson et la prirent en silence, n?échangeant que quelques menus propos. Chaque fois que leur corps se frôlait, se touchait par inadvertance, des frissons les parcouraient des pieds à la tête. Une atmosphère chargée de tension pris place peu à peu.
La main de l?homme vint se poser délicatement, timidement, sur l?entre jambe de la femme, caressant du bout des doigts sa cuisse. Il dirigea ses caresses de plus en plus vers le haut, glissa sa main sous sa robe et atteignit le milieu de son bassin. Il s?aventura toujours plus et se rendit compte qu?elle ne portait pas de petite culotte. Toucha la chatte et vie l?effet qu?il lui faisait. Elle était humide, et sensible aux moindres caresses. Un seul regard, et sans un mot ils quittèrent la terrasse. Ni l?un ni l?autre ne pouvaient supporter d?avantage le contact de leur corps. Ils firent donc le chemin en silence, s?en même échanger un regard.
Elle ouvrit la porte de son appartement, le laissa entrer puis referma la porte à clé derrière lui. Il s?approcha brusquement et la plaqua contre la porte. Une main posée sur le mur, l?autre descendant tranquillement le long de son corps, jusqu?à ses hanches, glissa sous la robe puis pris une fesse entre sa main pour la masser, lui relevant la jambe. Elle laissa sortir un faible gémissement trahissant son désir et arqua légèrement son bassin vers celui de l?homme. Elle sentit l?organe de l?homme durcir instantanément sous cette pression nouvelle. Il écrasa son torse sur la poitrine de la femme et vint l?embrasser. Ses lèvres entrouvrirent ceux de la femme puis sa langue pénétra pour enlacer sa compère. Son baiser se fit de plus en plus exigeant, de plus en plus profond. La femme perdit contrôle et pris la tête de l?homme entre ses deux mains faisant ainsi durer le plaisir encore plus longtemps. La femme sentait le pénis de l?autre entre ses jambes. Elles les referma, l?emprisonnant. Le touché du pénis devenu sensible fit gémir l?homme qui perdit la bouche de la femme un instant pour émettre un gémissement. Les mains de la femme vinrent caresser la chevelure de l?homme. L?homme abandonna la bouche de sa partenaire et descendit le long de son cou jusqu?à sa veine qui palpitait sous le désir. La tenant toujours emprisonné contre le mur, il amorça le supplice de celle-ci en faisant glisser sa robe jusqu?à leurs pieds. Il dégrafa le soutien gorge, elle se retrouva à nu devant lui. Les yeux de l?homme s?étincelèrent de désir et son pénis s?arqua d?avantage contre les lèvres de la femme. Elle déboutonna la chemise de l?homme, et l?entrouvrit. Elle glissa ses mains vers le pantalon, y caressa l?inégalité bombée. Une chaleur s?en dégageait. Les doigts féminins massèrent un instant la surface, reprenant brièvement le contrôle de la situation. La femme défit la fermeture à l?aide de son majeur et fit glisser le pantalon en bas des fesses de l?homme. Son pénis touchait maintenant plus intimement les lèvres de la femmes, les entrouvrant d?une simple pression contre celle-ci. Un liquide chaud émergeait d?entre les jambes féminines. L?homme embrassa tendrement la femme dans le cou, descendant inévitablement vers les seins. Il les embrassa goulûment, un après l?autre, descendit encore plus bas et chatouilla son ventre de la langue. Ses baisers descendirent encore et vinrent se poser entre les jambes, sur les lèvres de la femme. Elle entrouvrit ses cuisses et l?homme intensifia en profondeur ses caresses avec la langue. Il tentait de l?explorer en son entier, laissant airer ses caresses aux creux de chaques crevasses. La femme excitée laissait couler le jus de son plaisir entre ses jambes. Les mouvements de la langue se firent plus pressant, arrachant des gémissements de plus en plus audible de la femme. Il exécutait un mouvement de vas et vient sur son clitoris lentement. Pénétrant la chatte de sa langue il sentit la femme perdre l?équilibre. Elle s?agrippait de plus en plus fermement à la chevelure de l?homme. Soudainement, il y glissa un doigt, caressant lentement en mouvement circulaire les parois intérieures humides. Un deuxième doigt s?ajouta, contraignant les lèvres à s?écarter encore plus, et encore un autre. Les lèvres enveloppèrent les doigts, tentant de les engouffrer toujours plus loin. Les doigts se retirèrent et seul un resta, entamant un mouvement rapide dans le creux de la chatte. Le doigt glissait avec aisance. Il s?immobilisa un instant et vint exercer une pression directe sur le clitoris, en petit mouvement circulaire. La femme commençait à subir des convulsions. L?homme arrêta subitement et vint reprendre le mouvement de vas et vient sur le clitoris avec sa langue, de plus en plus vite. La femme tentait de contrôler sa respiration, mais celle-ci se fit de plus en plus saccadée. Le mouvement de la langue s?intensifia encore. Le corps de la femme se tendit de spasme. La langue continuant ce rythme infernal, s?appropriait la jouissance de la femme. Un gémissement profond d?extase se fit entendre.
L?homme remonta à la hauteur de la femme et la regarda droit dans les yeux. Elle avait jouit, il le savait et en était heureux. Il la prit dans ses bras et l?emporta vers la cuisine, la déposa sur la table. Les doigts de la femme caressaient le torse de l?homme, lui infligeant de nombreux frissons. Les mains quittèrent la poitrine et se glissèrent dans le boxer de l?homme, le fit tomber sur le sol et caressèrent la peau de ses ongles. Lentement, du bout des doigts, sur les fesses et les anches de l?homme, les mains s?agitaient. Elle prit les testicules entre ses doigts, les massant délicatement, soigneusement. L?organe de l?homme était dur entre ses mains. Il étendit celle-ci sur la table de tout son dos, ramena les jambes féminines sur ses épaules et tendit son pénis vers l?intérieur de la femme. Les lèvres s’entre ouvèrent d?elles-mêmes dirigeant le regard de l?homme vers ce lieu de plaisir. Le sexe entier de la femme semblait tendre vers le pénis pour le ramener à lui. Il la pénétra lentement, laissant son organe s?humidifier du jus de la femme. Le passage était chaud et s?agrandissait au fur et à mesure que l?organe masculin pénétrait et remplissait le couloir de son diamètre. Puis le mouvement de va et vient se fit plus pressant, de plus en plus profond. S?accrochant aux anches de la femme, il parvenait à toucher le fond, si chaud, si doux. La femme étendue sur la table gémissait suppliant pour en avoir plus. La tension montait toujours chez chacun des partenaires. L?homme n?en pouvant plus se laissa aller à un mouvement sec et rapide. Une sueur moite perlait à son front. Des spasmes firent déferler le sperme en la femme. Elle sentit les contractions et la chaleur l?envahir et laissa à son tour les spasmes la gagner. Dans un instant d?extase, la femme et l?homme gémirent de commun, prouvant leur satisfaction commune.
Ils étaient étendus sur le lit, emmêlés au travers des draps de coton. Du bout des doigts elle le caressait, couvrant chaques parties de son corps. Elle dirigea l?homme sur le dos et pris ses lèvres avec une insistance inouïe, violant ainsi l?intimité de la bouche masculine. Puis ses baisers se répandirent sur l?ensemble de son corps. Le bout de la langue caressa le torse de l?homme, s?arrêta sur le petit mamelon, les mordillant légèrement. La langue descendit sur le ventre, continuèrent plus bas, toujours plus bas. Une main glissa entre ses jambes et les écarta. Elle caressa l?entre jambe jusqu?aux testicules, puis jusqu?au pénis. D?un doigt habile elle finit de réanimer celui-ci. Elle le sentait grossir sous son touché. Un simple massage le long du pénis suffit à exciter l?homme. Il gémissait et se tortillait sous les caresses. Son corps se tordait sous le désir. La bouche de la femme descendit alors vers l?organe de l?homme. Sa langue vint caresser le pénis, courant le long de celui-ci jusqu?à ses testicules. Puis elle s?enroula délicatement autour et la bouche pris possession entièrement de l?organe. La femme fit une succion avec sa bouche et débuta un mouvement de haut en bas. L?homme jubilait sous cet univers chaud, humide et doux qui glissait le long de son organe. Il n?en pouvait plus. La femme savait exactement ce qu?elle faisait et comment atteindre les points sensibles masculins. L?homme se tordait sur le lit, il ne pouvait plus se retenir bien longtemps encore. La femme s?arrêta donc et vint se positionner au-dessus de l?homme. D?un simple mouvement elle descendit le long du pénis le faisant ainsi pénétrer une fois de plus dans son intimité. L?homme toujours étendu entre les draps laissait la femme toutes initiatives. Elle entama un glissement le long du pénis. Par petits coups secs elle absorbait l?homme et l?emmenait cogner le fond de ses parois intérieures. L?homme n?en pouvait plus. Son gland complètement gonflé lui causait une telle tension qu?il lui faisait mal. Il laissa donc les spasmes le gagner et satisfaire une dernière fois la femme.
Le matin se leva dans la pièce où on avait omit de tirer les rideaux. La lumière illuminait la femme étendue entre les draps. Elle se réveilla lentement et posa son regard sur le deuxième oreiller. Il était vide. Son amant l?avait quitté. Sans un mot, il l?avait laissé dormir et était parti de peur de trop s?attacher. Maintenant, seul les souvenirs de la femme pouvaient réanimer l?acte qu?il avait commis.
Ann
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