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Rencontre amoureuse

Chapitre 1

Divers
RENCONTRE AMOUREUSE
Je suis marié, j’ai cinquante ans et réside aux abords d’un golf du sud de la France.J’ai pris pour habitude, le soir venu, lorsque les joueurs ont déserté le terrain, d’aller promener mon petit chien.Nous sommes au mois de juin de l’année dernière, il fait assez chaud, la nuit commence à tomber, je foule avec mon compagnon, ce terrain de jeu verdoyant et remarquable.
Au loin, je distingue une silhouette, qui promène également son petit compagnon.La personne que je distingue au fur et à mesure qu’elle se rapproche, est une femme.Je dévie légèrement mon chemin, pour croiser, par curiosité cette promeneuse, c’est assez rare étant donner l’heure assez tardive.Elle est maintenant à quelques mètres de moi, elle n’est pas très grande et assez fine, elle a entre quarante et quarante cinq ansElle est vêtue d’un petit short rose, qui la moule remarquablement bien, ainsi qu’un petit haut noir assez mini.
Nous nous disons bonjour, en parlant de la chaleur que nous supportons en ce moment.Mon compagnon, se met à tirer sur sa laisse, pour aller dire bonjour à son copain, qui s’avère être une copine, pas étonnant qu’il soit aussi impatient, car la demoiselle est au dire de sa maitresse en chaleur.Nous poursuivons notre chemin, tout en discutant, les deux animaux sont inséparables, surtout le mien qui est très excité.
Il fait assez sombre, nous sommes maintenant assez loin des premières habitations.La dame est assez loquace, j’apprends qu’elle habite aussi aux abords du golf, pas très loin de chez moi et qu’elle joue, tout comme moi au golf.J’apprécie cette compagnie, la dame est très charmante, tout en discutant, je pose ma main, sur son épaule dénudée, elle n’a aucune réaction, n’y désapprobation.Encouragé, je passe mon bras autour de son cou, elle me regarde en me disant que l’on pourrait nous voir.Je lui réponds, qu’il fait bien noir, et que nous sommes assez loin, pour toute réponse, elle me sourit.
Nos deux compagnons, continuent de faire la fête, à un moment, ils s’entourent autour d’un arbre, Isabelle c’est son prénom, tente de les démêler, je profite de cet instant, pour la diriger contre un gros chêne.
Nous nous regardons dans les yeux, nous sommes très près, et nos lèvres sont subitement attirées, ce qui devait arriver, d’abord, un petit bisou sur la bouche, puis un autre plus engagé, nous nous enlaçons, nos bouches se soudent, nos langues s’entrelacent, comme deux amants ne s’étant pas vus depuis bien longtemps.

Tout en continuant de s’embrasser, je caresse sa poitrine assez petite, mais qui est étonnamment très ferme, je passe ma main dessous, je suis d’autant plus surpris, qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.Sous mes caresses, ses tétons, se tendent, je dénude cette poitrine que j’excite avec mes lèvres.Je passe ma main entre les cuisses d’Isabelle, et la caresse au travers du tissu, ma partenaire écarte les cuisses tout en me regardant dans les yeux.
Elle respire assez fortement, je dégrafe le petit short, pour faciliter mon exploration.Je découvre un petit slip en dentelle, qui est trempe, preuve qu’Isabelle apprécie le traitement.
Elle est maintenant complètement nue, j’en fais de même, nous nous couchons dans l’herbe tout en nous caressant, nos baisers sont devenus très passionnés.Ma maitresse, me dit qu’elle veut bien continuer, mais qu’elle ne souhaite pas tromper son mari.Je continue de l’exciter en la doigtant et en frottant son clitoris, elle halète et pousse de petits cris, ses cuisses sont bien écartées, elle me demande d’aller plus profond et plus vite, ce que je fais.Je continue tout en l’embrassant, sa minette coule abondamment, à un moment elle se raidit légèrement, je pense qu’elle a eu un petit orgasme.
Je la regarde dans les yeux, et lui dit que j’ai très envie d’elle, elle me regarde, me sourit, et me répond que elle aussi.Je l’embrasse, et lui dit que je n’ai pas de préservatif, elle me répond, que pour elle il n’y a pas de risques, pour moi n’ont plus dis-je.
Je suis maintenant sur elle, ma queue est très raide et cherche la cible, c’est Isabelle qui vient à mon secours et qui positionne mon sexe à l’entrée de son abricot bien juteux, je n’ai qu’une petite poussée à faire, pour la pénétrer au plus profond.Je la regarde, l’embrasse et me met à la besogner, lentement au début, puis en accélérant.Sous mes assauts, elle écarte ses cuisses au maximum, comme pour aspirer mon sexe, se tortille en tous sens, et pousse des cris tout en haletant intensément.
Je la positionne à quatre pattes, la fais se cambrer, la saisissant par les hanches, je la pénètre avec violence, à chaque coup de queue, elle crie et m’encourage à aller plus vite et plus fort.Après plus d’une heure de ce traitement j’explose dans sa chatte.Nous nous affaissons dans l’herbe, et restons assez longtemps soudés et inertes.
Nos compagnons, après s’être accouplés plusieurs fois, fatigués, se sont couchés dans l’herbe.
Remis de nos émotions, nous nous embrassons avec tendresse, après s’être essuyés et rhabillés, nous rebroussons chemin tout en discutant.Je lui demande si son mari ne va pas s’étonner de son absence prolongé, elle me répond qu’il est absent.Nous nous embrassons longuement en se promettant de se retrouver dans deux jours, même heure et même endroit.
Il me tardait de la retrouver, viendrait-elle ?Le jour venu, nous nous sommes retrouvés, elle était aussi jolie avec un petit haut blanc et une petite jupe assez courte.Nous avons marché en discutant, elle m’a dit avoir pris beaucoup de plaisir l’autre soir, elle m’a avoué qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis bien longtemps, son mari avait vingt ans de plus qu’elle, qui en avait quarante cinq, de plus il avait un problème d’érection depuis de nombreuses années et ne pouvait donc pas la pénétrer.Ce soir là, nous avons discuté longuement, nous avons bien sûr fait l’amour, avec plus d’intensité, et avons pris encore plus de plaisir.
Nous avons continué de nous revoir régulièrement, le mardi soir, car elle ne travaillait pas le mercredi, et le vendredi soir.Au fil de nos rencontres, notre amour a évolué, s’est fait encore plus fort.Il y a de cela quelques mois, elle m’a avoué que c’était son mari qui l’avait incitée à trouver un amant.Tout avait été calculé, le choix que ce serait moi.Même le moment où la petite chienne serait en chaleur, pour faciliter l’approche et lier conversation.Pour la petite histoire, la petite chienne a eu trois chiots, en souvenir, nous en avons gardé un.
Son mari qui a une entreprise est très souvent en déplacement, il accepte que nous nous retrouvions chez elle, nous passons des soirées et des nuits bien agitées à s’aimer.Son mari que je ne souhaite pas connaître accepte tout ça, à la condition qu’elle ne le quitte pas (je pense qu’il a peur de la perdre)Moi ça me convient, car Isabelle est délicieuse, toujours aussi aimante, nous passons des moments formidables.
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