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Rencontre avec Axelle, travestie soumise

Chapitre unique

Travesti / Trans
Comme vous le savez déjà, je suis depuis toujours attiré par les bottes, les cuissardes, le cuir et le latex et je recherche en priorité des copines travesties aimant ces looks sur les sites de rencontres...
C’est ainsi que j’ai rencontré Anne dont le profil précise : travestie recherchant soumission et qui porte des cuissardes sur ses photos.
Anne et moi échangeons par tchat un bon moment avant de nous rencontrer afin de nous assurer que nos attentes se complètent. Je n’ai pas à l’époque une grande expérience en domination et je refuse déjà les pratiques trop douloureuses.
Anne me donne rendez-vous chez elle un samedi soir. Elle habite un appartement isolé dans une vieille maison proche de Lyon. Cette rencontre est une des plus fortes que j’ai faites et une des plus fascinantes.
Comme convenu, la porte d’entrée est ouverte et je me dirige vers la chambre où Anne m’attend.
Quel choc de découvrir Anne allongée sur le dos sur son lit : perruque brune au carré, bandeau rouge sur les yeux, bâillon boule, pinces sur les seins avec chaînette, corset cuir noir, minijupe en cuir noir, bas résille noirs, cuissardes noires à lacets, mains gantées liées sur le ventre et une impressionnante collection d’accessoires disposés à côté de ton lit : godes et plugs de différentes tailles, cravache, pinces, bougies, collier, laisse, sans oublier provision de préservatifs et lubrifiant.
L’instant où je découvre une travestie qui s’est préparée pour moi est toujours un moment très important dans une rencontre. Ce moment avec Anne est un des plus grands que j’ai connu, équivalent à la découverte de Carole à la porte de ma chambre d’hôtel (voir mon autre histoire : Sortie cinéma X à Marseille). Anne me subjugue : sa tenue tout d’abord correspond exactement à mes goûts et aussi sa soumission. Anne s’offre à moi sans retenue sur la base de la confiance établie lors de nos échanges. Elle m’avait confié avoir beaucoup de mal à trouver le partenaire correspondant à ses attentes.
Anne sait que je suis là, car elle a entendu la porte d’entrée et les grincements du parquet. Son visage est radieux, elle est pleinement heureuse et épanouie.
Je pense être resté un certain temps sans bouger à la regarder, à la contempler dans un silence complet troublé uniquement par les bruits du parquet.
Sans un mot, je commence à caresser très lentement son visage : son front, ses joues, son bandeau, son menton, sa gorge, ses oreilles. Je joue avec son bâillon. Je serre son nez en posant ma main sur sa bouche, juste pour bloquer sa respiration quelques secondes et en relâchant bien avant la suffocation pour augmenter mon emprise. Je resserre le lien qui attache ses mains pour qu’Anne ne puisse pas se détacher seule. Anne se sait désormais à mon entière disposition. Elle est toujours aussi radieuse.
Je continue mes caresses cette fois-ci avec la cravache en effleurant son corps et ses vêtements, je m’attarde sur ses seins et sur le devant de sa minijupe. Je pose la cravache pour lécher ses cuissardes en démarrant par la pointe et en remontant toujours avec la même lenteur et en silence. Je fais une pause à la limite des cuissardes avant de lécher ses bas. Anne sursaute... Je poursuis ma progression en léchant sa minijupe en insistant sur son entrejambe que je devine réagir d’excitation. Je continue sur son corset, puis sa poitrine avant de finir par sa bouche. J’enlève son bâillon pour poser mes lèvres sur les siennes, sa langue cherche la mienne, mais je la refuse en replaçant le bâillon.
Je suis avec Anne depuis au moins trente minutes, aucun mot n’a été prononcé, je suis encore habillé, je n’ai pas encore vu son sexe et ses fesses, aucun acte sexuel n’a été pratiqué et pourtant j’éprouve un immense plaisir. Je suis convaincu que c’est la même chose pour Anne. Je prends mon temps et profite de ce moment rare.
Je me déshabille... Les bruits de fermeture éclair, de ceinture et de tissus ne laissent aucun doute à Anne sur ce que je fais. J’ai une belle érection, preuve du plaisir pris à mes petits jeux.

Pour faire durer le plaisir et languir Anne, je visite l’appartement. Je m’attarde sur les livres, les disques, les DVD. Je me sers un verre d’eau à la cuisine. Cela dure quinze minutes qui doivent sembler bien longues pour Anne.
Je reviens dans la chambre sans un mot. Je monte sur le lit et m’installe au-dessus de Anne au niveau de sa poitrine avec mon sexe sur son visage. Je ne bande plus suite à ma pause. Je tapote son visage avec ma bite qui reprend vite de la vigueur. Je la frotte sur son visage. J’écarte le bâillon pour m’enfoncer sans ménagement dans sa bouche. La brutalité du geste après la douceur dont j’ai fait preuve depuis mon arrivée surprend Anne, mais d’après ce que je peux lire sur son visage ne lui déplaît pas.
Je lui baise longuement la bouche sans retenue, m’enfonçant à la limite du haut-le-cœur, prenant soin de laisser à Anne quelques secondes pour reprendre son souffle avant de rester plus longtemps au fond de sa gorge. Anne perçoit dans sa chair qu’elle est à moi ce soir.
Je m’assois ensuite sur son visage en plaçant mes fesses au-dessus de sa bouche, Anne a tout de suite compris ce que j’attends d’elle et me bouffe le cul. Humm, quel délice d’avoir Anne jouant de sa langue sur mon petit trou, j’en gémis de plaisir et ma rondelle s’ouvre sous les assauts. Lors de nos échanges avant la rencontre, j’avais précisé à Anne que bien qu’étant surtout actif, j’apprécie aussi de prendre du plaisir par mon cul. Cela n’avait nullement gêné Anne.
Pour remercier Anne de son somptueux anulingus, je masse son clito à travers sa minijupe. A l’évidence, Anne ne porte pas de cage de chasteté et me bouffer le cul lui fait un bel effet. Le cuir se soulève de plus en plus haut et découvre le haut de ses cuisses. La tentation est trop forte et je remonte la minijupe pour laisser apparaître un joli clito fièrement dressé. Il est fin, mais de bonne taille.
Je replace ma bite dans la bouche d’Anne, mais en lui laissant le soin de me sucer. Je prends son clito en bouche dans un beau 69. Anne semble se libérer de la tension sexuelle que j’avais laissée s’accumuler depuis mon arrivée, je sens son corps se relâcher. Elle joue merveilleusement bien avec mon sexe, alternant léchage, va-et-vient et petit coup de langue sur le gland. De mon côté, j’aspire son clito tout au fond de ma gorge jusqu’à plonger mon nez sur ses couilles. Je joue à m’approcher du vomissement. Après ce beau 69, je descends du lit.
Je m’approche du visage d’Anne avant de l’embrasser fougueusement. Nos langues se trouvent à merveille. Je dénoue le bandeau de ses yeux et lui adresse la parole :Merci Anne de me recevoir et de t’offrir ainsi à moi. Cette première partie de rencontre a été un pur délice.Merci à toi Gilles d’avoir si bien joué avec moi.Veux-tu faire une pause avant de passer à la suite ? Tu es immobile depuis plus d’une heure. Tu peux aussi enlever tes pinces à seins.Bien volontiers, j’ai mis du champagne au frais pour célébrer notre rencontre. Passons au salon.
Je m’installe dans le canapé avec la bite bien raide, Anne s’active dans la cuisine, j’aime le bruit de ses talons sur le carrelage. Elle revient au salon avec une bouteille de champagne et deux verres. Elle a poussé le soin du détail à mettre un tablier blanc de soubrette. Je rentre dans son jeu en réalisant tout à coup que je n’ai pas encore eu la chance de voir sa petite chatte anale.
— Anne, merci de servir deux verres et de vous retirer en cuisine. Vous en profiterez pour nettoyer avec votre langue la tache sur le sol à côté de la porte en frottant à quatre pattes. Vous savez combien j’attache de l’importance à une maison bien tenue.
J’attends de voir la réaction d’Anne. Pour la première fois de la soirée, elle peut choisir soit de m’obéir ou de me désobéir au risque d’être punie. Anne, en pure soumise, s’exécute sans rechigner. Elle se met à quatre pattes et frotte énergiquement de sa langue la tache imaginaire m’offrant une vue dégagée sur son cul. Je ne suis pas surpris de voir un rosebud bien en place.Anne, tu peux te relever, enlever ton tablier et venir t’asseoir à côté de moi. Trinquons à notre rencontre...
Anne est très détendue et toujours aussi radieuse. Ma main s’aventure sous sa minijupe et je constate que la coquine a toujours une semi-érection.
— Anne, veux-tu que je te fasse découvrir une spécialité au champagne ?
—Bien sûr Gilles.—On appelle ça la pipe au champagne. Je bois une gorgée de champagne bien frais avant de relever la minijupe et de prendre en bouche son clito. C’est extrêmement jouissif pour celui ou celle qui se fait sucer.
J’en profite pour jouer avec le rosebud en le faisant aller et venir. Anne halète sous ma double action. Je siffle la fin de la pause, Anne remet le champagne au frais et nous retournons dans la chambre.
J’ordonne à Anne de mettre le collier de chienne et d’y attacher la laisse. Je règle les pinces à seins avec un serrage plus fort, j’ai testé le précédent qui était trop faible. Un bon réglage de pince à sein doit être légèrement douloureux et il ne faut pas les laisser trop longtemps en place. Je les remets en position, Anne me suce pour me redonner de la vigueur et m’enfile un préservatif avec sa bouche.
Je l’installe à quatre pattes sur le bord du lit pour la prendre en levrette. Une dose de gel lubrifiant sur sa rondelle et ma bite avant que je présente mon gland entre ses fesses. Au vu de la taille de ses plus gros godes, j’imagine que Anne est habituée à prendre de gros calibres. Je ne me trompe pas et ma bite rentre sans difficulté, bien au fond de son cul. Mes couilles battent contre les siennes. Je lui bourre le cul. Je la pénètre longuement en alternant le rythme des mes allers-retours, je ressors aussi parfois en totalité avant de ne rentrer que le bout de ma bite. Je tire d’une main sur sa laisse pour forcer Anne à se cambrer et de l’autre joue avec la chaînette des pinces à seins. Anne alterne râle de plaisir et cris de douleurs. Elle feule telle une chienne en chaleur.
J’allonge Anne sur le dos, jambes relevées. Pendant que je la démonte brutalement, je lui travaille les tétons en jouant avec les pinces. Anne est très réactive à ses jeux et gémit de plus en plus bruyamment. Je libère ses seins.
Je sélectionne deux plugs : un de bonne taille que j’enfonce dans le cul d’Anne et un plus petit que je me réserve. Je m’installe à quatre pattes sur le lit pour que Anne me prépare le cul. Elle s’y emploie merveilleusement bien avec sa langue et ses doigts. J’ai toujours aimé me faire doigter par une main gantée de latex. Je suis gâté. Anne hésite avant d’introduire son premier doigt luisant de sa salive, mais devant la facilité avec laquelle mon cul l’avale et mon plaisir évident, elle enchaîne avec un second, un troisième et un quatrième doigt. Elle les fait tourner, entrer/sortir, les allonge, les plie. Une vraie experte en doigtage et du massage de prostate. Après quelques minutes de cette somptueuse préparation, je lui tends le plug qu’elle m’enfile sans difficulté. Elle m’a si bien préparé que je lui demande de prendre le plug de la taille au-dessus. Elle inverse les deux plugs dans mon cul et au passage je lui fais nettoyer avec la langue celui qu’elle sort de mon cul.
Me voilà bien équipé pour profiter de mon cul pendant la prochaine séance que je réserve à Anne.
Dans nos échanges avant la rencontre, Anne m’a avoué être adepte de dilatation anale, sa collection de godes en témoigne, elle adore qu’on lui ouvre sa petite chatte. C’est bien ce que je compte faire. Dans ce genre de pratique, tout est dans la progressivité. Je sélectionne quelques-uns de ses jouets.
J’explique à Anne que je vais maintenant lui dilater le cul. Je ne sais pas moi-même jusqu’où j’irai, cela dépendra de la capacité de ma belle soumise. Je lui bande les yeux pour que la surprise de ce qui va pénétrer dans son cul soit totale.
Je commence par reprendre calmement Anne en levrette pour débuter en douceur. Assez vite, j’ajoute un gode de trois centimètres de diamètre pour simuler une double pénétration. Je n’ai pas besoin de forcer beaucoup pour qu’il rentre. Anne se cambre et gémit de plus belle. J’adore les partenaires bruyantes dans leurs plaisirs, cela décuple le mien.
Après plusieurs minutes de ce traitement, je me retire de son cul, je retire aussi le petit gode. Le prochain gode que j’ai choisi est plutôt imposant : noir, six centimètres de diamètre, mais surtout vingt-cinq de long. Je l’enduis d’une bonne couche de lubrifiant avant de le présenter sur la rondelle fièrement distendue. Je pousse lentement, la rondelle s’ouvre aisément, le passage du sphincter tire quelques cris de Anne. Je lui ai interdit de se plaindre, elle peut uniquement me demander d’arrêter. Je ne m’attends pas à ce qu’elle use de ce droit. J’enfonce lentement le gode jusqu’à sa garde. Laisse quelques instants de répit à Anne en venant devant elle et lui fourrant ma bite dans la bouche. Je repasse derrière Anne pour ressortir le gode et le renfoncer plus rapidement cette fois-ci. Je multiplie cette opération en augmentant la cadence jusqu’à ce que le gode coulisse parfaitement sur toute sa longueur. Je la bourre sans ménagement avec le gode.
Anne s’écroule sur le lit, la tête en arrière. A chaque coup de boutoir, elle semble s’enfoncer dans le lit. Je ne me retiens plus et lui pistonne son cul à un rythme effréné. Anne ne gémit plus. Elle halète continuellement. Son corps est traversé de soubresauts. J’arrête brusquement mes allers-retours et retire le gode, je l’embrasse dans le cou. J’ôte son bandeau, je lui roule une grosse pelle très tendre et la félicite. Son visage est défait, mais ses yeux indiquent qu’elle en veut encore.
Le gode suivant est gonflable, et la dilatation sera plus calme, mais plus volumineuse. Anne sera sur le dos. Cet intermède plus calme me permettra moi aussi de jouer avec mon cul. Dans la collection de Anne, il y a un gode bâillon qui me fait les yeux doux. Je le mets en place sur la bouche de Anne. J’introduis le gode dégonflé dans sa rondelle et commence à presser sur la poire de gonflage. Vu le traitement que j’ai infligé à Anne avec le gode noir, je dois gonfler un bon moment avant d’observer une réaction de Anne. Je retire le petit plug de mon cul et m’installe au-dessus du gode bâillon, je m’assieds lentement dessus jusqu’à toucher son visage. Hum, j’aime toujours autant le moment où mon cul accepte de laisser passer le visiteur. Je monte et descends sur le gode, d’abord lentement puis plus vite. En même temps, je joue avec la poire de gonflage en envoyant et retirant alternativement de l’air.
Je vois le ventre de Anne se soulever à la limite de son corset, comme pour un début de grossesse. Je lève mes fesses de quelques centimètres au-dessus de son visage et ordonne à Anne de me pilonner. Je râle de plaisir sous ses coups de tête. Nos positions ne sont pas très confortables, je me mets à quatre pattes et Anne fait de même derrière moi pour continuer à m’enculer. Je n’ai pas son entraînement et son endurance, mon cul demande grâce.
La séance de dilatation se termine par un fist après que j’ai demandé à Anne si elle était d’accord. Bien sûr elle l’est. Je l’installe sur le ventre, un coussin sous le ventre, cul fièrement ouvert et offert. J’enfile des gants, je lubrifie abondamment ma main et son cul. Sa chatte anale avale littéralement les quatre premiers doigts que j’introduis ensemble, je tourne ma main dans sa cavité pour élargir le passage. Mon pouce passe sans problème, le passage des jointures demande un peu de patience et de poussée. La rondelle finit par céder. Anne ne bronche pas, elle mugit sous l’intrusion. Après quelques instants de répit, je continue de m’enfoncer, mon poignet est passé. Je tourne mon poignet, Anne se cabre. Je ressors lentement de son cul et y retourne immédiatement sans difficulté, je commence à la pilonner avec ma main qui s’enfonce de plus en plus profondément ; Anne ne mugit plus, elle gronde comme une machine au bord de l’explosion.
J’accélère mes mouvements en ressortant totalement avant de remplir dans son intestin. Les mains d’Anne s’accrochent à ses draps et creusent le lit, sa tête ballote d’avant en arrière. C’est de la pure folie. Je n’ose m’enfoncer plus avant ni tenter d’introduire mon autre main. Le plaisir de Anne est dément, elle ne maîtrise plus son corps, elle est esclave de ma main dans son cul. Je n’ai jamais vu ça. Je suis fasciné. C’est à la fois beau et inquiétant. Je ralentis progressivement le rythme avant de retirer ma main.
J’enlève son collier et les pinces sur ses seins. Je m’allonge contre Anne. Je lui caresse tendrement les fesses, je passe ma main dans ses cheveux pendant de longues minutes, le temps qu’elle reprenne ses esprits. Je passe entre ses jambes pour prendre son clito en bouche, il est tout ramolli. Je le fais durcir et la suce lentement et tendrement. Anne passe au-dessus de moi pour me sucer dans un 69 plein de tendresse. Je m’efforce de calquer ma cadence sur la sienne. Anne jouit la première dans ma bouche, je la suis immédiatement et me vide dans sa bouche. Nos bouches se rejoignent pour mélanger nos spermes.
Nous regagnons le salon, cette fois-ci c’est moi qui sers le champagne. Nous terminons la soirée tranquillement en discutant de nos expériences.
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