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Ma rencontre avec Cindy

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
J’avais beau être habitué aux bas-fonds de Cayenne, le bar où Pierrot m’avait traîné était vraiment glauque. Une baraque dans la mangrove, un comptoir tenu par un Chinois, quelques tables en formica, genre 1960… La sono débitait des airs de Bachata dominicaine. Il y avait trois femmes – deux jeunes, une autre dans la trentaine – et un homme, mais ne parlons pas de ces derniers. Les deux mignonnes étaient des Noires très foncées. On aurait dit un couple de panthères, avec leurs grands yeux de chat sauvage. Leur peau brillait dans l’éclairage coloré des néons. Ravissantes ! Une moiteur alanguissante nous envahissait, renforcée par les bières qu’on s’était tapées.
Bref, les deux filles, je me les serais bien tapées, elles aussi. Je sais, le jeu de mot est hyper facile. Mais je ne recherchais pas la difficulté, cette nuit-là. Au contraire ! J’étais cool. Je souris à la plus grande des deux filles. Cheese… Elle portait des souliers à semelles compensées, tellement hauts qu’elle peinait à garder l’équilibre. Ca lui donnait un petit air craquant, comme vous ne sauriez imaginer. Ses jambes fluettes tanguaient. Avec ça, une jupette au ras de la touffe et un bustier qui lui découvrait tout le ventre. Elle n’avait pas de soutien, ça se voyait : les pointes de ses jeunes seins perçaient presque l’étoffe. Elle me sourit aussi.
— Chaud, hein ? dis-je.— Mortel, bébé ! répondit la belle, minaude à souhait.
Sous ses aisselles, on voyait la sueur perler. Ca me rendit tout chose. J’adore ça ! Je m’approchai d’elle.
— Assez de courage pour danser ? fis-je.
La fille se colla à moi si lascivement que j’en eus le souffle coupé. Wow, wow… Son odeur musquée me tourneboulait. Je remontai la main droite sous son petit haut, jusqu’au sein. Il était ferme, comme une prune bien mûre. La nuit était tombée depuis longtemps mais la chaleur restait intense.
— Pas mal, ce bar, risquai-je.— Ouais… On vient juste d’arriver.— Et… déjà si chaude ? dis-je, pressant son téton, pour accentuer la portée de mes paroles.— Ouais… on est en manque. Pas vous ?
Je me retournai. L’autre fille était perchée sur un tabouret du bar, à côté de Pierrot. Plus courte et nettement plus ronde, ses seins pigeonnaient dans un soutien-gorge rose. Son corsage échancré n’en cachait rien. Elle portait des locks qui lui tombaient sur les épaules. Des piercings un peu partout : aux narines, aux lèvres, au nombril et sans doute aussi ailleurs. Mais on ne pouvait pas voir, à cause du slip. En revanche, on le voyait très bien, le slip. Elle écartait les cuisses, sans façon. C’était un slip blanc.
— Elle vous branche, ma sœur ? questionna ma cavalière.— Elle vaut le coup d’œil ! plaisantai-je.— Vous êtes un petit cochon. Ou peut-être… un gros porc ? rit-elle, se dégageant de mes bras pour me contempler l’entrejambe.
Évidement, je bandais comme un pourceau. Ca n’avait pas échappé à ma belle exotique.

— Vous voulez qu’on aille derrière ? dit-elle, avec un tendre baiser sur la joue.
Son corps mince qui palpitait ne me laissait pas d’autre choix. Elle m’entraîna par une porte étroite dans un local sombre, où nous n’étions pas seuls. Des rideaux, suspendus par des cordes à linge à travers la pièce, séparaient vaguement les couples. Il y avait des bouteilles de bière ici et là. On entendait des bruits évocateurs, des geignements… La fille nous trouva une place dans la pénombre, je ne sais comment. Une natte sur le ciment, avec des coussins. Je me dis que ça s’annonçait très bien !
Je m’assis sur un polochon. Cindy (c’était son nom) resta debout. Elle ôta son bustier par la tête. Puis elle manœuvra la fermeture éclair de sa jupette, qui tomba aussitôt. Elle baissa la culotte jusqu’à ses chevilles. Il lui fallut encore retirer ses chaussures pour se retrouver toute nue devant moi ! Ses seins obliquaient, comme m’ouvrant leurs bras. Sa chatte lisse dessinait un triangle minuscule, dont la fente se devinait à peine. Cette créature était un rêve ! Mais en réalité… une réalité ! Du concret, à portée de main, et du reste… Elle était bien là, en chair et en os, nue comme Ève au sortir de la côte d’Adam, qui me regardait… Je ne pouvais plus attendre. Je flanquai toutes mes nippes en l’air.
— Allez, monte-z-y dessus ! entendis-je Pierrot dire.
Ce dégueulasse était escorté par la sœur. Faute d’autre endroit, ils venaient tous deux de se glisser dans notre nid d’amour, pas gênés. Cindy me demanda si j’avais des préservatifs sur moi. Hélas, non ! Elle, sa sœur et Pierrot… non plus ! Ce n’était vraiment pas malin ! Cindy parut réfléchir. Elle était en période d’ovulation, elle ne voulait pas tomber enceinte, expliqua-t-elle. Aïe ! Aïe ! Quelle affaire !
— Ca vous dérange de me sodomiser ? murmura-t-elle, avec un sourire désarmant.— Tu aimes ça, au moins ? m’enquis-je, toujours délicat avec les dames.
Mais déjà, elle s’était mise à quatre pattes. Elle mouillait. Ce n’était pas simulé, son ardeur. J’en profitai pour lubrifier l’orifice ad hoc. Puis, la verge en position, je poussai dessus d’un bon coup de rein. La tige s’enfonça facilement dans les chairs souples.
— Hé ! entendis-je, de Pierrot, à mes côtés.— Qu’est-ce qu’il y a, encore ?— Tu veux pas la baiser, elle aussi ? J’y arrive pas ! disait-il tout penaud, désignant la petite sœur.
Pierrot avait trop bu ! Ca lui coupait les moyens ! Ou plutôt, ça les lui faisait pendouiller lamentablement, ses moyens.
— Quand il m’aura baisée, il n’aura plus de force pour elle ! protesta Cindy.
Moi, je me branlais la queue dans son petit cul. J’essayais de me retenir tant bien que mal, pour en profiter un maximum. Mais j’étais trop excité. Quand au bout de quelques instants seulement, je sentis que j’allais gicler, je ne sais pas comment Cindy s’y prit : elle fit volte-face, pour me gober ! Le sperme jaillit par violentes secousses, inondant toute sa bouche. Elle s’en pourlécha, se barbouillant les seins du foutre qu’elle n’avalait pas. Je me dis alors que ses affaires d’ovulation, c’était de la blague. Pour finir par une éjaculation faciale, ce n’était pas la peine de faire tant d’histoires… Et puis, pourquoi n’avoir pas demandé une capote à quelqu’un d’autre, à une copine ? Ca clochait. Mais je n’étais pas en état de penser longtemps. Sur le coup, ça ne fit que me contrarier !
Assise, la soeur nous regardait, mi-déçue, mi-envieuse. Rondelette, mignonnette, elle était à poil, bien sûr. Par instinct, je me mis à lui triturer les nichons. Ils étaient gros et ronds. Elle se laissa faire, contente à ce qu’il me parut. Puis je lui suçai les tétons, salivant beaucoup. Quand je les lâchais, des filets de bave en dégoulinaient. Ca me plut. Je lui crachai carrément sur la poitrine. Puis je dirigeai mes crachats sur son visage, entre ses cuisses, partout… Ensuite, je la léchai, par grandes lapées.
— Tu vas pas la baiser ? maugréa Cindy.— On dirait que tu es jalouse ? fis-je, assez satisfait.
Avec tous ces trucs, une nouvelle érection me prenait. Renversant la sœur sur les coussins, jambes ouvertes, je la pénétrai, à la missionnaire. J’étais suffisamment dur. Je donnai des coups de rein aussi fort que je pouvais, pour que l’excitation ne tombe pas. La donzelle était une expansive. Elle criait ! Jamais, je n’avais fait gueuler une fille de cette manière ! A chaque coup, ses seins tressautaient et la fille beuglait ! C’était fou ! Moi, j’étais flatté mais aussi gêné… Il y avait du monde autour, qui nous écoutait… J’accélérai pour en terminer ! J’y allai tellement fort, qu’à la fin, je butai la fille contre le mur en planches.
— Oui ! Oui ! Oui ! hurlait celle-ci, comme sur une île déserte.
Subitement, elle jouit. Son corps se tordit sur la couche. Je sortis ma queue avant d’éjaculer. Cindy s’en empara. Elle avala de nouveau le sperme. Puis elle nettoya le tout de la langue, bien comme il faut. Enfin, elle se blottit contre moi.
— Ne fait plus ça avec les autres, mon amour, dit-elle. Même avec ma sœur. Promis ?— Je crois que je lui promis tout ce qu’elle voulut…
Avec Pierrot et les deux filles, nous passâmes le restant de la nuit n’importe comment, dans des bars. Au petit matin, tout le monde s’est retrouvé chez moi. Je mis Cindy dans mon lit. Elle était un peu saoule. Elle avait dû oublier sa culotte quelque part, elle n’en avait plus ! Je lui ôtai le peu de fringues qui lui restait, la recouvris d’un drap. Je me couchai près d’elle mais incorrigible gentleman, je dormis comme si de rien n’était, jusqu’à midi.
Quand je me réveillai, la panthère n’était plus là. Je me levai. Je trouvai Pierrot et sa copine entremêlés sur le canapé. En fait, la fille était enceinte. C’était ce qui lui donnait ses rondeurs. La veille, je ne l’avais même pas réalisé ! J’entendis du bruit dans la salle de bain, de l’eau qui coulait. Je poussai la porte. A cheval sur le bidet, Cindy se rinçait. Elle saignait un peu. Ses choses commençaient. L’ovulation qu’elle avait dite, c’était donc vrai. Du moins, si j’ai bien compris toutes ces subtilités. Une ravissante personne, en tout cas. J’en demeurai béat…
Cindy tourna le visage dans ma direction. Mon dieu, quel attrait ! Elle me fit un sourire. Mon dieu, j’en perçus l’enchantement ! J’eus beau faire un pas de côté, le sourire m’atteint pile-poil en plein cœur. Aïe ! Mon dieu, qu’allais-je devenir ?
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