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Ma rencontre avec Edwige

Chapitre 2

Lesbienne
Petite préambule en forme d’avertissement. Merci pour vos encouragements qui m’ont donné envie de rependre le clavier et passer du temps à écrire, lire, relire corriger et encore relire. Je ne sais pas si je reprendrais les tourterelles, une des deux s’étant envolée, le plaisir n’est plus le même. En ce qui concerne Edwige, cette suite est orientée SM. Je n’ai pas voulu la référencer dans la rubrique trash, car je ne pense pas que ce soit sa place, mais certains passages « peuvent heurter la sensibilité d’un public fragile ».  Pour les autres, enjoy
 

Ses petits seins étalent sur ma poitrine les trainées de mouille dont je l’ai copieusement aspergée. La petite garce, je n’en reviens toujours pas, cette minette à qui on donnerait le bon dieu sans confession m’a faite gicler, et pas qu’un peu !! J’ai adoré. Sa langue fouille ma bouche avec agilité, partageant avec délectation le jus de ma jouissance.
Il faut que je reprenne lentement le contrôle de la situation. Mes mains glissent sur son dos, appréciant la douceur de sa peau, la courbure de ses reins, la chaleur de ses fesses. Ces petites fesses fermes entre lesquelles un doigt explorateur retrouve le contact du cristal du rosebud, qu’elle s’est autorisée à glisser entre ses fesses, et ce, pendant son travail … Mon doigt fait pression sur le bijou. Elle me regarde, ses yeux brillent, puis se ferment lorsque je l’agite, le tourne, que je fais mine de le retirer, étirant son sphincter … Edwige me confesse dans un murmure qu’elle pense à ce moment depuis qu’elle a trouvé le plug. Elle a hésité à le prendre, à s’enculer avec, acceptant le risque d’une punition pour l’avoir souillé … J’écoute cette confidence en approchant ma bouche de ses petits seins annelés. Je commence à les sucer, les mordiller. Je prends les anneaux entre mes dents, l’un a près l’autre. Je tire dessus. La vision de ses tétons qui s’allongent, les trous qui les percent s’étirer me plait … Ce jeu cruel et douloureux lui arrache de petits gémissements qui nous excitent l’une et l’autre. Son excitation est trahie par la sensation chaude et humide sur ma cuisse tandis qu’elle se frotte dessus.  Je dois reprendre la main. Mon désir, ses réactions, son attitude depuis les premières minutes de notre rencontre me laissent penser que cette fille est une nature rare. Tout en jouant avec le plug, je glisse me doigts autour du cristal et l’arrache d’un seul coup sans prévenir. Malgré sa souplesse, ses gémissements traduisent la douleur fulgurante qui vient de traverser son petit trou.  Lève-toi !Une fois Edwige debout, je me redresse à mon tour, le plug à la main. Je le regarde, et je l’approche de son visage, quelques petites souillures tachent le cône d’acier.
-       Tu sais que ce n’était pas à toi -       Oui Madame-       Il faut commencer par le nettoyer-       Oui Madame
Elle sort sa langue et commence à la passer sur le rosebud, elle s’applique à le rendre propre, brillant. Je l’empêche de le prendre complètement en bouche, mais j’apprécie de voir le fil de salive qui relie sa langue au morceau de métal.
-       Tu sais ce qu’on fait aux voleuses ?
Hésitante à me répondre, se ravisant, elle baisse les yeux, elle comprend ou je veux en venir.
-       … oui Madame, on les punit
 Je fais tourner Edwige face à une armoire de mon salon. Lorsque j’ouvre la porte, elle voit bien accrochés dans un râtelier, plusieurs cravaches, deux badines, différents martinets … et, sur les étagères, des écrins qui, elle l’a compris, recèlent d’autres jouets tout aussi cruels …  
-       Tu vois Edwige j’ai de quoi punir les vilaines filles. Je sais punir les vilaines filles. Et j’aime punir les vilaines filles. Es-tu une vilaine fille ? 
Son regard se déplace de la porte à mon visage. Je ne regarde qu’elle. Ses expressions changent, peur, désir, excitation, réflexion. Avant de dire d’une voix très basse, presque un souffle, surprise et rassurée par son courage,
-       Oui Madame, je suis une vilaine fille. Punissez-moi …
 Je la prends par la main et la laisse choisir devant le râtelier. Timidement, elle touche les objets l’un après l’autre. C’est évident qu’elle connait, elle sait, elle a testé. A nouveau son visage trahit ses réflexions.  Que veut elle ressentir, que veut elle me prouver et se prouver, peut-elle me faire confiance ? Même son corps dénonce ses doutes, elle rougit, sa peau frémit quand elle frôle les lanières de cuir d’un martinet, elle transpire, je suis sure qu’elle garde les jambes serrées pour que je ne vois pas l’humidité de son sexe …. Puis elle me tend une longue badine de bambou.  Je fais mine de ne pas être surprise car je connais le coté cinglant de la fine baguette. Ce faisant elle me défie, elle me teste et en même temps elle m’avoue qu’elle veut être vraiment punie. Je la guide au centre du salon, lui demande de ne pas bouger. Puis dissimulé derrière un rideau, je presse une commande qui fait descendre du plafond, dissimulé dans le lustre, une longue corde terminée par deux bracelets en cuir. Je lui demande de lever les bras et je ferme ses poignets dans les sangles. Enfin je lis de la surprise et de la peur dans ses yeux. Je m’approche d’elle, nue, sensuelle, cajoleuse … J’ai posé la badine sur un fauteuil pour avoir les mains libres et caresser son corps que je vais faire souffrir. Je ne suis que douceur et tendresse, mes doigts effleurent ses seins, sa si jolie fente poisseuse, ses fesses douces. Je ne résiste pas à passer ma langue sur ses aisselles qui suintent la peur et le désir. Je finis par un tendre baiser presque amoureusement incongru. Je prends ma badine à la main et la fait siffler en l’agitant.
-       On ne se connait pas assez, alors choisis un safeword.
Elle semble rassurée par ma proposition et, sans hésiter ni demander d’explication, elle m’annonce, en me regardant avec un sourire en coin, LUNETTES. Pour le pas éclater de rire, cette file me rend folle, je soulève immédiatement la badine et en fais claquer 5 coups puissants sur ses fesses et ses reins. Elle encaisse en soufflant des ouchhh, des aie, des hmmmm, des gémissements humides. Je regarde sa peau réagir, de jolies marques rouges apparaitre, la peau gonfler, se boursouffler. Les yeux brillants de larmes elle me regarde et murmure un discret Merci Madame. Elle frissonne quand je passe mes doigts sur les stigmates de la badine. Je lui murmure à l’oreille que ses marques ne seront pas visibles tant qu’elle sera habillée. Je la laisse rassérénée, me recule un peu et face à elle, j’envoie une nouvelle série de cinq coups. A leurs tours, ses seins, son ventre et ses tétons rougissent, brulés, tatoués par la fine baguette de bambou qui gifle et griffe sa peau. Ses lèvres vibrent, sur ses joues ruissellent des larmes teintées de son eye-liner. Elle est si belle transfigurée par la douleur. Je lis le conflit en elle. Son amour-propre l’empêche de murmurer son safeword. Elle veut que j’arrête et pourtant elle veut que je continue pour me prouver qui elle est, me prouver qu’elle est à sa place, me prouver qu’elle est digne de moi.Je m’approche d’elle, féline, presque maternelle, je viens lécher ses larmes. Je glisse ma main entre ses cuisses, elle n’est pas trempée, elle est liquide. Je recueille sa cyprine sur mes doigts et je viens caresser ses tétons avec son jus de petite femelle. Puis je lui fais sucer mes doigts. Lentement mais avec abnégation elle les aspire, comme si son nectar lui redonnait des forces. Le moment est déterminant, si je vais trop fort je la brise, je la blesse, je la perds ; mais si j’arrête elle prendra ça pour de la pitié, de la faiblesse et je la perdrais aussi … Elle accroche ses mains dans la corde, avec les sangles pour ne pas perdre pied, elle tente de se redresser pour me faire face. Edwige veut me prouver à la fois son désir et me présentant sa vulve gonflée, m’exhiber son masochisme en réclamant encore de la douleur mais surtout elle me défie de lui prouver que je mérite son sacrifice.  Je ne dois pas fléchir. La douleur en moins, je suis dans un état assez proche de celui d’Edwige, je ne veux pas me toucher, mais je sens ma mouille sourdre à mes lèvres. Mes pointes de seins me font mal d’être tendues, dures. Cette fille me plait, je la veux la plier, la façonner, je veux qu’elle s’offre à moi, je veux qu’elle me le demande. Elle me regarde sans vraiment me voir les yeux embués de larmes. Elle a lentement écarté ses jambes pour être stable. Je ne sais pas si elle voit la badine bouger mais je la positionne entre ses pieds. D’un coup de poignet je fais jaillir le jonc sur la fente d’Edwige, deux coups secs, deux coups qui la font crier, deux coups qui l’auraient fait tomber si elle n’avait pas été attachée. Je laisse tomber la badine et prends Edwige dans mes bras. De l’un je la serre contre moi pour l’empêcher de tomber et de l’autre je défais les bracelets pour libérer ses mains. A moitié dans les vaps, prise de spasmes Edwige sanglote contre moi. Je la console, je la couvre de petits baisers sur ses yeux, sur ses joues, sa bouche ; en prenant soin de ne pas frotter ses plaies douloureuses. Elle a un réflexe touchant quand elle commence à téter un de mes gros seins, trouvant une sorte de réconfort dans un forme d’abandon total. Je la prends dans mes bras et la soulève, elle est si légère. Entre deux sanglots, elle me murmure des mercis et me lance des regards remplis de fierté et je lis sans doute de l’approbation pour ce qu’il vient de se passer.  J’allonge Edwige sur mon lit et je vais chercher une pommade apaisante et cicatrisante. Elle somnole quand je commence à soigner son dos. Je ne l’ai pas ratée. Cinq traits rouges et gonflés barrent ses fesses et ses reins. Doucement je les masse et les couvre de l’onguent qui lui procure une douce chaleur réparatrice. Je la retourne pour m’occuper de son ventre. Je dévisse les petites boules qui ferment les anneaux de ses seins que je retire. Couchée sur le dos, sans ses bijoux qui la mettent en valeur, sa poitrine est quasi inexistante. Les cicatrices rouges qui marquent son buste n’en sont que plus choquantes. Elle se redresse, appuyée sur ses coudes, pour contempler ces scarifications que je lui ai faites. Elle passe ses doigts dessus comme plus mieux les voir, les ressentir, retrouver une douleur plus acceptable. Doucement mes doigts remplacent les siens pour que je puisse appliquer le baume bienfaiteur sur ses plaies. Je ne résiste pas à embrasser son ventre plat à la peau si fine qui a échappé à la punition. Ma bouche joue un instant avec son nombril, sa respiration se calme, elle se laisse aller. L’odeur de son sexe si proche est puissante, si elle n’a pas joui durant la flagellation elle n’en n’a jamais été loin. Je passe ma langue autour de sa vulve gonflée et marquée par les deux derniers coups. J’évite les empreintes de la badine et je recueille les coulées de cyprine. Je m’enivre de ce nectar juvénile et abondant. Elle tend une main en ma direction, je lui offre la mienne qu’elle serre avec force. Du bout de la langue avec délicatesse, je trace les coups de badine sur ses chairs délicates. Elle recommence à gémir. Ma salive et sa cyprine acidulée doivent picoter les marques de sa vulve. J’ai à peine le temps d’effleurer son clitoris qu’elle explose dans un orgasme libérateur et intense. Elle s’endort sur l’instant.
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