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Rencontre avec Maîtresse Véra

Chapitre 1

SM / Fétichisme
— Ca y est, c’est aujourd’hui.
Voilà arrivé le jour où je dois rencontrer Maîtresse Véra et son soumis A.
Je suis excité et nerveux à la fois, car même si nous avons fait connaissance par mail et dialogué de nos goûts, j’ignore ce qui va m’arriver lorsque je vais me retrouver seul avec eux. Nous nous retrouvons à Versailles. Après quelques difficultés pour garer nos voitures respectives, nous faisons route ensemble en direction de l’appartement où je serai, durant toute l’après-midi, soumis aux désirs de cette Maîtresse. Ils sont assez chargés, je les aide à porter un bagage. Je me demande ce que peuvent bien renfermer ces sacs et valises. Je ne vais pas tarder à le savoir... Une fois arrivés, Maîtresse Véra s’éclipse dans la chambre pour se changer. Elle revient quelques instants plus tard, vêtue d’une jupe et d’un haut noir, de bas résille et de chaussures fines à talons.
— Elle a vraiment de l’allure, me dis-je.
Elle fait asseoir son soumis sur un fauteuil et lui met un bandeau sur les yeux. Elle s’approche ensuite de moi et me donne l’ordre de me déshabiller. Elle semble contente que je sois totalement rasé pour l’occasion. Une fois nu, je me présente droit devant Elle, le regard baissé. Elle me bande alors les yeux avec une espèce de masque qu’Elle recouvre d’un foulard. Désormais plongé dans l’obscurité, je me retrouve à son entière disposition. Je sens ses mains parcourir comme corps comme pour le découvrir. Elle s’attarde sur mes seins qu’Elle titille puis commence à pincer entre ses doigts. Mes tétons n’ont jamais été travaillés. Je découvre qu’ils sont très sensibles et à chaque pincement, mon corps est parcouru d’un spasme de douleur.
— Ah ! Sensible, me dit-Elle d’un air amusé.— Oui Maîtresse, réponds-je un peu gêné.
Je l’entends se diriger vers la table à manger où Elle a disposé ses accessoires. Elle revient et me dépose des petites pinces reliées d’une cordelette sur le bout des tétons. Je me raidis en soupirant à la pose de chacune d’Elle, pris d’une forte douleur au niveau de mes seins encore vierges. Ma respiration s’accélère, Maîtresse Véra s’approche de moi en me disant de me calmer. J’ai la tête presque posée sur son épaule. D’une main, Elle me caresse la nuque. La douce odeur de sa peau envahit mes narines. Je me sens comme transporté, oubliant la douleur. Elle s’éloigne ensuite et me donne l’ordre de me pencher vers l’avant, les jambes écartées. Je me doute de ce qui va m’arriver. Je sens ses doigts venir me déposer un peu de gel sur l’anus puis reconnais mon petit plug se présenter à l’entrée. Après quelques va-et-vient pour m’élargir, Elle me le rentre entièrement. Je le sens venir se loger en moi.
Il n’est certes pas très gros, mais, n’étant pas totalement détendu, il me fait plus d’effet que d’ordinaire. Je reçois l’ordre de me redresser. Ainsi, les tétons contraints par les pinces, l’anus pluggé, je me sens appartenir à Maîtresse Véra qui détient désormais le contrôle de mes émotions. C’est maintenant le bout de sa cravache qui parcourt mon corps en le caressant. Le fait d’être privé de la vue décuple mes sensations et mes réactions lorsque celle-ci vient frapper mon corps : les fesses, les bras, le torse, le dos...
Je suis excité de me sentir à la merci de cette si belle Maîtresse. Je commence à ressentir des picotements de plus en plus désagréables au niveau des fesses. J’ai du mal à supporter mon plug. J’en informe Maîtresse Véra qui me donne l’ordre de me baisser et libère mon petit trou. Elle me dit « je te goderai de nouveau plus tard. » Je la remercie, un peu gêné. Je dois maintenant m’allonger sur le dos et relever les jambes vers l’arrière. Avec une corde qui passe derrière mon cou, Elle me les attache pour les maintenir en l’air. La position n’est pas très confortable, je fais de mon mieux pour ne pas trop bouger. Je sens alors ses doigts venir s’attarder autour de mon petit trou déjà assoupli par le plug. Elle en introduit un, puis deux et bouge doucement. J’aime me sentir attaché et ainsi fouillé. J’ai l’impression d’être possédé et cela m’excite terriblement. Elle continue à m’élargir avec 3 puis 4 doigts. Des soupirs de plaisir s’échappent de ma bouche à mesure que je m’ouvre.
La sensation est délicieuse. Elle continue un moment puis me dit « c’est bien pour cette fois, je ne veux pas t’abîmer.»Elle me libère de mes liens.
— Reste allongé, tu vas t’occuper de mes pieds, me lance-t-Elle.
J’ai toujours les yeux bandés, je sens son pied gauche s’approcher de ma bouche. Je lèche délicatement : ma langue parcourt le cuir, du bout de sa chaussure jusqu’au talon que j’ai ordre de sucer. Elle décide ensuite de se déchausser et repose son pied sur mon visage. Quel bonheur d’en lécher le dessous et de sentir ses orteils emprisonnés dans des résilles ! Elle m’ôte mon bandeau afin que je puisse admirer le spectacle. Voir son pied d’aussi près, pouvoir le caresser, me fascine totalement, je suis comme hypnotisé. Mon sexe est déjà gonflé de plaisir depuis un moment. Je peux enfin exprimer mon adoration envers ses pieds que, jusque-là, je n’ai vus que par webcam. Les toucher et les lécher me rendent fou d’excitation. Sentir sa peau sous la résille, désormais trempée de ma salive, est divin. J’ai tellement attendu et parlé avec Elle de ce moment que mon fétichisme me transporte littéralement : Elle a fait de moi un soumis au paroxysme de son adoration.

De son autre pied, Elle me caresse le sexe. Je suis, à cet instant, une vraie carpette vénérant ses pieds comme un objet de culte.
— Maintenant, viens me lécher, me dit-Elle.
Je me relève et viens loger mon visage entre ses cuisses ouvertes, au bord du canapé. C’est d’abord au travers du tissu recouvrant son intimité que, de ma langue, je la caresse délicatement, ravi de pouvoir ainsi la remercier de tout ce que j’ai subi jusque-là. Le moment est tendre et ses soupirs de plaisir sont très agréables à entendre. Elle décale ensuite son string afin que je découvre le goût de son entrejambe humide de plaisir. Du clitoris jusqu’au bas de son sexe, ma langue la parcourt. Sentir Maîtresse Véra prendre du plaisir est divin et cela m’excite beaucoup, mon sexe dressé en est la preuve.
— Tu lèches bien, murmure-t-Elle avant de repousser ma tête vers l’arrière et de saisir un préservatif qu’Elle m’enfile.— Maintenant, tu vas honorer ta Maîtresse.
Elle saisit mon sexe qu’Elle rentre en Elle doucement.
— Prends ta Maîtresse !
A ce moment, je me sens totalement objet de plaisir. Je n’ai jamais ressenti cela en faisant l’Amour à une Femme. C’est très étrange, car, au seul ton de sa voix, Elle sait exacerber ma soumission. Et même si je suis en train de la prendre, j’ai l’étrange sensation de lui appartenir totalement.
— Tu aimes ça, hein, prendre ta Maîtresse, sal chien !— Oui Maîtresse.
D’un seul coup, à mon grand étonnement, Elle retire mon sexe de son vagin pour le faire pénétrer son petit trou. Je vois qu’Elle prend du plaisir, Elle m’agrippe pour contrôler le rythme de mes coups de reins. Quel bonheur d’être soumis cérébralement et utilisé sexuellement de cette façon ! Je me retiens pour ne pas jouir. Une fois son plaisir pris, Elle me repousse afin que je me retire. Encore haletant, je suis assis par terre à ses pieds, le temps qu’Elle reprenne ses esprits. Elle se lève et retire son string et ses bas qu’Elle dépose sur la table basse du salon puis me dit : « suis-moi. »
Maîtresse Véra m’emmène dans la salle de bains et s’assoit sur les toilettes. Je suis à genoux devant Elle. Je comprends que je vais vivre mon initiation à l’uro...Elle me donne l’ordre de caresser son entrejambe avec ma main. Je m’exécute docilement puis au bout de quelques instants, je sens ma main envahie par une agréable sensation de chaleur. Elle est en train d’uriner. Son champagne coule entre mes doigts, puis, une fois terminé, je dois la nettoyer avec ma langue. L’odeur est assez forte, mais pas désagréable. Je lèche docilement. Dans l’état d’excitation dans lequel je suis depuis un moment, je me sens capable de lécher mes doigts, mais Maîtresse Véra ne me le demande pas et me donne l’ordre d’aller me laver pendant qu’Elle sort de la pièce. De retour dans le salon, Elle ôte le bandage de son soumis dont j’ai presque oublié la présence. Elle me fait me pencher vers l’avant, les mains en appui sur la table basse et les jambes écartées. Son soumis est dos à moi. Nous goûtons alternativement à son paddle qui nous fait rougir les fesses. Mon corps est parcouru par un spasme à chaque claquement sur mon arrière-train.
Le fait de savoir que je ne suis pas seul à subir cette punition est comme réconfortant. Nos fesses une fois bien rouges, Maîtresse Véra s’assoit dans le canapé et pose ses pieds sur la table basse. Je suis à cheval au-dessus de ses jambes, bien penché vers l’avant pour honorer ses pieds, nus cette fois. Libérés des résilles, je peux à mon grand plaisir, passer ma langue entre ses orteils et les sucer un par un. Cela semble lui plaire, car Elle me fait redoubler d’ardeur en me donnant quelques fessées. Mon sexe durcit à nouveau. Maîtresse Véra s’en aperçoit et me donne l’ordre de me masturber en continuant à lécher. Les battements de mon cœur et ma respiration s’accélèrent, je suis excité comme un chien.
— Jouis sur mes pieds, dit-Elle.
Je me relève et approche mon sexe de ses orteils. J’agite rapidement ma main et ma jouissance se répand en plusieurs giclées. J’ai à peine le temps d’admirer ce divin spectacle de ma semence coulant le long de son pied qu’Elle me dit « Nettoie ça correctement cochon.»Je me baisse et commence à recueillir tout mon foutre avec ma langue. Avoir eu le droit de témoigner mon adoration en me répandant sur ses pieds m’a procuré un tel plaisir que leur nettoyage en est délicieux. Mon fétichisme est à son paroxysme : je vénère ma Maîtresse en léchant ses pieds recouverts de mon sperme le long de sa voûte plantaire jusqu’entre chacun de ses orteils. Encore dans un état second, je m’assois par terre. Maîtresse Véra me jette ses bas au visage d’un air méprisant. Je les attrape et me mets à les sentir machinalement comme pour être intérieurement envahi par son odeur.
Après cet intense moment de soumission, Maîtresse Véra me demande de lui servir un café. Elle est assise sur une chaise et me fait signe de m’approcher. Je m’agenouille. Elle écarte les jambes et me dit : « ton amie a de la chance, tu lèches bien. »
Touché par son compliment, j’embrasse puis caresse à nouveau son entrejambe. Je suis tel un petit chien honorant sa Maîtresse. Elle nous emmène ensuite son soumis et moi vers le canapé, s’assoit, son soumis à côté et moi par terre, allongé devant Elle. Il lui lèche la poitrine pendant qu’Elle pose ses pieds sur moi : un sur le visage, l’autre sur le sexe. Sentir son pied me toucher la verge pendant que ma langue parcourt le dessous du second est divinement excitant. J’ai très souvent fantasmé sur cette position, allongé par terre et honorant les pieds d’une Maîtresse. J’ai enfin la chance de le réaliser et cela me met dans un étrange état, totalement absorbé par les sensations que ses pieds me procurent. Mon fétichisme, mêlé à la position d’infériorité dans laquelle je me trouve, exacerbe mon état de soumission. Je me sens capable de rester ainsi, des heures durant, à vénérer Maîtresse Véra.
— Maintenant, viens me lécher l’anus, dit-Elle tout en guidant la tête de son soumis vers son clitoris. Je m’exécute, parcourant de mon mieux la raie de ses fesses avec ma langue. Je m’attarde sur son petit trou que je titille délicatement. Avoir deux bouches s’occupant d’Elle semble beaucoup plaire à Maîtresse Véra qui soupire de plaisir à mesure que nous lui témoignons notre adoration.
Suite à ce doux moment, Elle se lève et me fait mettre à quatre pattes, la tête vers le fond du canapé.
— Je vais m’occuper de nouveau de ton petit cul.
Elle cherche dans mon matériel et choisit mon gode vibrant. Elle se tient debout derrière moi, un pied au sol et l’autre sur le canapé à côté de mon visage.
— Montre-moi que tu aimes mes pieds, dit-Elle. En même temps, Maîtresse Véra présente le gode à l’entrée de mes fesses.
Je lèche docilement le dessus de ses orteils.
— Veux-tu que je mette du gel ?— Je suis habitué à mettre de la salive, réponds-je timidement.
Elle me tend alors le gode : « mouille-le bien, c’est dans ton intérêt ! »Je salive sur ce sexe en plastique qu’une fois bien humide, Elle m’introduit doucement. Il rentre beaucoup mieux que le plug et me procure d’agréables sensations.
— Lèche comme il faut, me lance-t-Elle d’une voix autoritaire en retournant son pied afin que je lèche le dessous de ses orteils et sa voûte plantaire. Motivant ma soumission par son langage cru, je m’applique et suce goulûment tout en bavant d’excitation sur ses orteils, pendant que les va-et-vient du gode, désormais en mode vibrant, se font de plus en plus profonds en moi.
Elle agite comme nerveusement ses orteils afin que je redouble d’application dans mon adoration. A ce moment précis, je suis presque en transe, me cambrant pour accueillir le gode, tout en léchant et suçant, comme totalement fasciné par son pied. Maîtresse Véra est en train de faire de moi un vrai chien soumis littéralement sous contrôle. Elle accompagne mon godage de quelques fessées comme pour me pousser encore plus loin. Je suis dans un tel état que, lorsque sa main vient caresser mon sexe, je suis à la limite d’exploser dans un orgasme puissant. Heureusement, Elle ne s’attarde pas dessus, ce qui m’évite de jouir alors que je n’en ai pas reçu l’ordre. Je n’ai jamais pensé que les sensations anales associées à mon fétichisme m’entraîneraient dans un tel état de soumission presque absolue. Je suis comme hypnotisé lorsqu’Elle me rejoint sur le canapé et m’enfile un préservatif. A sa demande, je m’introduis en Elle.
Je commence de lents mouvements du bassin puis accélère à mesure que je sens son plaisir monter. Je me concentre sur chacun de ses gestes et soupirs afin de lui procurer un orgasme en guise de remerciements pour toute la soumission qu’Elle m’a fait découvrir. Sa respiration s’accélère et son corps se raidit d’un seul coup dans un râle profond. J’ai fait jouir ma Maîtresse, j’en suis ravi. Je me retire pour la laisser reprendre sa respiration. Quelques minutes passent, puis Maîtresse Véra se redresse et me fait allonger sur le dos. Elle est assise entre mes jambes écartées et saisit mon sexe. Elle tend ses jambes pour recouvrir mon visage avec ses pieds que je déguste une fois encore avec tant de plaisir. Celui-ci ne met pas longtemps à envahir mon corps et se répandre sur mon bas-ventre en plusieurs giclées successives. Je donne quelques coups de langue sous ses pieds, totalement exténué par tout ce que je viens de vivre...
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