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Rencontre avec une idylle... D'il y a 32 ans

Chapitre 1

Hétéro
Je me présente, je m’appelle Stan Quickler, j’ai 48 ans, je suis de taille moyenne 1m75, cheveux grisonnants, et je pèse 88 kilos. Dernièrement, j’eus une subite envie d’aller faire quelques achats en Allemagne, chose que je fais régulièrement trois à quatre fois par an, car là-bas, on trouve des aliments et d’autres articles qu’on ne trouve généralement pas en France, tel que de l’essence de vinaigre, des pastilles d’hosties pour faire des petits gâteaux, du " mischbrot " (pain noir de seigle), un café, que je trouve excellent et vraiment à mon goût, etc. Je vais généralement toujours dans le même supermarché pour mes achats.

Au moment où elle déballe ses courses sur le tapis, elle parle à la caissière, je pensai à ce moment-là qu’elles se connaissaient et je remarque aussitôt le timbre de sa voix, je le connais et je le reconnais très bien, car il fut un temps alors que je fréquentais une Allemande rencontrée dans les mêmes conditions que ce jour-là, elle faisait des achats pour fêter son anniversaire.
Nous nous étions rencontrés dans ce même magasin, ce fut le coup de foudre pour tous les deux, la fois-là, nous avions sympathisé ; nous nous sommes sentis attirés l’un par l’autre, et c’est comme ça que je me suis retrouvé comme invité pour le soir même, à assister à la fête qu’elle donnait pour l’anniversaire de ses 26 ans, à l’époque.
Moi par contre, j’avais à peine 18 ans, mais pour nous, l’âge ne comptait pas, elle avait une voix assez spéciale et surtout un timbre de voix assez particulier. Et cette femme devant moi, à cette caisse, avait exactement ce même timbre de voix, assez spécial que je reconnaîtrais entre mille. Puis le prénom me revint tout à coup, elle s’appelait Olga, de son prénom.
Puis en l’écoutant parler, je crus à nouveau entendre sa voix, puis prenant un peu plus d’assurance, je me lançai à l’eau et je dis à son encontre, assez clairement et assez fort pour qu’elle l’entende, Olga HOLTS. En entendant ses nom et prénom, elle répondit machinalement " Ja, vass ist " (oui qu’est-ce qu’il y a) en même temps qu’elle se retournait pour voir qui lui adressait la parole. Je lui redis alors : vous êtes bien Olga Holtz. Je m’appelle Stan Quickler, et dans les années 70, j’avais une idylle avec une certaine fille qui se prénommait Olga, comme vous, est-ce bien vous ?
Elle me répondit alors oui, je m’appelle bien Olga Holts, puis après une certaine hésitation, elle me dit, oui le nom de Quickler, ça me dit quelque chose. Je lui demandais alors si elle avait le temps et si elle acceptait de prendre un café avec moi et qu’on reparle de l’époque, Olga me répondit ensuite qu’elle n’avait actuellement aucune obligation et qu’elle n’avait rien en prévision pour l’instant, et qu’elle serait assez heureuse de se remémorer cette époque-là, du fait qu’elle avait de très bons souvenirs de celle-ci.
Une fois nos emplettes payées et rangées dans nos voitures respectives, nous allâmes boire une boisson dans la cafétéria du supermarché. En arrivant à la table, elle me demanda ce que je devenais et ce que je faisais actuellement. Je lui répondis que je travaillais dans une usine où l’on fabriquait des fermetures pour les portes, les fenêtres et d’autres fermetures diverses, que j’étais veuf depuis un an et que je venais régulièrement faire des achats dans ce même magasin, depuis facilement 30 ans, et qu’à aucun moment, je n’aurais pensé me retrouver un jour nez à nez avec elle.

Puis je la complimentai de sa super forme, et qu’elle était pour moi toujours aussi belle qu’à l’époque dans les années 70, alors qu’elle fêtait ses 26 ans. Olga est maintenant une femme de 56 ans, elle est toujours très belle pour son âge, de taille moyenne, avec des cheveux blanc gris, un visage de poupée, elle a des seins assez hauts placés et fermes, maintenus avec un soutien-gorge de 85 bonnets B, d’après mon estimation du moment.J’ai toujours été très attiré par sa poitrine et dont je pouvais prendre ses seins dans la paume de mes mains, je les adorais et je lui fis remarquer qu’ils étaient toujours aussi beaux et attirants qu’à l’époque. Olga était toujours une grande joggeuse et elle entretenait sa silhouette en faisant beaucoup de sport, elle avait toujours gardé sa taille de mannequin, et elle possédait les plus belles cuisses que j’ai pu voir de toute ma vie. Une fois que je lui avais raconté ma vie, j’en fis de même et je lui demandais à mon tour ce qu’elle faisait.
Elle m’apprit qu’elle travaillait dans un laboratoire comme laborantine, qu’elle avait repris la maison de ses parents situés non loin du supermarché à quelques kilomètres dans un village alentour, qu’elle avait quelques aventures par-ci et par là et qu’elle n’avait encore pas rencontré l’homme qui pourrait la satisfaire dans tous les domaines, que ça soit dans la vie courante ou sexuelle, et qu’elle regrettait le temps où nous étions ensemble elle et moi, car on s’entendait à merveille, on se comprenait sans mot dire, nous étions toujours d’accord sur tout ce que nous faisions, l’un savait ce que désirait l’autre et vice-versa, sans même qu’on ait eu à se le dire. Nous ne nous rappelions ni l’un ni l’autre pourquoi on s’était perdu de vue. Tout en discutant ainsi et sans vraiment le vouloir, nous étions en train de rallumer une flamme qui s’était éteinte au fil des ans.
Nous étions ce jour-là très heureux de nous être retrouvés en fin de compte. Nous étions à nouveau épris l’un de l’autre et nous n’avons pas vu le temps passer, si bien qu’il fallait penser à rentrer à nos domiciles respectifs. C’est à ce moment-là qu’Olga m’invita à l’accompagner, et elle me demanda de venir souper avec elle, n’ayant rien de prévu pour ce soir-là. Nous allâmes chacun à sa voiture, puis elle partit en premier et je la suivais, très heureux de l’avoir retrouvée.
Arrivé à son domicile, je l’aidais à rentrer ses courses, à peine arrivée à l’intérieur de sa maison, elle déposa ses sachets dans un coin et elle vint à mon encontre, me laissant à peine déposer mes paquets à côté des siens, puis elle mit ses bras autour de mon cou et elle m’embrassa fougueusement, et amoureusement, comme nous le faisions lors de nos retrouvailles à l’époque, son comportement envers moi n’avait pas changé, et, je venais de la retrouver, ma Olga de l’époque.
Avec certes quelques années de plus, mais moi aussi, j’avais des années de plus, et je dirais même que j’avais quelques kilos de plus, mais ça ne la dérangeait nullement. Puis elle m’enleva la veste sans que je puisse réagir, ensuite ma chemise et mon tee-shirt, et puis elle me prit par la main et elle m’entraîna vers la chambre à coucher. Une fois dans celle-ci, je commençais à l’effeuiller de ses vêtements, un à un, je lui retirais ses affaires et je redécouvris ses attributs qui me fascinaient, qui me ravissaient au plus haut point.
Après lui avoir enlevé sa blouse et retiré son soutien-gorge, je me retrouve avec une belle, non, une très belle poitrine avec des seins en forme de poire, bien maintenus à l’horizontale et dont j’avais bien calibré son tour de poitrine, elle portait bien du 85 b. Je ne pus me retenir et je vins lui prendre dans mes mains, ses deux seins en même temps et je me mis à les pétrir, à les malaxer, à irriter ses tétons, puis à prendre ses pointes dressées en bouche pour finalement lui téter un sein, chose qui l’avait toujours fait jouir et dont elle en était très friande ; je sentais comme sa poitrine se durcissait encore davantage lorsque je tétais ses miches. Revenant de temps en temps à sa bouche pour l’embrasser et pour lui rouler une pelle magistrale.
Le temps où je l’embrassai, elle ouvrit ma ceinture, puis le bouton de mon pantalon et elle le laissa tomber à mes chevilles, ensuite elle en fit de même avec mon shorty. Ensuite, elle se laissa descendre sur ses genoux et elle vint prendre mon sexe en bouche pour le manger et pour goûter sa saveur, comme elle le disait toujours. Moi de mon côté, je lui caressais la tête, puis je me courbais pour arriver à prendre entre mes doigts ses tétons et pour les irriter.
En même temps qu’elle me suçait, je l’entendis gémir du fait de ses tétons bien durs que je faisais rouler entre mes pouces et mes index. Olga me suça si bien que je ne pus me retenir bien longtemps, et je lui fis part que j’allais partir, mais elle ne changea rien à sa manière de faire, elle ne lâcha ma bite que pour me dire : laisse-toi aller, Stan, ça fait si longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de re goutter à ton jus d’amour.
Tu te rappelles que j’ai toujours aimé ton sperme, et elle me reprit aussitôt en bouche pour me faire pleurer du gland. Une fois que je m’étais vidé dans sa bouche, je la pris sous les bras et je la remontais pour venir l’embrasser à nouveau. Puis en même temps que je lui roulais une pelle, notre baiser avait le goût de mon sperme et elle en avait gardé un peu pour le partager avec moi.
J’entrepris ensuite d’ouvrir le crochet et la fermeture éclair de sa jupe noire, que je laissai tomber au sol, ensuite je vins avec mes mains sous l’élastique de sa petite culotte et d’une main, je malaxais une fesse, et de l’autre, je vins sur sa vulve, que je trouvais bien baveuse, tellement Olga avait envie de ce qui se passait entre nous.
Je fis alors descendre le dernier rempart qui m’empêchait encore d’accéder à son intimité. Je caressais sa vulve avec la paume de ma main droite, puis je lui demandais de se retourner et de me présenter son dos, ce qu’elle fit immédiatement.

J’étais donc dans son dos avec ma bite dressée entre sa raie cul-aire, ma main gauche sur son sein gauche, avec ma main droite, je caressais sa vulve, avec la paume de ma main, tout en l’embrassant dans le cou.
Olga quant à elle, elle ne restait pas inactive pour autant, elle avait glissé une main derrière elle, et elle prenait mon pénis en main, elle le masturbait doucement. Puis au bout d’un moment, je lui demandais de se pencher légèrement en avant, pour que je puisse la pénétrer, elle s’avança alors, me laissant loisir de la prendre par le trou que je voulais. Je n’eus aucune difficulté à prendre possession de sa chatte.
Comme nous étions près de son lit, elle mit ses mains sur celui-ci et elle se laissa labourer la chatte, à ma guise, tout en gémissant de bonheur, en même temps que je limais son vagin, avec mes mains, je lui pelotais ses seins, puis je sentis une de ses mains venir toucher et irriter son clitoris, plus je la bourrai et plus elle gémissait me demandant d’aller plus loin en elle et de la prendre plus fortement en lui claquant bien sûr ses fesses.
Elle était vraiment adorable, et je l’aimais tant. Après l’avoir fourrée pendant quelques minutes, je me retirai de sa chatte et je lui demandai de se coucher sur le dos pour que je la reprenne en position du missionnaire.
Mon idylle se mit alors sur le dos, couché sur son lit, et elle attendit que je vienne la pourfendre avec mon pieu bien dur. Mais avant de la reprendre, je voulais qu’elle éprouve le besoin de me sentir en elle, qu’elle veuille que lui lime sa moule, que je la fasse crier de plaisir et qu’elle me supplie de revenir en elle, dans son antre si humide et chaud. Puis pour l’exciter davantage, je me mis à lui bouffer ses lèvres vaginales avec ma langue, essayant d’aller le plus profond avec celle-ci, lui aspirant son clito de temps à autre, puis en le repoussant en lui soufflant de l’air chaud dessus, en même temps que je tétais son clito, je lui enfonçais mon majeur dans son minou et je faisais un crochet avec mes phalanges pour trouver son point " G’’ " et pour l’agacer.
Chose qui n’était évidemment pas facile à trouver, mais en insistant, j’y parvenais quand même. Et lorsque je lui mettais la langue bien profond dans son minou, je lui rentrai mon pouce dans son anus, chose qu’elle adorait particulièrement et qui la faisait venir irrémédiablement, et je comptais bien là-dessus pour qu’elle vienne jouir sur ma langue, ce qui ne tardait jamais lorsque je le faisais. Et elle eut deux orgasmes durant mes investigations, elle gémissait tout en me demandant de venir en elle et de la baiser avec force.
Mais comme je n’avais pas encore atteint mon but, et que je voulais surtout qu’elle me supplie, alors j’ai continué de la sorte, de temps en temps, je revenais pour l’embrasser goulûment, puis petit à petit, je descendais sur ses seins, sur son nombril, puis sur sa vulve suintante, et je recommençais mes attouchements et mes pénétrations avec ma langue et mes doigts.
Au bout d’un moment, elle me supplia enfin, elle voulait que je vienne enfin tremper mon biscuit dans sa chatte et que je la fasse jouir avec mon sexe, enfin. Étant donné que je suis plus endurant quand je suis sur le dos et elle sur moi à califourchon, je me mis à côté d’elle et je lui demandais de venir s’empaler sur ma tige, ce qu’elle fit aussitôt que j’étais couché à côté d’elle.
Olga se releva, puis elle mit une jambe de chaque côté, puis tenant ma bite avec une main pour le guider, et elle descendit doucement jusqu’à ce qu’elle sentît mon gland passer entre ses grandes lèvres, puis d’un seul coup, elle s’empala sur ma bite et descendit d’un coup jusqu’à sa base, puis elle se mit à monter et à descendre sur mon sexe. Après plusieurs montées et descentes sur mon sexe, elle vint se coucher sur ma poitrine pour venir me rouler une pelle magistrale en guise de remerciement de bien la remplir et de la faire jouir à ce point, tout en continuant à monter et descendre sur mon engin, c’est à ce moment qu’avec mon majeur, je m’enfonçais dans son anus, chose qu’elle apprécia particulièrement et qui la fit venir rapidement, à force de monter et descendre sur ma bite, il y a une mousse blanche et gluante qui se formait au niveau de nos pubis, et chaque fois qu’elle remontait, il y a comme des filaments qui se faisaient voir.
Puis au bout d’un moment, n’y tenant plus, je me déversais en elle, mais sans rien lui dire. Sentant les soubresauts de ma verge, Olga s’arrêta immédiatement et elle me dit : je suis obligé de m’arrêter le temps que tu éjacules en moi, car c’est trop bon de sentir tes jets de sperme venir taper contre mon utérus, c’est trop fort et trop bon, j’adore vraiment ce moment, et à chaque fois, je m’arrête seulement pour pouvoir ressentir cette impression, j’adore trop. Une fois que j’avais fini de me répandre en elle, Olga reprit ce va-et-vient sur moi.
Ma bite commençait à devenir plus molle et en même temps, j’eus une envie pressante, et comme je ne voulais pas encore arrêter mon idylle dans sa copulation avec moi. Je voulais aussi essayer quelque chose de différent et de nouveau, c’était la première fois que je le faisais, je voulais à tout prix savoir ce que ça pouvait donner comme réaction chez une femme, et ce qu’elle pouvait ressentir à ce moment.
Sous la pression, et sous le poids de mon amante sur ma vessie, je relâchais ma retenue et je me déversais encore une fois en elle. Sentant que quelque chose coulait en elle, Olga s’arrêta aussitôt en me disant : OOOhhh que c’est bon, c’est chaud, ça coule et ça me remplit, ne me dis pas que tu mouilles encore une fois.
Laisse-moi apprécier un moment ! Je lui dis alors : non Olga, je ne suis pas en train d’éjaculer, je suis en train de pisser dans ta chatte, comme tu étais si bien sur moi et que tu jouissais si bien, et vu que j’avais une envie pressante et que je ne voulais pas t’arrêter, j’ai donc pris la décision de le faire en toi, dans ta chatte !
Tu ne m’en veux pas ?
Elle me répondit : quand tu as commencé à uriner en moi, j’ai d’abord senti quelque chose de chaud envahir mon vagin, c’était génial... Puis j’ai senti qu’il y en avait beaucoup et que ça inondait mon antre, et encore une fois, j’ai aimé ressentir cela, c’était trop bon, tu l’avais déjà fait. Non Olga, c’était la première fois, et je voulais avoir ton impression. Il n’y a qu’avec toi que j’ai pu et que j’ai voulu essayer cela. Et comme tu viens de le dire, tu as aimé, alors j’ai aimé moi aussi. Puis elle me dit, c’est bien beau tout ça, mais avec ton essai, il va falloir remplacer les draps parce que presque tout est ressorti et c’est tombé sur ceux-ci, et ils sont tout humides, et en plus, ça sent fort l’urine et les effluves de sperme et de cyprine. Et puis MERCI Stan, de m’avoir fait connaître cette nouvelle expérience que j’ai beaucoup appréciée et qu’on renouvellera certainement encore, mais avec certaines précautions.
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