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Rencontre avec une inconnue

Chapitre 1

Erotique
Tu me regardes fixement. Je regarde dehors. Il fait beau. Tu es magnifique. Un soir d’août chaud et humide, ta petite robe légère est parfaite pour la météo. Je te regarde, tu détournes le regard vers un groupe de passants. Je suis avec un pote, je bois une bière. Nos regards se croisent, je prends une gorgée. Tes cheveux noirs sont courts, un peu en bataille. Tu as bu aussi une gorgée, mais c’était pour ne pas me regarder.
Mon pote part, je recommande une bière et un mojito. Tu as l’air inquiète, tu dois attendre quelqu’un. Je prends les deux verres et m’assieds en face de toi pendant que tu regardes dehors. Tu me regardes enfin face à face. Tu me regardes, surprise, avec tes magnifiques yeux gris. Je te tends le verre de mojito, le tien était vide. Je te demande si tu attends quelqu’un. Tes yeux me scrutent et me sondent. Tu reprends tes esprits et me réponds que tu attendais ta meilleure amie, mais qu’elle ne viendra sûrement plus. Tu me remercies pour le verre et je te propose de trinquer. Tes yeux ont changé et j’y vois un air joueur. Je comprends que tu me matais bien depuis le début. Tu dois sûrement apercevoir le même éclat dans les yeux alors que nos verres tintent.
Le courant est vite passé, les verres aussi. Je te dis que je dois malheureusement rentrer, tu sembles hésiter. Tu te décides à me demander de m’accompagner sur mon retour.
Arrivé en bas de chez moi, je craque. Je pose les mains sur tes joues et mes lèvres sur les tiennes. Le goût de la menthe et du rhum sur tes lèvres m’embrase, j’ai un début d’érection. Tu me repousses, après de longues secondes. Tu n’as pas besoin de parler, je me retourne et ouvre ma porte. Ton regard avait encore changé. Tu me bouscules et ouvres la porte. Je te dis que je suis au deuxième sans ascenseur. Tu commences à monter les escaliers, moi à ta suite. Tu montes avec légèreté, faisant voler ta jupe. La vue d’en bas est exceptionnelle. Je vois évidemment tes mollets, mais aussi le creux de tes genoux et la majeure partie de tes cuisses. Tes mouvements me font apercevoir la naissance de tes fesses.
Tu t’appuies sur le mur à côté de ma porte. Mes lèvres foncent sur ton cou, mes mains sur tes hanches vont vite sur tes fesses. Mes yeux ne m’ont pas trahi, tu as un cul magnifique. J’ouvre la porte et me dirige vers ma chambre.
Je me retourne et m’assois pour t’admirer dans l’encadreuse de la porte de ma chambre. Cet éclat animal dans tes yeux est plus fort que jamais. Tu t’avances vers moi, poses ton talon sur mon sternum et me pousses sur le lit. Tu ne perds pas de temps et défais ma ceinture. Ma bite tendue trouve vite place dans ta paume.
Après quelques va-et-vient, tu la prends en bouche sans hésitation. Tes lèvres sont douces, ta langue agile. Mon gland est soumis à cette douce torture quelques minutes. Tu t’es mise à quatre pattes sur le lit, perpendiculairement à moi. Je te soulève par les hanches pour amener tes cuisses contre mes oreilles. Tu sais te servir de ta langue ? Très bien, moi aussi. Cela dura encore quelques minutes avant que tu sentes un début d’orgasme arriver par mes sursauts. Tu décidas de faire une pause, le temps de t’asseoir sur mon ventre et d’enlever ta robe. J’admire ton corps, tes seins parfaits et ton sourire charmeur.
Tu t’apprêtes à reculer sur ma bite pour la sentir en toi. Mais je t’attrape les hanches pour t’en empêcher. Tu as assez mené la danse. Je te pousse sur le côté et roule sur toi, je veux te prendre en missionnaire. Je me redresse, prends ma bite de la main droite, avance mes hanches. Tu respires fort, mon gland se pose sur ton clitoris, tu souffles d’impatience, je continue de te torturer. Tes yeux me supplient de te baiser, mais je veux l’entendre. Exactement au moment où je pense ça, tu lâches dans un souffle "Baise-moi...". Je souris de cette connexion pendant que j’enfonce ma bite dans ta chatte jusqu’aux couilles.
Brusque et sec, comme ton souffle maintenant que je te prends volontairement en missionnaire. Tes seins rebondissent, je dégourdis mon bras en te claquant fermement le téton. Tu aimes ça, j’attrape ton autre téton et le torture également, pas de jaloux.
Je recule, haletant. Tu ne perds pas de temps, roules sur toi-même et cambres ce magnifique cul dans ma direction. Je me mords la lèvre face à un tel tableau. Je pose mes hanches contre les tiennes, me penche sur toi et te susurres à l’oreille que tu as un cul de déesse. Tu veux m’embrasser, mais je te mords l’oreille avant de me relever.
Je rentre très lentement en toi. Tu gémis de plaisir, je te fesse, tu gémis encore. Je commence avec un rythme presque trop lent, accompagné d’une fessée par aller-retour. J’accélère lentement le rythme, mes mains deviennent plus lourdes, tes fesses rougissent de plus en plus. À un point, je n’ai plus le temps de te fesser, alors j’attrape tes hanches et te prends sauvagement, comme un animal. Je te prends fort, vite et violemment. Tu ne gémis plus, ton souffle est coupé et un râle sourd sort de ta bouche.
Un réflexe me sort de ma transe, une crampe au mollet. Je tombe sur le dos dans le lit à côté de toi. Tu poses ta tête sur mon torse et sens mon souffle puissant te caresser les cheveux au rythme du soulèvement de mes côtes. Ma main est dans ton dos et le caresse. Tu me demandes si je veux continuer, les premiers mots depuis qu’on s’est embrassé en bas. Je te dis de me grimper dessus.
Tu t’assieds sur mon ventre, prends appui sur mes poignets pour me maintenir couché. Tu m’embrasses à pleine bouche, la passion s’est attisée, nous sans doute fatigués. Tu reprends ta tentative précédente tout en me tenant les mains. Mon gland est à l’entrée, tu recules encore pour l’accueillir en toi. Tu tiens toujours mes mains, je n’ai pas pu t’arrêter cette fois. Tu commences à te déhancher sur ma bite, ton bassin glissant contre le mien. Tu la sens en toi, se frottant aux parois. Elle est si bonne de là haut, tu te mets sur tes pieds et commences à sauter sur ma queue. Elle va si profond dans cette position.
Tu sens l’orgasme grimper. Tu agrippes mes cheveux. Tu augmentes le rythme. Tu descends une dernière fois en jouissant. Je te donne les ultimes coups de reins, libérant ainsi mon propre orgasme que je retenais difficilement dans cette position. Ton orgasme n’en finit pas, mon flot de sperme ne se tarit pas. Tu tombes sur moi, épuisée. J’utilise mes dernières forces pour te mettre à côté de moi, tu dors presque déjà.
Je t’embrasse le front et te rejoins dans les bras de Morphée.
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Voilà, c’est la première histoire que je publie, j’attends vos retours avec impatience. Il n’y aura (évidemment) pas de suite. ;)
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