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Rencontre à l'aveugle

Chapitre 1

Erotique
Voilà, nous y sommes. C’est aujourd’hui le jour J. Cela fait des mois que j’entretiens une correspondance soutenue avec cet homme. Un homme dont je ne connais que la plume et la voix. Je suis devant la porte, mon cœur s’emballe. Et si je ne lui plaisais pas ?Notre « rencontre » a été fortuite. Une erreur de SMS. Mon meilleur ami m’avait donné son nouveau numéro de mobile, et je l’avais mal écrit. Une erreur d’un chiffre. Mais quelle merveilleuse erreur ! Il aurait pu se contenter de me dire que ce message ne lui était pas destiné et les choses auraient pu en rester là. Mais non. Son SMS a été empreint d’humour et c’est ainsi que nous avons engagé notre première conversation. Une conversation drôle, parfois émouvante, pleine de complicité, si bien que nous nous sommes laissés entrainer jusqu’à l’aurore.Très rapidement nous nous confions nos joies et nos peines, nos bons coups et nos regrets. Le premier réveillé écrivait un message plein de tendresse et de bienveillance à l’autre pour lui souhaiter une bonne journée et, le premier qui se couchait souhaitait au couche-tard que Morphée ou Séléné veille sur lui durant son sommeil. Notre complicité était telle que c’était comme si nous nous connaissions depuis toujours. Et puis nous nous sommes dit « je t’aime ».Au bout de deux mois, alors que je venais de me faire emboutir ma voiture à un feu rouge, je l’ai appelé, complètement paniquée. Il m’a rassurée d’une voix d’abord ferme pour que je me ressaisisse, puis plus doucement pour me calmer. Aussi étrange que cela puisse paraitre, c’était la première fois que nous nous parlions au téléphone. J’étais hypnotisée par sa voix, chaude, bienveillante, chantante et même câline. J’avais l’impression qu’il était à mes côtés alors qu’il vivait à Brest, et moi à Menton.Le soir même nous nous sommes dit que c’était trop bête et notre relation ne nous suffisait plus, et nous avons évoqués l’idée d’une première rencontre. Une rencontre à mi-chemin dans une chambre d’hôtel. Et puisque nous n’avions jamais encore échangé de photographie, nous avons convenu que le premier de nous deux qui arriverait à l’hôtel retiendrait une chambre et accueillerait l’autre… dans le noir le plus total. Puisque nos cœurs et nos âmes se sont reconnus, certainement que nos corps se reconnaitraient aussi ?!Et c’est ainsi que je me retrouve devant la porte de cette chambre d’hôtel. Mon cœur battant si fort dans ma poitrine que j’ai bien l’impression qu’il va en sortir. Mes pensées se bousculent. Je suis à la fois terriblement excitée par la situation et anxieuse. J’ai le souffle court. Qu’est-ce que je fais ? Je toque ? J’utilise ma clé ? Je lui envoie un SMS ? C’est peut-être un Landru. Ce n’est pas prudent, je n’ai averti personne de l’endroit où je me trouve. Peut-être que je devrais faire demi-tour ? Aller ! De l’audace, de l’audace, toujours de l’audace à trois je toque, puis je me sers de ma clé magnétique. Un, deux…— C’est moi…— Ô ma douce, tu es là ! Reste où tu es.J’ai beau plisser les yeux pour essayer de voir quoi que ce soit, mais il fait si sombre. Je ne distingue rien dans la chambre, mais j’entends ses pas un peu hésitants.À tâtons il trouve ma main et m’attire tout doucement vers lui pour m’enlacer d’abord très tendrement, puis nous nous serrons très fort. Il n’est pas beaucoup plus grand que moi. Nous nous retrouvons le nez dans le cou de l’autre et nous nous respirons. Puis, je me dégage légèrement de son étreinte et mes mains caressent sont visage afin d’en déterminer ses traits. Il en fait de même puis saisi mon visage entre ses mains et commence à m’embrasser d’abord dans le cou, puis ses baisers se font tendre et gourmands aux commissures de mes lèvres. Nous nous écartons quelques secondes comme pour marquer ce moment si précieux éternellement dans nos mémoires. Ce moment si magique, juste avant le premier baiser.Ça y est nos lèvres se touchent, nos langues s’effleurent. Ce baiser est à la fois doux et dévorant. C’est comme si nos bouches se connaissaient depuis toujours.— Viens ! Laisse toi faire…Il me guide vers le lit, il s’assied dessus et me tient devant lui, entre ses genoux que je devine. Il m’étreint, sa tête appuyée contre mon ventre. Je l’entends respirer et je lui caresse les cheveux. Il commence à m’embrasser le ventre, il soulève mon chemisier. Sa bouche, chaude et gourmande, entreprend une visite de mon buste. D’une main, il dégage mon soutien-gorge, de l’autre il relève ma jupe et passe sa main sur mes fesses nues. — Oh ! Tu n’as pas de culotte ?!Très vite, tout bascule, je ne sais plus où est sa bouche, où sont ses mains. Tantôt je sens qu’il fait rouler un téton sous ses doigts, tantôt je sens ses doigts qui s’immiscent entre mes lèvres intimes, parfois sa bouche se saisi d’un sein qu’elle embrasse, où mordille, parfois sa bouche se pose sur mon mont de Vénus. Je me sens enivrée par le désir et le plaisir que me procure ce doux traitement. C’est chaud dans mon ventre et je me sens ruisseler entre les cuisses.Soudain, il se redresse et me plaque contre le mur du fond. Tout en m’embrassant avec une fougue que j’ai rarement connue, il écarte mes cuisses avec son genou et passe une main dans mon dos. — Comme tu es venue sans culotte, je parie que tu as envie de quelque chose d’animal, comme moi. Je te ferai l’amour plus tard. Là, j’ai une furieuse envie de te baiser.Je reste muette, mais en même temps j’ai tellement envie sauvagement de lui. Sans que je n’ai le temps de réaliser quoi que ce soit, il est en train de m’entreprendre la chatte et le cul en même temps, avec ses doigts et sa bouche. Je suis folle de désir. Mon dieu ! Mais je mouille comme une salope. Je crois bien que je n’ai jamais autant mouillé de ma vie. Je crois même que je mouille du cul. Je ne savais même pas que cela était possible ! Putain qu’est-ce que j’ai envie de lui. À chaque aller-retour de ses doigts en moi, je ne peux me retenir de gémir. Parfois il accélère et je me sens au bord de l’orgasme et il s’arrête net, juste le temps de me surprendre par une nouvelle fouille en règle. Il s’est exactement comment faire avec mes trous. Et je crois bien que les réponses de mon corps l’excitent au plus haut point. Et alors qu’il est en train de me branler le clitoris avec sa langue, tout en ayant 3 doigts dans ma chatte, je suis prise d’un orgasme si violent qu’un puissant jet sort de moi. Pantelante je tombe à genou.— Oh pardon, excuse moi, je ne me savais pas femme fontaine. C’est la première fois. Oh je t’ai tout lâché dans le visage, je suis vraiment désolée.— Désolée de quoi ? Tu as bien joui ma belle et c’était mon but. Je t’avoue que c’est aussi la première fois pour moi de tomber sur une femme fontaine. J’aime bien ça en fait et j’ai trouvé cela super bandant.Il me faut encore quelques secondes pour reprendre mes esprits. Mais c’est décidé, je prends les choses en main. Alors qu’il se relève pour se mettre debout, je le plaque à mon tour contre le mur, et tout en me mettant à genoux j’ouvre d’un coup les boutons de son jean, et libère sa bite de son boxer.Oh mais quelle est douce sa bite, je commence à titiller son gland avec ma langue puis je fais courir celle-ci tout autour de son gland ce qui ne manque pas de le faire réagir, tout en commençant à le branler gentiment. De mon autre main, j’effleure l’intérieur de ses cuisses ainsi que ses couilles délicates. D’une bouche gourmande, je prends sa bite en moi et applique des pressions avec mes lèvres tout en imprimant des mouvement de va et vient. Hum son odeur, son goût. J’adore son goût. Il perle. J’adore ! Et selon les caresses que j’applique sur ses couilles ou sur ses fesses, je sens son sexe réagir avec des petits spasmes. Je le prends loin, très loin dans ma gorge et tout en saisissant ses fesses, je le fais aller plus loin encore. Putain qu’est-ce que sa bite est bonne. Je pourrais passer ma vie avec sa bite dans ma bouche. Si je continue comme ça, il va venir très vite. Mais là, je le veux dans ma chatte, tout de suite.Je me relève et je le pousse sur le lit, je descends son jean un peu plus bas sur ses jambes, je remonte un peu plus m’a jupe et me voilà avec sa bite en main, à l’entrée de mes lèvres. Je la libère et tout en faisant des mouvements circulaires avec mon bassin, je me frotte la chatte contre sa bite, me branle le clitoris contre son gland, jusqu’à ce que cette merveilleuse queue trouve son chemin tout seul. Ça y est! Il est en moi. Je l’entends soupirer et gémir et à chaque mouvement de bassin j’enfonce son pieu de chair dans mon con, millimètre par millimètre. Parfois, je le surprends avec des petits spasmes de chatte dont j’ai le secret. Oh mais quelle bite ! Parfaitement moulée pour ma cramouille. J’adore !Mais il n’entend pas que les choses se passent ainsi. Et sans que je comprenne comment, me voilà sur le dos, mes jambes par dessus ses épaules sans que nos sexes ne se soient séparés une seule seconde. Il me laboure le ventre et ma chatte chante la Marseillaise. Putain je suis tellement excitée et mouillée que chaque mouvement de sa bite provoque un bruit absolument indécent. Il accélère, il ralentit, il change de rythme, il tortille sa bite en moi. Je deviens dingue. Je ne peux m’empêcher de crier mon plaisir à chaque fois que ses boules viennent taper contre mon cul. Ça monte, je le sens ça monte, le long de ma colonne vertébrale et ça explose comme un feu d’artifice dans mon ventre. Des larmes de plaisir inondent mes joues. Punaise, je jouis encore une fois en même temps que je le sens venir en moi. Quelle merveilleuse chose que de jouir en même temps. Quel précieux cadeau. La preuve d’une symbiose absolument parfaite. Il m’embrasse le bout du nez et reste sur moi, en moi, tout en me serrant très fort. Nous restons ainsi jusqu’à ce que la nature fasse son œuvre. Nous sommes ivres de plaisir et de bonheur.Après quelques minutes passées ainsi, je me couche sur le côté et il vient se mettre dans mon dos, son pénis bien callé entre mes fesses, ses bras autour de moi. Un baiser déposé sur mon épaule, un « je t’aime ». Sa respiration se ralentie, son corps se relâche, le mien aussi. Il dort. Je me sens partir. Et c’est avec sourire béat que je m’endors à mon tour en me disant que nous ne savons toujours pas à quoi nous ressemblons.
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