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Rencontre en covoiturage

Chapitre 1

Erotique
Je suis VRP dans une entreprise spécialisée dans la vente de produits informatiques et solutions bureautiques professionnelles. Mon travail m’amène à faire beaucoup de bornes, à parcourir le pays de long en large et en travers. Mon domicile, ainsi que mon lieu de travail, sont tous les deux dans le centre de la France, à Orléans. Une tournée de deux semaines m’avait imposé un passage pars Clermont Ferrand, puis Lyon, puis Nice et enfin Marseille, ma dernière étape avant mon retour au pays. Nous sommes le jeudi 13 février, mon dernier rendez vous client finit à 19h et le patron de cette même boîte m’invite au restaurant. Nous dînons avec sa femme et son associé dans un grand restaurant qui donne sur le vieux port. Cadre somptueux. Durant la conversation, il me demande quand est ce que je repars sur Orléans. Au vue de l’heure tardive, je lui indique que je partirais sûrement le lendemain après le déjeuner, histoire de profiter un peu de la plage, de souffler et de finaliser quelques documents à envoyer par mail à mon boss. Il m’incite, toujours au gré des discussions, à poster une annonce de covoiturage sur un célèbre site internet. Il y voit plusieurs avantages : ne pas faire la route seul, me faire un petit billet et élargir mon cercle de rencontres. La soirée suit son cours et je rentre finalement à mon hôtel, situé à proximité. 
Ce n’est qu’à moitié convaincu mais passablement ivre que je me décide à m’inscrire et à poster une annonce, mais en ne proposant qu’une seule place, voiture de société oblige. Le lendemain matin, à mon réveil, je constate qu’une personne a réservé pour mon trajet entier, de Marseille à Orléans. Nous nous donnons donc rendez-vous pour un départ à 13h, directement au pied de mon hôtel. Lorsque mon téléphone sonne, j’ai tout juste fini mes comptes rendus. Je descend donc et pars rejoindre mon passager. Enfin, plutôt ma passagère. Et quelle passagère !Blonde, les yeux bleus azur, environ 1m70, ni maigre ni obèse, mais avec quelques formes. Vêtue d’une jupe noire lui arrivant aux genoux, les jambes drapées de bas assez discret, de petites bottines noires et pour parachever le tout, un geste marron en cuir. 
— Bonjour ! Iris, enchantée !— Enchanté également, Paul. 
Cette femme est magnifique. Mais à toute belle œuvre d’art il y a une ombre. Peu après le départ, elle m’indique retourner sur Orléans pour faire une surprise à son petit ami, Saint Valentin oblige. Le trajet se passe merveilleusement bien. Malgré le fait qu’elle soit en couple, elle est très ouverte à la discussion, elle a beaucoup d’humour (ce qui est rare chez une femme), est beaucoup plus cultivée que moi et n’a pas froid aux yeux.....Je la mets en condition durant le trajet... au moins, que son mec en profite, à défaut de ma propre personne. Nos sujets de discussions descendent rapidement en dessous de la ceinture, et ca n’a pas l’air de la gêner. Au contraire. Nous nous taquinons mutuellement, mais je sens que je commence à prendre l’ascendant sur elle. Preuve en est de ses joues qui s’empourpent de plus en plus souvent, et de plus en plus facilement. Je devine qu’elle n’est pas à son aise par les croisements et décroisements incessants de ses jambes. 
Alors que nous arrivons à proximité de Clermont Ferrand, ce cher Bison Futé nous signale un gros accident et un bouchon monstrueux. Nous nous retrouvons donc coincés dedans, sans possibilité d’en sortir. Après avoir perdu énormément de temps, nous repartons mais l’horaire d’arrivée de 21h est fortement compromise : on s’approche plutôt des 22h. Nous décidons de faire une halte sur une aire d’autoroute autour d’un café. 
— Le GPS prévoit une heure d’arrivée à 22h... Ton ami ne sera pas couché ?— Non, et au pire je me réveillerai, me fit elle avec un petit clin d’œil
— Quel chance il a ! Toutefois, pour rester plus pragmatique, je propose que nous nous arrêtions quelque part pour manger, vers 19h. Cela nous laissera le temps de digérer d’ici là et je doute que nous trouvions quelque chose en arrivant. — Je suis d’accord, me répond elle. Cela sonne presque comme un rendez-vous galant, le jour de la Saint Valentin !
Nous quittons l’aire de repos et alors qu’elle est devant moi, j’ai tout le loisir de la reluquer, surtout son cul que je rêve de culbuter. Maintenant, je n’ai qu’une envie, celle de glisser ma main sous sa jupe, et de remonter doucement vers son entrejambe afin de répondre à une question existentielle : que porte t-elle dessous ?Nous remontons en voiture et reprenons la route, moi toujours en proie à toutes ces questions qui se bousculent dans mon esprit. Alors que 19h approche, nous décidons de nous arrêter à proximité de Vierzon dans un restaurant recommandé par ma chère passagère. Nous pénétrons dans le restaurant, pas vraiment rempli, et l’on vient à notre rencontre. Le serveur nous installe dans un coin tranquille, proche du foyer d’un feu de cheminé. Nous dînons face à face, tels deux amoureux qui se connaissent depuis des années. Iris se laisse tenter par deux verres de vin, ce que je ne peux me permettre, étant conducteur. 
Le dîner prend alors une toute autre tournure. Sous les effets de l’alcool, ma partenaire d’un soir me fait tout un tas d’allusion plus coquines les unes que les autres, jusqu’à finalement m’avouer, au dessert, qu’elle espère que son mec lui fera la totale ce soir - "les trois trous" - pour reprendre son expression. Je suis chaud bouillant, elle aussi. Il est temps que nous arrivions car si ce trajet devait continuer, je sens que je ne pourrais pas me retenir de lui sauter dessus. Après cette halte, nous reprenons la route pour enfin arriver à Orléans vers 22h30. Cette dernière heure de trajet fut tout aussi mouvementée et torride, si l’on peut dire, que notre dîner. Elle sait très bien que nous ne nous reverrons plus, et je suppose qu’elle veut parfaire sa mise en condition. Je la dépose juste devant chez son mec pour espérer voir la tête du petit chanceux qui a tiré le gros lot. Je la salue et profite d’être juste en face d’une station essence pour aller faire le plein. Alors que je m’apprête à repartir, je jette un dernier coup d’œil et voit mon ex passagère sortir de l’immeuble et partir d’un pas hésitant vers le centre-ville. Je reprend ma voiture et me porte à sa hauteur. 
— Iris ?— Ou... Oui ? Me répond elle, étouffant un sanglot— Tu n’es pas avec ton ami ?
Elle s’arrête net, s’assoit par terre et fond en larmes. Je m’arrête, sors de la voiture et me précipite auprès d’elle. 
— Que se passe y-il ?— C’est... c’est Fred. Je... je suis rentrée et il était avec... il faisait... il s’envoyait en l’air avec une autre ! 
Je n’ai jamais été très fort en consolation. Je fais ce que je peux. Je sens qu’elle grelotte, elle n’est vraiment pas bien. 
— Je peux te déposer quelque part ?— Je vais aller à l’hôtel... je pense. — A l’hôtel ? Non non non. Tu sais quoi ? Je te propose de venir passer la nuit chez moi. Tu y seras bien mieux qu’à l’hôtel et tu auras une oreille à qui parler. 
Elle ne réagit pas, ses yeux sont emplis de larmes, de déception, de colère, mais aussi de frustration. Elle qui avait placé tant d’espoirs dans cette soirée, les voilà réduits à néant, pulvérisés par la bêtise du connard avec qui elle voulait partager sa vie. Je prend l’initiative, récupère sa valise, la met dans le coffre, puis je l’aide à se relever et à s’installer côté passager. Je la ramène chez moi. Une fois arrivés, je l’installe dans le salon le temps de faire mon lit. Je vais prendre mon canapé et fait mon galant, je lui laisse le lit. Il ne me faut que quelques minutes pour préparer un nid douillet. Un drap housse, un drap plat, une bonne couette et le tour est joué. Je prend en même temps une couette pour moi et me dirige vers le salon. Iris est allongée sur le canapé, endormie, paisible mais sûrement épuisée. Je n’ose pas la réveiller ni la toucher. Elle porte encore sa jupe mais a eu la présence d’esprit de retirer ses chaussures et sa veste. Je me résigne alors à la border avec la couverture et à aller me coucher dans le lit, non sans avoir une dernière regardé cette femme sublime, mais effondrée, qui dort dans mon salon. Je peine à trouver le sommeil, et lorsqu’il commence à venir, c’est la lumière du salon qui me réveille. Je suis à moitié endormi mais n’entend qu’Iris s’affaire, elle doit sûrement enfiler une tenue plus appropriée. Alors que je suis sur le point de m’endormir, la porte de ma chambre s’ouvre et une présence fait le tour de mon lit et vient se coucher près de moi. 
Sans dire mot, Iris vient se coller à moi, couché sur le côté, son dos collé à mon torse. Je la sens bouillante, brûlante. Ma main gauche vient se poser sur son épaule, puis se laisse descendre sur son sein gauche. Elle ne dit rien. Les minutes passent, interminables. Nous sentons tous les deux une tension sexuelle s’installer. L’ambiance est moite. Puis elle se retourne, et sans me poser de questions, mes lèvres vont à la rencontre des siennes, et les trouvent du premier coup. Notre baiser est d’abord doux, chaste, puis il se mue en une exploration fougueuse de la bouche de l’autre. Nous nous enlaçons sans rien nous dire. Je peux enfin sentir son odeur, ses cheveux, découvrir ses formes. Sa main droite vient se plaquer sur mon sexe. Je bande. Fort. A m’en faire mal. Elle passe sous le lit, s’approche de ma tige, baisse mon caleçon et se l’enflure dans la bouche. Délivrance. Je sens ses lèvres aller et venir le long de mon sexe. Une minute de ce traitement va me faire venir, je le sais. Et elle aussi. Elle s’interrompt alors, trop peu de temps après avoir commencé, mais suffisamment pour que j’ai les capacités de continuer, et me lâche juste un "baise moi" à l’oreille. 
Elle se remet sur le dos. Je m’installe entre ses jambes et la pénètre tout doucement, je veux qu’elle me sente entrer et prendre possession de son sexe. Une fois bien au fond, je patiente quelques instants, afin qu’elle s’habitue. Puis je commence mes vas et viens, d’abord assez courts et lents, puis plus profonds et rapides. Elle s’accroche à mon dos, plante gentiment ses ongles pendant que ses jambes entourent mon bassin. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais je me décide à sortir pour varier les plaisirs. Nous sommes synchro, elle comprend là où je veux en venir et d’initiative, elle se met à quatre pattes et me présente sa croupe. Je dirige à nouveau mon sexe vers le sien, et cette fois ci c’est vers une levrette endiablée que nous nous dirigeons. Mes mains sur ses hanches, je lui assène de grands coups de reins, parfois lents, parfois rapides, mais jamais violents. Je sens mon plaisir monter, je ne veux pas me retenir mais je veux jouir avec elle. Dans un ultime effort, j’accélère alors la cadence et, ne s’y attendant pas, elle jouit, ce qui m’entraîne avec elle. Je me fiche bien au fond de son sexe et j’envoie plusieurs rasades. Je m’écroule sur le côté, toujours en elle, et nous nous endormons ainsi, tel un couple qui se connaît et s’aime depuis toujours. 
Le lendemain matin, je me réveille le premier et décide de lui préparer un petit déjeuner. Alors que je lui apporte au lit, elle se réveille et m’embrasse amoureusement. 
— Merci, me dit elle. — De rien. — Après ce délicieux petit déjeuner, j’aimerai bien que tu me fasses l’amour, comme cette nuit, me dit elle. J’en ai encore besoin. — Avec plaisir !
Nous avons alors pris le petit déjeuner, et une fois fini, nous avons refait l’amour. Deux fois. Aujourd’hui, j’ai quitté Orléans et je me suis installé avec Iris à Marseille. Je suis le plus heureux des hommes, futur papa, futur mari et jamais je ne regretterai de m’être inscrit sur ce site de covoiturage.
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