Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 159 J'aime
  • 5 Commentaires

Rencontre dans les dunes nudistes

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Bonjour c’est Cindy de retour pour la suite de mes aventures. Celle-ci se passe 1 ou 2 ans après mon road-trip sur Paris (voir mon histoire précédente Voyage à Paris)J’ai la chance d’habiter une région, d’accord pas très chaude, mais avec beaucoup de plage et de dune. L’avantage est qu’il y a beaucoup d’endroits nudistes. Et j’aime ne pas avoir la marque du maillot. L’avantage est de ne pas avoir à aller très loin. Et dans ce genre d’endroit, il y a souvent aussi des rencontres qui se font. Comme la majorité ne veulent pas que ça se sache qu’ils soient libertins ou nudistes, peut de risque de se retrouver en soirée avec un homme qui lance à travers la salle "mais si ! C’est moi qui t’ai baisé dans les dunes !". Je ne veux pas que ma sexualité soit étalée dans les journaux ou que cela revienne aux oreilles de mes proches (mes parents principalement).
Je ne suis pas exhibe (en tout cas pas à l’époque) mais j’avais envie d’aller voir de moi-même tout ce qui se dit sur ces lieux. Je pars donc un après-midi chaud (si si, ça arrive dans la Manche !) dans ces fameuses dunes. La partie nudiste tolérée (pas officielle) est loin des lieux de plage habituels (et des parkings) pour ne pas gêner et être gêné par des non-nudistes ou des enfants. Ce qui est une bonne chose (surtout la seconde à mon avis). Je commence à remonter la loooongue plage "tissu" pour arriver à un panneau planté là je pense par des habitués car il fait vraiment artisanal. Il stipule "Vous entrez dans une zone de nudisme". OK. Sommaire mais clair. Je passe le panneau et en effet, quelques mettre plus loin, plusieurs personnes sont là à bronzer ou nager dans le plus simple appareil. Je me mets au pied d’une dune, étale ma serviette et, sans trop de réflexion, ma jupe et mon maillot de bain. Ce qui me surprend au début c’est que personne ne te regarde, c’est normal. Je ne suis pas trop habitué...
Je me laisse bronzer 30 minutes recto/verso puis vais me baigner pour me rafraichir. Je suis à l’eau avec 3 autres femmes d’âge divers (je dirais entre 30 et 50 ans). Avec mes 21 ans je passe pour la jeunette mais ne m’en offusque pas. Elles sont bien conservées et l’une d’entre elles est même plutôt canon. 1 ou 2 hommes se trouvent aussi à l’eau. Chacun respecte la bulle privée des autres. Je reste un petit moment à l’eau et, entre deux nages, observe les comportements des autochtones. Je m’aperçois alors qu’il n’y a pas que sur la plage qu’il y a de l’activité. En effet, j’aperçois souvent des silhouettes entrer ou sortir des dunes. Certains regardent la plage (et se rince l’œil je pense), d’autres sont concentrés plus sur ce qui se passe dans la chaine de dune. Mon air surpris n’échappe pas à l’une des femmes présentes à proximité de moi et elle s’approche.
— Bonjour, c’est la première fois que vous venez ici, je ne me trompe pas ?— En effet, c’est la première fois. J’avais envie d’un peu de liberté pour parfaire mon bronzage.— Je comprends. C’est un endroit parfait pour ça. Par contre, j’ai vu sur votre visage de l’étonnement sur les allez-venue dans la dune...— Oui, je me demande ce qui s’y passe. Il y a beaucoup de monde en fait !— Sur la plage, ça va. Mais une fois passée la dune, ce n’est pas le même public. Quoique les deux se retrouvent parfois... voire souvent suivant l’heure.— Vous pouvez être plus précise ?— En plus d’être une zone de nudisme, il y a en arrière une zone plutôt... libertine. Habituellement, c’est en fin d’après-midi que ça commence vraiment. Là, ce sont surtout des voyeurs et des exhibitionnistes. Il ne se passe pas grand-chose. — Ah OK. Je me demandais ce qu’ils pouvaient tous faire là-bas.— Après, si tu veux te faire reluquer, c’est l’endroit.— Et vous disiez que ça change plus tard dans la journée ?— Oui, c’est ça. Passé 17h, ça devient plus... hot. Si vous êtes encore sur la plage à cette heure, vous pourrez entendre autre chose que le bruit des vagues !— Ok, j’ai compris ! Et ça vous arrive d’y aller ?— Des fois oui, ça dépend de mon humeur et de celle de mon mari. Et ce n’est pas lui qui décide mais moi. — Un mari docile ?— Ou qui ne veut pas forcer la main. Il sait que s’il insiste, il n’y aura rien qui va se passer, donc...On rigole toutes les deux— Et il y a un "code" dans les dunes ?
— Non, pas vraiment. Si tu croises un homme et que tu te retournes en lui souriant, bien évidemment, tu lui envoies un signal pour qu’il suive. Mais c’est à peu près tout. — ça vous a souvent arrivé ?— Non car je n’y vais qu’avec mon mari. Et pas souvent pour être honnête. Donc, dans la plupart des cas, on s’installe dans un trou entre les dunes et on commence à le faire. Et les voyeurs arrivent pour regarder.— Ils regardent c’est tout ? — Certains plus téméraires approchent et proposent leur participation. C’est selon mon bon vouloir uniquement. Si je dis non, ils reculent et continuent à se masturber. Sinon, je les laisse me caresser voir je les masturbe. Certaines vont plus loin mais moi ça me suffit.
Je suis amusée d’entendre cette femme, libertine donc, me parler de sexe et de baise avec des mots si peu crus. "Fellation", "masturbation", "caresses", "on commence à le faire"... Mais ça va bien avec le style. Je la vois bien très BCBG à aller le dimanche matin à la messe et l’après-midi se faire baiser dans les dunes... Mais elle est très gentille et je la remercie pour les infos. Je remonte jusqu’à ma serviette. Sachant cela, j’ai plein d’idées qui me viennent en tête. Mais pas pour aujourd’hui. C’était une "prise de contact" avec le lieu. Maintenant que je sais à quoi m’en tenir, je m’organiserai en fonction. Là, il faut que je parte, j’ai un rendez-vous important pour un emploi étudiant pour la rentrée (eh oui, les études c’est bien mais ça coute cher !).
Pas grave, je m’organise pour y retourner 2 jours plus tard. J’y arrive vers 15h30 pour prendre le temps de faire bronzette et nager un peu. Parce qu’après tout, c’est bien agréable de bronzer et nager à poil !
Vers 17h, la majorité des personnes présentes sur la plage commencent à partir. La plupart quittent tout simplement mais d’autres remontent par les dunes. C’est le cas de 2 couples et 1 homme seul. J’attends d’être quasi seule (reste un couple à l’autre bout de la plage) et remonte moi aussi la dune. Je m’arrête en haut de la première pour écouter et regarder. Et en effet, j’entends une femme qui essaye d’étouffer son plaisir. Je n’ai pas de mal à savoir où elle se trouve... 3 hommes sont en effet regroupés et sont tournés vers le même creux entre 2 dunes. Les mouvements de leurs mains ne laissent pas de place non plus au doute sur ce qu’ils font !
Je me promène un peu dans les dunes, laissant pour l’instant le groupe et, au détour d’une dune, tombe sur l’un des couples vus sur la plage en pleine action. Je m’arrête à quelques mètres pour les mater. Ils sont dans un 69 très sensuel, madame sur monsieur. Je ne peux pas m’empêcher de les regarder, hypnotisée par leur jeu sexuel. J’ai en face de moi les fesses de madame et peux ainsi admirer les courbes de madame et le jeu de langue de monsieur. Ce dernier est très agile sur la chatte et le petit trou de sa partenaire et je m’imagine très bien être à sa place. Ma main descend toute seule vers mon clito et commence à le caresser. Je pose ma serviette à terre et m’assois dessus pour continuer à me caresser en étant plus confortablement installée. L’homme glisse pour se redresser et se mettre derrière madame. Il s’enfonce en elle sans forcer et commence à la prendre doucement. On sent qu’ils veulent faire durer ! Par contre, je ne vois plus grand-chose... juste les mouvements de hanche de l’homme et quelques cris de la femme lorsque le coup de hanche est plus fort que précédemment.Je me déplace donc pour me mettre de côté par rapport à eux. Ce mouvement fait que l’homme se tourne vers moi et me regarde avec un bonjour d’un mouvement de tête et un petit sourire. Il n’est pas mal en plus ! Très plaisant à regarder. Pas un apollon musclé mais un homme avec beaucoup de charme. Et apparemment, une belle queue. Madame est plus sportive dans ses formes. Elle s’entretient et ça se voit. Les deux ont dépassé les 40 ans je pense. Je m’installe de nouveau à flanc de dune et recommence à me masturber doucement pour suivre leur rythme.
Il se penche au-dessus de sa femme et lui dit quelque chose à l’oreille. Je me doute qu’il la prévient qu’ils ont du public car elle tourne aussitôt la tête vers moi. Son regard se pose alors sur une nana de la moitié de son âge, jambe écartée en train de se caresser d’une main le clito et de l’autre de s’enfoncer doucement 2 doigts dans la chatte. Je lui adresse un bonjour de la tête auquel elle me répond. A partir de ce moment-là, le couple ne me lâche pas du regard. La température monte très rapidement et le regard de la femme est sans équivoque. Elle ne lâche pas ma chatte du regard...
Je me lève alors et m’installe juste devant elle, mes jambes de chaque côté de son visage pour qu’elle puisse avoir une vue plus gros plan. Cela lui plait et elle me lance un sourire avant de baisser la tête et de poser sa langue sur mon clito. Elle commence à me lécher. Cela excite son homme qui commence à la baiser de plus en plus fort en ne lâchant pas du regard sa femme me bouffer. Je prends la main en me glissant sous la femme en 69 pour lui lécher aussi la chatte et aussi la queue de son homme au passage. Nos feulements montrent que notre plaisir monte très fort. Je suis très rapidement au bord de l’orgasme mais elle me devance en partant dans une série de spasmes sur tout le corps. Je vois sa vulve se contracter sur la queue de son homme qui se retient de ne pas jouir.
Dans ses spasmes, elle expulse involontairement cette queue de son vagin et je me retrouve avec sa queue à portée de bouche. Je ne me retiens pas, prends la queue en main et la guide vers ma bouche pour le sucer. Madame reprend ses esprits, regarde sous elle, et replonge sa tête entre mes jambes, ainsi que 2 doigts dans ma chatte. Elle est beaucoup plus virulente et me branle violemment. Ma bouche pleine par la queue de son homme étouffe un cri accompagnant mon orgasme. Monsieur retire sa queue de ma bouche pour jouir et sur le cul de sa femme et sur mon visage alternativement. Je vois ce sperme couler vers moi et commence à le lécher goulument. Madame attend que je finisse le nettoyage pour se retourner, me lécher le visage pour me nettoyer aussi, m’embrasser à pleine bouche puis sucer son homme pour récupérer les dernières goutes de sperme.
Ils me remercient et repartent sans plus de mots. Je suis là, seule, allonger sur le sol, encore tout humide de mon orgasme. Je me relève, m’essuie un peu le visage avec ma serviette et reprends moi aussi ma route dans les dunes pour rentrer. Enfin, ça c’était le plan d’origine. Je me dis que si c’est comme ça en après-midi, comment ça doit être le soir où les gens sont peut-être plus nombreux, à l’abri du soleil couchant.
Je retourne à la voiture, vais acheter un casse-croute et retourne sur la plage pour manger. Je n’ai pris que le minimum avec moi, à savoir un petit sac de plage, mon maillot de bain (qui se retrouve très rapidement dans mon sac une fois la plage "tissu" traversée) et une serviette. J’ai récupéré aussi quelques capotes. Une fois fini mon sandwich, il est 19h30 (j’ai pris mon temps pour profiter tout de même de la mer avec un petit bain supplémentaire).
Je retourne ensuite dans les dunes à la recherche de couples à mater et/ou de partenaires. Je tourne pendant quelques minutes avant d’apercevoir un homme en train de se branler en regardant devant lui. Je m’approche et vois à quelques mètres de lui un couple en pleine action avec un autre homme. La femme en suce un et se fait prendre en levrette par l’autre. Là, contrairement à l’après-midi, c’est beaucoup plus violent. Elle se fait vraiment démonter ! Et ses cris étouffés par la queue du second homme sont suffisamment fort pour comprendre qu’elle prend son pied. La situation est très excitante. L’homme qui la prend n’a pas de capote, j’en déduis (peut-être à tort) que c’est son homme. Je commence machinalement à me caresser les seins et le clito. Je suis aussi bien excité par le trio que par l’homme en train de les mater (appelons-le le voyeur). Je décide de m’approcher de ce dernier qui remarque ma présence.
Il a la trentaine d’années, un petit ventre et une queue tout ce qu’il y a de normale. Mais c’est plus la situation qui me donne envie de lui. Je pose mon sac avec mes affaires à terre et, tout en le regardant dans les yeux, je pose ma main sur son sexe bandé pour le remplacer dans sa tâche. De son côté, il me caresse les fesses et remonte sur mes seins qu’il malaxe et pince doucement. Je m’assois sur mes talons et commence à lécher sa queue et ses couilles tout en continuant à le branler. Il apprécie et me flatte de "c’est bien", "continue, lèche-moi", « tu es bonne ma salope" qui font que je mouille rapidement. Je passe ma main libre entre mes cuisses pour me donner du plaisir pendant que je le masturbe et le lèche. Je finis par le prendre en bouche pour lui affliger une fellation dont j’ai le secret. Je me positionne pour toujours avoir du coin de l’œil le trio.
La femme a changé de position. Elle est maintenant en train de chevaucher celui qu’elle suçait (et à qui elle a mis une capote, ce qui renforce mon intuition) et suce l’enculeur. Je vois alors ce dernier se reculer et lui jouir de longs jets de sperme sur le visage.
Mon voyeur est lui aussi sur le point de jouir. Je le sens aux légères contractions de sa queue. J’arrête alors de le sucer. Je sors ma serviette, m’assoie jambes écartées dessus et lui demande de me bouffer la chatte. Il s’exécute avec entrain et je commence moi aussi à jouir aussi fort que l’autre femme n’ayant plus de queue en bouche pour étouffer ses cris. Je regarde dans sa direction et vois qu’elle me regarde aussi tout en rebondissant avec violence sur la queue du troisième du trio. Une fois ma vulve bien gonflée de plaisir, je sors une capote et la donne au voyeur. Il l’enfile pendant que je me mets à quatre pattes toujours tournée vers le trio. Je ne veux pas louper la fin de leur baise pendant que je me fais démonter.
Le voyeur se positionne derrière moi et, d’un coup sec, s’enfonce jusqu’à la garde dans ma chatte, me faisant lâcher un cri d’approbation. Il ne relâche rien et me pistonne par de grands coups de reins et l’orgasme monte rapidement. Je vois la femme devant moi, le visage couvert de sperme, se caresser les seins en chevauchant le deuxième homme du trio et en me regardant avec envie. Me veut-elle moi ou la queue qui me défonce ? En attendant je prends mon pied ! Me faire défoncer au milieu des dunes tout en matant un trio très chaud, c’est génial !
Son second baiseur jouit alors sous elle. Elle ne passe pas longtemps à cheval sur lui et vient rapidement se positionner devant moi. Elle s’assoie jambes ouvertes et me propose sa chatte à bouffer. Je ne vais pas refuser ! Surtout vu le clito énorme que j’ai devant moi ! J’ai l’impression de sucer une petite bite...! Mon voyeur est super excité par la situation de voir la nana inconnue qu’il baise bouffer la chatte de la femme inconnue qu’il était en train de mater se faire défoncer par 2 hommes ! Il ne tarde pas à gémir et retire la capote pour se vider sur mes fesses et le bas du dos. Je ne m’occupe pas plus que ça de lui et continue à bouffer cette chatte dégoulinante de plaisir. Elle apprécie et commence à jouir de nouveau bruyamment. Le premier lui ayant joui sur le visage, son homme donc (jouissance qu’elle avait encore sur elle) se met derrière moi et commence lui aussi à me bouffer, mais lui c’est mon cul qu’il bouffe. Pas de soucis, je suis open ! Et j’aime particulièrement les anulingus. Je commence à jouir aussi.
Je sens un doigt s’immiscer dans mon petit trou et commencer à le ramoner, histoire de voir s’il est souple ou non. Devant la montée de jouissance et mon absence de refus, un second doigt vient très vite aider le premier. Ce que je ne vois pas c’est qu’il s’est remis à bander. Il retire d’un coup ses doigts et vient mettre sa queue dans la bouche de mon amante. Une fois une taille suffisante, il repart derrière moi. J’arrête le traitement sur la femme, plonge ma main dans mon sac et lui passe une capote. Me faire démonter par des inconnus oui, mais je ne prends pas de risque inutile. Il ne dit rien, enfile la capte et se mets en position. Je sens son gland commencer à appuyer sur ma rondelle et pousse pour la détendre. Sa queue entre relativement facilement mais je constate qu’elle me remplit bien. Une grosse queue donc ! Il me pénétré tranquillement et commence à bouger en douceur. Je pensais qu’il avait mis une bonne partie de sa queue dans mon cul mais je me trompais ! Il n’en avait mis que la moitié... Une fois bien en place, il commença à pousser plus et je compris qu’il ne pouvait pas tout mettre. Ses va-et-vient commençaient à me faire jouir et j’avais de plus en plus de mal à m’occuper de ma partenaire. Celle-ci était en train de récupérer avec ses doigts le sperme restant sur son visage et en étala une partie sur sa vulve. Le reste, elle le garda sur ses doigts et me les enfonça dans la bouche pour que je lui nettoie. Je partis rapidement dans un premier orgasme mais il n’avait pas fini de me violenter le cul, loin de là. Il accéléra le rythme subitement et me pistonna réellement. J’ai cru qu’il allait m’ouvrir en deux ! La jouissance repartit de plus belle et j’éclatais dans un second orgasme au moment où il se retira pour venir jouir sur la chatte et le ventre de la femme. Je compris tout de suite et m’empressa de lécher pour le récupérer. J’en gardais une partie dans ma bouche et remonta vers elle pour l’embrasser et lui donner. Ils me remercièrent et partirent, me laissant seule et pantelante, encore allongée sur ma serviette.
Je restais ainsi une bonne vingtaine de minutes avant de me relever. En regardant l’heure, il était déjà pas loin de 21h. Repue, je commençais à repartir vers la plage (plus simple de retourner au parking par-là) quand je croise un homme seul, nu (évidemment vu l’endroit). Il a au moins cinquante ans, bedonnant, 1m75 environ, cheveux avec un début de calvitie et grisonnant (plus gris qu’autre chose), une bonne paire de couilles mais un sexe, soit au repos, mais qui ne me donne pas l’impression d’être très grand ou gros. Je lui dis bonsoir par politesse et il me répond en me détaillant des pieds à la tête. Une jeune nana de vingt ans, seul, nue, à cette heure dans un endroit comme ça ne doit pas être courant (je n’en ai pas vu en 2 jours de visite en tout cas... la moyenne d’âge étant autour de 35 ans voir plus).
Nous nous croisons et je sens qu’il se retourne pour me regarder de dos (mon cul en tout cas). Je fais exprès de bien enrouler les hanches en marchant pour être le plus agréable possible à sa vue. J’entends qu’il ne marche plus, j’en conclus qu’il me matte vraiment. Pour en être sûr, et parce que j’avais encore un peu envie de me faire mettre je l’avoue, je tourne la tête et, en effet, il me matte. Je lui souris, puis reprends ma route mais en tournant sur la gauche vers un trou dans les dunes. Du coin de l’œil je le vois me suivre du regard. Je le regarde de nouveau et lui adresse un autre sourire en coin, un peu complice. Il sort de ma vue une fois dans le trou. J’étale ma serviette rapidement et m’allonge dessus.
Le temps qu’il arrive, je suis en train de me caresser doucement le sexe. Il me regarde de plusieurs mètres au début et commence à se masturber. Je le regarde bien droit dans les yeux en écartant les jambes au max. D’une main j’écarte mes grandes lèvres pour qu’il ait une bonne vision de ma vulve, de l’autre je me caresse mon bouton juste au-dessus. Il se rapproche et n’ai plus qu’à 3 mètres de moi. Je vois alors sa bite gonfler et prendre une taille que je n’aurais pas imaginé en la voyant au repos. Elle est loin de celle qui m’a défoncé le cul trois quarts d’heure avant mais est d’une taille et largeur plus que respectable. Je connais beaucoup d’hommes qui auraient aimé en avoir une comme la sienne (même si l’expérience montre que ce n’est pas ça qui me fait jouir ou non). Je m’enfonce deux doigts dans la chatte et me caresse les seins, toujours mon regard passant de ses yeux à sa queue. Je profite d’un moment où il remonte ses yeux vers mon visage pour passer une langue entre mes lèvres, lui faisant comprendre que j’ai envie de lui. Pas trop de réaction hormis une avancée d’un mètre. Je me mets à quatre pattes et parcours ainsi les 2 mètres restant entre lui et moi. Arrivée à ses pieds, je m’agenouille et commence à le sucer directement. Il me caresse les cheveux et me demande de continuer à me branler. Je lui obéis immédiatement ! Le gout de sa queue est agréable et je prends plaisir à l’avoir en bouche. Je le fais entrer et sortir de ma bouche lentement pour prendre le temps, ne pas le faire jouir trop vite... J’ai trop envie de lui en moi !
A me branler, je commence à mouiller de nouveau et le plaisir monte de plus en plus. Je recule pour me remettre sur ma serviette et me remets allongée jambes écartées. Pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit, il plonge vers la chatte et commence à me la brouter de manière experte. Il aspire mon clito bien gonflé et décapuchonné et le fait rouler entre ses lèvres. Ses doigts ne restent pas inactifs car rapidement deux viennent se planter dans ma chatte et le pouce appuie sur ma rosette. Celle-ci s’ouvre en grand pour le laisser entrer et il me doigte fermement mais lentement les deux orifices. Je le sens alors me mordiller le clito qui est, avec tout ce qui s’est passé pour moi dans l’après-midi, hyper sensible. Là, je ne tiens plus et explose dans un orgasme relativement violent ! Il se prend une bonne dose de cyprine dans la bouche mais à l’air d’apprécier. Il continue juste à me doigter en donnant de temps à autre de petits coups de langue sur le clito. Il retire son pouce et me met un troisième doigt dans la chatte.
— Tu aimes te faire fister ?
La question fuse dans ma tête... Et pourquoi pas ? J’ai un souvenir relativement vague de mon premier et seul fist, un peu dans les vapes après l’acharnement des nombreux hommes qui venaient de me baiser par tous les trous, voire plusieurs dans le même... (Voir mon histoire précédente Voyage à Paris). Par contre, sa main est assez grosse, je vais le sentir passer. Mais bon...
— Ne pose pas de question, fais-le !
Il ne se fait pas prier et me met un quatrième doigt. Il me lime ainsi pour bien préparer la suite. Rien que ça me fait jouir. Je le sens regrouper ses doigts et je sais qu’il va me pénétrer complètement avec sa main. Son pouce se glisse avec les autres et je sens ma vulve s’écarter de plus en plus au fur et à mesure qu’il s’enfonce. Une plainte de douleur mêlée de plaisir déjà présent s’échappe alors de ma gorge. Des larmes commencent à coller sur les joues mais je tiens bon. D’un coup, ma vulve se referme sur son poignet. Il l’a rentré ! Il referme son poing dans mon vagin et commence à l’enfoncer jusqu’à venir frapper le col de mon utérus. Il accompagne ses mouvements violents en me léchant avidement le clito. J’ai mal (je ne le cache pas) mais cette attention adoucit la douleur et la mélange avec le plaisir. Elle reprend le dessus jusqu’à me faire de nouveau exploser ! Je suis pris de spasmes frénétiques qui secouent tout mon corps. J’ai la tête en arrière, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte qui lâche de petits cris. Il arrête de bouger en moi pour me laisser reprendre mes esprits mais j’ai l’impression que ça ne s’arrêtera pas tant qu’il sera en moi ! Mon corps se calme tout de même et je sens toujours sa main.
Je rebascule la tête vers l’avant et le regarde. Il a un bon tiers de son avant-bras enfoncé, je n’en reviens pas qu’il en a mis autant ! Je le regarde retirer l’ensemble doucement, mais cela ne m’empêche pas d’avoir encore quelques soubresauts, principalement lorsqu’il arrive au poignet. La sensation d’être "vidée" et béante lorsque sa main ressort est indescriptible. Je voulais qu’il me prenne mais je pense que je ne sentirais rien ! Mais j’ai envie de lui tout de même. Je soulève alors mes jambes et écarte mes fesses d’une main. De l’autre je lui passe une capote.
— Prends-moi le cul s’il te plait !
Pas de réponse... Il me regarde en se caressant la queue toujours au garde-à-vous. Il donne l’impression de réfléchir s’il doit le faire ou non ! Il vient de me fister et il se demande s’il doit maintenant m’enculer ???!!! Je rêve...
— Encule-moi ! Vas-y !!— Retourne-toi. Je veux te prendre comme une chienne !
Ah d’accord ! Monsieur a des exigences ! S’il n’y a que ça pour lui faire plaisir...!! Je me mets en position difficilement car vraiment vidée de mes forces suite au fist et me cambre autant que je le peux pour lui offrir mon cul. Il en profite pour mettre la capote et se place derrière moi. Et là, heureusement que mon cul était restait assoupli de la précédente sodomie parce qu’il ne fait aucune douceur. Il s’enfonce en moi en me traitant de chienne, salope, trainée, pute et autres joyeusetés de ce type. Pas grave ! Il me baise le cul, c’est tout ce que je voulais ! Et limite ça m’excite encore plus.
Malheureusement, il jouit rapidement avant que je ne puisse avoir un nouvel orgasme. Il se libère d’un coup, balance la capote (que je ramasserais ensuite parce qu’il faut penser à l’environnement), se met devant moi, me tire la tête vers le haut avec mes cheveux et m’enfonce sa queue dans la bouche pour se vider les couilles dedans. Je n’ai pas la force, ni la volonté, de l’en empêcher et reçoit tout directement dans la gorge. J’avale donc de longues giclées de sperme chaud. Une fois fini, il retire sa bite, me remercie à peine et repart comme si rien ne s’était passé... Mais je me suis rendu compte que c’est comme ça depuis la veille. Un bonjour, on baise, merci, au revoir et voilà ! Un club libertin en plein air mais sans la partie bar ou dancing pour pouvoir draguer ou discuter. Un peu comme les aires d’autoroute quoi !
Bilan de cette première expérience nudiste libertin plutôt sympa et varié. Je ne pensais pas avoir autant d’expériences différentes. Je n’ai peut-être pas vu mais je n’ai pas l’impression qu’il y a eu beaucoup de monde à regarder mes parties de jambes en l’air non plus. Mais j’étais tellement focalisé sur mes partenaires que je n’ai peut-être pas vus et ai été maté par plein de monde.
Mais ça, je ne le saurais jamais !
Diffuse en direct !
Regarder son live