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Rencontre durant un Concert

Chapitre 2

Hétéro
Le concert venait de terminer quand on s’embrassa une fois de plus, corps contre corps.
— Alors on fait quoi? me dit-elle avec un petit sourire entre deux baisers.
— Faudrait que je dise au revoir à mes amis avant de quitter.
— Moi aussi. répondit-elle avant de m’embrasser agrippant ma nuque.

Dans l’espoir de la retrouvé au plus vite, je me précipitai vers mes amis, leurs dit que je devais rentrer vite chez moi avant qu’il soit trop tard et je partis cherchant cette merveilleuse perle du regard. En vain, car la foule formant une vague vers la sortie obstruait ma vision. Je me laissai donc emporté dans ce courant .Une fois sortie la pluie commença à tombé en déluge. Ne trouvant plus ma douce je décidai de me dirigeai vers ma maison, car je commençais à être complétement trempé.
Repensant encore à toute cette histoire on m’accrocha...
— Tu voulais pas me revoir?
C’était elle et la pluie sur son linge faisait ressortir ses formes que j’aimais tant.
— Non, du tout, mais je te retrouvais plus avec tout ce monde. lui dis-je avec un telle bonheur de l’avoir retrouvé
— Moi de même, me répondit-elle avec un de ses sourires excitants, mais maintenant que l’on s’est retrouvé...
Je la prit par la main et l’amena dans une ruelle caché des regards non loin de là, où nos bras s’enlacèrent sous nos baisers. Nos corps se frottaient passionnément l’un-à-l’autre, mais je réussis à faire passer une main sous son t-shirt afin de masser ça poitrine qui était si douce sous son soutien-gorge. Elle gémit délicatement se qui m’excita et fit grossir davantage la bosse qui commençais à être de nouveau inconfortable sous mon pantalon. Ce qu’elle dû sentir, car elle détacha mon pantalon et le descendit un peu afin de libérer mon membre avant que sa main vienne soulager mon sexe en allant de haut en bas. Je relevai son t-shirt juste au dessus de sa poitrine afin de pouvoir admirer ses deux joyaux que je me pris en main. Sans vouloir la faire plus attendre je commençai à détacher son jeans à mon tour (qui me fit entre voir sa petite culotte noir munit de dentelle sur les hanches et qui couvrait tout son bassin) et au moment ou je m’apprêtais à baisser sa culotte elle m’arrêta.
— Ici quelqu’un pourrait nous voir, dit-elle toujours avec son sourire coquin sans arrêter de me masser le sexe.
— J’suis sûr que ça t’excite.
Elle sourit davantage. Étant caché entre une démarcation entre deux maison qui créait un espace et un tournant dans la ruelle sans compté la pluie qui créait un effet de brouillard, on était plutôt bien caché. Je descendit donc ses culottes au niveaux de ses cuisses et avant que je puisse faire quoi que ce sois je remarquai qu’elle avait commencé à m’installer un condom. Puis elle se retourna et se remit à danser (du mieux qu’elle pu avec ses culottes et son pantalon baisser niveau cuisse) l’espace d’un moment comme elle l’avait fait lors du concert collant ses fesses contre mon membres qui me sembla durcir d’avantage sous le contact de sa peau. Puis elle enchaina en plaçant ses mains contre le mur, me présentant ce que j’avais tant envié tout le temps de la danse. J’agrippai sa taille et entra doucement mon joyaux en érection dans sa douce partie, commençant des aller-retours de plus en plus rapide. Tout excité je me retenais de jouir du mieux que je le pouvais, car ses gémissements silencieux était des plus sensuels. Puis elle commença à lâcher de petit crie sous mes va-et-viens, sous l’excitation je tendit une main afin de rejoindre son clitoris et l’autre alla rejoindre sa poitrine. Ses cries s’accentuèrent de plus en plus jusqu’au moment ou elle se retenu de crier en plaçant sa main contre sa bouche, au même moment je sentis son intérieur se contracté sous mes va-et-viens ce qui me fit jouir en même temps qu’elle.
Toujours en elle, mes mouvements avaient ralentit sans s’être arrêter. Elle se redressât contre moi, tournant sa tête en ma direction.
— Je suis toute mouillé, il faudrait que je rentre pour me faire sécher avant d’attraper de quoi.
Je répondis d’un acquiescement de la tête avant d’embrasser sa nuque.
— Si t’as rien d’autre à faire ....
Je la regardai perplexe, j’étais sortis d’entre ses jambes et elle commençais à ce rhabiller correctement.
— Je sais pas mes parents doivent m’attendre...
Elle sembla un peu déçu, je lui demandai alors son adresse et j’appris qu’elle restait à 4 rues de chez moi. J’étais fou de joie de cette nouvelle et elle sembla toute aussi contente car elle me sauta dans les bras et après un long regard, j’appelai donc mes parents pour leurs dire que j’allais à une fête avec mes amis et le tour était jouer.
On sortit de la ruelle sans que personne ne nous vois, puis nous partîmes en direction de sa maison.
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