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rencontre inattendue avec mon professeur

Chapitre 1

Divers
      En vacances dans les environs de Cannes, je rencontrais par hasard dans une boite de nuit, un de mes anciens prof de terminale. Je le trouvais moins beau qu’à l’époque car je crois que je l’avais alors idéalisé. Néanmoins il dégageait toujours le même charisme et ses tempes, à présent grises, lui conféraient beaucoup de charme. J’allais sur mes 22 ans. Il devait en avoir pas loin de 50. Il me reconnut aussitôt et je crois qu’il fut heureux d’apprendre que je poursuivais mes études. — Et que désirez-vous faire ?— J’aimerais présenter le concours du barreau.— C’est difficile.— Je sais, mais j’ai la motivation.— Et l’intelligence. Vous avez toujours été une élève brillante.— Merci.— De rien, c’est la vérité. Je finis mon verre de vodka orange sans répondre, et il me resservit aussitôt.— Vous voulez me saouler ? fis-je.Il éclata de rire.— Avec la quantité de jus d’orange que vous mettez ça m’étonnerait. Je souris. Malgré le volume d’orange, la liqueur commença peu à peu à me chauffer la tête et lorsque les deux bouteilles furent vides, je lançai :— Je boirai bien autre chose.— Quoi ?— Gin.— Tonic ?— Non dry !— Ah, carrément.— Et pourquoi pas. Ça n’est pas tous les jours que je rencontre un ancien prof. Mon verre entamé je me confessai.— Vous savez, on été quelques unes à être amoureuses de vous.— Tiens donc, c’est un grand classique, non, l’élève amoureuse de son prof ?— Peut-être, mais nous étions chamboulées dès que vous entriez dans la classe.— Nous ?
Je venais de me trahir et plutôt que de répondre j’avalai une grande rasade. Il me regarda longuement et je dus reprendre le dialogue pour dissiper le malaise qui s’emparait de moi.— Vous avez toujours été sévère et vous nous faisiez frissonner lorsque vous éleviez la voix. Il me regarda dans le blanc des yeux.— C’est dans ma nature, j’aime qu’on m’obéisse.Je ne commentai pas ce trait de caractère et vidai le verre qu’il venait de me resservir. Je commençais à avoir les oreilles qui chauffaient et il me semblait que mon élocution se faisait plus difficile. Je m’en excusai. Il sourit puis lança, en posant sa main sur mon genou :— Ça n’est pas grave, et de toute façon il y a un temps pour le dialogue et un autre pour l’action.Je repoussai sa main.— Allons, soyez sage ! Il la remis aussitôt sur mon genou et tandis que je tentai une nouvelle fois de la repousser il s’agrippa fermement. Je fis une nouvelle tentative, puis j’abandonnai. Il garda mon genou prisonnier et demanda :— Quel est ton prénom, déjà ?Je ne m’offusquai pas, compte-tenu de la différence d’âge, du tutoiement et je répondis :— Alice.— Oui, c’est ça, Alice ! Je le questionnai à mon tour :— Et vous ?— Appelle-moi monsieur, ça ira très bien.Il me resservit un nouveau verre que j’hésitai pourtant à vider. L’alcool m’embrouillait les idées mais il levait quelques inhibitions et j’osai demander :— Et vous êtes marié ?— Pourquoi, tu veux m’épouser ? fit-il en souriant.J’appréciai le crétinisme de ma question, à laquelle il répondit toutefois :— Oui, toujours, et j’ai toujours deux enfants.Il avala une rasade de vodka puis desserra l’étreinte sur mon genou. Il changea de position, lança le bras sur le dossier de la banquette derrière moi, puis il reposa l’autre main sur mon genou. Il me regarda dans les yeux puis commença à remonter le long de ma cuisse. Je l’arrêtai lorsqu’il fut à mi parcours, et j’entendis aussitôt la voix grave, sévère, autoritaire, qui nous faisait frissonner dans la salle de cours.— Enlève tes mains. Je résistai quelques secondes puis je ne sus pourquoi, je lui libérai le passage. Il remonta lentement sous ma robe. Si lentement que j’en eus la chair de poule. Je cherchai le courage de me lever et de m’enfuir, mais je ne le trouvai pas. Quelle force diabolique m’empêchait donc de me soustraire à cet homme ? L’alcool avait-il réveillé de vieux fantasmes ? Je levai encore la main, bien décidée à l’abattre sur son bras, mais lorsque je sentis qu’il arrivait sur ma culotte, je frissonnai et désarmai aussitôt. Il retira soudain sa main, se retourna vers la table et leva son verre en lançant :— Enlève ta culotte.Je tendis moi aussi la main vers mon verre mais il me saisit le poignet.— Enlève ta culotte. Tout de suite !Il venait une nouvelle fois de s’exprimer si fermement que j’en frémissais. Alors je me trémoussai pour retirer mon string.— Donne !Je lui tendis le carré de tissus et remarquai aussitôt la tache.— Tu mouilles ?Je dus prendre dans la seconde une belle couleur pivoine qui se renforça encore lorsqu’il me força à répondre.— Je t’ai posé une question.Je fermai les yeux pour répondre :— Oui monsieur.Le « monsieur » était sorti instinctivement comme si mon ex-professeur marquait déjà son emprise sur moi. — Tu es mariée ?— Non.— Un copain régulier ?— Non.— Rassure-moi, tu baises quand même de temps en temps ?L’alcool ne dissipait pas la gène que j’éprouvai à répondre à ces questions troublantes. Heureusement il n’insista pas. Il passa son bras gauche autour de mon cou puis but une rasade de vodka.— Caresse-toi !A l’injonction, je fermai les yeux. — Tu n’as pas entendu ?Je hochai la tête.— Alors qu’est-ce que tu attends ?Sa phrase à peine achevée, de sa main gauche il saisit mon sein, chercha le téton à travers mes vêtements et le pinça jusqu’à ce que j’obéisse. J’étais excitée et ma respiration s’accéléra. Il s’écarta de moi puis subitement releva ma robe sur le haut de mes cuisses. Nul doute que certains clients devaient profiter du spectacle mais je n’étais pas en état de m’en offusquer. J’avais la chatte en feu, et je m’activai sur mon clitoris hypersensible. Bientôt je poussai un cri aigu qui attirèrent les regards sur moi. Je m’en foutais. Dès que j’eus joui, mon professeur rabattit ma robe. J’étais dans tous mes états. C’était la première fois que j’obéissais ainsi aux ordres d’un homme. Je l’avais bien fait une fois ou deux déjà, mais par jeu. Or là, il ne jouait pas. J’étais totalement sous l’emprise de cet homme de 30 ans mon ainé et je me demandai un instant s’il n’avait pas versé quelque drogue dans mon verre. Quand l’aurait-il fait ? Je ne l’ai pas quitté des yeux. L’alcool alors ? Oui, sans doute lève-t-il quelques barrières, mais je crois que la raison de ma docilité était due à la fascination que cet homme exerçait sur moi… comme jadis. Peut-être avait-il un don pour m’hypnotiser. Non ! je gardai ma conscience intacte et libre, j’en était certaine et seule l’envie, inconsciente peut-être, de succomber à sa domination m’ôtait toute possibilité de résistance. J’avais le sentiment de me laisser entrainer dans un mode de relation totalement inconnu. Il est vrai que ma sexualité, était presque inexistante. Je gardai quand même un soupçon de moralité puisque j’éprouvai de la honte à m’être ainsi exhibée. Lisait-il dans mes pensées ?— Tu n’as pas à avoir honte, lança-t-il les yeux tournés vers la piste de danse. Regarde ! Ils ont déjà tous oubliés. Et puis il n’est point temps de jouer les hypocrites. Ça t’as plu sinon tu serais partie.Que pouvais-je répondre à cela ? Il poursuivit.— Et puis je sens que tu as besoin de sortir des relations sexuelles « vanille ». Je savais de quoi il parlait mais je trouvais mes relations sexuelles, bien qu’elles fussent rares, parfaitement à mon goût. J’allais le lui dire lorsqu’il se leva.— Aller, on y va.Je fus surprise par cette précipitation, mais je le suivis. Où m’entrainait-il ? Je crois que je m’en fichais car son statut d’ancien prof légitimait une certaine confiance, et j’étais sûre de n’avoir rien à redouter d’autre que de nouvelles expériences… Je posai la main sur la poignée de la portière passager lorsqu’il m’arrêta.— Tu montes derrière.J’obtempérai.La vieille Volvo s’engagea sur le périphérique.— On va où ?Il ne me répondit pas et quelques minutes plus tard lança d’une voix forte.— Mets-toi à poil.— Hein ?— Ne m’oblige pas à m’arrêter, Aline.La façon dont il prononça mon prénom, me glaça et je jugeai prudent d’obéir. Je retirai donc ma robe et restai en soutien gorge. Moins de 100 mètres plus loin il s’engagea sur une aire de repos, s’arrêta puis se retourna. Il me saisit par les cheveux. — Tu ne sait pas ce que ça veux dire à poil ?Je bafouillai.— Heu… S… Si— Alors ?Avant que j’ai pu répondre il plongea la main dans mon soutien gorge et sortit mes seins.— Enlève-le, fit-il en redémarrant.Je m’exécutai. De toute façon il avait tout vu, alors…— Donnes moi tes fringues.Je lui tendis ma robe et mon soutien gorge. la culotte il l’avait déjà dans sa poche. Il les glissa sous son siège puis me lança un sac en carton.— Mets ça.Moins de cinq minutes plus tard j’étais vêtue d’une jupe plissée ras la touffe et d’un polo ultra moulant où j’eus du mal à loger mes gros nichons. Il jeta un regard dans le rétro.— Parfait.— J’ai l’air d’une pute, me plaignis-je.Il ne répondit pas mais au bout de dix minutes, lança. — Mets toi sur le siège du milieu et assieds toi au bord.C’est ce que je fis.— Maintenant cale-toi contre le dossier et écarte les jambes, je veux voir ta chatte dans mon rétro.Pourquoi ne lui ai-je pas répondu d’aller se faire voir ? Au lieu de ça j’obéis docilement.— Parfait, reste comme ça. Je me sentis encore honteuse de me retrouver dans cette position mais cela me plut et chaque regard qu’il jetai sur son rétro me faisait frissonner. Soudain il éclata de rire.— Je crois que le t-shirt est quand même un peu juste, mais ça moule bien tes mamelles et ça me plait. Il marqua une pause puis demanda :— J’espère que tu suces bien, parce que je suis très difficile.Il me fallu moins d’une seconde pour devenir écarlate.— On a déjà dû te faire des commentaires sur tes pipes, non ?Je ne savais plus où me mettre. J’avais envie de démonter mon dossier pour me glisser dans le coffre.— Alors ? réponds.Je me sentis coincée et je bafouillai :— C’est que… heu…— Quoi ?Je pris une profonde inspiration avant de souffler… d’une traite.— Je n’ai pas beaucoup d’expérience.— Explique.Là, d’un coup, je lâchai prise.— Je n’ai eu qu’un copain.— C’est lui qui t’as dépucelée ?— Oui, mais…— Quoi ?— Il a pas beaucoup d’expérience non plus.— Et tu n’as sucé que lui ?— Oui.— Ah !— Désolée.— Pourquoi désolée ?— Ben… je suppose que vous avez connues beaucoup de femmes.Il ne répondit pas et quelques kilomètres plus loin il s’engagea sur une bretelle de sortie et se rangea sur un terre-plein. Il se retourna vers moi.— Je vais faire de toi une petite salope. Et je t’apprendrai à me sucer comme j’aime. Il sortit de la voiture et ouvrit la porte arrière.— Sors.Lorsque je me retrouvai devant lui il ouvrit son pantalon.— Montre-moi ce que tu sais faire.Je ne cherchai pas à me soustraire… tant j’étais excitée et je me courbai vers sa grosse queue. Je ne l’avais pas encore en bouche qu’il me saisit par l’oreille— Aie !— A genoux ! Forcée, je pris la position et commençai à le pomper. Au bout de cinq minutes il me bloqua la tête et me baisa dans la bouche bestialement. On ne me l’avait jamais fait et je trouvai cela très humiliant. Je le sentis gicler abondamment dans ma gorge. Il se retira et me maintins les lèvres serrées jusqu’à ce que j’avale son foutre. Ça aussi c’était la première fois et je n’aimais pas trop. Il me saisit par les cheveux.— Je te baiserai toujours comme ça tant que tu ne me suceras pas correctement. C’est compris ?Je hochai la tête puis je murmurai… timidement :— Oui.— Oui qui ?— Oui, monsieur, mais… mais…— Mais quoi ?— Vous… vous m’apprendrez ?Il sourit avant de se rajuster.— Monte. Je vais t’emmener t’exhiber un peu.— M’ex…Il me coupa la parole.— Tu as quelque chose contre ?Il m’entraina jusqu’à un parking de routiers et lorsqu’il me fit déambuler entre les camions j’entendis des sifflements… admiratifs. Il me fit bientôt arrêter et nous fumes cernés par quatre ou cinq camionneurs. — Bonsoir messieurs. Je vous ai amené de quoi vous rincer l’oeil. Mais pas plus.Cela dit il me retira mon t-shirt et j’entendis une voix.— Merde, elle en a une sacré paire.Je vis mon prof sourire puis il se baissa pour me retirer ma jupe. J’étais à poil devant tous ces hommes lubriques et pourtant je ne songeai pas à fuir.Mon professeur m’ordonna de m’asseoir sur le marche pieds d’un camion et de me caresser. Je m’assis, hésitai, et me mis à l’ouvrage dès je le vis approcher à grands pas. Quelques routiers descendirent leur braguette et m’imitèrent. La vue de toutes ces bites, dressées grâce à moi, m’électrisa et je m’astiquai de plus belle. J’entendis quelques hommes qui manifestèrent le désir de me sauter et je m’en trouvai terrorisée jusqu’à ce que mon prof s’approche. — Tu ne crains rien, je suis là.Sans un regard pour les routiers il me ramena à la voiture et lorsque nous reprîmes la route il me demanda— Alors, tes impressions.Je ne cherchai pas à faire ma timide… après ce que je venais de faire. Et curieusement le sentiment de honte ne vint pas me titiller. J’avais aimé me masturber, nue, devant tous ces hommes et j’avais aimé aussi les voir. Je le lui dis.— A la bonne heure. Tu deviens une petite cochonne, Aline. Méfie-toi, tu risques d’y prendre goût.— C’est parce que vous êtes là.— Comment ça ?— Avec vous je me sens en sécurité, j’ai confiance et puis, au bahut vous m’avez appris beaucoup de choses alors je me dis que vous pouvez m’en apprendre encore.Je vis son sourire dans le rétroviseur, et sans qu’il me le demande je repris la position afin qu’il ait une bonne vue sur ma chatte. Croisant son regard approbateur dans le rétro, j’osai demander :— Et maintenant ?— Maintenant je veux savoir si tu es bonne à baiser.Je fermai les yeux sans répondre et il ajouta.— Si tu es bonne à baiser recto verso. Tu comprends ce que je veux dire ?Je hochai la tête.— Je n’ai pas entendu.— Oui, monsieur, j’ai compris. — Rassure-moi, tu as déjà été prise dans les fesses ?Je répondis à voix basse, les yeux baissés.— Juste une fois.— Comment ?— Juste une fois, monsieur.— Ah !— Désolée.— Oh, mais ne sois pas désolée Aline, j’adore les petits culs étroits. Il s’arrêta sur le bas côté. — Mets-toi à genoux sur le siège.Lorsque je fus en position il tendit la main pour me caresser les fesses puis il exigea.— Aller montre-moi où je vais rentrer tout à l’heure.Je me sentis à nouveau honteuse de devoir lui montrer mon endroit le plus intime. J’hésitai donc et il me décida en me claquant violemment les fesses.— Dépêche-toi.Ma fesse me cuisait et je ne voulais pas une seconde gifle alors je les saisis et je les écartai. — Oui, effectivement tu as la rondelle très étroite. Ton copain n’aimait pas te sodomiser ?— Si, mais je voulais pas. — Non, ne bouge pas, et dis moi pourquoi tu ne voulais pas.— J’avais peur, il m’avait fait mal la première fois.— D’accord, mais tu sais que moi je ne te demanderai pas ton avis.Je tournai la tête pour le voir tout en gardant mes fesses écartées.— Je sais monsieur et…— Quoi ? parle !— Je… je préférais attendre quelqu’un d’expérience.— Comme moi ? J’enfouis la tête dans le dossier.— Réponds. Je relevai la tête.— Oui, monsieur. — Tu peux te rasseoir.Je repris ma position sur le siège, cuisses écartées.— On va où, monsieur. — Là, sur la colline, il fait chaud ce soir et je veux te prendre dans un joli décor. Il passa la main sur ma cuisse.— Passe devant.Lorsque je fus assise à côté de lui il exigea.— Je veux que tu me branles pendant que je conduis. Débrouilles-toi, je veux que ça dure et dès que tu sentiras que je vais gicler, tu mettras la bouche. Et gare à toi si tu taches les sièges.J’hésitai un instant mais le regard qu’il me lança me décida. Je sortis sa queue. Elle était longue… épaisse et je frissonnais en pensant que tout à l’heure je l’aurai dans les fesses. Je fis doucement coulisser le prépuce sur le gland puis je commençai à le branler.— C’est bien, continue comme ça. Je contrôlai la pendule et je m’arrêtai dès que je pressentais le moment fatidique. Soudain il me saisit derrière la nuque et me força à baisser la tête. Il éjacula à la seconde où je refermai mes lèvres autour de sa bite. — Rhabille-moi.Je rangeai l’engin et refermai sa braguette avec difficulté car sa bite ne rétrécissait pas.— Je suis capable d’éjaculer quatre fois de suite sans recharger. C’est une particularité qui porte un nom mais je me souviens plus. De toute façon on s’en fout. L’essentiel est que je reste bien dur pour te défoncer. Il sourit puis il tendit la main pour me peloter les seins.— T’as de sacré mamelles.C’est vrai, j’en étais fière et déjà, à 13 ans je rendais jalouses mes copines.— Caresse-les.Je posai aussitôt les mains sur mes obus et comme ils étaient hypersensibles je m’enflammai en quelques secondes. — Tu m’as l’air super chaude ma cochonne.Le qualificatif irrespectueux me fit frissonner. C’était la première fois qu’on me parlait ainsi, et venant de cet homme autoritaire, cela me troubla… et me plut.— Y’a combien de temps qu’on t’as pas baisée ?Je n’osai pas lui dire la vérité.— Heu… une semaine je crois.Il me lança un regard sévère puis me gifla. Pas une claque violente… mais humiliante. Et cette gifle, qui ne portait aucune violence m’accrocha à la domination de mon professeur. J’entrai dans un univers inconnu… troublant et la conscience d’appartenir, en ce moment du moins, à cet homme, me fit trembler de tout mon être et je fus prise par l’envie irrépressible de lui plaire, de m’offrir corps et âme. J’aimais… beaucoup… lui obéir. Jamais un homme ne m’avait de la sorte, dirigée, dominée, dans mes relations intimes. C’était nouveau… c’était grisant ! Alors lorsqu’il répéta :— Alors ?Je baissai les yeux et avouai.— Quatre mois, monsieur. Il éclata de rire.— Tu as besoin d’un bon ramonage, alors.Il s’engagea sur un petit chemin et s’arrêta sur un terre plein qui surplombait la ville.— C’est beau, non ? lança-t-il.— Oui. Il passa la main sur ma poitrine puis il ordonna.— Mets-toi à genoux sur le siège, je veux toucher ton cul.J’obéis aussitôt, cambrant les reins.— T’as un joli cul. Je crois que je vais commencer par là.Je frissonnai et il me claqua gentiment les fesses.— N’aies pas peur, j’irai doucement. Mais quand le passage sera fait je te défoncerai.Je frémis une nouvelle fois. J’étais certaine qu’il me ferait mal et pourtant… j’avais envie de sentir sa bite au plus profond de mon intimité. Je crois que je devenais folle. Que cet homme me rendait folle. Jamais avec un autre je n’aurai accepté une telle soumission. Je ne me reconnaissais plus !Il ouvrit sa portière.— Prends le lubrifiant dans la boite à gants et je te conseille d’en mettre une bonne dose parce que je veux entrer directement ma queue.Je me tartinai l’anus du mieux que je pus puis il m’attrapa par le poignet et me positionna, à plat ventre, sur le capot de la voiture. Lorsque je sentis son gland forcer sur mon anus, je me raidis.— Détends-toi, sinon ça va faire mal.Il me flatta la croupe puis je le sentis lentement s’enfoncer. Chaque millimètre m’ouvrait d’avantage et je grimaçais sous la douleur. Puis, tout à coup j’eus une sensation étrange. Comme un relâchement et la douleur s’estompa. Il continua de s’enfoncer lentement, ménageant des pauses.— Ça va ?Je murmurai— Oui, oui, ça va.Et je le remerciai en secret pour sa douceur… et son expérience. — Je vais rentrer à fond et puis je ressortirai jusqu’à ce que ta rondelle soit suffisamment détendue.Il procéda ainsi et je grimaçai, mais de moins en moins, dès qu’il forçait. Néanmoins cette douleur, je voulais la supporter, pour son bon plaisir, car si moi, je n’en n’avais aucun, je sentais qu’il aimait glisser dans mon étroit fourreau. Puis, soudain il se déchaina et me défonça en grognant. J’avais l’anus en feu mais je le laissai faire. Il se retira précipitamment, me jeta à terre sur le dos, puis il s’agenouilla près de mon visage et s’astiqua vigoureusement.— Ouvre la bouche, vite !J’obéis juste à temps pour recevoir son sperme âcre et chaud que j’avalai. Lorsque je me redressai, je vis un couple qui nous regardait. L’homme apprécia la prestation de mon professeur.— Qu’est-ce que vous lui avez mis.— Elle en avait bien besoin cette salope, déclara mon prof en me caressant les seins.Je ne me sentis pas humiliée mais, étrangement, flattée par le mot. Je n’étais plus, en ces instants, la sage Aline, réservée et prude. Grâce à mon professeur j’étais entrée dans une autre dimension qui me libérait de toute entrave… et je m’offrais aux volontés de mon maître, sans plus aucune honte. Pourtant, la présence de ce couple me mettait toutefois mal à l’aise. L’homme se baissa pour saisir mes mamelles et je lançai à mon professeur un regard implorant. L’homme était bedonnant et il ne me plaisait pas. — Je peux la baiser ? lança-t-il.Je fermai les yeux et priai pour que mon prof s’y refuse. Mais il avait envie de me soumettre et il répondit.— Oui, si votre femme me suce.— Pas de problème. Elle adore ça. N’est-ce pas chérie ? répondit l’homme en retirant son pantalon.Il s’allongea sur moi et me pénétra sans difficulté tant j’étais mouillée.— Allez-y, elle a besoin d’un bon ramonage, fit mon professeur.Je ne le quittai pas des yeux et j’eus un léger sentiment de jalousie en le regardant se faire sucer. Je fermai les yeux pour ne pas voir l’homme qui me baisait. C’était la bite de mon prof que je voulais dans ma chatte. Pas la sienne ! Néanmoins il savait s’y prendre et je partis dans un orgasme puissant… exacerbé par le plaisir de mon prof que j’entendis gémir. Quant à l’homme, il se retira pour se branler et jouit sur mes seins.Nous restâmes tous quatre plus d’une heure allongés, nus, sur l’herbe puis mon professeur glissa quelques mots à l’oreille de la femme. Celle-ci me regarda puis elle saisit la queue de son homme dans la bouche.— Fais comme elle, ordonna mon prof.je me penchai et lorsque je posai les lèvres, sa bite se redressa aussitôt et la femme ne put se priver d’un commentaire.— Il a une queue superbe, profites-en.Durant une demi heure, sous les étoiles, je la regardai sucer son homme et je m’appliquai à l’imiter sur la bite de mon professeur. Elle m’apprit l’art de la fellation et longtemps après j’obtins ma récompense lorsque mon professeur s’activa dans ma chatte, m’offrant deux magnifiques orgasmes.Avant de me déposer devant chez moi, il déclara :— Je veux te voir trois fois par semaine et je veux que tu fasses le nécessaire pour t’assouplir la rondelle parce que quand je t’enculerai je veux pouvoir rentrer sans problème. C’est compris ?je clignai des yeux avant de répondre :— Oui. Puis, sans l’avoir prémédité, je rectifiai aussitôt :— Oui maître.
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