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Rencontre innattendue au camping naturiste

Chapitre unique

Inceste
Cette année encore, je suis venu passer deux semaines de vacances au camping naturiste des sables, et ce soir c’est ma dernière soirée avant le départ. Je suis assis à une table écoutant la musique lorsque, j’aperçois une silhouette, venant dans ma direction et ressemblant assez à une de mes cousines.
Arrivée à deux pas de la table, elle s’arrête, me tend les bras et :
— Mon cousin ! Qu’est ce que tu fais ici ?— Certainement comme toi ! Je suis venue passer quelques jours au soleil.— Bien dis donc, je pensais pas te retrouver ici. Ben, ça fait un bail...— Pour ça oui ! Deux, trois ans ?— Peut être...— Mais dis moi, tu es toute seule ?— Non, Gérard est resté au bar avec des copains de comptoir !— Pas grave ! Viens, t’asseoir.

A peine assise, voilà le DJ qui lance une annonce. « Maintenant que vous êtes bien secoués, la direction vous offre une demie heure de sensualité ». Alors les couples de nudistes se forment et Joëlle me dit à l’oreille.
— Tu me fais danser cousin ?— Bien sûr, avec plaisir... !

Alors, nous nous levons et rejoignons les autres danseurs sur la piste de danse, et nous voilà partis, collés comme deux sardines dans une boîte. Joëlle, s’accroche à mon cou et de ce fait, ses gros nénés s’écrasent contre ma poitrine. Pour moi c’est très agréable. Alors, je la prends par les hanches à deux mains et la serre tout contre moi. Et, c’est dans cette position très sensuelle que nous nous lançons dans ce premier slow.
Quelques instants plus tard :
— Joëlle, je crois que j’ai un petit problème.
— Ah bon ?— Ouééé... J’ai une érection qui monte.— Fais voir !

Discrètement elle descend sa main et la pose sur mon sexe puis, se met à rigoler.
— Ah oui, tu bandes mon cousin !,— Et là, comment on fait ?— On va s’éclipser discrètement et je vais m’occuper de ça. Ça te va ?— Ben oui, d’accord !— A côté, il y a de petits box pour les amoureux. On va en prendre un et là comme ça, personne nous dérangera.— D’accord on y va.

Nous restons bien collé l’un à l’autre et nous nous éclipsons de la piste de danse.
Quelques secondes après, nous sommes à l’abri pour poursuivre notre aventure, et quelle aventure !
C’est vrai que je n’aurai jamais pu imaginer me retrouver à danser, à poil, avec ma cousine et, encore moins, être à deux doigts de lui faire l’amour. Mais bon, c’est comme ça...
Aussitôt dans le box, elle claque la porte et la verrouille en me disant.
— Là, on est tranquille.

Aussi sec, elle s’empare de ma queue et me dit en la regardant fixement.
— Waouh ! dis donc, mon cousin, quel beau joujou. Tu es très bien monté !— Pourquoi, tu dis ça ?— Parce que c’est vrai.

Sans dire plus, la voilà qui s’accroupit, me masturbe, tout en se tripotant la chatte.
— Comme ça, ça va mieux cousin ?— Oui, oui ! Et... pour toi aussi ?— Aussi !

Après ça, elle se met à genoux, fourre ma bite dans sa bouche et entame une fellation qu’elle fait durer bien trois à quatre minutes puis, après avoir libéré ma queue de sa bouche me dit, d’un petit air malicieux.
— A toi maintenant !

Elle s’allonge sur la banquette, replie ses jambes vers elle pour offrir sa belle fente épilée à ma bouche et, à ma langue friande.
Aussitôt, j’insère généreusement mon majeur, à l’intérieur de sa moule, pour la doigter. Puis, je lui colle ma bouche sur sa chatte, plonge ma langue entre ses lèvres déjà bien humides, la lèche abondamment, afin d’y déguster son jus avant, de retrouver son bouton d’amour que je suçote longuement. Et là, ma cousine commence à gigoter copieusement sur la banquette, en poussant de longs soupirs et même quelques gémissements qui, en disent long sur son excitation.
Et dans son plaisir, c’est un peu essoufflée, qu’elle finit par me susurrer.
— Hummm... c’est bon ça, cousin !— T’as pas envie de ma queue ?— Si, si ! Baise moi s’il te plaît.

Alors, je me penche sur elle, prends ma bite dans la main, lui plante jusqu’à la garde et commence aussitôt à aller et venir dans cette fournaise débordante de son jus de femme.
Et la :
— Waouh !— C’est bon cousine ?— Ah oui ! Comme ça, tu vas me faire jouir dans pas longtemps.

Alors, je m’applique à bien lui limer sa moule et, effectivement, sous les coups de boutoir, ma cousine soupire et gémit fortement. Puis quelques secousses plus tard :
— Cousin... Je pars... oui, oui, oui !

Et là, je redouble d’attention pour la faire jouir encore plus fort, et ça marche bien. Joëlle se met à me chanter son bonheur à chacun de mes coups de reins.
Après quelques minutes d’un plaisir intense, elle retrouve le plancher des vaches et là :
— Joëlle, met toi à genoux sur la banquette !

Sans se poser de question elle se met en position. Je viens aussitôt me mettre derrière elle et, avant de lui replanter ma queue :
— Hééé ma cousine !— Oui cousin.— T’as un bien joli trou du cul, tu sais !— Non. Je l’ai jamais vu !— Moi, je te le dis. T’as pas envie que je joue avec ?— Tu veux dire que tu as...— Envie de te sodomiser ! Moi, ça me tente ! Pas toi ?— Pas bien chaude ici... mais pourquoi pas !

Alors, en premier lieu, je la prends en levrette. Sa moule est toujours autant baveuse. Ma queue va et vient avec une aisance déconcertante. Quand, quelques allers-retour plus loin, sa fente se met à m’offrir quelques pets sympas. C’est vrai, que ça n’arrive pas bien souvent mais moi, c’est un truc qui me fait triquer encore plus. Alors, avant de passer à la phase suivante, je fais tout ce qu’il est possible pour que cette chatte continue à péter de bonheur.
Passer cet autre moment de jouissance pour Joëlle, je retire ma bite de son volcan en fusion et m’empresse pour la préparer à la sodomie. Je lui lèche abondamment sa rondelle plissée et lui pénètre avec les doigts enduits de son jus de chatte et de salive plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle se relâche et que son anus se dilate au mieux.
Ceci fait, Joëlle me fait signe qu’elle est prête à m’accueillir. Alors, je fais deux aller retour dans sa moule pour bien enduire ma queue de son jus et la présente à son petit trou. Poussée après poussée, lentement sa rondelle étoilée accepte la présence de mon encombrant objet, puis s’ouvre petit à petit et finit par se laisser pénétrer.
Une dernière poussée, mon gland s’engage puis, disparaît suivi par la hampe de mon sexe et là ;
— Heummm... cousin !— C’est bon cousine ?— Aaah oui, c’est bon ! Emmène moi au paradis maintenant.

Là, nous sommes bien d’accord. Mais, au paradis, elle ne va pas y aller toute seule. C’est ensemble que nous allons y entrer. Alors, pour ça, je met la machine à ovaliser les trous du cul aussitôt en route.
Je l’empoigne, encore une fois, par les hanches et lui pilonne ses fesses, pour que ma queue se plante bien au fond. Et ça marche même très bien. Joëlle se cramponne au dossier de la banquette et, comme s’il y en avait pas assez, me met de bons coups de rein, pour que ses fesses claquent contre mon bassin.
Nous sommes vraiment là, sur la même longueur d’ondes. A chaque coup de rein, ma cousine m’accompagne d’un « Ah oui... ou Hum... ou encore ou même vas y fuck me... ».
Et moi, de lui répondre :
— Mais oui cousine, je te fuck ! C’est bon ?

Mais là, plus de réponse. Elle est partie, elle jouit, jouit et moi, je persiste à lui bourrer le cul. Quand tout à coup, je sens arriver, comme un pur sang au galop, ce flot de sperme que je lui déverse tout au fond de son anus.
Quelques secondes après, ma cousine se remet de sa jouissance et s’aperçoit que je suis en train de retirer ma queue de son trou du cul. Et, c’est encore dans un demi brouillard qu’elle me bafouille.
— S’il te plaît cousin... encule moi encore un peu !— Je veux bien... Mais je viens d’éjaculer.— Ah zut ! J’ai même pas senti.— Tu es partie je sais pas trop où. Et j’ai pas pu me retenir plus longtemps. Je suis désolé. — Ça fait rien. En tout cas, tu m’as régalée. Qu’est ce que j’aime ta queue dans mon cul ! J’ai bien envie qu’on remette ça un de ces soirs.— Là aussi, je suis désolé ! Je rentre demain. Lundi, c’est le boulot qui m’attend.— Ah mince alors ! Je pensais qu’on pourrait se faire plaisir de temps en temps. Je suis un peu déçue. C’est pas grave. On se retrouvera après les vacances.— Et oui... En attendant, on retourne danser ?— Oui, si tu veux ! Et, si tu as encore une érection, on reviendra faire un tour ici.

Nous retournons sur la piste de danse où l’ambiance est au maximum. Nous nous incrustons au milieu des fêtards et entrons dans la fête .
Une bonne heure plus tard, le DJ refait la même annonce que tout à l’heure. Alors, les couples se reforment et bien sûr, Joëlle revient vers moi. Et, c’est encore très collé serré que nous nous lançons dans cette nouvelle série de slow.
Cette fois, j’ai pu me maîtriser une petit quart d’heure, mais pas plus. Car, soudain, ma queue s’est remise à la verticale, comme tout à l’heure. Alors, avec cette métamorphose physique, nous nous éclipsons discrètement pour nous retrouver à nouveau dans notre cachette. Et là, nous remettons le couvert. Mais avec une petite variante. Nous commençons par un très long et jouissif soixante neuf, suivi par un tour de balançoire, où ma cousine c’est envolée une première fois et, pour parfaire notre plaisir mutuel, terminé par une levrette vaginale et anale pour, aller jusqu’au bout de notre jouissance et, en particulier celle de ma cousine Joëlle.
Après ce second épisode, nous décidons d’aller poursuivre cette soirée de sexe dans mon bungalow.
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