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Rencontre innattendue au camping naturiste

Chapitre 2

Les soirées se suivent et se ressemblent

Inceste
Hier soir, j’ai eu l’agréable surprise de retrouver ma cousine Joëlle que je n’avais pas vue depuis trois ou quatre ans, et avec laquelle j’ai passé une formidable soirée. Alors, pourquoi ne pas rencontrer une autre personne pour agrémenter ma soirée et pourquoi pas ma nuit.
Donc, me revoilà assis à une table, au bord de la piste de danse, une bière à boire en attendant que les choses se passent tout en écoutant la musique. Quand tout à coup, il me semble reconnaître Isa, la fille de ma cousine. C’est vrai qu’habillée et nue, il y a des différences qui peuvent surprendre. Mais pas là, c’est bien elle.
La dernière fois que je l’ai vue, elle devait avoir treize, quatorze ans. Elle était déjà une bien belle adolescente, et bien que nous nous soyons croisés dans les rues d’A... à plusieurs reprises, aujourd’hui, c’est une fort charmante jeune femme, d’une vingtaine d’années, que je retrouve.
Elle s’approche de la table et en souriant, me dit :
— Bonsoir mon cousin.— Bonsoir Isa, comment vas-tu ?— Oh bien... ! Maman m’a dit, ce matin, que tu étais au camping. Alors, je suis venue, à tout hasard, et voilà... ! Tu es tout seul ?— Comme tu peux voir.— Tu veux que je passe un moment avec toi ? Ça fait si longtemps qu’on en a pas eu l’occasion !— Bien sûr... ! Assieds-toi.
Bref, nous commençons à papoter quand, tout à coup, le DJ nous invite à un moment de calme et de tendresse et à rejoindre la piste de danse.
— Tu veux bien danser avec ton vieux cousin ?— Ben oui..., mais, tu n’es pas vieux ! Pourquoi, tu dis ça ?— Simplement parce que toi, tu dois avoir dix-sept, dix-huit, et moi soixante plus les années de nourrice !— Laisse-moi rire ! C’est pas l’âge qui fait qu’on est vieux ou pas. Mais, pour répondre à ta question, c’est ça ! Mes dix-huit ans, c’était, il y a cinq ans et demi, mon cousin !— Waouh. Oh putain, que le temps passe !— Eh oui cousin.— Bon allez, on y va... !
Bon, la musique tendre nous invite à venir nous coller l’un à l’autre. Honnêtement, vu comment est physiquement Isa, je pense qu’il va m’arriver la même aventure qu’hier soir avec sa mère. Car ma petite cousine est encore mieux foutue que sa mère, un vrai canon.
Isa est une blondinette, dont les yeux bleus m’envoûtent, mais pas que. Elle est dotée d’une paire de nénés fermes et hauts perchés, avec certainement un bonnet C et même peut-être plus. Quant à ses fesses, elles sont bien dans la proportion de sa poitrine, bien rondes et bien musclées, tout comme ses cuisses. Et que dire de son bijou d’amour ! Puisqu’ici, rien n’est caché. Elle a une motte pubienne très proéminente avec un filet de poils châtain blond, genre ticket de métro, rasée de très près, marquant l’entrée d’une superbe chatte, aux grandes lèvres plutôt charnues, d’une superbe couleur rose tendre, avec à son sommet, pointant vers l’avant, le capuchon d’un clitoris, au demeurant, bien apparent et certainement, très appétissant. Ce qui me fait déjà rêver d’une suite plutôt chaude, à venir. Rien que d’y penser, j’en ai la queue qui se redresse déjà.
Aussitôt sur la piste, Isa me passe les bras autour du cou, pour se coller à moi et moi, je la prends par la taille. Mais rapidement, mes mains descendent se poser sur ses fesses. Nous voilà collés l’un à l’autre, serrés comme deux sardines dans une boîte. Pour ma part, je trouve ça très agréable. Je sens la chaleur de son corps m’envahir petit à petit, et ses seins fermes qui s’écrasent contre ma poitrine me font déjà fortement monter la température. Je sens que, dans les minutes qui vont suivre, je vais me retrouver dans la même situation qu’hier soir avec Joëlle.
Bien sûr, quelques instants plus tard, je sens ma queue, insensiblement, se gorger de sang et dans les dix secondes qui suivent, je me trimballe une érection pas possible. De ce fait, ma petite cousine se retrouve avec la queue de son vieux cousin qui navigue entre ses cuisses et vient cajoler les lèvres de sa chatte.
Ressentir la chaleur de son sexe, c’est très agréable et très jouissif. En tout cas, moi, ça ne me déplaît pas d’un poil, tout au contraire, je suis ravi de sentir ma queue entre ses cuisses, pratiquement prête à plonger entre ses lèvres fortement mouillées. Quant à Isa, ça n’a pas l’air de la chagriner non plus.
Passée une dizaine de secondes à danser comme ça avec mon sexe entre ses cuisses, elle me regarde dans les yeux en souriant et me dit d’un air malicieux :
— Je crois que mon cousin a un petit souci !— T’as raison Isa, pas un petit, un gros comme hier soir avec ta mère.— Ah bon ! Et tu crois que je peux arranger ça ?— Ben, si tu peux faire quelque chose...— Comme...— Tu te soulèves, sur la pointe des pieds, pour me laisser te pénétrer !— Pas là cousin. Mais, je vais pas te laisser comme ça !— Bon alors, on quitte la piste comme ça et on va vite dans un box à côté.— D’accord mon cousin.
C’est toujours collés serrés que nous nous éloignons de la piste, toujours avec ma queue entre ses cuisses. Mais là, pour bien la garder en érection, Isa glisse sa main entre elle et moi, l’empoigne et commence à la masturber discrètement jusqu’à ce que l’on soit dans le box. Ça aussi, c’est une bonne initiative.
Une chance, le premier est le bon. Nous y entrons. Je me jette sur la banquette et là, ma petite cousine se met à genoux et entame une superbe fellation, qu’elle va faire durer longtemps.
Quelques instants plus tard :
— Ça va mieux François ?— Ben oui. Merci Isa. C’est vachement bon ce que tu me fais là...— Merci cousin.— Et si je m’occupais un peu de ta chatte aussi ?— Oui, bien sûr. J’allais te le demander.— Je m’allonge... tu viens à califourchon. Comme ça, on se donne tous les deux ensemble... !— D’ac... !
Trois secondes plus tard, je me retrouve avec sa chatte sur le nez. Aussitôt, je lui écarte ses lèvres et lui fourre ma langue à l’intérieur. Qu’est-ce qu’elle est délicieuse cette moule ! Elle est brûlante de désir et débordante de mouille. Quel régal, moi qui adore ça. Quant à elle, elle a repris ma bite en main et, surtout, en bouche pour continuer sa fellation.
Elle suce et branle ma queue, un vrai délice, et moi, je lui bouffe sa moule et son clito, ce qui, une poignée de secondes plus tard, la fait gémir et gigoter comme un ver.
Quelques minutes plus tard :
— Isa... ! J’ai envie de te baiser.
Alors, nous mettons un point final à ce divin soixante-neuf. Elle se met à quatre pattes sur la banquette pour m’offrir son volcan. Je me place aussitôt derrière elle et là, je lui plante ma bite au plus profond de sa moule qu’elle avale tel un aspirateur. Je sens sa chaleur vaginale envahir ma queue. C’est l’extase. Sa chatte est douce, comme un écrin de soie. C’est doux et en même temps encore serré. Un peu comme si elle venait de me donner sa virginité.
Aussitôt pénétrée.
— Heummm... ! C’est bon... mais elle est bien grosse ta bite, mon cousin... !— Et, elle te fait du bien... — Ah oui... ! Elle va même me faire jouir comme une folle.
Mais pendant que nous parlions, ma queue avait déjà commencé à se mouvoir d’avant en arrière et d’arrière en avant. Et, mes va-et-vient la font déjà gigoter sur sa banquette. Pour moi, c’est le bonheur total. Sa chatte enserre mon mandrin, comme la chatte d’une pucelle juste après le dépucelage. Mais, comme elle est tellement lubrifiée, qu’il navigue avec une aisance incroyable.
Quelques secondes plus tard :
— Oh François... ! Qu’est-ce que c’est bon !— Ah oui ! c’est même vachement bon.— Tu peux accélérer un peu s’il te plaît ?— Mais bien sûr, ma belle.
Alors, je passe la seconde et là, Isa se met à gémir de plus en plus et de plus en plus fort. Je crois même qu’elle est en train de quitter la terre ferme pour un voyage sidéral. Et bien sûr, je ne m’y suis pas trompé, car ma petite cousine m’invite, une nouvelle fois, à lui assener de grands coups de bite pour qu’elle la pénètre plus vivement.
Moi, je n’y vois pas de mal, tout au contraire. Lui labourer sa vallée me remplit d’un immense bonheur. D’autant que je ne sais pas si c’est à cause de cela, mais quelques va-et-vient après, sa chatte se met soudain à péter assez fortement. A chaque pet, je ressens ces vibrations dans la verge et c’est divin. Et après deux ou trois détonations, Isa, même dans son brouillard, finit par se retourner vers moi pour me dire comme ça.
— Cousin... ! C’est quoi ? J’ai ma chatte qui pète.
Comme je n’ai pas envie de m’étendre sur le sujet, je lui réponds :
— Ben, j’en sais pas plus que toi.
Alors, je retire ma bite de sa fournaise, mais la replante aussitôt. Et, dès le second va, de nouveaux pets s’échappent et là :
— Ça fait rien François. Vas-y comme ça..., c’est bon aussi.
Alors, je recommence à lui bourrer sa moule avec ardeur. Elle, dans l’instant qui suit, retrouve ses nuages, s’abandonne totalement et se met à jouir, vraiment, comme une folle.
Quelques minutes plus tard, je commence à ressentir que la fin du voyage arrive. Et, avant qu’il ne soit trop tard, je l’invite à se mettre à genoux devant moi.
Là, je retire ma bite de son volcan en éruption. Elle la prend en main, la masturbe violemment, puis elle l’approche de sa bouche grande ouverte, et quelques secondes suffisent pour que ma queue libère quatre énormes saccades de mon jus d’homme qu’elle avale d’un seul trait.
Quel délicieux moment nous venons de passer Isa et moi ! Puis, nous revenons sur la piste de danse. Et là, nous buvons un verre ensemble. Et là, je lui demande de passer la nuit avec moi. Ce qu’elle accepte avec joie, compte tenu de ce que nous venons de vivre tout à l’heure. Car, aussi bien l’un que l’autre, avons bien l’intention de ne pas en rester là.
Il est déjà trois heures du matin, lorsque nous nous éclipsons du cabaret pour rejoindre mon bungalow. Et, curieusement, nous croisons Joëlle et Gérard, qui eux aussi rentraient chez eux.

Nous nous arrêtons et leur souhaitons une bonne nuit.
Après avoir fait quelques pas :
— Dis-moi Isa, ça va pas craindre que, tes parents... Heu... — Non François..., c’est pas la première fois. Ils en ont l’habitude.— Il vaut mieux. J’ai pas trop envie de me faire brancher par Gérard... !— T’inquiète pas, mon père est vachement cool.— OK... ! Allez, on va continuer notre soirée.
Une fois dans le bungalow, pas besoin de nous déshabiller, c’est déjà fait. Nous nous asseyons, et... :
— Un petit verre de quelque chose de fort, ça te dit ?— Oui cousin... ! Et toi, qu’est-ce que tu bois ?— Un petit punch coco bien glacé.— Ça me va aussi...  !
Bref, nous sirotons notre verre doucement, tout en commençant de nous émoustiller. Chose que nous n’avons pas faite tout à l’heure.
Elle vient s’asseoir tout contre moi, je passe une main derrière son cou, et l’autre vient se poser sur un de ses seins. Dans la pénombre du cabaret et du box, tout à l’heure, je n’avais pas bien estimé la chose. C’est vrai qu’elle a des arguments encore plus convaincants que je ne le pensais, des fesses, des nichons et une chatte à faire bander, même, un infirme. Je lui caresse et lui pétris tour à tour ses deux monts blancs. Je pose ma bouche sur chacun de ses tétons, lui suçote, mordille et fait rouler entre les dents pour qu’ils se mettent à bander. Et là, quelques secondes après, Isa sursaute et me lance comme ça :
— Ou-la-la..., François ! Si tu m’avais fait ça tout à l’heure.— Tout à l’heure, c’était pas possible. Il y avait urgence, tu crois pas ?— Je sais. Mais là, tu me donnes des frissons. J’en ai presque des papillons dans le ventre. C’est vachement bon, tu sais... !— Et..., si on se faisait un plaisir à deux ?— Ah oui. Allonge-toi, je viens te donner ma chatte... Tu l’aimes bien ma chatte ?— Ah oui... ! Au moins autant que tu aimes ma queue... !— Pour ça, y a pas de problème cousin. Et pourtant, c’est la première fois que j’y goûte !
Alors, nous nous installons confortablement sur le lit, pour entamer ce soixante-neuf. Pour moi, c’est la meilleure des façons de réussir les préliminaires. Isa me colle sa chatte sur le nez et elle, elle retrouve ma tige prête à être sucée.
Du temps qu’elle me suce et me masturbe et, elle suce et branle vachement bien. C’est un vrai délice. Moi, je lui plonge ma langue au plus profond de sa moule pour en déguster son jus de femme, que j’adore. Puis, je m’occupe de son bouton d’amour. Je le suçote, l’aspire et le titille avec le bout du doigt. Et là, après cette bonne séance de câlinoux, Isa se met à gigoter sur moi et à me supplier de la baiser.
— Mais ma chérie, il ne tient qu’à toi... !
Alors, sans dire un mot, elle se lève, fait un demi-tour et revient s’empaler sur ma queue.
— Aaaah François !— C’est bon hein ?— Ah oui, c’est bon.— Ben alors, vas-y, fais-toi plaisir.
Sur ces derniers mots, Isa se met à monter et à descendre lentement et le plus profondément possible sur ma queue. Et, visiblement, ça lui convient très bien, car après quelques va-et-vient, elle se met à soupirer très fort, la tête penchée en arrière, les yeux clos, en se mordillant les lèvres, puis finit par me marmonner.
— François... ! Elle est bonne ta queue. Tu peux pas savoir... !— Si ma belle, je sais. Tu me le dis depuis tout à l’heure.
Mais cette petite salope d’Isa a continué de se planter sur ma bite comme une vraie morte de faim. Puis, quelques minutes après, après avoir eu un premier orgasme, elle me demande de la prendre en levrette.
Aussitôt, ma cavalière saute de sa monture et se met à quatre pattes sur le bord du lit, jambes largement écartées, offrant à mon regard de vieux pervers, non seulement ses fesses et sa moule tout empourprée de rose, mais aussi, son trou du cul. Un magnifique trou du cul, avec une rondelle impeccablement striée, d’une jolie couleur brume et un orifice central assez ouvert, exactement comme j’aime.
Et là, je ne peux résister plus longtemps pour lui poser la question.
— Isa... ! J’ai un truc à te demander... !— Oui cousin..., je t’écoute !— Tu as un trou du cul, ma belle, que j’aimerai bien ovaliser un peu... !— Cousin... !— Mais pourquoi pas... — En attendant, prends-moi en levrette.
Bon, assez parlé. Je prends ma bite dans la main et, lui replante tout au fond de sa moule. Et là Isa se retourne et me dit :
— Mais, tu voulais bien me la mettre dans le cul !— Oui..., mais tu ne m’as pas répondu.— Je croyais, pourtant, que tu avais compris.— Ben non. Mais, t’as rien perdu.
Je l’empoigne par les hanches et je mets ma bite en action. Après quelques va-et-vient, Isa se remet à gémir puis me récite ce magnifique poème fait de « Aaaah et de Ooooh » qui accompagne chacun de mes coups de reins.
Comme ça, je lui bourre sa moule avec entrain, et tout comme tout à l’heure, elle se met à m’offrir de bien jolis pets de chatte. Cette fois, Isa ne relève pas la question, tout simplement, parce qu’elle jouit et que ça ne la dérange plus. Moi, ça me donne encore bien plus envie. Et les vibrations que je ressens dans mon sexe me donnent l’impression que je vais lui éjaculer dans la chatte à chaque fois qu’elle pète. Et, c’est tellement vrai que quelques dizaines de secondes plus tard, je sens, pour de bon, monter une éjaculation dans ma queue.
Isa, elle, elle n’est plus avec moi. Elle est tout là haut dans les nuages du plaisir. Alors, je ne me pose pas de question, je la baise jusqu’au bout. Jusqu’au moment où je sens les quatre, ou même peut-être cinq saccades lui gicler dans sa chatte.
Quelques secondes après avoir retiré ma queue de sa fournaise, Isa finit par réaliser ce qu’il vient de se passer. Elle ouvre les yeux, se retourne vers moi, et avec un petit sourire, me dit :
— Waouh mon cousin...  !— C’était bon ma belle ?— Ah oui ! Putain, tu m’as fait jouir comme c’...— Pas possible...— C’est exactement ça ! Oh mince, ça me dégouline le long de la cuisse... ! Tu m’as éjaculée dedans ?— Oui... ! J’ai pas pu retenir mon envie. C’était trop bon ! Mais pourquoi, il fallait pas.— J’aurai préféré dans la bouche...! Mais, c’est pas un problème.— Ce sera pour la prochaine fois !— Et, j’y compte bien. En attendant, donne-moi encore un peu ta queue... ! J’ai encore envie de la sucer.— Tu l’aimes beaucoup, la bite de ton vieux cousin !— Bien sûr... ! Elle remplit bien comme il faut ma chatte, et elle me fait jouir comme une folle. Alors, comment tu veux que je l’aime pas ? Ce qui est con, c’est qu’on ne se soit pas trouvé avant.— Eh oui... Mais, tes parents habitent bien trop loin de chez moi et moi, je bouge beaucoup. Alors, c’est pas facile pour se rencontrer. Il a fallu le camping, et qu’on s’y trouve au bon moment.— C’est vraiment bête... Mais le hasard a bien fait les choses. Si, hier, je ne rencontre pas ta mère, et si ce soir, tu ne viens pas à la soirée et on n’aurait pas pu coucher ensemble.— Ben oui mon cousin. Mais dis-moi..., tu es là pour combien de jours ?— Deux semaines et vous ?— Nous, on va rester tout le mois, comme toutes les années.— Eh bien, c’est bon ça ! Si ça te dit, tu peux venir me retrouver quand tu en auras envie...— Comme ça François, je pense que je vais en avoir envie souvent.— Pas de soucis..., tu viens quand tu veux et on passera la soirée et même la nuit ensemble.— Oui cousin. Et ce soir, je peux rester ici ?— J’allais te le proposer. Comme ça, on va se faire une bonne partie de jambes en l’air. Et cette fois, j’oublierai pas ton trou du cul... !— Ça, j’y compte bien.— En attendant, je t’invite à la douche puis on va boire encore un petit punch coco, juste pour se remettre en forme.— Et après ?— Après, on verra bien où la nuit nous emmène.— OK, mon cousin... !

Lorsque j’ouvre un œil, le jour doit être levé depuis longtemps déjà. Isa est encore endormie, à mes côtés. Et, comme tous les jours, je me réveille avec la barre fixe. Je la réveille en douceur pour lui faire comprendre que, si elle veut jouer avec, c’est le bon moment.
Pour ça, je commence par lui caresser ses seins et lui mordiller ses tétons. Puis, lentement, je viens rejoindre sa vallée des merveilles en lui donnant de petits bisous sur le ventre et à l’intérieur des cuisses, tout près de sa belle chatte.
A ce moment-là, je ne sais si je l’ai réveillée, mais elle ouvre ses jambes, comme pour m’offrir ce fruit délicieux dont je raffole.
Aussitôt, ma bouche s’y pose dessus et commence à la déguster. Mais au moment où je viens lui titiller son bouton d’amour, là, elle sursaute, et me susurre :
— Heummm ! C’est bon François.— Bonjour ma belle.— Oh bonjour François. Quelle heure est-il ?— L’heure de faire l’amour ! T’en as envie.— Ben oui.
Et là, elle se relève pour venir me donner un baiser et... :
— Mais cousin, tu bandes comme un âne déjà !— Qu’est-ce que tu veux, c’est comme ça tous les matins !— Donne-la-moi, que je lui fasse un gros câlin.
Et là, Isa se penche vers ma bite raide comme un morceau de bois, la prend dans sa main puis la fourre dans sa bouche, bien enserrée entre ses lèvres. Et vas-y qu’elle astique ma queue et qu’elle la suce goulûment.
Après cette magnifique pipe.
— François, mange-moi ma chatte s’il te plaît... !
Elle s’allonge sur le lit, retrousse ses guibolles vers elle et me dit :
— Allez, vas-y, fais-moi grimper aux rideaux... !— Il n’y en a pas... ! Je fais comment ?
Là, nous nous mettons à rire puis :
— Allez, ouvre la porte, je viens te rendre visite.
Isa passe ses mains par-dessus son ventre et écarte avec deux doigts sa chatte. Je n’ai plus qu’à y plonger ma langue. Une nouvelle fois, qu’est-ce que cette chatte est accueillante ! Sa chaleur, sa couleur et son odeur me rendent dingue. Alors, je m’y jette dessus comme un affamé. Je doigte, je lèche et je suçote. Et pour couronner le tout, je mordille son bouton d’amour et là, Isa se met à gigoter sur le lit et en gémissant, me dit :
— Cousin s’il te plaît... ! Baise-moi maintenant.
Alors, je la tire sur le bord du lit et, dans la position qu’elle est, je n’ai qu’à me pencher un peu, pour la pénétrer. Ma queue s’engouffre entre ses lèvres et disparaît, comme par enchantement, à l’intérieur de son cratère bouillonnant et débordant de mouille.
Aussi sec, je vais et je viens dans cet océan de lave féminine, qui bouillonne tant et plus. C’est le nirvana qui s’annonce. Quant à Isa, le premier va-et-vient passé, elle commence à gémir et même à pousser de tout petits cris, qui prouvent qu’elle est déjà à mille lieues du plancher des vaches.
Passé ce premier orgasme, elle revoit à elle et me dit :
— François... ! Prends-moi en levrette s’il te plaît.
Je me retire, elle se met à quatre pattes, toujours sur le bord du lit, et moi, je reviens lui planter à nouveau ma queue au plus profond de son cratère en fusion. Et là, tout comme hier, après quelques aller-retour, sa chatte se met à me gratifier de charmants petits bruits. Mais, cette fois, ni l’un, ni l’autre, nous nous posons de questions, nous continuons naturellement notre coït. Moi, je me régale de ressentir ces petites vibrations vaginales me chatouiller la queue et Isa, elle, ça ne la dérange plus du tout.
Pour ma part, je continue à lui bourrer sa moule, avec toujours un immense bonheur, et Isa, elle, a repris le chemin de l’école buissonnière. Elle vagabonde entre les cumulus et les cumulonimbus de la jouissance. Elle soupire, elle gémit et même elle me récite son poème préféré.
Une poignée de minutes plus tard, retour sur la terre pour ma voyageuse. Et là, elle se retourne vers moi et avec un air d’envie me dit :
— Cousin !— Oui ma belle... Qu’est-ce qu’il y a ?— Mon petit trou du cul..., je crois qu’il a envie de quelque chose... !— Ah bon... ?— S’il te plaît... !— D’ac... ! Bouge pas.
Tout en continuant de lui ajuster sa chatte, je commence à lui préparer son trou du cul. Ça n’est pas tellement compliqué, j’ai comme l’impression que le passage est déjà bien rodé. Sa rondelle étoilée s’ouvre à la moindre poussée de mes doigts. Alors, j’enduis de salive, et mon majeur puis mon index et les introduis ensemble, et pour finir, un troisième doigt s’engouffre entre sa paroi anale. Isa ne bronche pas plus que ça. Alors, j’en déduis que je n’ai plus qu’à... !
Alors, je retire ma bite de sa moule totalement détrempée, et la replante immédiatement entre ses fesses, dans son canal anal dilaté à souhait. Et là :
— Heuuummm..., que c’est bon cousin...— Ça te va comme ça  ?— Ah oui ! Vas-y, encule-moi bien !
Alors, ce n’est pas compliqué. Ma queue va-et-vient dans ce conduit, qui se dilate un peu plus au fur et à mesure que je la pénètre.
Deux minutes plus tard, Isa se remet à jouir et accompagne chacune de mes pénétrations par de bons coups de reins contre mon bassin. C’est génial. Et comme ça, je sens qu’elle va me faire jouir dans pas très longtemps.
Mais, je poursuis mon travail de sape. Je lui bourre son cul comme un damné et au plus je l’encule profondément, plus elle gigote et crie son bonheur. Et, quelques minutes plus tard, c’est à moi de jouir.
Dans un dernier aller sans retour, et dans un grognement bestial, je lui crache pas moins de cinq énormes giclées tout au fond de son trou du cul, et j’attends que ma bite dégonfle avant de la retirer lentement.
Du coup, Isa, elle aussi, revient de sa promenade spatiale et finit par me dire :
— Waouh... ! C’était divin cousin.— Merci ma cousine. Et pour ça, on était deux.— Il va falloir que je vienne te voir plus souvent maintenant.— Ça sera avec plaisir que je t’enculerai. Tu as un cul, ma belle... ! C’est magique.— Tu sais, j’adore me faire enculer. Je sens ta queue me fendre le cul, ça me rend folle  !— Ça, j’ai vu et bien entendu. Qu’est-ce que t’as couiné... !— Ah oui... ! Tant que ça ?— Ah ouiii... !— J’ai pas pu m’en empêcher ! C’était trop bon. Dis-moi François, je vais aller me faire la toilette, ton sperme est en train de couler le long de mes cuisses.— Allez..., bon, on y va ensemble. Comme ça, tu me suceras encore un peu la queue.— Pas de problème. Je l’aime trop... !
Quelques secondes après sous la douche :
— Dis-moi François...  ! Est-ce que tu penses que je pourrai rester avec toi jusqu’à ce que tu quittes le camping ?— Pour moi, il n’y a pas de problème. Si tes parents sont d’accord.— Je vais aller, tout à l’heure, leur demander.
Après la toilette, Isa va rejoindre ses parents puis, quelques minutes plus tard, je la vois revenir avec son sac et surtout un sourire qui lui fend la bouche.
— Cousin..., c’est oui  ! Je viens m’installer avec toi. Génial ! Comme ça, on va faire l’amour tout le temps.— Génial ! Là, je sais plus quoi dire.
Et dans ces conditions-là, les deux cousins passèrent le reste de leur séjour au camping, entre bronzette sur la plage, cabaret le soir et baise à toute heure du jour et de la nuit.
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