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Rencontre innattendue au camping naturiste

Chapitre 3

Inceste
Pour moi, mon séjour au camp naturiste se passe très bien. J’ai eu un peu de chance, car depuis mon aventure avec Joëlle puis celle avec Isa, je ne suis pas trop resté sur le banc de touche. Mais, à quelques jours de mon départ, un événement imprévu se présente soudain.
En fin d’après midi, alors que je m’apprêtais à quitter mon bungalow, pour aller faire un petit tour, j’entends toquer à la porte. Je m’avance et là, je vois ma cousine Joëlle en pleur et Isa avec deux valises.
Aussitôt, je les invite à entrer et sans même dire bonjour :
 - Qu’est ce qu’il se passe Joëlle, pourquoi ces valises et pourquoi tu pleures ? - François..., avec Gérard on s’est disputé, encore une fois et cette fois, j’ai décidé de le plaquer. J’en peux plus..., il es infernal. - Mais pourquoi ? - Il a encore trop bu avec ses potes à l’apéro de midi et comme si ça ne suffisait pas, ils ont remis ça après midi. Et là, il est saoul comme un cochon et, il m’a même menacé. Alors, avec Isa, on a fait nos valises, tu vois... - Ah oui..., je vois très bien ! Et dis donc, vous avez de la chance que je sois encore là. - Est ce que tu peux nous héberger ? - Bien sûr. C’est pas bien grand, mais on va s’arranger. Isa, toi tu dormiras sur le canapé et toi Joëlle, je te ferai une petite place dans mon lit ! - T’es un amour mon cousin ! Merci beaucoup.
Bref, nous ne nous laissons pas abattre pour autant. Après avoir séché ses larmes et retrouvé un peu son sourire, nous rejoignons le resto du camping et, faisons un petit apéro sympa, tous les trois en attendant de passer à table.
Vers vingt deux heures trente, nous rentrons, certes un peu imbibés, mais pas saoul. Nous nous installons sur le canapé et là, Joëlle me regarde droit dans les yeux et me dit en me laçant un petit sourire qui veut en dire long :
 - François..., j’ai envie qu’on fasse l’amour !Moi. - Et Isa, elle compte les points ?Joëlle. - Pourquoi... ? Elle peut participer aussi ! Ça te dit ma chérie ?Là Isa se tourne vers elle, et avec un énorme sourire d’envie lui répond :
 - Et comment..., il baise tellement bien François !Joëlle. - On le fait à trois, alors !Moi. - Et oui..., alors, c’est parti !
Pas besoin de trop nous échauffer, on l’est suffisamment, ni de nous mettre à poils, on l’est déjà. Mais, Joëlle, qui est collée à moi, se penche sur moi et aussitôt empoigne ma queue et commence à la masturber. Il ne lui faut pas longtemps pour me la mettre en forme et là, aussitôt, c’est Isa qui prend le relais de sa mère. Elle me demande de m’allonger sue le canapé. Puis elle se met à genoux, se penche au dessus de mon bâton d’amour, le prend en main et le fourre direct dans sa bouche pour me faire une fellation, comme elle sait si bien faire.
Pendant qu’Isa me suce la queue, à genoux devant moi. Sa mère, elle, vient se mettre à quatre pattes, me colle sa chatte sur la figure pour que je lui bouffe son clito. Elle adore ça. Et ça, ça l’emmène au ciel à chaque fois. En somme, nous faisons un soixante neuf à trois. C’est assez original... !
Après quelques instants, mes partenaires échangent leurs places. Et là, je dois dire aussi, que ce soit l’une comme l’autre, la sensation est la même. L’une comme l’autre ont un véritable don pour la fellation. Mais pas que. Car, après m’avoir bien et longtemps sucé la queue, Isa me demande de se mettre ma place sur le canapé.
Alors, elle s’allonge pour offrir sa chatte à qui viendra la lécher en premier. Et là, c’est ma langue qui vient la première se gaver de son jus de jeune fille. Quand à Joëlle, elle est venue se mettre à califourchon sur Isa pour lui offrir la sienne. Aussitôt, Isa s’agrippe à ses hanches, soulève sa tête et lui plante sa langue entre ses lèvres de chatte, toutes aussi dégoulinantes de jus que la sienne. Dans les secondes qui suivent, ça suce, ça doigte aussi et surtout, ça gémit de plaisir. C’est que du bonheur.
Comme ça, les soucis se sont envolés.
Après cette minutieuse préparation de ces deux chattes en ébullition, je dois dire que j’ai la queue littéralement en feu. Je n’ai qu’une envie, que l’une ou l’autre vienne se planter sur mon dard. La première a répondre à mon invitation c’est Isa. Elle s’y plante dessus, comme Andromaque chevauche sa monture et une et deux, les va et vient s’enchaînent dans un tempo d’enfer. Moins de cinq secondes vont lui suffire pour qu’elle se remette à gémir et à m’envoyer quelques mots de satisfaction sympas comme :
 - Aaaah ouiii..., c’est booon... ou heummm François...
mais, du temps que ma petite cousine s’envoie en l’air sur ma queue moi, je continue à flatter le clitoris et à bouffer la moule de sa mère qui dégouline de cyprine. C’est un vrai régal. Et elle, tout comme Isa, s’est mise à gémir et à vociférer aussi.
 - Ouiii François..., encore..., tu me fais jouir !Et un peu plus tard : - Oh putain que c’est bon ! Tu veux bien me baiser aussi..., j’en ai trop envie !
Alors, pour pouvoir les satisfaire toutes les deux, je les invite à se mettre à quatre pattes sur le canapé en m’offrant leurs moules toutes luisantes de mouille.
Pour un petit instant, je laisse la chatte d’Isa, pour m’occuper de celle de sa mère. Je lui plante mes dix huit centimètres de bite dans sa fournaise et aussitôt engagée:
 - Aaaooh mon cousin..., ouiii vas y..., vas y..., baise moi fort !
Alors, je l’empoigne par les hanches et la tire vivement vers moi pour faire claquer ses fesses contre mon bassin. Et là :
 - Aaah ouiii..., comme ça, encore François..., ramone moi bien !Cinq secondes plus tard : - Oooh ouiii je jouis..., ouiiii...
Après bien avoir fait jouir la mère, il me faut aussi faire jouir la fille, qui a attendu gentiment avec patience. Et ça, ça se fait aussi rapidement. Car, après avoir retiré mon manche du volcan de ma cousine, il est immédiatement enfoui dans celui d’Isa. Et comme avec Joëlle, je l’empoigne par les hanches et je lui donne de grands coups de bite qui, au bout d’une poignée de secondes, la font partir pour un voyage interstellaire.
Et, dans cette position qui est, pour moi, la meilleure pour faire jouir celle avec qui, je fais l’amour, ma queue va et vient de l’une à l’autre, jusqu’au moment où en pénétrant la chatte d’Isa, celle-ci se met à m’offrir un magnifique petit bruit qui j’adore aussi. Alors, je prends soin de la faire péter à chaque pénétration. Et, ce petit jeu, j’essaye de le fais durer le plus longtemps possible.
Après quelques jolis pets de chatte, Isa se retourne vers moi, me jette un regard interrogateur et me dit :
 - C’est quoi, ces bruits François ? - C’est ta chatte qui pète ! - Ça me fait des vibrations dans le vagin... - Et, est ce que tu aimes ? - Oh, ça fait drôle..., mais c’est bon !Alors, elle s’adresse à sa mère : - Et toi maman, ça t’est déjà arrivé ? - Peut être..., je me souviens pas !
Alors, sans plus nous étendre sur le sujet, je retrouve les va et vient dans la chatte d’Isa et celle-ci, bizarrement s’est arrêtée de péter. Mais très rapidement, Isa elle, a retrouvé sa chanson et moi, la bonne cadence pour la faire chanter.
Voilà maintenant, une grosse heure que nous baisons, tous les trois, comme des morts de faim. Isa comme sa mère jouissent tour à tour, sous mes coups de queue. Quand soudain, c’est pour moi mon tour de jouir. Mais avant d’éjaculer, je retire ma queue de la chatte d’Isa et, leur demande de se mettre à genoux devant moi.
Là, Joëlle s’empare de mon sexe, le branle avec une extrême dextérité et quelques secondes plus tard, c’est réunies pour le meilleur, que je leur offre cinq giclées de mon jus d’homme qu’elles se partagent avec bonheur.
Voilà une fin de journée, qui avait bien mal commencé mais qui a très bien fini. Je pense, même, que nous allons remettre ça dès demain et jusqu’à la fin de notre séjour au camp.
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