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Rencontre à l'italienne

Chapitre 1

Gay
Rencontre à l’italienne - Chapitre 1

François, vous ferez équipe avec Flavio ce week-end.
Chaque jeudi, c’est le même scénario. Alex, le rédac’chef du magazine sportif pour lequel je travaille comme journaliste à la pige, me téléphone pour me communiquer le nom du photographe avec lequel je vais faire équipe, le temps d’un week-end, pour « couvrir » un événement sportif, généralement lié au sport automobile.
À côté de ces « piges », qui me rapportent un peu d’argent de poche, je m’acharne à suivre des études de journalisme.Côté sexe, ma situation n’est pas très claire. Entre garçons et filles, je n’ai pas encore choisi. J’expérimente d’un côté comme de l’autre, en fonction des opportunités. Je me rends compte que je suis prioritairement attiré par les garçons, mais quelque chose au fond de moi se refuse à l’accepter, ce qui me bloque lorsqu’il faut entrer en mode séduction active. De peur de me dévoiler, je ne fais jamais le premier pas. J’ai en permanence la tête pleine de fantasmes, que, faute de mieux, je ne parviens à apaiser que par de fréquentes masturbations ou par la consultation de sites spécialisés.
Je connaissais Flavio de réputation.Nous n’avions toutefois jamais fait équipe ensemble.C’est un jeune italien, passionné de photographie. Lorsqu’il est concentré sur ses photos, il est véritablement « habité » par son art. Plus rien d’autre ne semble compter.Flavio est beau, séduisant, volontiers ombrageux, avec une voluptueuse tignasse de cheveux noirs bouclés. Son regard est intense, il a des yeux lumineux dont la couleur oscille entre le marron et le vert. Lorsqu’il sourit, son visage est véritablement illuminé. Il a de belles mains et, surtout, de longs doigts qui, à l’italienne, s’agitent dès qu’il s’exprime ou raconte une histoire. Devant l’agilité exprimée par ces doigts longs et fins, comment ne pas laisser libre cours à d’autres pensées beaucoup plus coquines ...Malgré son physique avantageux, Flavio est de type plutôt solitaire, voire taciturne. Il semble parfaitement se suffire à lui-même. Officiellement, on ne lui connaît pas de petites amies alors qu’il a tout pour séduire et collectionner les succès féminins.
Cette fois, nous partons pour l’Italie avec pour mission de couvrir des courses à Monza, dans la banlieue de Milan.Au programme, départ en avion pour Milan le vendredi en milieu d’après-midi, location d’une voiture à l’aéroport, logement à l’hôtel le vendredi et le samedi soir, boulot - moi journaliste, lui photographe - le samedi et le dimanche, avec retour dès le dimanche soir ... pour économiser sur les frais généraux !
Nous profitons du voyage et de la première soirée à l’hôtel pour faire plus ample connaissance. Flavio m’explique qu’il vit seul, dans le quartier du Canal Saint-Martin, dans une chambre sous les toits. Il y a installé un petit labo de photo, car il est fan de photo argentique en noir et blanc et, à ses heures perdues, fait de la photo de nus.
— Seb, si ça t’intéresse, passe un jour chez moi. Je te montrerai mon photobook.
Lorsque je l’interroge sur sa vie sentimentale, il me dit qu’il veille surtout à ne pas s’attacher. Ce qu’il n’aime pas chez les filles, c’est leur propension à vouloir systématiquement contrôler les moindres faits et gestes de leur « mec ». Nous poursuivons le soir au resto. Chianti aidant, Flavio se laisse aller à des confidences sur ses expériences diverses. Il me fait notamment l’éloge de massages tantriques dont il a découvert les bienfaits au cours d’un voyage en Asie.
Comme déjà dit plus haut, le journal a un grand souci de contrôle de ses frais généraux. Pour ses collaborateurs « pigistes », il a l’habitude de réserver des chambres avec lits jumeaux. Lorsque je suis en reportage, j’ai donc l’habitude de cohabiter. Je propose à Flavio de passer en premier pour prendre sa douche. Avec un naturel désarmant, il se déshabille complètement. Assis sur le lit, je l’observe à la dérobée: nu, de dos, un corps magnifiquement proportionné, bronzé, de belles épaules bien dégagées, une colonne vertébrale bien dessinée, de fines hanches et une excitante paire de fesses lisses, rebondies et bien moulées.
Tandis qu’il entre dans la salle de bains, je me rends compte que je bande. Les pulsations de mon cœur ont accéléré. Je me demande comment je vais pouvoir dissimuler mon érection lorsqu’il sortira de la salle de bains. J’entends couler l’eau de la douche que j’imagine ruisseler sur son corps. Ah, comme j’aimerais être avec lui sous la douche !Je me rends compte, comme s’il fallait encore des preuves, que c’est bien par les garçons que je suis surtout attiré...
Lorsque Flavio sort de la douche, il est toujours complètement nu, mais de face cette fois-ci, avec de belles longues jambes bien profilées, un sexe bien proportionné, ni trop épais, ni trop grand, entouré d’une toison noire bien entretenue et rasée plutôt dru. Il enfile un slip Calvin Klein d’un blanc chatoyant et vient se coucher sur son lit, à côté de moi, comme si nous vivions en couple...
A mon tour d’aller à la douche. Comme lui, je me déshabille complètement, ignorant s’il me mate comme moi je le matais quelques instants plus tôt. Après la douche, par contre, par une sorte de pudeur mal placée, j’enfile mon slip dans la salle de bain. Sans doute parce que j’avais eu le temps de voir que son sexe, long et fin, était sensiblement plus grand que le mien...
Lorsque j’entre dans la chambre, il a déjà éteint sa lampe de chevet.
Il ne me reste qu’à en faire autant...
J’ai toutefois du mal à trouver le sommeil.
Je me tourne et me retourne sans cesse.
Avec, à nouveau, plein de fantasmes dans la tête.
— Seb, tu dors ? me demande Flavio qui, manifestement, se rend compte de ma nervosité.— Non, je n’y arrive pas. Je vais prendre un bouquin et lire un peu.— Tu as l’air bien nerveux, en tout cas...— ...— Qu’est-ce qui te rend tellement nerveux ?— ...— T’as pas envie de t’amuser un peu ? J’ai vu comme tu me matais tout à l’heure...— Euh... Oui, et tu proposes quoi ?— Ce dont tu crèves d’envie...
A ce moment précis, alors que j’étais couché sur le dos, je sens sa main se poser sur mon slip, ce qui, automatiquement, déclenche une mise au garde-à-vous, bien raide, de mon sexe déjà passablement excité.
— Ne me dis pas que tu n’en as pas envie. Lâche-toi. Ôte ton slip. Viens me rejoindre.
A cette invitation, d’un coup, toutes mes inhibitions tombent. Je baisse mon slip et passe dans son lit.
Guidé par une pulsion difficilement répressible, parce que trop longtemps contenue, je plonge, sans la moindre retenue, sur son sexe, déjà bien gonflé, le prends en main, le touche, le serre, le palpe ...
Doucement, je le décalotte et prends plaisir à tirer - chaque fois un peu plus fort - sur le frein de son prépuce. Puis, comme si j’avais en mains une sucette, j’applique ma langue sur l’extrémité de son gland, puis sur le pourtour, puis sur toute la longueur de son sexe avant de pousser plus bas encore, vers ses testicules bien ronds et bien durs qu’avec avidité, je mets longuement en bouche à tour de rôle. J’ai les joues et le cou rouges d’excitation. Flavio de son côté, m’encourage, appuyant ma tête sur son sexe tout en poussant des petits soupirs qui ne contribuent qu’à accroître mon excitation.
Mon cœur bat la chamade, j’ai la bouche sèche, ma respiration est saccadée... Tout est si intense et si rapide...Je veux faire une pause et me retourne en me couchant sur le dos à côté de Flavio.Il n’attend manifestement que ce moment et se couche sur moi sans transition, avec une fougue bien latine. Je sens son sexe tout gonflé et bien raide, dressé contre le mien. Son ventre est tout chaud. Il m’embrasse le cou avec avidité. En même temps qu’il introduit sa langue dans ma bouche, je sens son sexe s’insinuer entre mes jambes, à l’intérieur de mes cuisses, et me pénétrer sans hésitation. Profondément. D’un seul coup décisif. Flavio est super-chaud, il doit être en état de manque. Excité comme il l’est, il ne peut se retenir longtemps et inonde rapidement l’intérieur de mon corps de son sperme chaud et épais.
Presque simultanément, tant son excitation est communicative et tant les longs mouvements de va-et-vient de son sexe à l’intérieur du plus intime de mon corps exacerbent mes sensations, je gerbe à mon tour, exprimant l’explosion du plaisir par un cri rauque qui ne laisse aucun doute sur le fait que moi aussi, presque en même temps que lui, j’ai joui !
— Quelle fougue ! ne puis-je m’empêcher de lui dire.— Et toi alors ! Ne viens pas me dire que tu n’en avais pas envie. Ta fellation du début m’a fait perdre la tête. Je t’ai senti « en demande ». Je voulais
te posséder... Il y a longtemps que tu n’as plus baisé?
— Trop longtemps, effectivement...
Là-dessus, fourbus par le voyage et par nos ébats, nous nous sommes repliés sur nos lits respectifs et nous sommes endormis sans tarder. L’un et l’autre "vidés" (au sens littéral du mot) et apaisés...
— Bonne nuit, Seb. Si t’es en forme demain soir, et si tu en as envie, je t’initierai à la magie du massage tantrique. Tu verras, c’est un plaisir
envoûtant lorsqu’il est partagé et bien compris.
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