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J'ai rencontré Liliane dans un hall de Gare

Chapitre 1

Erotique
Un jour, j’ai croisé Liliane dans une gare. Avec elle, j’ai eu une belle aventure et je veux la raconter.Donc Liliane est dans la gare, elle attend on ne sait pas quoi, on ne sait pas qui. Elle va et elle vient, elle erre comme une âme en peine, l’air un peu agacée. Moi je viens de quitter mon train et je me dirige vers le parking pour rentrer bien vite à l’hôtel, je passe par le hall, et comme je la remarque, comme elle me plaît, je m’arrête et je décide d’attendre un peu et de la mater. Je me poste sur une table à café et du coin de l’œil je l’espionne, ne manquant aucun aspect de son corps, goûtant délicieusement tous ses attraits.Une belle femme noire, grande et énorme comme je les aime, une montagne de sensualité. On l’entend de loin cette femme, avec ses talons hauts et durs de ses chaussures noires à lanières font qui claquer le parquet et résonnent dans tout le hall de cette gare, rehaussant ses deux jambes droites et remontant ses fesses. On la voit de loin, avec sa robe et couleurs vives de jaune et d’orange qui contrastent avec le teint noir de sa peau ébène. Difficile de ne pas la remarquer avec sa haute taille et sa forte corpulence. Je la regarde des pieds à la tête. L’extrémité de sa jupe remonte largement au-dessus de ses genoux, dévoilant la moitié de ses grosses cuisses. Quand elle se déplace, le tissu fin épouse toutes les courbes de son corps généreux, met en évidence toutes ses rondeurs. Sa ceinture de cuir marque fermement la taille et souligne le balancement de sa poitrine massive et de ses grosses fesses. Un joli visage avec un maquillage surchargé. Un charmant petit nez tout rond, de grands yeux noirs surmontés de deux sourcils très finement ciselés, cernées par un fard violacée beaucoup trop prononcé. Des lèvres généreuses, charnues et adipeuses, recouverte d’une couche trop épaisse de gloss rosâtre. Une grande et longue chevelure abondante, touffue et ondoyante caressant son visage et retombant en désordre sur le nu de ses épaules. Cette femme est grosse, cette femme est vulgaire, cette femme est laide. Trop grosse, tenue trop criarde et trop courte, maquillage excessif. Les normes de beauté de notre société moderne, répétées inlassablement au travers des magazines, des pubs de la télé, des défilés de mode, l’ont déjà condamnée depuis longtemps à être une femme moche. Il est bien établie que pour être belle, une femme était obligatoirement maigre. Hors moi je la trouve belle, extrêmement attirante. C’est vrai, J’ai toujours aimé les femmes girondes, généreuses, charnues, sensuelles. Je l’ai toujours caché aux autres, aimer une femme moche est une honte absolue ! Plus grave, pendant des années je me le suis caché à moi-même. Quant à la couleur de sa peau, je n’en parle même pas, une femme africaine, le bas-fond de notre société ! Notre civilisation bien-pensante s’accommode très bien d’un racisme qui ne dit pas son nom. Oui mais moi, elle me fait bander cette grosse femme noire mal fagotée ! Elle m’enivre, elle m’excite comme personne. J’ai envie de me précipiter sur elle, d’arracher ses vêtements, de caresser sa peau, de la lécher de partout. J’ai envie d’enfouir mon visage entre ses énormes seins, de mettre mon nez entre ses jambes, de renifler son odeur, de déguster chacune des partie de son corps, d’enfoncer mon pénis dans son ventre et d’éjaculer. Je suis complètement subjugué par sa beauté, alors je reste planté là et je la mate, je suis incapable de faire quoi que ce soit d’autres, je ne perds pas une miette du moindre de ses mouvements…Elle passe devant moi et me fait l’honneur d’un regard long et appuyé. Un regard placide, nonchalant, passif. Le regard d’une femme qui aime profiter de la vie telle qu’elle vient, à profiter du temps présent. Mon imagination s’enflamme, c’est le regard d’une femme en maraude qui jauge le mâle, recherche le partenaire, évalue le potentiel, le regard d’une femme qui aime jouir, qui veut jouir et qui cherche. Un regard qui sent la bite, celle-ci d’ailleurs se réveille et commence à remuer dans le fond de mon pantalon...Je devrais profiter de l’occasion, lui rendre un beau sourire et entamer la discussion. Mais je suis un grand nigaud timide et je me contente de pincer mes lèvres, gêné, je rougis et baisse la tête, mais aussitôt je la relève quand elle me dépasse pour mater par derrière son gros cul se balancer au rythme de ses croisements de jambes. Ooh seigneur qu’elle est belle ! Trois fois elle repasse devant moi, trois fois nos regards se croisent, et à chaque fois, je sens les rougeurs remonter dans mon visage, mon cœur semble s’arrêter et je ressens des vifs tremblements dans tout mon torse et toujours cette douce chaleur dans le bas de mon ventre. Trois fois, je me dégonfle penaud et pétri de honte et n’ose l’aborder, couillon que je suis, qu’estce que j’ai donc à perdre ?Et puis finalement elle s’en va, elle quitte la gare. Ben merde, ça devait bien finir par arriver. Bon le spectacle est terminé, j’en ai bien profité, il ne me reste plus qu’à me rentrer. Le soir à l’hôtel il ne me restera plus qu’à m’astiquer un bon coup mon poireau en repensant à elle. Je monte dans ma voiture, et je soupire un bon coup. Je pense encore à elle et mon bas ventre est encore tout fébrile. La voiture a démarré, je sors du parking de la gare, et… je ne rentre pas à l’hôtel. Plutôt, je fais des tours dans les pâtés de maison autour de la gare. Elle est partie à pied de la gare, je vais bien finir par la croiser quelque part dans une rue, il faut absolument que je la voie encore…Je la trouve ! Elle entre dans une superette. Ni une ni deux, je gare ma voiture dans la rue et j’entre aussi. Il faut que je la voie encore, il faut que je lui parle, il le faut.Je déambule dans les allées du supermarché et finis par la trouver, regardant divers article alimentaire. Je lui passe devant, et cette fois j’essaie de capter son regard… en vain, à peine si elle me remarque… Qu’estce que c’est que ce bordel ? tout à l’heure dans la gare elle me matait comme un morceau de bidoche qu’elle était prête à dévorer et maintenant à peine si j’existe ?Elle passe à la caisse, moi j’attrape une baguette de pain et je mets juste derrière elle et j’en profite pour reluquer encore son cul. Mon dieu, le fessier énorme qu’elle a ! Qu’estce qu’il est beau ! Je m’imagine soulever doucement sa robe et caresser ses fesses, retirer la culotte puis prendre à pleine mains ses fesses les écarter et enfoncer ma langue dans l’ouverture… cette pensée provoque des tremblements dans tout mon ventre. Il n’y a rien à faire, cette fille est vraiment délicieuse, il me la faut. Ce se passe mal avec la caissière, ma belle inconnue n’a pas assez de sou pour les quelques articles quelle veut acheter. La caissière lève les yeux au ciel lui montrant un mépris bien affiché, cette démonstration évidente de racisme me dégoûte! Ma belle est toute pétrie de honte. C’est le moment ! Je m’interpose en cavalier blanc, je sors mon portefeuille et d’un geste chevaleresque je paye les commissions et j’entame la discussion… penses-tu… le grand nigaud timide ne fait rien d’autres que d’esquisser un sourire compatissant quand elle me regarde d’un air peiné. Encore une occasion manquée… Bon elle finit par payer la moitié de sa course initiale en raclant le fond de son porte-monnaie puis se retire me laissant régler ma baguette. Je sors de la boutique et je la vois s’éloigner à pied trainant son petit sac, faisant encore onduler son superbe cul. Et là, finalement, terrassant mes stupides inhibitions, je m’enhardis et je la rattrape :«  S’il vous plaît madame, lui dis-je et elle de se retourner. Voilà, je vous ai croisé depuis la gare et depuis je vous ai suivi.— depuis la gare dit-elle. Elle a un air abasourdi. Mais pourquoi ?— Je vous ai vu et je vous ai trouvé bien jolie alors j’ai décidé de vous suivre. Je voudrais faire votre connaissance ! »Mon intervention la stupéfait réellement, elle écarquille tout grand ses yeux et ouvre une grande bouche bée.« - merci c’est très gentil, me répond-elle d’un air gêné.— Je m’appelle Félix et vous comment vous appelez vous ?— Je m’appelle Liliane— c’est très joli. Je vous trouve vraiment vraiment jolie vous savez. Vraiment vous me plaisez, je serai très heureux que nous prenions le temps de faire connaissance. J’essaie alors d’avoir un grand sourire franc, enjôleur. Je redresse mon corps, rentre mon ventre, je prends la pose du « mec » qui assure, blasé, serein, sûr de lui, honnêtement je ne sais pas ce que ça donne mais à mon avis ca ne doit pas être terrible. Car à l’intérieur de moi-même, c’est la Bérézina ! Je tremble dans tout mon ventre, mon cœur bat la chamade, j’ai les jambes qui flageolent, je sens les poils sur mes bras qui se dressent, le sang me monte à la tête, mes joues et mon front se réchauffent comme jamais, à mon avis je dois être rouge tomate, ma transpiration qui pointe, et bien sûr, cette pression de plus en plus forte au niveau de mon slip.— Merci c’est très gentil. Ca fait très plaisir. Elle a l’air gênée, à mes mots, elle doit rougir un peu, bien que ce ne soit pas évident à voir vu la couleur de sa peau. Elle regarde un peu à droite à gauche, un peu comme une bête affolée qui cherche une échappatoire. En même temps, elle est flattée par mes petits boniments, elle me fait un sourire un peu coquin, tourne sa tête aux trois quart de face et bat un peu des cils tout en tortillant une mèche de cheveu avec ses doigts. C’est encourageant tout cela, je continue mes attaques :— vous êtes ici pour longtemps ? Vous avez un petit moment-là ? On pourrait discuter dans un bar autour d’un verre pour faire connaissance ? …On se retrouve sur une petite table ronde. Une petite terrasse d’un café parisien, banal mais en plein centre-ville et il y a un beau soleil qui inonde la place. Nous sommes, l’un en face de l’autre. Moi je me suis pris une bière, elle sirote un petit coca. Tandis que je lui dévoile mon projet, je regarde ses mains, petits doigts boudinés aux longs ongles rouges vifs saillant du bout desquels elle pince la paille de son verre d’un geste précieux. Elle introduit l’extrémité de la paille dans sa bouche, referme ses lèvres charnues et aspire doucement le breuvage. Evidemment, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer qu’elle puisse faire de même avec mon sexe. Je lui parle sans détour de mon projet, mes mots sont crûs, directs. Je lui dis que je cherche une maîtresse, je lui dis que je la trouve belle, je lui dis que je veux faire l’amour avec elle, passionnément intensément. Je tente aussi de la rassurer, je ne veux pas la brusquer mais le temps me manque, je ne veux pas qu’elle se sente contrainte à quoi que ce soit. Je lui explique que ma démarche n’est évidemment pas romantique, une vie m’attend chez moi et je ne veux pas la briser. Je suis heureux dans ma vie et j’éprouve de la honte à l’idée de tromper ma femme. Mais les années passent, la quarantaine qui est là, mes fantasmes et mes envies, chaque fois plus présent. Il me manque le grand frisson d’une rencontre, l’excitation extrême de caresser une femme inconnue pour la première fois. Je lui dis que le désir que j’éprouve pour elle est très fort, il m’était impossible de ne pas l’aborder. Si elle le veut, cette liaison sera belle, mais ne s’inscrira pas dans la durée. Je suis honnête avec elle, je ne lui fais pas de vaines promesses…
Tandis que nous discutons, je tenter de me rapprocher d’elle. Sur la table, mes mains effleurent les siennes mais ne parviennent pas à les attraper. Sous la table, mes pieds ont un peu plus de succès et parviennent à capturer un de ses petons, mais là encore elle finit par se dérober, je n’insiste pas.Elle est gênée et un peu ahurie par mon côté direct. Il est clair que tout cela va beaucoup trop vite pour elle. Je vois la déception dans son regard quand elle comprend que je ne souhaite qu’une relation brève. Je la sens prête à partir, elle cherche une excuse pour s’esquiver. En même temps, elle est fascinée par mes petits mots. Elle est flattée quand je lui dit que je la trouve belle. Elle ne peux s’empêcher de rire à certaines de mes sorties. Attirance et répulsion en même temps. Alors nous discutons…Je lui raconte ma vie, elle me raconte la sienne, son récent voyage en Côte d’Ivoire, son pays d’origine où elle enterra sa grand-mère qu’elle aimait tant, sa foi chrétienne sincère et profonde, sa participation à des associations religieuses, mais aussi les déboires de sa vie privée, son compagnon qu’elle n’aime plus depuis longtemps, sa solitude, son enfant qu’elle doit élever… je suis touché, elle était à mes yeux une proie, un objet sexuel, un corps sur laquelle je pouvais assouvir mes désirs. Voilà maintenant qu’elle devient une femme, avec une âme, un cœur, une sensibilité. Je passais tout mon temps à reluquer ses fesses et ses nichons, à voir remuer ses lèvres. Voilà maintenant que je regarde ses yeux, son regard, son sourire, et mon désir se complète par de la tendresse. Je commence à me sentir un peu penaud, et à ressentir de la honte pour la proposition indécente que je viens de lui faire. Je lève ma main et je caresse son visage doucement. J’effleure sa joue et réajuste ses mèches derrière son oreille. Elle ne s’en offusque pas, au contraire elle penche sa tête et me rend un beau sourire tendre, me regardant de ses grands yeux…Il se fait tard, elle part aux toilettes tandis que je règle les consommations, elle me retrouve et d’un sourire gênée: « et maintenant ? me demande t’elle – allons faire un tour et continuons à discuter, je lui répond »On se promène en ville puis dans un parc. L’air est chaud, l’été bat son plein. Assez rapidement, pendant que nous marchons cote à cote, je lui prend la main, elle accepte et serre la sienne à son tour. C’est l’instant magique, l’instant où tout bascule, je le sais, tout ce qui était avant n’était qu’incertitude, tout ce qui va suivre est évident. Je la regarde dans les yeux, elle me sourit, on reste longtemps les yeux dans les yeux se tenant par la main, en croisant les doigts et se serrant fort, très fort. J’avance mon visage et elle m’accorde un petit smack. A peine si nos lèvres se touchent. A partir de cet instant, je suis un salaud je le sais, J’ai trompé ma femme, plus rien ne sera jamais comme avant. J’ai goûté au fruit défendu, il est sucré, il est amer aussi. Tout se mélange dans ma tête, la tendresse naissante que j’éprouve pour Liliane, le désir puissant dans le fond de ma culotte, la honte que j’éprouve pour la trahison, pour les mensonges futurs que je dirai. Je devrai renoncer, j’en suis incapable. Tout s’accélère alors, tout s’emballe, je lui fait un 2e puis un 3e baiser, chaque fois, mes lèvres appuient davantage sur les siennes, chaque fois le baiser est plus long. Je déguste la saveur sucrées et pâteuse de son gloss trop épais. Entre chaque embrassade je passe ma langue autour de mes lèvres pour faire le ménage, pour continuer de la goûter encore davantage. Nous reprenons notre route, cette fois mon bras droit est enroulé dans son dos tandis que ma main gauche serre doucement sa main droite. Et nous nous promenons ainsi bras dessus, bras dessous en nous chuchotant à l’oreille des mots doux. Je caresse doucement sa main, je masse doucement ses flancs, je lui donne parfois de gentils petits bisous dans le cou, j’en profite pour sentir son odeur, savourer la douceur de sa peau, humer sa transpiration. Elle me met sa main sur mon ventre et se met à la parcourir, le frisson parcourant tout mon corps fait redresser tous mes poils. Ma main droite descend et commence à parcourir l’arrondi de son immense croupe. De nouveau je l’embrasse, mais cette fois, j’ouvre ses lèvres avec ma langue et l’y enfonce dans toute sa profondeur, la laissant s’unir avec la sienne et y parcourir des tours dans toute sa bouche. Je la serre bien fort dans la taille, je presse mon ventre contre le sien et je sens mon sexe gonflé, coincé dans mon slip et mon pantalon cherchant à s’extraire, je le sens s’appuyer sur le bas de son ventre et frémir. Je suis au comble du désir, je sens un petit filet de sperme sortir et tacher ma culotte. Liliane aussi est emplie de désir, elle est toute transpirante après ce long baiser. Je la prends par la main et l’entraînant je cherche un coin tranquille dans ce parc, un peu à l’abri des regards…Entre 2 arbustes, je la plaque contre un arbre et de nouveau, je l’embrasse vigoureusement. Mes mains parcourent son corps de mille caresses, je parcours ses flancs et sa croupe, j’appuie doucement sur ses fesses, une main remonte sur sa poitrine et enveloppe son sein. Mon autre main la sert par les fesses, Nos deux corps restent bien en contact, se touchent au niveau du bassin. Au travers des tissus de mon pantalon, mon sexe maintenant bien dressé fait pression sur le sien derrière la fine épaisseur de sa robe et de sa culotte. C’est un moment somptueux, j’enrage de ne pas arracher avec vigueur tous ses vêtements et de planter avidement ma queue dans son ventre.Un bruit ! quelqu’un approche, elle soupire, me repousse d’un geste brusque. Elle regarde à gauche et à droite, l’air inquiète. Ce n’était rien, elle me regarde en riant et d’un geste brusque elle attrape ma tête de ses deux mains et enfonce sa langue dans ma bouche. Une de mes mains caresse alors sa cuisse, puis tout en continuant à l’embrasser, je remonte ma main sous sa robe et je touche sa culotte. Je sens la chaleur et l’humidité de son minou, mes doigts dessinent les courbures de ses lèvres puis j’enfonce doucement mon index dans l’ouverture, créant un pli dans sa culotte. Violemment elle me gifle ma main et me repousse, « NON ! quelqu’un va nous voir ! ». je la regarde fixement en souriant, elle se calme. De nouveau je m’introduis dans son entrejambre. Cette fois je soulève la culotte et j’engouffre toute ma main. Sa chatte est énorme, sa fourrure y est généreuse, complètement mouillée. Mon index entre dans son vagin et mon pouce caresse son clitoris. Elle me regarde, ses yeux sont exorbités. J’approche ma bouche dans l’oreille et je lui chuchote :« Tu aimes ça petite cochonne »Elle ouvre la bouche et halète, son corps tout entier se cabre, tout en se baissant un peu, elle écarte ses jambes de manière à faciliter mes caresses, elle lève les bras au-dessus de sa tête, tout son corps est sous tension. Je la tiens cette grosse chienne ! Elle est complètement soumise à mes caresses expertes, elle est ma chose, elle est mon jouet, elle est prête à jouir, et je veux la faire jouir…Je m’arrête avant qu’elle meugle et rameute tout le quartier. Je retire ma main, elle est complètement trempée, je la renifle pour humer l’odeur de son sexe. Elle reprend sa respiration, remet sa culotte et réajuste sa robe. Je l’emmène à l’hôtel. Pendant tout le trajet, on ne se dit rien, on ne se parle pas, on ne s’embrasse pas. Nos pas sont pressés, vifs, nous sommes en proie tous les deux à une terrible excitation, nous sommes concentrés autour d’un même objectif, rejoindre au plus vite ce putain d’hôtel pour baiser. Enfin nous arrivons. dans le hall, je bredouille quelques mots maladroits au maître d’hôtel pour récupérer les clefs. Celui-ci jette sur la femme qui m’accompagne un regard plein de mépris. Je lui collerai bien un pain dans sa gueule à ce connard ! mais, elle et moi faisons ceux qui n’avons rien vu. On s’éclipse main dans la main. Dans l’ascenseur, je lui aurais bien encore roulé une pelle, je l’aurai bien plaquée contre une paroi et relevé la jupe et mis mon doigt dans sa culotte. Hélas, dans la cabine où nous entrons, nous ne sommes pas seuls. Se tient une ravissante jeune femme très belle et très élégante. Un grande blonde très fine de silhouette, coiffure courte taillée impeccable, petit maquillage discret très élégant, un visage lisse, une peau parfaite. Dans un tailleur noir très business-class, tenant une petite pochette… la femme idéale tant vantée dans les pages en papier glacée dont je parlai tout à l’heure. Voilà un trio qui ne manque pas de sel. Cette magnifique blondinette, parfaitement manucurée, au visage impassible, elle me laisse de glace ! elle me fait penser aux robots humanoïdes dans la série real humans, une poupée gonflable insipide. Non je préfère mille fois la grosse black qui se tient près de moi. Nous échangeons un timide bonjour avec robocop qui nous répond poliment. Nous ne disons rien, mais Liliane et moi, nous échangeons des regards de complicités. A un moment, je ne peux pas m’empêcher de lui faire une petite tape sur la fesse. Ma pauvre Liliane commence à rire, et AndrOïd business woman ne dit rien. La montée vers le 3e est interminable. Ding ! nous arrivons à l’étage, je l’attrape par la main et je la tire hors de la cabine, je dit au revoir à notre working-girl compagnie de cabine et nous nous précipitons avidement vers la chambre, c’est tout juste si nous ne courons pas. Devant la porte, un cauchemar la serrure ! ma carte magnétique ne déclenche pas l’ouverture, j’essaie dans un sens, dans l’autre, rien y fait. Je suis tellement nerveux, tellement pressé que je ne contrôle plus mes gestes, je vais finir par tout casser ! Finalement, je prends ma respiration, je me concentre et je parviens à ouvrir la porte ! Nous nous engouffrons dans la chambre, je referme la porte avec violence. Je me retourne et je la contemple dans toute sa beauté, ma belle princesse noire. Elle se tient fièrement debout en me regardant dans les yeux avec un sourire radieux. Bien droite, le buste en avant, ses seins gonflés de désirs débordent de sa petite robe. Elle porte les mains sur sa taille, ses jambes légèrement écartées. Je prends ma respiration lentement, il n’est pas question de se jeter sur elle comme un bestiau, je vais bien prendre mon temps, je vais la goûter tout en douceur et la faire jouir jusqu’au bout.Je l’attrape par la taille, le temps d’un bisou dans le cou et on s’assoit sur le lit cote à cote. Je la pelote sur les flancs tout en lui faisant de petits baiser sur le cou et l’oreille. Je déboutonne sa robe et lui dégage ses épaules, alors j’entreprends de lui caresser les seins. Elle se laisse faire, me regarde avec un grand sourire et ne dit rien. J’enlève une bretelle de son soutien-gorge et je lui retire un nichon, puis l’autre. Enfin je vois sa poitrine généreuse ! Deux seins énormes bien gonflés par le désir, les auréoles de ses tétons sont gigantesques. Je les caresse, je les malaxe, bientôt je mets ma bouche et je les suce consciencieusement, prenant soin de bien laisser claquer les bruits de salive. Ma compagne réagit, je la sens se courber au rythme de mes léchages, je sens sa respiration s’accélérer, elle enfonce ses ongles dans mes cheveux, me caresse le cuir chevelu et bientôt, elle prend ma tête pour l’enfouir tout entière entre ses seins, Mon nez s’enivre de sa peau humide et de son parfum. Elle me repousse à l’arrière et entreprends de retirer ma chemise, puis elle prend soin à me caresser le torse le ventre, et à m’embrasser. Bien vite, une fragrance âcre et fermentée venant du bas ventre de Liliane sature l’air moite de la chambre, l’odeur de son sexe, mouillé par le désir, mouillé par la transpiration. Je soulève la jupe, la culotte est complètement trempée, elle colle le sexe de ma compagne et épouse toutes les courbes de ses lèvres entre ouvertes. La transparence de l’humidité fait apparaître sa généreuse pilosité pubienne, un filet humide coule sur ses cuisses graisseuses. Je suis bouche bée devant tant de beauté, et je reste un moment complètement coi à baver devant la manifestation du désir de Liliane. Je lui écarte les cuisses et Je descend ma bouche sur sa chatte. J’entreprends de la lécher au travers de la culotte. Traversant le tissu, le liquide de sa chatte humecte bien vite ma langue, c’est délicieux ! j’en veux plus ! d’un geste brusque, je lui arrache sa culotte et je vois son sexe énorme tout ouvert, tout pour moi, je plonge ma tête dedans et je la dévore ! mes lèvres rappent sur la rugosité de ses poils, ma langue parcours la douceur de son vagin et titille son clitoris tout dressé. Liliane s’affale sur le lit en gémissant, elle serre ses jambes autour de mes oreilles. Tandis que je le lape, mes mains parcourent ses cuisses, son ventre et ses seins, J’avale goulûment son jus, je m’en régale, je déglutit, ma bouche et mon visage complètement éclaboussés. A chaque passe de ma langue, cette cochonne se contorsionne de plaisir, elle tressaille et gémit. Sa jouissance m’encourage à aller plus loin, plus fort plus vite, elle jouit encore plus, cette fois elle crie. Combien de temps je lui ai bouffé sa chatte ? une minute ? une heure ? une nuit ? Une éternité ? Je ne sais pas. Je me relève, elle se rassoit et me fait face, assise sur le lit, moi juste en face tout debout. Sa chevelure est toute ébouriffée, ses vêtements à moitié enlevés sont tout froissés, ses énormes seins à l’air tombant sur sa robe dégrafé, sa chatte dégoulinant de son jus et de ma bave. Frénétiquement, elle enlève mon pantalon et mon slip, mon sexe est enfin libre à l’air libre. Il est droit et dur comme une barre d’acier, il est tellement dur qu’il me fait presque mal, le bout du gland est violacé intense, j’ai l’impression qu’une simple pression suffirait à le faire exploser tant il est prêt à jouir. Elle réajuste sa position écarte les cuisses et m’invite à la pénétrer.« Viens fais moi l’amour maintenant ! dit elle. Je lui attrape alors la tête par mes deux mains et dirige sa bouche vers le bout de ma bite.— Non ! tu dois d’abord me sucer ! Elle se rétracte, l’air écoeuré, elle libère sa tête d’un coup de main. — Non ! moi je ne fais pas cela, c’est dégueulasse ! — Ecoutes-moi ! Je t’ai léché, donc tu me suces, c’est comme ça. J’essaie encore de lui attraper, mais cette conne se débat ! A son air, je comprends qu’elle ne pratique pas la fellation, cela provoque une révulsion chez elle qui n’est pas feinte, oui mais moi, je veux qu’elle me suce cette salope !Je me calme un peu, je lui souris, je la rassure. Je lui caresse le visage, je prends sa main et la pose sur ma bite. Elle commence à la branler, assez maladroitement d’ailleurs, elle pince un peu la peau, mais c’est bon quand même, elle continue à astiquer mon poireau, je me concentre pour ne pas tout cracher ma semence, je pose ma main doucement sur son cou et d’une pression douce mais ferme, je rapproche ses lèvres.— Ecoutes moi Liliane, je te promets, je ne vais pas cracher dans ta bouche, je te le promets, mais tu dois le faire. Vas-y doucement maintenant, tu dois le faire ! Elle a encore des réticences, mais je sens sa résistance s’estomper. Tu es une cochonne Liliane, tu comprends, tu dois faire tout ce que je te dit, vas y maintenant ! ALLEZ VAS Y TU DOIS LE FAIRE, COCHONNE. Je lui attrape de nouveau la tête.Elle s’exécute, elle engouffre le gland de ma bite dans sa bouche et renferme ses lèvres. Je croise son regard, le regard d’une petite fille apeurée. Au début, elle est très maladroite, mais je l’encourage.— OUI C’est bien ! tu es une cochonne, tu es une bonne cochonne ! suce moi encore plus fort ! appuie bien ta langue sur ma bite, appuie bien tes lèvres aussi ! Mes encouragements portent leur fruit, la taille de sa pipe devient de plus en plus finement ciselée, elle met davantage de salive dans sa langue et on entend même ses merveilleux bruits de sucions qui me comblent de joie. Je caresse ses cheveux d’une main, de l’autre je titille un de ses tétons.Oui c’est bon continue ! appuie bien tes lèvres, tu es parfaite, continue…Elle ne continue pas longtemps en fait, c’est moi qui abandonne, je suis tellement excité que je vais bientôt lui éjaculer dans la gorge. Je me retire brusquement. Je repousse ses épaules d’un geste violent et la couche sur le lit.— Ecartes les cuisses, ECARTES MOI SES GROSSES CUISSES QUE JE TE SAUTE ! SALE COCHONNE !Elle monte ses deux jambes en l’air et écarte les lèvres de sa chatte aves ses doigts, me regardant et m’attendant. Moi je me démène à retirer mon pantalon et mon slip qui restaient accroché à mes chevilles manquant de peu de me casser la figure. Une fois totalement nu, je me précipite sur Liliane et d’un seul coup net, mon sexe pénètre dans son ventre. Je lui donne des grands coups de rein rapides et fort, A chaque assaut, son fessier claque sur mes cuisses, ses flancs et ses seins tressaillent, elle pousse un cri. Je continue, mes mouvements sont maintenant long, je retire complètement ma queue avant de la faire entrer complètement avec une lenteur extrême, je veux sentir sur mon pénis chaque millimètre de son vagin, je veux jouir de chaque parcelle de sa chatte. J’enchaîne ainsi plusieurs cycles longs tout en douceur, puis plusieurs mouvement tout en force et en rapidité…— Ca te plaît ma cochonne ? Hein ! Dit moi que ca te plaît ? DIT MOI QUE TU JOUIS COCHONNE !— OOOOUIIIII ! Elle hurle de plaisir. Moi je n’en peux plus, je l’aurai bien retourné et attrapé en levrettes, mais c’est trop fort pour moi. Je suis au comble de l’extase. Je sens que je vais venir et que je ne peux plus me retenir. Mon corps est traversé par un terrible tremblement, comme si je me vidais de l’intérieur, je sens comme une terrible décharge électrique me traverser. Pendant qu’elle hurle, je sens la pression monter, monter, puis, toutes les digues sautent ! Mon sperme se déverse à grand flot puissant dans le fond de son ventre, 3 bonnes giclées.Je pousse mon râle de jouissance. Je me sens complètement vidé de mon énergie. je m’effondre sur Liliane comme un pantin désarticulé. Un grand pantin, blanc comme la lune, maigre et déguinguandé, reposant sans vie sur une grosse poupée noire comme la nuit. Elle m’enveloppe des ses jambes et de ses bras, elle m’enlace, me fait un grand sourire et m’embrasse longuement. Elle tourne sur le quart me déposant doucement sur le lit à ses côtés. Elle me caresse longuement le ventre et les cuisses en me souriant et me comblant de baisers. Moi, je suis exsangue, je suis sans vie, j’hallète et je reprends ma respiration. On se repose ainsi l’un à côté de l’autre, on s’endort.Quand on se réveille la nuit est bien avancée, et on a pas dîné. Merde ! J’ai pas appelé ma femme qui va s’inquiéter ou pire, qui va soupçonner quelquechose. Je file un billet à Liliane qu’elle nous achète quelquechose en bas à manger. J’appelle ma femme, le cœur gonflé de honte, mais je parviens à donner le change.Liliane revient avec des sandwichs, on les mange rapidement, puis on file tous les deux dans la douche. On se caresse le corps sous l’eau et le savon, je lui parcours les seins, les cuisses, les fesses, elle me frotte le dos le torse et me caresse mon sexe, qui parviens à rebander. Bien douché, on remet ca. Je sors Liliane toute mouillée de la douche et je la tire vers le lit. — Mets-toi à quatre pattes, sale cochonne, je vais te faire couiner !Je lui écarte les fesses et lui lèche l’anus en lui titillant son vagin et en caressant son postérieur. Je me relève, et j’enfonce ma bite dans sa chatte. Je fais des mouvements vifs, je fais claquer encore ses grosses fesses. Cela dure très longtemps cette fois, elle hurle de plaisir, mais pour ma part, la sève mets du temps à monter.Je ressorts, je recommence à lui lécher l’anus avec plus d’intensité, j’enfonce mes doigts, j’agrandit l’ouverture, je crache ma salive dans son trou de balle. Elle ne dit rien, cette salope ne voulait pas me sucer, mais pour se faire enculer, il n’y a pas de problèmes ! je me relève et j’entre le gland de ma bite dans son cul, doucement, elle gémit de douleur. Je fais des petits mouvements de va et viens pour agrandir le passage, elle gémit encore de douleur. Mais le trou s’agrandit et bientôt, c’est toute ma bite qui entre dans son cul. Elle souffle, elle grimace, elle a mal mais elle aime ça.— Tu aimes te faire enculer salope ?— Ouiiiii— Tu aimes sentir ma bite dans ton cul ?— Ouiiiii— tu aime la sodomie cochonne ?— ouiii— tu veux que je crache mon foutre dans ton cul ?— OuiiiiiiEt j’accélère, j’accélère, elle pousse des cris, elle hurle, Tout à l’heure, le contact de son vagin était doux, maintenant, les parois de son anus sont rugueux et âpres, mon sexe en devient douloureux...Je laisse tomber ma salive dans son anus. j’attrape à plaine mains le gras de ses fesses et je retourne gaillardement à l’assaut de son cul maintenant bien lubrifié en lui assénant des coups de reins extrêmement puissant. Je gémis à chaque fois. J’accélère, je deviens frénétique, je continuer à lui balancer des insultes dégradantes, elles me répond à chaque fois en beuglant. Au travers du miroir de la chambre, je vois ses yeux hagard, sa bouche béante tordue de douleur autant que de plaisir, elle serre ses griffes crispés sur les draps du lit. Elle est en train de jouir ! A mon tour, je me laisse aller, je penche ma tête en arrière, je ferme les yeux, je lâche toute ma purée dans le fond de son cul en poussant des gémissements grotesques. Je ressort ma bite, Liliane s’écroule dans le lit et je la rejoins, flasque et inerte.Ce putain de réveil nous sort de notre sommeil. La nuit a été fantastique, le matin est lugubre. Nous allons nous séparer, nous le savons bien. Nous nous embrassons tendrement, nous prenons un petit déjeuner sans parler. Douché, habillés, je la reconduit à la gare. Nous nous séparons tristement, je la regarde s’éloigner en faisant balancer de nouveau son superbe cul. Il ne me reste plus que le souvenir de cette superbe nuit. Mon corps est tout vidé, sauf mon cœur remplit à jamais de honte, et de regret.
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