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Rencontre à Los Angeles

Chapitre 5

Avec plusieurs femmes
De retour dans l’immense salon climatisé, je contournais la table centrale en verre, massive sur son pied de béton brut griffé d’aluminium, passant à côté du monumental tableau « Brackets » de Joan Mitchell, aux explosions de couleurs chatoyantes, qui illustrait à merveille mon état d’esprit du moment, avant d’aboutir à l’escalier central. Ce dernier, hélicoïdal, s’enfonçait jusqu’aux étages inférieurs et s’élevait également vers les chambres à coucher. Sur la première marche de marbre blanc veiné avait été abandonné le haut de maillot de Sara. J’imaginais Alice, joueuse, défaire le nœud du vêtement de bain, puis plaquer la délicieuse angeline contre le mur pour l’embrasser avec fougue, les deux mains pressées sur ses seins ronds et dénudés. Avide de les rejoindre, je commençais à gravir les marches, une à une, silencieusement, à l’écoute des bruits de la maison, mais seuls les bruits de mes pas me parvenaient pour l’instant. Arrivé à l’étage, à l’entrée du couloir menant à la chambre, je trouvais par terre le haut d’Alice, abandonné à son tour, comme pour un jeu de piste. Sara ne pouvait qu’avoir rendu la pareille à ma femme pour profiter de sa poitrine généreuse, engloutissant dans sa bouche gourmande les splendides tétons tour à tour, durcis par l’envie.
Je m’engageais dans le long couloir à cet étage – dont la paroi extérieure était en verre – qui donnait sur la chambre principale située plein sud, dans l’angle le plus élevé de la villa. La lumière du jour était vive à cette heure. Quelques murmures me parvenaient maintenant, indistincts. La dernière porte, celle de notre couche, était entrebâillée. Je l’ouvrais pour pénétrer à l’intérieur, lentement. Les rideaux étaient tirés sur la majeure partie des vitres mais un espace conséquent permettait de continuer à profiter de la vue exceptionnelle dont jouissait cette pièce sans être incommodé par une luminosité aveuglante. La deuxième chose que j’aperçus fut le bas du maillot de Sara sur le sol. Elles étaient bien là. Encore légèrement en retrait, relevant les yeux, je me délectais du spectacle que m’offrait les deux jeunes femmes. L’Américaine était sur le bord du lit taille royale, entièrement nue, reposant sur les coudes, la tête en arrière, ses beaux seins dressés par la passion. Alice, à genoux dans l’épaisse moquette de la chambre, portant toujours son bas de maillot, entre les cuisses de sa complice, lui léchait la vulve à petits coups de langue avec une évidente délectation. Malgré la climatisation du lieu, ce spectacle et l’envie me donnaient chaud. Mon sexe était dressé, dur, nervé. Je fantasmais le goût mi-suave, mi-iodé de la vulve de la splendide afro-américaine. Je demeurais d’abord dans l’embrasure de la porte, ne souhaitant pas les interrompre immédiatement. Au bout de quelques minutes, Sara finit par redresser la tête et me voyant, m’invita à les rejoindre. Alors que je m’approchais, elle fut prise de tremblements sous la pression experte de la langue d’Alice qui venait de lui offrir un orgasme, mais aussi sans doute excitée par la perspective des variations du jeu d’amour que j’allais pouvoir leur permettre. La voir jouir ainsi, renversée par le plaisir, m’enflamma brutalement.
Quelques instants plus tard, de nouveau capable de parler, Sara me dit en soufflant :
– J’ai… eu envie… de toi… dès que je t’ai vu.– Je m’en doutais, c’est Alice qui l’a remarqué la première.
Ma femme avait relevé la tête, la bouche maculée de mouille translucide, et Sara plongea son regard dans les yeux de celle qui l’avait faite jouir :
– C’est terriblement bon ce que tu viens de me faire.
Alice ne répondit pas, affichait un large sourire et un air satisfait.
Je me penchais pour embrasser ma compagne à pleine bouche, découvrant par son intermédiaire l’enivrante odeur charnelle de notre nouvelle camarade, puis me couchais sur le flanc aux côtés de Sara. Ses longues mains fines vinrent immédiatement saisir ma tête. Nos lèvres se retrouvaient enfin, j’avais soif d’elle, de son odeur, de son parfum. Ma main droite s’aventura sur son corps, parcourait ses épaules, ses hanches, ses seins. La douceur de sa peau était inimaginable et j’y déposais les plus délicats des baisers, de peur de rompre le charme qui nous liait dorénavant. Alice quant à elle bien plus hardie, glissait doucement un doigt, puis bientôt un deuxième dans le vagin trempé de Sara, qui lui lança un regard indescriptible, entre surprise et envie brûlante, déroutée par la situation. Sans la laisser respirer, je fis pivoter de nouveau son visage vers le mien et recommençais à l’embrasser. Bouche, puis ses joues délicieuses, enfin menton. Changeant de position, j’embrassais sa gorge, son entre-seins, excitais ses tétons dardés avec mes lèvres et ma langue. Puis je continuais à descendre la ligne centrale de son ventre, jusqu’à ses athlétiques abdominaux dessinés, que j’embrassais, alors tendus sous sa peau douce et veloutée. Sara émit un son rauque et se relevant, attrapa la nuque d’Alice, la tirait vers elle pour l’embrasser avidement, les doigts de cette dernière toujours occupés à l’exciter. Pas encore sollicité dans cette scène orgiaque, mon sexe commençait à trouver néanmoins l’emprise du maillot bien inappropriée.
Quelques minutes plus tard Alice se relevait et, abandonnant Sara, déposait ses mains sur mon ventre, m’indiquant de basculer sur le dos. Elles glissèrent avec habitude vers mon vêtement de bain. Puis l’abaissa pour libérer mon sexe, tout en glissant hors du lit et s’agenouilla à mes pieds. La belle l’embrassait d’abord doucement, puis humectait le prépuce du bout de ses fines lèvres. Sara observait avec intensité. Alice avait fait glisser mon sexe dans sa bouche affamée et me suçait maintenant dans la même position qu’elle avait usé pour honorer Sara précédemment. Ses lèvres expertes jouaient avec mon gland. Sa langue parcourait ma verge en tout sens. J’étais fou. La chaleur de sa bouche était délicieuse, éprouvante pour mon sexe déjà tuméfié par l’envie et l’attente. Réussissant à me retenir, je glissais un bras jusqu’à Sara qui, médusée depuis l’apparition de mon sexe, n’avait plus bougé. Je l’invitais à venir contre moi et, semblant évaluer la situation quelques secondes, elle s’exécuta enfin, m’embrassait bientôt à pleine bouche, ma queue dressée contre son doux ventre que je désirais m’approprier. Profitant qu’elle s’interrompait un instant pour reprendre son souffle, je lui glissais :
– Si quelque chose ne va pas, dis-le, nous arrêterons immédiatement.– Oui, je sais, c’est juste… Tu es très beau… Et Alice est divine. J’ai très envie de vous.
J’étais aux anges. Pendant qu’Alice me suçait plus fort, Sara embrassait mes pectoraux doucement, léchait mes tétons du bout de sa langue délicate. J’imaginais Alice, trempée à l’entrejambe, fiévreuse. J’allais prendre le relais quand Sara lui fit interrompre sa fellation en lui chuchotant :
– Moi aussi j’ai envie, je peux ?

Alice lui céda la place en souriant, se releva et vint à mes côtés pour m’embrasser. Un baiser possessif, appuyé. Nos salives se mélangeaient et je percevais dans sa bouche un goût inconnu jusqu’alors.
Dans le même temps je sentis la main tiède de Sara saisir mon sexe, et bientôt la chaleur de sa bouche et ses belles lèvres qui le parcouraient, lentement. J’ordonnais à Alice :
– Enlève ton maillot, ma belle, et assieds-toi sur mon visage.
Enthousiaste, elle sauta hors du lit et, debout face à moi, ôta son bas de maillot, révélant ses discrets poils pubiens blonds blé. La sensualité qui émanait d’Alice nue était irrésistible. Je lui indiquais d’un signe de la main de se dépêcher, je voulais la satisfaire immédiatement, entendre ses petits cris d’extase. Alors qu’elle remontait sur le lit, je glissais ma main entre ses cuisses. Elle frissonna immédiatement, trempée à cet endroit, les petites lèvres rougies, prête à jouir. Dans le même temps, toujours affairée, Sara parcourait ma verge de ses lèvres de haut en bas, sa main jouant avec mes bourses. Ses doigts massaient la peau délicate. Je sentais sa salive couler le long de ma queue. Elle ne la sortait de sa bouche que pour lécher mon gland, avec soin. Alice se positionnait bientôt au-dessus de mon visage, genoux écartés. La demande était limpide. La beauté m’offrait sa somptueuse vulve fendue, ornées de ses longues lèvres lascives à déguster, son buste tourné vers Sara, se délectant de ma queue. Je commençais par lui lécher les petites lèvres, glissant le bout de ma langue sur tout le pourtour sirupeux, revenais régulièrement vers son clitoris excité. Afin de mieux en profiter, je glissais mes mains à ses hanches pour la faire s’abaisser davantage, faisant pénétrer ma langue à l’intérieur de son vagin. Mon visage était maintenant en partie enfoui dans sa vulve : nez, lèvres et langue. J’absorbais ses fluides délicieux qui se mêlaient à ma salive abondante. Au bout de quelques minutes, il n’en fallut pas davantage, alors que je venais de la pénétrer de ma langue encore une fois, elle jouit d’un coup, criant :
– Tiago, c’est trop bon… Ah c’est trop bon…
Pendant qu’elle était envahie par un orgasme puissant, des petits tremblement parcouraient ses belles cuisses bronzées puis remontaient le long de ses hanches. Elle enfonça ses bras dans le lit pour ne pas tomber alors que je continuais à la sucer. Sa mouille mêlée à ma salive s’écoulaient le long de ses cuisses. J’avais son cul adorable en gros plan et j’imaginais ses seins parcourus par l’orgasme frissonner, tandis que son beau visage se crispait sous les spasmes de plaisir.
La fellation de Sara, l’orgasme d’Alice, j’approchais du point de non-retour. Ma compagne s’allongea sur le côté pour récupérer. Je me redressais et profitais d’un moment où la belle angeline me fixait du regard pour lui dire :
– J’aimerais te pénétrer.
Sara répondit sans hésitation, un magnifique sourire aux lèvres :
– Tu veux faire ça comment ?– Comme tu as envie.– J’ai beaucoup d’envie.– La première alors ?
Grimpant sur le lit, Sara s’installa sur moi, à genoux. Collant son corps chaud au mien j’étais envahi par son parfum. Elle me déclara l’air sérieux, presque jalouse :
– J’avais aussi envie de te chevaucher.
Sa main d’un geste sûr saisit ma queue désormais en feu, pendant que je la dévorais des yeux. Ses beaux seins couleur ébène trônaient au-dessus de mon visage. La musculature de son ventre divin ressortait quand elle se souleva vers moi pour ajuster de sa main mon sexe au sien. Pénétrant entre les deux lèvres brûlantes, ma verge rencontrait enfin sa vulve chaude et trempée. Je pénétrais simplement la jeune femme, profondément excitée, qui émit rapidement des petits cris discrets quand ses chairs s’écartèrent pour me laisser passer, évoquant une jouissance contrôlée. La tenant aux hanches, je me soulevais pour bien pousser, m’insérant dans son vagin moelleux. Redressé sur les coudes, mettant ses seins en bouche qui touchaient mon visage en cadence, je têtais ses beaux tétons ocres. Elle dégustait l’instant, ses bras longs et musclés reposant sur mes épaules et lovés autour de mon cou. Je glissais mes mains à son entrejambe et portant un doigt à ma bouche, goûtais le mélange de nos sécrétions. Je saisissais son cul, éprouvais sa fermeté, glissais un doigt le long de sa raie des fesses, me redressant par moment pour lui caresser l’anus.
Après avoir digéré l’orgasme violent qui l’avait réfrénée, Alice revenait à la charge. Elle s’était rapprochée de Sara, lui chuchota quelque chose à l’oreille. L’angeline, fixa ma femme avec un grand sourire. Arrêtant de me chevaucher, elle déposa un baiser sur mes lèvres, avant de rejoindre Alice qui s’était éloignée. Alors que je me relevais, encore fébrile de notre chevauchée, sans néanmoins les quitter des yeux, les deux femmes s’étaient installées sur le bord opposé du lit, l’une à côté de l’autre, à quatre pattes. Sans m’attendre, elles commençaient à s’embrasser, feignant de m’ignorer ostensiblement. Arrivant derrière, j’observais avec envie leurs deux chattes trempées, ouvertes, attendant d’être baisées par ma queue. Choisissant d’honorer en premier l’instigatrice de cette initiative, mes mains se posèrent sur les fesses si galbées d’Alice. Je poussais ma queue avec habitude dans son vagin brûlant. Elle réagit d’abord à peine, tout aux baisers obscènes qu’elle échangeait avec Sara, sous mon nez. J’étais comme saoul. Je me cramponnais à son cul, la pénétrais de toute ma longueur, mes doigts laissant des traumatismes rouges sur sa peau nacrée. Elle lâchait par moment de courts râles évocateurs, qui me rendait fou. Ma queue en action disparaissait entre ses petites lèvres largement écartées, son vagin déformé par le diamètre de ma queue qu’elle accueillait.
Quelques minutes plus tard, je me forçais à m’arrêter et, après avoir embrassé le dos immaculé d’Alice, je me dégageais, laissant la chatte d’Alice béante, souillée. Lentement, à un rythme mesuré, contrôlé, je me positionnais derrière Sara. Ma queue était raide comme un piquet, maculée de différentes pertes et prête à conquérir la belle Américaine. Lorsque mes mains se positionnèrent sur ses fesses musclées, je sentis un frisson la parcourir de la tête aux pieds. Sans plus de préliminaires, je poussais lentement mon gland entres ses petites lèvres et entrais doucement dans son vagin embrasé, centimètre par centimètre. Je positionnais mes mains aux creux de ses genoux, tâtant alternativement ses mollets et ses cuisses. Une fois mon sexe introduit de toute sa longueur dans son vagin, je commençais de réguliers va-et-vient. Je lui caressais le cul, les hanches, le dos, la nuque. Alice s’était rapprochée, se glissant au plus près de Sara. Cette dernière l’embrassait sur la bouche, dévorait ses seins. La sensualité dégagée par les deux belles enlacées m’hallucinait. Dans le même temps, j’accélérais. Comme un démon je poussais en Sara, une de mes mains caressant le ventre chaud d’Alice. L’autre reposait sur la nuque veloutée de l’afro-américaine. Je sentais monter en moi l’orgasme, désormais irrépressible. Et c’est alors que Sara dévorait les plantureux seins d’Alice, les suçant de manière passionnée, comme moi-même j’avais souvent procédé, que je me sentis partir, vriller. Poussant ma queue au plus loin dans la jeune femme, je jouissais d’un orgasme violent, expulsant le sperme au plus profond de son ventre, par jets répétés, alors que mes mains serraient vigoureusement ses adorables fesses. Sara avait relâché le sein d’Alice et criait « oh putain… oh putain… » pendant que ma verge battante déchargeait ma semence dans son vagin. J’étais pris quelques instants de vertige, sous l’intensité de la jouissance. Sara s’affaissait bientôt sur ma femme. Ma tête tournait encore, des étoiles défilaient devant mes yeux. Je me retirais doucement de Sara, qui les yeux fermées, semblait momentanément terrassée. Mon sperme laiteux suintait de son vagin, puis coulait le long de ses petites lèvres avant de souiller ses courts poils pubiens. Reprenant mes esprits, je m’allongeais à côté de Sara, endormie dans les bras d’Alice, et adressais un regard amoureux à ma femme, qu’elle me retourna avant à son tour de fermer les yeux. En relevant la tête, j’apercevais à travers les voiles opacifiants au-dessus du pacifique le ciel azur et le soleil étincelant. La climatisation maintenait une température idéale et je retrouvais peu à peu mes esprits, admirant les deux déesses en face de moi assoupies. Il était encore tôt, la journée ne faisait que commencer.
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