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La rencontre de F et Maitre A

Chapitre 2

SM / Fétichisme
F arrive chez elle et elle sait que son homme l’attend. Il est au courant de la rencontre de ce soir. C’est lui qui a plus ou moins poussée pour que F se décoince et entre dans l’univers libertin. Quand elle a commencé à dialoguer avec Maître A, il ne croyait pas F capable d’assumer une telle rencontre et un univers comme celui de la soumission, elle si timide et prude. Pourtant, avec le temps, il avait remarqué un changement dans ses habitudes. Elle faisait régulièrement des photos d’elle en dessous, elle ne portait plus que des strings et en avait même racheté un stock, et il y avait ce collier noir ras le coup qu’elle aimait porter de plus en plus. Alors quand elle lui a demandé de pouvoir le rencontrer, il a accepté sans le moindre souci espérant récupérer les fruits de la nouvelle éducation de salope qu’allait suivre F.

Il l’a attendu toute la soirée, et quand il entend la voiture entrée dans la cours de chez les parents de F (ils y sont pour le weekend) il commence à bander en imaginant ce qu’elle a subi. De son côté F est soucieuse. Si au début elle faisait ça par rapport à son homme, ce n’était plus du tout le cas. Elle veut garder son Maître pour elle mais elle sait qu’elle devra lâcher quelques éléments à Serge si elle souhaite voir régulièrement Maitre A. Ne se sentant pas capable d’affronter la situation toute seule, elle prend son téléphone et envoie un SMS à son Maître :

« -Etes-vous disponible Maitre ? »

La réponse tarde à arriver mais elle décide d’attendre encore quelques instants

« - Tu es déjà en manque de moi ?— Pas exactement Maître même si je rêve d’être contre vous ce soir. Je viens de rentrer et Serge est là. Je ne sais pas quoi lui dire….— Il t’a poussé dans mes bras n’est-ce pas ? Il assume donc son statut de cocu ?— Je ne le vois pas comme un cocu….— Tu viens de me sucer et avaler mon jus alors est-il un cocu ? »

Elle prend quelques minutes pour répondre. Si elle est consciente de la situation, elle a du mal à accepter que Serge soit un cocu. Elle ne le voyait pas ainsi et le mot sortant de la bouche de son Maître la déstabilise. Un nouveau SMS là sort de ses pensées :

« - Est-ce un cocu oui ou non ?-De toute évidence, oui Maître.— Et c’est lui qui t’a poussé dans mes bras. Il assume donc totalement son statut et il doit t’attendre en bandant s’il ne s’est pas déjà branlé dans la soirée.
— Vous pensez Maître.— Oui. Il aime que tu deviennes une salope et il a du imaginer un million de scénario. On va jouer avec lui. Gardes ton tel à la main et entre, tu suivras mes consignes en me décrivant ce qu’il se passe. Compris ?— Non Maître. Je suis chez mes parents et il est hors de question de faire quoi que ce soit ici quand ils sont là.— Ferme la petite pute ! En me suçant tout à l’heure tu as accepté définitivement ton statut de Chienne, de Salope. Tu ne vas pas me faire la petite fille sage en rentrant chez papa maman. Lève-toi et entre tout de suite dans cette maison le téléphone à la main ! »

Elle ne sait pas quoi faire. D’un côté, elle a envie de l’envoyer balader… mais d’un autre elle ne peut pas ignorer ce qui se passe entre ses cuisses. Depuis qu’il lui parle par SMS, elle sent sa chatte s’ouvrir, s’humidifier. Elle sent une chaleur remonter de cette zone vers tout son corps, elle frémit de plaisir et de rage pour la manière dont il lui parle. Mais le plaisir est bien plus élevé et elle se résigne à se lever de sa voiture, en sortir et rentrer dans la maison.

Heureusement quand elle entre elle remarque que tout le monde est couché sauf Serge qui regarde la télévision. Elle envoie un SMS à son Maître alors que Serge se lève pour l’embrasser et lui demander comment elle va :

« -Je suis dedans avec lui au salon.-Monte le dans ta chambre. »

Elle n’a pas écouté ce que lui disait Serge tellement elle était concentrée sur son tel. Elle lui dit que tout s’est bien passé, qu’elle était encore avec son Maitre par SMS et qu’il souhaite qu’elle l’amène dans la chambre. Serge là suit.

« - Voilà nous y sommes.— Ordonne-lui de se déshabiller puis s’il bande demande lui pourquoi.— Je ne peux pas faire ça, je ne lui donne pas d’ordre.— Veux-tu me faire perdre patiente…. Décide-toi maintenant, es-tu ou non ma Chienne ? »

A nouveau elle se résigne. Elle demande dans un ton loin d’être autoritaire à Serge de bien vouloir se déshabiller. Il n’en attendait pas tant et se voit déjà en train de là baiser. Il se met nu en quelques secondes et déjà sa queue pointe fièrement vers le haut. Il se prépare à se jeter sur elle mais elle l’arrête d’un coup net :

« - Pourquoi tu bandes ?— Tu me demandes de me foutre à poil et j’ai imaginé ce que tu faisais avec lui toute la soirée. Envie de tout savoir…— Tu m’as jeté dans ses bras. Maintenant c’est lui qui décide. Reste là. »

Serge ne sait pas quoi faire mais devant le regard de F il décide d’obéir. Et au lieu de lui faire descendre sa queue, il bande encore plus dur ce que remarque F en écrivant un SMS à son Maître :

« - Il bande et dit que c’est en imaginant notre soirée.-Cocu et fier de l’être. Prend une chaise, met là dans un coin de la pièce et ordonne lui de s’asseoir dessus. »

Elle suit les directives de son Maître et Serge se laisse faire sans un mot.

« -Déshabille toi maintenant et allonge toi sur le lit cuisses ouvertes et pied contre tes fesses face à lui. Tu mouilles ?— Oui Maître.— Commence à te caresser doucement. »

Elle est de nouveau dans un état second. Elle écarte ses lèvres et accède à son clito qu’elle caresse avec tendresse. Déjà gonflé de désir, et trempée d’envie elle en oublie Serge dans un coin de la pièce et ne pense qu’à son Maître, sa queue, son goût…

« - Il se branle ?— Oui Maître.— Tu vas lui demander s’il aime ce qu’il voit et tu vas lui dire que tu te caresses pour moi. Tu vas lui dire que c’est un cocu et qu’il a eu raison de t’offrir à moi. Dis-lui le goût de ma queue, son odeur en te caressant et en le regardant se caresser. Soit ferme dans tes mots. »

Dès la fin des mots de son Maître elle s’adresse à Serge, lui rappelant son statut de cocu et lui signalant combien elle a adoré sa soirée et le goût de la queue de son Maître. Plus elle se caresse, plus le désir monte, plus elle le rabaisse…

Serge là voit se caresser son clito et il sait parfaitement qu’elle le fait en pensant à lui. Elle le rabaisse, le traite comme un cocu (ce qu’il est quand il y pense) et n’hésite pas à lui répéter à plusieurs reprises combien son Maître est un vrai mec avec une vraie queue. Plus elle parle, plus il bande et sans le sentir venir il décharge sur lui une giclée importante de son sperme. Il se sent honteux mais ne peut nier son plaisir… il n’a même pas réussir à se retenir. Il baisse les yeux et n’ose pas regarder F.

En voyant sa F n’en crois pas ses yeux. Elle le rabaisse depuis plusieurs minutes, se sentant parfois méchante sans pouvoir se retenir mais adorant ce qu’elle fait. Elle est au bord de la jouissance, et ressens sa force à travers son Maître :

« - Puis je jouir Maître ?— Ton cocu a giclé ?— Oui Maître, alors que je le rabaissais.— Ordonne-lui de ne pas bouger et de regarder comment une salope d’un Maître joui. Dis-lui bien que tu n’es pas sa salope mais la mienne lâche toi en accélérant les caresses et en jouissant. »

Elle ne se contrôle plus. Elle accélère le mouvement sur son clito et sent une jouissance intense envahir son corps. Des mots sortent de sa bouche à l’attention de Serge, des mots durs lui disant qu’elle est la pute d’un autre mais elle ne peut se retenir. Elle s’abandonne à sa jouissance, foudroyée et Serge là regarde, sa queue toujours dure. Après quelques instants d’une jouissance intense elle s’effondre sur le lit et remercie son Maître.

« - Fais comme si ce moment ne s’était pas passé. Va te doucher puis couche toi en lui souhaitant bonne nuit comme un couple classique. Il vous faudra du temps pour digérer la soirée. »

Les mots de son Maître là rassure. Elle demande à Serge d’aller se doucher puis elle y va. Le reste de la soirée est calme et ni Serge ni F n’ose parler de ce qu’il vient de se passer. Il a envie de là baiser mais il sent en lui qu’il n’en a pas le droit. Il ne sait pas pourquoi mais il ressent qu’il devra attendre que F (ou son Maître) décide quand et comment il pourra baiser sa copine…

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