La cinquantaine approche, notre couple va bien, mais une certaine monotonie s’est installée. Ma femme, Cathy, a quelques rondeurs et une poitrine généreuse. Elle est de plus en plus souvent sur son téléphone. Un jour, je la surprends en train de faire un selfie dans une position bien sexy et de le poster dans la foulée. Je soupçonne un flirt virtuel, rien de bien sérieux à mes yeux. Mais je prends l’habitude de l’espionner un peu.
Un après-midi alors que je bricole, elle s’approche et me dit : — Je vais me promener dans le bois derrière la maison. Je lui fais un signe de la tête pour lui donner mon accord, je la regarde s’éloigner. Elle a mis sa petite robe d’été, elle lui arrive à mi-cuisse et son grand décolleté laisse apercevoir ses deux gros seins, qui ballotent sous ce tissu si léger. Je ne suis pas tombé de la dernière pluie, elle cherche un moyen de s’isoler un peu. Je lui laisse un peu d’avance et discrètement, je lui emboîte le pas. Elle est sur le sentier et se prend en photo régulièrement. Ses mains caressent son corps, je devine une certaine excitation. Le bois se fait de plus en plus épais. Je la vois qui scrute les alentours pour vérifier qu’ elle est bien seule, puis à ma grande surprise, elle déboutonne le haut de sa robe qui laisse jaillir ses grosses mamelles. Elle se prend plusieurs fois en photo les seins à l’air et poste immédiatement les photos. Elle est sexy comme ça, à moitié nue au milieu des bois. Ça doit énormément s’exciter de l’autre côté de l’écran. Je pense qu’on lui soumet quelques scénarios qui ont l’air d’émoustiller ma coquine.
Après s’être malaxé plusieurs fois les seins, je la vois s’asseoir sur un tronc d’arbre et poser son téléphone sur une souche, juste devant elle.Je viens de comprendre, elle va faire une vidéo. Je m’approche le plus possible sans faire de bruit telle une panthère en quête d’une proie. Je suis à vingt mètres tout au plus, je peux voir toute la scène depuis ma cachette.
Elle est assise et elle a remonté sa robe, elle ouvre et ferme les cuisses. Elle se tripote les tétons tout durs qui ornent ses gros seins. Je suis tout excité et je bande comme un taureau. Puis une main glisse entre ses jambes, bon sang, la cochonne, elle n’a pas mis de culotte. Je vois ses doigts qui font des cercles autour de son clitoris, puis ils commencent à s’introduire entre ses lèvres humides. Ça doit commencer à se palucher derrière les écrans. Ses doigts s’activent toujours plus. Un, deux puis trois doigts pénètrent sa chatte trempée. Elle se masse fort les seins. Elle donne des petits coups de reins qui font rentrer ses doigts jusqu’à la dernière phalange. Je la vois respirer fort, sa tête se jette en arrière, ses doigts sont trempés de cyprine. Comme elle est belle ma chérie dans cette position, seule au milieu du bois. Pas si seule que ça, car je ne sais pas combien ils sont en train de mater ma femme derrière leurs écrans.
Soudain, je vois une ombre s’approcher, c’est un homme qui se promène. Ma femme ne l’a pas vu, elle est trop occupée à faire pleurer son puits de désir. Il s’arrête et observe ma femme dans cette position sans équivoque. Il reprend sa marche, discrètement, en direction de Cathy. Je peux deviner d’où je suis, son sexe gonflé sous son short. Tout en marchant, il libère son sexe, qui a une taille tout à fait honorable. Il est là tout proche, il se branle doucement, puis il dit quelque chose à ma douce, qui se redresse de surprise. Elle écarte grand les yeux, mais ses doigts, qui la faisaient trembler, restent en elle. Il lui dit encore quelques mots. Elle tend la main qui malmène ses nichons, il fait le dernier pas qui le sépare de ma femme. De sa main tendue, elle caresse le gland violacé et gorgé de sang. Elle prend ce sexe inconnu et l’attire vers sa bouche. Ses lèvres se posent dessus, sa langue l’enroule, la salive fait briller ce pieu et ses grosses veines. Elle va de plus en plus vite, elle gobe ce sexe qui n’arrête pas de gonfler, elle est presque à la garde, elle fait des aller-retour de plus en plus profonds. L’homme lève la tête au ciel. La pipe que mon épouse lui prodigue doit être divine. Ma femme agrippe d’une main les fesses de ce mâle pour lui donner la cadence. Elle resserre tous ses doigts, pour n’en faire qu’un. Bon sang, sa main va finir par rentrer entièrement, tellement elle est dilatée de désirs. La jouissance ne doit pas être loin pour les deux amants. Il lui pose les mains sur la tête et accélère la cadence. Ma femme donne des petits coups de reins qui font pénétrer sa main jusqu’au poignet. Elle jouit. Je peux voir tout ce liquide d’amour couler le long de ses fesses.L’homme se raidit, se retire et envoie des saccades de sperme qui s’étalent sur les lèvres et la langue de mon épouse. Je suis sur un nuage. Elle s’applique à nettoyer consciencieusement ce sexe inconnu, qui lui a donné un orgasme au milieu de la nature. L’homme se rhabille, caresse les cheveux de ma douce, lui embrasse le front et repart sur le chemin d’où il était arrivé. Elle se relève, range ses grosses mamelles, défroisse sa robe, ramasse son téléphone et se dirige vers la maison.Elle a dû faire exploser plusieurs bites sur le web. Je me cache le plus possible.Quand elle arrive à ma hauteur, moi qui me croyais invisible, elle me fait un petit geste de la main, je comprends qu’elle m’a vu depuis longtemps, elle a un grand sourire sur son visage. Je la désire tellement. Voilà comment on peut mettre un peu de pigment dans la vie d’un couple.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.