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Rencontre musicale

Chapitre 3

Matin calin

Hétéro
“Purple rain, purple rain.I only wanted to see youBathing in the purple rain”
Cette musique familière me parvient, mais le geste qui habituellement me permet de trouver mon smartphone n’est pas concluant. Normal, la voix de Prince ne vient pas d’à côté de ma tête, mais du pied du lit, et il doit être 7h. Le bonheur des concerts en semaine, c’est que ça ne change rien au fait de devoir travailler, et je n’avais pas prévu d’être en télétravail en plus aujourd’hui.Sur mon flanc, je sens également la chaleur d’une paire de fesses qui remuent. C’est vrai que je n’avais pas non plus prévu de rencontrer cette paire de fesses.
— humm j’adore Prince au réveil, mais s’il te plaît, ferme-lui son clapet et viens me dire bonjour, murmure l’adorable paire de fesses sous la couette.
Je récupère mon téléphone dans mon pantalon laissé en boule au pied du lit la nuit dernière. J’en profite pour anticiper la suite en passant rapidement un nouveau préservatif, puis je me colle au dos de la paire de fesses.
— Jolie Sandra, comment s’est passée ta courte nuit ?— J’ai fait des rêves érotiques ... non pornographiques, et tu étais dedans. Acteur principal. Tu faisais toi même tes cascades. Tu as une explication ?— Je ne sais pas. Peut-être que c’est parce que j’ai eu des pensées similaires cette nuit.— oh, mais dis donc. On dirait que tu es en forme ce matin.— Oui, mais n’en connais pas la raison. Tu crois que c’est dû aux rêves ou à toi ?— Salaud ! fait-elle en reculant encore plus son postérieur contre mon sexe en érection.— Définitivement, je pense que les rêves et toi êtes la cause de mon état.— Prends-moi, ordonne-t-elle en écartant le compas de ses jambes et en insérant d’autorité ma bite dans son antre.
Obéissant et consentant, je commence alors de profonds mouvements dans sa chatte.
— Oh oui j’adore faire l’amour le matin. Ça me met toujours de très belle humeur. Continue mon Jean.— Je m’en vais de ce pas éclaircir encore plus ton humeur.
Je m’accroche à ses seins et j’accélère mes mouvements. Le nez collé dans son cou, j’y dépose une multitude de baisers humides. Elle mouille ses doigts avec sa salive puis elle va plonger l’une de ses mains entre ses cuisses.
— Oh oui vas-y prends moi fort ! Baise-moi pendant que je me branle.— Hum hum hum qu’est-ce que j’aime baiser ta chatte.
Sa main s’active de plus en plus vite sur son bouton et je sens son excitation qui monte en flèche.
— Oui oh oh oui encore vas-y ! Vas-y, c’est bon encore ! Tu sens comme je me caresse ? C’est de ta faute, tu m’excites trop.— Oui ma belle, caresse-toi, fais-nous jouir, tu es belle quand tu te touches.
Je sens sa main qui caresse à la fois son bouton d’amour et ma bite qui coulisse dans son sexe brûlant. La sensation est divine. Son jus d’amour coule de sexe, et je décide de joindre les doigts de l’une de mes mains à la sienne sur son clitoris. Sa main se concentre alors sur ma hampe et mes bourses.
— Oh c’est bon, ta main sur mes couilles chérie.— Caresse-moi Jean, fais-moi jouir.
Je la pistonne ainsi pendant quelques divins instants et nous sentons le plaisir monter en nous.Elle nous arrête cependant et se place à quatre pattes. Elle me regarde dans les yeux avec son air à la fois malicieux et vicieux et me dit :
— Viens, j’ai envie que tu me prennes fort, plus fort encore.
Je me place donc derrière son magnifique cul, et je présente mon sexe à l’orée de sa chatte. Elle tourne la tête en souriant et me dit :
— Viens vite, ne me laisse pas descendre.
N’ayant pas l’habitude de refuser de telles invitations, je la pénètre d’une poussée grandement facilitée en cela par l’humidité abondante et la chaleur torride qui règnent dans sa chatte.J’entame une nouvelle série de mouvements de pistonnage de son sexe tout en m’accrochant à ses hanches.Ses gémissements montent à nouveau en volume et commencent à ressembler à de forts grognements et cris.
— Ah ah ah oui oui viens c’est bon.— humpff humpff putain tu m’excites Sandra.
Au comble de l’excitation, elle place à nouveau sa main sur son sexe et ses doigts sur son bouton d’amour. Je sens ses doigts qui viennent à la fois caresser son clitoris et passer sur ma hampe et mes bourses alternativement.
— Viens avec moi chéri, jouis avec moi.
Je tente de caler la montée de mon plaisir sur le sien en écoutant la modulation de ses gémissements.
— Oui oui oui, je viens, je jouis, tu me fais jouir ! Viens !
Elle exprime bruyamment son plaisir dans un râle.
— Aaaah oui !
Son vagin se met à se contracter autour de mon sexe et accentue encore ma sensation de plaisir.Je fais encore quelques mouvements et je parviens au paroxysme de mon plaisir en éjaculant ma semence dans son ventre protégé. Je ne peux réprimer moi non plus un fort râle de plaisir. La tête me tourne et j’ai des étoiles dans les yeux.
— Aaah oui c’est bon, moi aussi, je jouis.— Viens mon chéri, jouis, je te sens, c’est bon.
Elle s’écroule sur le lit avec moi à sa suite. Je fais tout de même attention de ne pas l’écraser de mon poids. Nous tentons de reprendre la maîtrise de notre souffle et de remettre nos esprits à l’endroit.
— Ouah ! Merci Jean pour ce réveil, fait-elle, une fois retrouvé son souffle.— Je prends un pied d’enfer avec toi Sandra, je réponds en basculant sur le côté et en savourant le reflux de la vague.
Je jette un coup d’œil à mon téléphone et avise de l’heure. 7h30. Je ne suis pas en avance pour le taf.
— Je crois qu’il est temps que je te fasse visiter ma salle de bains, dit Sandra en se levant.
Elle attache ses cheveux, puis nue, elle ouvre la porte de la chambre.J’ai l’impression de voir une déesse sortant de sa couche.Je ne peux m’empêcher d’admirer son cul et le galbe de ses fesses.Elle tourne la tête, me fait un clin d’œil et d’un signe m’enjoint à la suivre. Je pars à sa suite dans le même état.Arrivés dans le salon et sa cuisine ouverte, nous entendons une voix rieuse :
— Enfin levés les amoureux ? Vous m’avez fait passer une très mauvaise nuit, dit la voix.— Je suis presque pas désolée mon chou, répond Sandra en allant déposer un baiser sur la joue de la voix puis elle ajoute :— Jean, je te présente ma coloc et amie Christelle. Christelle, voici Jean que j’ai rencontré au concert, et amant formidable.— Enchanté et désolé pour la tenue, je n’avais pas remarqué qu’il y avait une autre chambre dans l’appartement. Pas eu le temps, trop pressé la nuit dernière.— Ne sois pas désolé, il y a des visions plus difficiles au petit-déjeuner, et enchantée également, répond Christelle en souriant et les yeux fixés sur mon sexe, cachée derrière sa tasse de café.— Si tu permets ma chérie, je vais aller nettoyer ce bel organe. Il a efficacement servi cette nuit et j’aimerais m’en servir à nouveau, dit Sandra.— Oui, j’ai cru entendre son efficacité cette nuit, la taquine Christelle en riant, toujours cachée par sa tasse de café.
Je peux néanmoins la détailler et j’admire une jolie trentenaire auburn aux yeux d’un bleu profond. Environ 1m60, une paire de seins mise en valeur par un pull col roulé noir. Les jambes que j’aperçois sous une jupe portefeuille en skaï noir au-dessus du genou ont l’air tout à fait charmantes. Sandra a une coloc aussi sexy qu’elle.Sandra prend ma main et m’entraîne vers la salle de bains puis ajoute à l’attention de Christelle :
— Tu nous laisseras du café ? On va en avoir besoin.— Oui, mais si vous le permettez, je vais m’épargner votre nouvelle session de vocalises et je vais aller travailler. J’ai été obligé de me branler trois fois à cause de vos cris cette nuit, et moi aussi j’aurai adoré qu’une belle bite me fasse jouir. Bonne journée les chéris, dit Christelle en riant.— Je t’adore ! Belle journée ma chérie, lui répond Sandra.— Bonne journée Christelle, j’ajoute.— Profite bien Jean. A bientôt, me répond Christelle.
Sandra me pousse dans la douche étroite. Appartement parisien oblige. Puis elle fait couler une douche bienfaitrice sur nos corps.Sandra prend une noisette de gel douche dans sa paume puis entreprend de me savonner le corps et les cheveux.J’en fais de même et cela devient l’occasion de caresses sensuelles et excitantes.Mon sexe ne tarde pas à revenir à une érection conséquente, surtout après le savonnage en règle imposé par Sandra.Soudain, Sandra se tourne contre le mur, se cambre et s’appuie de ses mains. Elle tourne la tête vers moi et me dit :
— Prends-moi encore !— Mais on a pas de préservatif— J’ai confiance, tu ne viendras pas dans mon ventre.— Alors j’ai confiance, je saurai m’arrêter à temps.
Et je la pénètre à nouveau. Les mouvements ne sont pas aisés dans l’espace réduit de la douche, mais le plaisir pointe à nouveau son nez et nous recommençons à monter en température.
— Humm hummm oui prends-moi vite, j’aime ta queue.— J’aime ta chatte Sandra et j’aime ton corps.— Viens ! Viens ! Oui oui !
Au bout de quelques instants, je sens le plaisir qui monte fort en moi, et ma semence qui afflue dans mon sexe. Je sors du sexe de Sandra.Celle-ci comprenant la situation, se retourne, se baisse puis me présente ses seins et dit :
— Viens sur mon sein, je veux te voir jouir sur eux.
Reprenant mon sexe en main, je commence à m’astiquer. Au vu de mon excitation, quelques aller-retour suffisent à me faire atteindre le point de non-retour.Je dirige mon sexe vers sa poitrine et tente de viser le creux de ses seins.La puissance de mon plaisir et de mon éjaculation me fait défaillir et mes jambes me font partiellement défaut.
— Aaah oui je jouis, tu me fais jouir Sandra.— Donne-moi ton sperme Jean, donne-moi tout.
Sandra reçoit finalement mon sperme de manière quelque peu désordonnée sur sa poitrine et son cou.Elle ouvre la bouche et sort sa langue pour venir y prélever les dernières gouttes de mon plaisir.Sandra se relève, vient m’embrasser goulûment.Nos bouches se séparent et elle dit :
— Tu as décidément très bon goût.— Et nos goûts mêlés, c’est encore meilleur que moi tout seul.— Je trouve aussi.— Mais toi, tu n’as pas joui, lui dis-je.— J’ai pris suffisamment d’orgasmes d’avance la nuit dernière pour avoir le plaisir de t’en offrir un maintenant.— Je valide ce partage des orgasmes alors.— Chouette, j’aime les équilibres dans la petite mort, dit-elle en riant.
Nous nous nettoyons à nouveau sans oublier de laisser traîner nos mains sur le corps de l’autre. Mais après tout, l’étroitesse de la cabine de douche nous y oblige également. Je ne me lasse pas de ce corps si réactif aux caresses.Une fois habillé, moi dans mes affaires d’hier et elle avec un jean mettant parfaitement en valeur son cul et un chemisier agrémenté d’une veste courte, un fin maquillage masquant les traces de la nuit dernière, le tout rehaussé d’un rouge aux lèvres profond, nous partageons le café laissé par Christelle dans la cafetière.
— Tu as quelque chose de prévu ce soir ? demande Sandra.— Non, rien de particulier. Voir des potes peut-être. Ça te dirait une dinette dans un chouette restaurant ?— Humm si en plus tu satisfais ma passion pour le bien manger, je crois que je vais apprécier.— D’accord, je m’occupe du choix du lieu. Mais tu n’as pas peur d’aller vite ?— Qui te parle d’aller vite ? J’ai beaucoup échangé avec ta queue et son intelligence m’a impressionnée. J’ai envie de voir si le reste est à la hauteur.— C’est la première fois que l’on me dit que mon sexe est intelligent, mais j’apprécie le compliment.— Elle a eu l’intelligence de me faire jouir et je peux te dire que toutes les bites n’ont pas eu ce niveau, encore moins toutes les personnes.— N’en jette plus, je vais rougir, tranchais-je.— Mais rassure-toi pour l’instant, nous en restons au cul et aux orgasmes. Je verrai si ça démarre dans ma tête plus tard.— Deal !— Alors, passons une belle journée et voyons-nous ce soir. Tiens voilà mon numéro, ça peut servir.— Je te donne le mien. On sait jamais si tu changes d’avis.— Humm non, je ne pense pas changer d’avis, répond-elle malicieusement.
Nous finissons notre café et sortons de son appartement.Dans la rue, nous nous quittons sur un dernier baiser.Je regarde s’éloigner Sandra en matant sans vergogne son cul et la démarche chaloupée de son corps.J’ai envie de la rattraper pour lui faire l’amour une nouvelle fois, mais la perspective d’apprécier sa compagnie ce soir et de la possible soirée qui suivra m’en dissuade.
A suivre...
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