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Rencontre au sexe shop

Chapitre 1

Travesti / Trans
Cher lecteurs et lectrices.Mon histoire fait suite au récit « Lundi noir » paru dans la catégorie « Divers ».En effet, à une époque je l’avais fait parvenir à xstory-fr.com sous un autre pseudonyme. Mais elle me fut refusée. Aussi, cette fois j’ai placé la première partie en divers et, à présent, je vous livre la suite dans ce que j’espère la bonne catégorie.N’étant très à l’aise dans les récits je compte sur votre indulgence si les règles grammaticales ne seraient pas bien respectées.Bisous à toutes et à tous.
Pour traverser la ville j’ai pris un tee short rose-fluo, un pantalon de femme taille basse et gardé mes escarpins de huit centimètres. J’ai aussi refait mon maquillage : yeux, sourcilles, lèvres. Enfin trois quart d’heure après j’entre dans la boutique du sexe shop.Dans l’étalage, je choisi un DVD gays qui ne semble pas trop con. Paie mes onze Euros pour une heure de projection. Le gérant me propose la cabine quatre. « Chouette c’est la cabine où de chaque côté il y a une lucarne pour pouvoir y sucer les éventuels voyeurs qui me solliciteraient un vrai glory hol ».Une fois dans la cabine je retire le pantalon et le tee short. Je me rends compte que je n’ai pas de string. Peu importe je me doigte avec du gel. « On ne sait jamais… Autan être prêt si une occase se présentait ! » Et j’entre-ouvre la porteLe film est vraiment naze. Après dix minutes je sors dans le couloir et je me dirige vers les salles communes. Je passe devant la première où dans le film une nana se fait baiser en levrette pendant qu’elle fait des gâteries à un autre type. « Boff !... Sans intérêt pour moi ». Je pousse ma visite jusqu’à la seconde salle. Là le film présente un type qui se fait sucer en alternance par deux autres dont l’un d’eux se fait défoncer par une grosse matraque. La salle est vide, personne. Alors je m’asseyais et je me touche le petit trou. Trois minutes passent, rien de nouveau mais je suis passé de mon troisième doigt au quatrième. Après la cinquième minute le film passe à un autre chapitre et j’assiste au même navet. Je me lève pour retourner à ma cabine. En me dirigeant vers la sortie je tombe nez à nez avec un type qui me dépasse d’au moins vingt centimètres.— Putain ! Tu t’es bien agrandi la rondelle !Je m’aperçois qu’il est complètement nu et qu’il tient dans sa main une trique toute raide.— Faut bien passer le temps en se faisant du bien… D’ailleurs tu ne t’en prive pas.— On pourrait peut-être passer le temps ensemble.J’ai les yeux rivés sur son mandrin « je me verrais bien profiter de cette aubaine ». Il faut dire que dans ces lieux des occasions de ce gabarit sont plutôt rares. En général on y trouve surtout des « peines à jouir ». Alors je prends en main le bel outil à plaisir qui me nargue. Il me laisse faire et même il tend un peu son ventre. Je le regarde droit dans les yeux tout en descendant vers l’objet de mes désirs et le prend en bouche. Après deux petites minutes il me dit — Putain ! T’es une vraie petite salope. D’ailleurs ta tenue le prouve, en plus t’es maquillé comme une pute. Je vais te défoncer le cul ».— Ben, j’ai une cabine. Je m’apprêtais à y retourner.Et il me répond « J’ai un collègue, au passage je le préviens… Tu accepterais un plan à trois ? »— Pourquoi pas ! Je suis à la quatre.En passant devant une cabine le type entre. Moi je ne l’attends pas et je vais à la mienne. Je laisse la porte entre-ouverte et je me vautre dans le fauteuil. Il ne se passe pas plus d’une minute quand le type entre.— Donc, t’es vêtu comme une pute alors tu vas te mettre à genoux et me la sucer, comme la salope que tu es, car mon petit prince a besoin de reprendre toute sa puissance.— Ton copain ne vient pas ?— Si, tout à l’heure… Allé bosse ma chérie.Sans plus attendre je me mets à genoux et admire « le chérubin ».J’ai tout mon temps pour le visualiser. Même si nous n’avons que l’éclairage de la télé, je constate qu’il a un outil plus large que mon gode XL… Environ dans les six centimètres passés et d’une longueur de deux fois la largeur de ma main. « La vache !... J’espère qu’il ne va pas se contenter d’une simple fellation ! ».Je prends le bel engin en main et approche ma langue du gland. De la pointe je titille le frein et je le sens tendre son bassin en avant. « Touché, il est sensible de là ».— Suce-moi les couilles salope.Alors j’obéis et lui suce les bourses. Puis je joue avec ses boules. Une par une. Ensuite les deux ensembles. Là c’est moins facile car elles remplissent bien le scrotum. Ensuite je fais courir ma langue sur toute la longueur de la hampe en la mouillant le plus possible. Sa tige n’a pas grossie mais elle devient de plus en plus dure.« Il bande presqu’à fond, je vais lui montrer mon savoir-faire ». De ma main droite je lui bloque les couilles et de la gauche j’enserre la base de sa pine. Avec le bout de ma langue je lui re-titille le gland… Même réaction que tout à l’heure, alors je prends en bouche ce gros gland et le fais coulisser entre mes lèvres (je devrais plutôt dire entre mes dents, vue sont diamètre) pendant que ma langue joue sur la couronne. Le type se raidit et place ses mains de chaque côté de ma tête.— Salooop… T’aime ça sucer hein ?… Et bien tu vas en avoir pour ton souhait.Et le voilà qu’il commence à me baiser la bouche. Je suis prisonnier de ses mains et de sa queue qui s’enfonce de plus en plus loin.— Elle est bonne ma trique, non ?Jusqu’au moment où elle ne peut plus aller au-delà. La grosseur de sa pine ne lui permet plus de m’en mettre plus au fond.Bien qu’il me malmène, je continu d’agacer le gland chaque fois que son retrait me le permet. Ses coups deviennent violents et sa queue c’est transformée en une vraie matraque, dure comme bois. Ses coups de butoir me font saliver à tel point que sa queue est hyper lubrifiée et que j’ai même ma salive qui me dégouline le long du menton.— Et bien mes salauds ! Vous avez commencé sans moi ?... Marc, ce n’est pas réglo… Tu m’as dit que tu voulais te farcir cette chienne et c’est moi qu’elle devait sucer.— Et !... Tu la connais ?— Non.— Moi non plus... Donc, si pas de matos, pas de baise. Je t’attendais, car tu devais apporter le matériel… Mais putain, elle suce comme une reinePendant leur discussion le nouvel arrivant, que je n’ai pas encore vu, m’enfonce au moins deux doigts dans le cul.— Merde !... Elle s’est graissée le cul et elle est hyper dilatée.— Je sais, je l’ai vu se doigter en regardant le film dans la salle PD.— Ah non ! Elle ne peut pas avoir un cul aussi dilaté avec simplement trois ou quatre doigts… Impossible. Elle s’est fait démonter le cul avant.À ce moment-là Marc veut me retirer sa pine. Alors je l’attrape par les fesses pour le garder en bouche. C’est qu’il est à deux doigts de me lâcher toute sa sauce et je n’ai pas l’intention de perdre ce nectar. « Faut pas déconner !... Une pine pareille avec des couilles comme les siennes c’est trop bon et elle doit pouvoir lâcher des litres de jus !... Il pourra me baiser un peu plus tard ».— La vache ! Mais c’est qu’en plus elle est hyper gourmande !... Putain, je vais t’en mettre au moins dix litres dans ta gueule de pouffiace.Et il me bloque la tête contre son ventre. Comme mes mains sont accrochées à ses fesses, je ne peux l’empêcher de me coincer la bouche et le nez. Du coup je ne peux plus respirer et je me mets à tousser comme un malade. C’est le moment choisi où il m’envoie la sauce directe au fond du gosier. Je suis à la recherche d’air, je me retrouve avec une petite quantité de sperme qui prend le chemin de mes bronches. « Putain ! Qu’est-ce que cela fait mal ! »— Je vois que tu n’es pas habitué à une teuf de ce gabarit. Mais je pense que si l’on se revoit tu vas vite y prendre goût…. Pour moi le problème est que je ne peux pas t’enculer tout de suite. Alors c’est mon copain qui va s’occuper de maintenir ton cul dans la même bonne disposition que quand tu as quitté la salle des PD.
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