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Rencontre sous le soleil

Chapitre 1

Plage naturiste

Gay
C’était le mois de juin, il faisait très beau, ce qui arrive rarement en Normandie, je n’avais rien de prévu ce jour-là, je me sentais libre, détendu. J’avais envie d’aller à la plage, je connaissais une plage naturiste, près de chez moi, elle était aussi fréquentée par des gays, ce bel après
-midi ensoleillé m’invitait à m’y rendre.C’est un bel endroit, où la lumière est blanche et crue, avec de jolies dunes de sable doux, ornées de buissons luxuriants et fleuris et où il fait bon s’allonger nu sous la caresse du soleil. Je marchais dans l’eau, ma serviette sous le bras, je ne portais qu’un bermuda et un polo. Après une brève promenade, je me dirigeais vers les dunes pour m’étendre dans une cuvette tranquille, beaucoup étaient déjà occupées par des couples qui prenaient le soleil dans leur belle nudité. J’adore contempler les corps nus, en accordant une particulière attention aux sexes, certains sont joliment dessinés, harmonieux, épilés totalement ou en "élégant ticket de métro ", mais la majorité a une pilosité abondante que personnellement je n’aime pas du tout, la considérant comme un obstacle à la mise en valeur esthétique d’un joli sexe.
Je finis par trouver une petite "cuvette" tranquille où un homme d’une petite trentaine, bien fait, était en train de se déshabiller, mon regard se porta sur lui, il portait plus qu’un joli tanga jaune citron, d’une transparence suggestive. Il remarqua mon hésitation (et aussi là où j’avais porté mon regard, un peu insistant, il faut bien dire ! )
— Installez-vous, il y a suffisamment de place pour deux !
Je le regardais en souriant, hésitant encore quelque peu, mais j’avais si envie de voir glisser le long de ses jambes imberbes et bronzées son joli slip que je décidais de m’installer là. J’adore voir glisser un slip le long des cuisses, presque autant que j’adore enlever le mien sous un regard caressant, et désireux.
Je posais ma serviette, j’ôtais mon polo en jetant un regard vers lui... il me regardait en souriant, par timidité pudique et aussi provocatrice, je me retournais pour faire glisser mon bermuda, sous lequel je ne portais rien, le long de mes cuisses, lentement, je sentais son regard se poser sur mes fesses, avec un malin plaisir je me baissais, jambes tendues, très légèrement entrouvertes, offrant ainsi à son regard l’intimité de mon anus, puis je m’allongeais sur le ventre, prenant soin de laisser mes jambes légèrement écartées, je savais que son regard s’immisçait entre mes jambes et je prenais un malin plaisir à le provoquer, je sentais délicieusement mon sexe commencer à se raidir. Quel plaisir de sentir la caresse douce du soleil sur ma peau, au bout de quelques minutes, je me retournais et je m’assis.
— Vous devriez mettre de la crème bronzante, les premiers soleils sont nocifs......— J’ai totalement oublié d’en prendre !!— J’ai ce qu’il faut, si vous voulez...
Je me levais et parcourais les quelques pas qui me séparaient de lui, je jouissais du fait qu’il puisse contempler la totale nudité de mon corps épilé à l’exception d’une minuscule toison brune juste au-dessus de ma verge. J’étalais la crème sur mon corps de mes mains caressantes m’attardant sur le pubis, insistant onctueusement sur ma verge et délicatement sur mes testicules.
— Je peux vous aider pour le dos ?— Merci c’est difficile soi-même.
Je m’asseyais devant lui, lui présentant mon dos, avec une grande douceur, il étala la crème, partant des épaules jusqu’à la naissance des fesses, osant à plusieurs reprises un doigt dans le sillon anal. Je m’allongeais sur le ventre, jambes à peine ouvertes, juste ce qu’il faut pour mettre en appétit cet esthète du massage, mes petites fesses fermes et musclées oscillaient sous la douceur coquine de ses caresses, il insinua à nouveau deux doigts dans mon sillon fessier et poursuivit jusqu’au périnée où il fit des mouvements lents, circulaires, tendres et doux. Il cessa sa caresse et m’incita délicatement à me remettre sur le dos, je me laissais faire, ma verge était érigée, totalement décalottée, il voulut s’en saisir, mais je l’en empêchais.
— Non, c’était merveilleux, mais je ne veux pas plus !
(................. (à suivre.)
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