L’histoire que vous allez lire est une "commande", basée sur une idée originale de kiki3737 et écrite par moi-même. Bonne lecture. —--------------------------------- Après avoir passé 6 mois à l’autre bout de la France pour un stage dans le cadre de mes études, je retournais enfin chez moi. J’ai pu retrouver ma famille et aussi mes deux meilleurs potes, Etienne et Killian. Autant j’avais revu ma famille une fois au milieu du stage, autant mes potes ça faisait bien longtemps que je ne les avais pas vus. Alors pour fêter ça on a décidé d’aller faire un petit tour en boîte. On allait toujours à la même, la Table Ronde, parce qu’elle était à deux pas de chez moi, et on y avait pris nos habitudes durant nos études. Une fois à l’intérieur, direction le bar. On commande chacun un verre, puis mes deux potes se ruent sur la piste de danse. Moi je préfère me poser quelques minutes histoire d’observer les gens. Ceux qui dansent, ceux qui picolent à leur table... Enfin surtout celles qui dansent et celles qui picolent à leur table. Mais j’ai à peine le temps de voir si certaines pourraient me plaire que mes potes viennent et m’entraînent de force pour danser avec eux. C’est vrai qu’on est là pour passer une soirée ensemble normalement. On danse alors comme des beaux diables au milieu de la piste, ne faisant pas attention aux autres danseurs, juste contents de nous retrouver après ce temps passé séparés. Après quelques minutes, je reviens au bar, déjà épuisé. Etienne et Killian continuent de danser. Je ne sais pas ce qu’ils ont pris avant de venir, mais ils sont en forme. Je bois un peu de ma bière quand une fille vient dans ma direction. Elle a l’air un peu timide et elle lance des regards vers les quatre filles assises à une table qui doivent être ses copines, et qui, elles, sont en train de bien rigoler en la voyant faire. Elle s’approche de moi. — Heu, salut, dit-elle timidement.— Salut.— Mes copines m’ont donné un gage... je dois t’inviter à danser.— T’as pas l’air bien emballée par l’idée.— Si, si. Mais j’ai juste pas l’habitude de faire ça.— Ne t’inquiète pas, de toute façon je danse comme un pied donc tu ne seras pas la plus ridicule sur la piste.— Haha d’accord.— Au fait, tu t’appelles comment ?— Clémence. Et toi ? — Morgan. Je prends alors la main de Clémence et on va sur la piste. On entend les sifflets de ses copines et cela fait rougir Clémence. On commence à danser. Elle a un visage très mignon. Elle est habillée avec un top noir moulant et plutôt décolleté, ainsi qu’un pantalon taille haute qui lui fait de jolies fesses. On fait à peu près la même taille, elle est plutôt petite comme moi. Et elle danse mieux que moi, mais ça ce n’est pas compliqué. Au début, elle est un peu éloignée de moi, on dirait qu’elle n’ose pas venir vers moi, comme si quelque chose la retenait. Au fur et à mesure, elle se rapproche tout de même, mais ne se colle pas. Après quelques minutes, elle me propose de venir à sa table, et dit que je peux inviter mes deux potes. Je leur fais donc signe et ils accourent immédiatement. On fait donc connaissance avec les quatre amies de Clémence pendant que les verres s’enchaînent sans discontinuer. Etienne et Killian parlent avec (ou plutôt, essaient de draguer) les filles pendant qu’on discute plus particulièrement Clémence et moi. On se dit ce qu’on fait dans la vie, ce qu’on voudrait faire plus tard, des banalités, mais j’ai l’impression qu’il y a un petit feeling.
Après un bon moment à discuter tous ensemble, Clémence me prend par la main et m’entraîne sur la piste. Cette fois, elle est bien plus proche de moi, et quand le DJ envoie une musique un peu sensuelle, elle vient carrément se coller à moi, et ce n’est pas pour me déplaire. Mes mains se baladent sur ce corps que j’ai de plus en plus envie de voir d’encore plus près. On danse ainsi quelque temps, puis au cours d’une chanson plus calme où nous sommes enlacés, Clémence me propose de finir la soirée autre part. Je lui dis que j’habite à côté, donc on peut aller chez moi. Elle accepte et me fait un petit baiser sur le bord de la lèvre avant d’aller chercher ses affaires. Quand ils voient que je pars avec Clémence, mes deux potes me lancent de gros regards envieux. On se retrouve dehors, puis on marche vers chez moi la main dans la main. Une fois dans l’ascenseur de l’immeuble, elle s’approche de moi. Nos deux bouches se rencontrent cette fois pleinement. Notre baiser est interrompu par l’arrivée à mon étage. On entre dans mon appartement puis on va dans ma chambre. J’allume une petite lampe pour installer une ambiance tamisée. C’est alors que Clémence me pousse sur mon lit. Elle vient sur moi pour m’embrasser. J’en profite pour prendre en main ses jolis seins. Mais quand je veux enlever son haut, elle m’arrête : — Sois pas si pressé. Mets-toi sur ta chaise... et profite du spectacle. Je me lève et vais sur ma chaise, attendant la suite avec impatience. Elle commence alors à onduler son corps tout en soulevant lentement son haut. Apparemment, j’ai droit à un petit strip-tease. Elle laisse apparaître son joli soutien-gorge. Puis c’est au tour du bas d’être retiré. Elle se tourne dos à moi, puis en baissant son pantalon, elle se cambre bien et fait en sorte d’approcher le plus possible ses fesses de mon visage. J’ai envie de les croquer. Elle est désormais en sous-vêtements sexy. Elle vient s’asseoir sur mes cuisses, face à moi, me montrant ses seins sans que j’ai le droit d’y toucher. Sa bouche s’approche de la mienne, mais jamais ne m’embrasse. Je sens, et elle aussi, que mon sexe grossit dans mon pantalon. Clémence se frotte donc à lui pour encore plus m’exciter. Puis elle passe derrière moi, enlève ma chemise, passe ses mains sur mon torse, descend jusqu’à mon bas-ventre, effleure mon membre en érection puis repart. Je n’en peux plus. Encore une fois, elle se retourne pour dégrafer son soutien-gorge. Puis pour retirer sa culotte. Elle est désormais nue face à moi. Elle voit que j’ai envie de lui sauter dessus, mais elle me fait signe d’attendre encore. Pour faire durer mon supplice un peu plus longtemps encore, elle vient me placer sa culotte dans la bouche. Je sens son odeur intime, je l’ai en bouche. Elle vient une nouvelle fois se frotter à moi, mais je ne peux pas l’embrasser. Puis elle enlève mon pantalon et libère mon sexe de mon caleçon. Il est complètement dressé, ne laissant aucun doute sur mon envie. Je suis toujours assis sur ma chaise, nu, bandé, une culotte dans la bouche. Alors Clémence s’assied à califourchon sur moi et pour finir de m’exciter, elle frotte sa chatte imberbe à mon sexe. Ses mouvements de bassins sont de plus en plus appuyés de sorte que mon chibre écarte légèrement ses lèvres. Finalement, elle enlève la culotte de ma bouche puis glisse à mon oreille : « Maintenant, baise-moi ». C’était le signal que j’attendais. Je la prends dans mes bras en bondissant de la chaise pour aller l’allonger sur le lit. Mon sexe est bien trempé et le sien aussi. Ce strip-tease nous a excité tous les deux visiblement. Je mets mon sexe à l’entrée du sien et n’attends pas une seconde de plus, je la pénètre d’une traite. Son sourire à ce moment me fait dire qu’elle attendait ce moment avec impatience. Je commence alors mes va-et-vient. Je glisse en elle tellement elle est humide. On s’embrasse en même temps. Nos deux corps ne font qu’un. J’accélère mes coups de boutoir. Elle gémit de plus en plus. Je sens qu’elle pourrait défaillir, mais moi aussi. Je me retire alors d’elle. Je vois à son regard qu’elle aurait voulu que je continue à la tringler. Mais je décide de me concentrer sur son plaisir. Je me place alors entre ses cuisses et commence à embrasser sa vulve. Je fais le tour des lèvres, je passe très rapidement sur le clitoris, je sens qu’elle réagit, mais je repars. Après quelque temps à l’exciter ainsi, c’est elle qui en vient à me demander de la sucer. Elle me prend même la tête pour me la coller sur son clitoris. Je mets alors ma bouche autour de son bouton d’amour et commence à légèrement l’aspirer, par petits à-coups. Puis je passe ma langue dessus pour l’exciter encore plus. Les mains de Clémence qui s’agrippent à mes cheveux me font penser qu’elle doit aimer. J’en profite pour glisser deux doigts dans son vagin pour la stimuler davantage. Au bout d’un moment, sa respiration devient plus saccadée, puis après un petit silence, elle laisse sortir quelques petits cris de jouissance, en même temps que son corps tremble un peu sous les vagues de plaisir qui l’envahissent. Je m’approche de son visage et elle m’embrasse à pleine bouche, comme pour me remercier. — Ça faisait quelque temps que j’avais pas joui comme ça, murmure-t-elle entre deux respirations.— Ah oui ? Ravi que ça te plaise, dis-je assez fier de moi.— T’as pas encore joui ?— Non, mais je crois que ta bouche n’a pas encore servi. Je pourrais en faire bon usage.— Tu veux que je te suce ?— Non, je voyais quelque chose ou c’est plutôt moi qui ai le contrôle. Allez, viens là ! Elle pousse un petit cri de surprise quand je la prends et la mets sur le dos, la tête au bord du lit, un peu dans le vide, et que je lui propose ma queue à goûter. Je la glisse petit à petit de l’entrée de sa bouche jusqu’au fond de sa gorge. À la fin, mon pubis bute contre son menton pendant mes couilles sont sur son nez. J’adore cette sensation. J’ai une superbe vue, et surtout un superbe accès, à ses seins et sa chatte. J’en profite pour lui coller deux doigts dans le vagin, puis je commence les va-et-vient dans sa bouche. Elle a un petit peu de mal à bien accepter ma bite au début, mais au fur et à mesure, elle prend de l’assurance. Je peux baiser sa bouche de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément. Un mélange de liquide pré-séminal et de bave commence à lui couler sur le visage. Son maquillage coule avec. Chaque mouvement dans sa gorge est accompagné du bruit de bave caractéristique, ce qui m’excite encore plus. Je lui mets parfois de petites claques sur les seins, et chaque fois, j’ai droit à un petit gémissement de sa part. Je sens que je ne suis plus loin de l’éjaculation alors j’accélère une dernière fois mon mouvement. Puis je colle la tête de Clémence à moi et je déverse mon sperme chaud dans sa gorge. Quelques giclées avec lesquelles elle manque à moitié de s’étouffer d’ailleurs. Je sors de sa bouche et vais me poser dans mon fauteuil pour souffler un peu. Clémence se remet de ses émotions puis se redresse. Son visage maculé de bave, de maquillage et de sperme est magnifique. Elle vient s’agenouiller devant moi pour nettoyer ma bite de ses dernières gouttes de sperme. — Je vais aller me nettoyer le visage.— Tu veux rester dormir ici ?— Avec plaisir. Mais demain, il faudra que je parte vers 10h. Je déjeune avec mon copain et ses parents.— T’as un copain ?— Oui. Attends, je vais me nettoyer et je reviens. Le temps qu’elle aille à la salle de bain, je me glisse dans mon lit. Quand elle revient, elle vient se glisser contre moi, la tête sur mon torse. — J’aurais bien aimé que mon copain nous voit baiser. Je suis certaine qu’il aimerait ça. Moi j’aimerais ça aussi en tout cas. Ça te dit si je lui propose ?— Je sais pas. T’es sûr qu’il accepterait ?— Oui, je le convaincrai.— Et bien si ça te fait plaisir...— Ça me ferait trop plaisir.— Tu lui demandes quand ?— Je lui soumettrai l’idée demain.— D’accord. Dors bien.— Toi aussi. Elle m’embrasse une dernière fois puis nous nous endormons.
