Au mois de septembre nous avons eu l’envie d’aller visiter le bassin d’Arcachon, depuis le temps qu’on en parle. Nous allons souvent en Dordogne sans en bouger à cette époque, on y passera au retour. Mon mari, toujours à l’affût des bons coins, me propose d’aller sur la plage de la Jenny dont il m’a déjà parlé à maintes reprises.Nous abandonnons la moto sur un parking presque désert et attaquons un chemin forestier qui longe la dune de la plage. Il a l’air sur de lui, je suppose qu’il a pris des renseignements.A un moment la dune s’efface pour laisser apparaître l’océan et c’est par ce passage que nous atterrissons sur la plage. La marée est montante, nous n’aurons pas à faire des kilomètres pour faire trempette.Encore quelques mètres et on se pose.Un couple à notre gauche à plus de 50 m et un homme seul devant mais 2 serviettes indiquent plutôt un couple également, là aussi une bonne distance nous sépare.Je pense que François, mon mari, doit être un peu déçu par l’ambiance. Il est vrai que mi septembre, 10h du matin, température un peu frisquette, fallait pas s’attendre à une partouze ensablée ! Nous sommes dans un léger creux et une fois au sol, on a l’impression d’être seuls au monde.A peine nos affaires installées, il me dit qu’il va faire un tour dans les dunes et le bois "pour voir".Bon. De mon côté je termine mon installation et ouvre ma tablette de lecture. Je n’avais pas lu trois pages que je vois une silhouette marcher dans ma direction.J’observe discrètement par-dessus ma tablette et derrière mes lunettes noires.Maintenant je commence à pouvoir le détailler.Petit brun, 1.65 maxi mais le genre bodybuildé a tel point que Arnold Schwarzenegger de sa belle époque aurait paru gringalet à ses côtés. Moi j’aime pas mais chacun ses goûts !Le mec à l’air de venir dans ma direction.Maintenant qu’il est plus près, je peux mieux le détailler et je le classe immédiatement dans la catégorie gays sans plus de jugement.Barbe soigneusement taillée, torse épilé et jambes également mais entre les deux.... la chose !Je pense n’en avoir jamais vu de pareil et ça me fait penser à une histoire que tout le monde connaitC’est celle d’un mec qui se déshabille devant sa nouvelle conquête et se vante de ses muscles au fur et à mesure de son effeuillage.Ça c’est de la dynamite, ça c’est de la dynamite etc... et quand il tombe le slip la nana s’exclame :Eh bé, tant de dynamite et une si petite mèche !
On dit souvent que c’est le cas des mecs qui passent leur vie en salle de sport, et bien lui c’est l’exception ! Mon mari me fait souvent connaitre des mec bien pourvu mais ça c’est du jamais vu. Bref, ce type est maintenant à quelques mètres et c’est bien vers moi qu’il se dirige."Bonjour, désolé de vous déranger mais j’ai un problème avec mon téléphone et je dois passer un appel très important à ma sœur"Et il m’explique qu’heureusement il connait son numéro de fixe.Je lui demande quand même si la personne qui l’accompagne n’a pas de téléphone mais j’apprends que cette deuxième serviette et là pour dissuader les homos très présent sur cette zone et quelquefois un peu insistants envers lui....Je m’étais trompée sur son compte.J’attrape mon téléphone et il me donne son numéro pour prouver sa bonne foi.Je lui tends l’appareil après avoir quand même tapper le numéro en question.Il s’éloigne que quelques pas pour parler, ce qui me permet de constater qu’il a de bien jolies fesses ! Il revient vers moi en me disant qu’il lui avait laissé un message et il me raconte qu’elle est fleuriste dans la région, séparée depuis peu et qu’il est venu lui remonter le moral..Moi, pendant ce temps je l’écoute d’une oreille distraite, je me suis assise en tailleur et je fouille fébrilement dans mon sac à la recherche de,de .....n’importe quoi. Tiens, l’encyclopédie en 12 volumes que tonton Jean nous a offerte, pourquoi pas ! En réalité c’est pour me donner une contenance et surtout éviter que mon regard ne retombe sur .... "la chose" !Ne trouvant rien à dire je lui dis très bêtement qu’il est drôlement baraqué pour un fleuriste.Petit silence. Ils s’agenouille devant moi, assis sur ses talons, me tend mon téléphone et part dans un monologue qui promet d’être long.Quand j’ai levé les yeux pour attraper mon bien, j’ai aperçu que, subrepticement il arrangeait ses attributs sur ses cuisses.Je vois " la chose " qui arrive presque à mi-cuisse dans cette position, posée sur une énorme paire de couilles.J’entends, comme dans un brouillard, sa voix posée mélodieuse et légèrement maniérée me raconter que lui est naturopathe et qu’il prend quelques jours de vacances maintenant car pendant la saison il à un afflux de touristes en plus de sa clientèle habituelle.Il pratique le massage ayurvédique, le massage cachemirien, il a passé un diplôme de massage thaïlandais ....J’ai un petit déclic, j’ai lu un article sur ces massages indiens dans un magazine féminin.En ayant tourné la tête pour ne pas le regarder en face, j’aperçois mon mari qui revient.Il a l’air chargé d’une branche de bois.Il arrive à nous et sans s’occuper de l’intrus me vante sa trouvaille qui ressemble effectivement à une coque de bateau avec une quille et un début de mât.Il semble enfin s’apercevoir de la présence du type, le salut et dépose sa trouvaille. Pensant avoir trouvé le moyen de nous débarrasser de cet envahisseur, je demande à François, mon mari, de bien vouloir me passer de l’huile sur mes épaules qui commencent à chauffer. Il me répond qu’il doit, avant, aller se rincer les mains pleines de sable et bien sûr l’autre en profite pour se placer:-" je voyais bien que vous ne m’écoutiez pas trop, tout à l’heure, mais je vous rappelle que je suis masseur. Alors si vous me permettez, ce sera en remerciement de votre gentillesse "François qui n’en perd pas une de me voir entre les mains d’un autre acquiesce avec un large sourire engageant. Je me sens un peu prise au piège mais pourquoi pas finalement, ça ne peut pas être désagréable.François me demande si je préfère la protection ou l’huile de coco.Avant que je puisse répondre, "mon masseur " explique que l’huile sera parfaitement de circonstance car l’indice UV est faible et c’est ce qu’il utilise dans son cabinet. Je n’ai plus qu’à obtempérer. Sur ses indications, je m’allonge sur le ventre.Je vous passe tout le cérémonial du frottement de ses mains enduites d’huile, des points de pression à différents endroits de mon dos, etc ...Il démarre par la nuque et les épaules.Immédiatement je me relaxe, c’est merveilleux ! Alternance de malaxage très léger, caresses, puis espèce de palper rouler aérien.... je suis aux anges.Quand il descend un peu plus bas je ne peux pas empêcher un geste réflexe d’écarter un peu mes cuisses.Oh, je ne suis pas à l’équerre, loin de là mais j’ai involontairement écarté tres légèrement en espérant qu’il ne soit aperçu de rien. Je m’en veux d’être aussi sensible. François déclare aller se rincer les mains et son bois flotté.J’ouvre les yeux et je m’aperçois que ce n’est pas la seule raison de son éloignement. Il bande !C’est terrible, ce plaisir qu’il a de me voir dans cette situation.L’autre pendant ce temps descend et me demande de lui signaler si je me sens mal à l’aise. En effet il me pétrit les fesses et attaque le haut des cuisses. J’ai la nette impression que l’un de ses doigts effleure de plus en plus souvent des points sensibles. Tout d’un coup il interrompe ses gestes pour me demander si mon mari est jaloux. Parceque, dit il, je m’approche de votre intimité et puis normalement je devrais vous le faire devant également. Je sors de ma torpeur bienfaisante sans trop savoir quoi répondre.Je sors bêtement un " non ça va" qui ne veux pas dire grand chose et je m’en veux de paraître aussi niaise.Ce mec me met mal à l’aise tout en me procurant beaucoup de plaisir. Et insensiblement j’ouvre un peu plus avant qu’il ne reprenne.Il reprend par les pieds, c’est divin.Il remonte et je suis contente d’avoir libéré l’intérieur de mes cuisses, je mouille et il va certainement s’en apercevoir. Mon mari arrive, il s’est baigné et se retrouve un peu plus présentable, même trop, l’eau doit être bien froide !Voyant le spectacle, il nous félicite et demande à mon bienfaiteur de faire en sorte que je me souvienne de ces instants. Le masseur s’est positionné à côté de moi et il alterne épaules, nuque, fesses, cuisses. Je ne sais jamais où ses mains vont se poser mais à chaque endroit c’est absolument divinement bon.Divin pour des raisons différentes, ce massage sur dos, absolument magique, quant au reste.... de plus en plus sexuel et très progressif.Ça commence à chauffer sévèrement entre mes cuisses et dans mon ventre quand mon téléphone se met à sonner.Voilà c’est toujours comme ça, il sonne quand il est au fond de mon sac, quand je suis en cuisine avec les mains grasses, quand je l’ai oublié mais surtout quand je ne suis pas disponible ou pas envie. Je demande à mon mari de s’en occuper mais le charme est quelque peu rompu.Je n’écoute pas ce qu’il se dit mais j’entends mon masseur lâcher une petite injure en me quittant. Pour résumer brièvement la situation c’est sa sœur qui le rappelle suite à son message et ça n’avait pas l’air de lui faire plaisir au masseur, et moi donc !Par contre étant légèrement de profil rapport à moi avec sa demi érection, c’est impressionnantMon mari en profite pour venir me parler et me demander si je veux plus.Bien entendu je lui réponds que je serai curieuse d’essayer un tel engin mais qu’on peut quand même pas faire ça ici !Il n’est pas trop du même avis que moi partant du principe qu’on nous vois guerre.Je lui rétorque que entre un massage et même des attouchements et faire l’amour à trois c’est quand même bien différent.Il capitule et décide que l’endroit où il a trouvé le bois flotté serait parfait.Le masseur revient visiblement ennuyé en expliquant qu’il lui avait dit de ne pas rappeler sur ce téléphone mais qu’elle est un peu déboussolée depuis le départ de son mari. Il me propose de m’allonger sur le dos maintenant.J’obtempère en ayant de plus envie de le prendre à pleines mains mais je me retiens.Il nous demande, mais plutôt en s’adressant à mon mari si nous avons des limites qui s’empresse de répondre un " absolument pas" catégorique, moi je me contente de soupirer.Il annonce qu’il passe à un massage tantrique.Visage cou, seins évitant mes tétons qui pourtant ne demandent que ça, ventre de plus en plus bas....Je suis au bord de la rupture ! Le massage tantrique ne doit pas être masturbatoire mais moi en me tordant et en me cabrant comme je le fais, c’est clair que je le réclame. Maintenant sans plus aucune honte, j’ai écarté mes cuisses autant que possible.Il tourne autour de mes tétons, il effleure mes lèvres, descend entre mes fesses, tourne autour de mon clitoris, je me cambre, je ne peux m’empêcher de gémir mais rien y fait il ne me permet pas de jouir, alors.... je veux le faire moi-même ! Ma main saute littéralement entre mes jambes et j’espère bien me soulager devant eux deux.Il me laisse faire quelques secondes et au moment de ma libération, il m’attrape le poignet pour m’en empêcher. Je ne peux pas retenir un cri de désespoir, je crois mourir.Je n’ai jamais connu autant de frustration je suis dans un état indescriptible.Il profite de me tenir toujours le poignet pour le diriger vers lui et je sens son sexe contre ma main.Je m’agrippe à lui comme à une bouée de sauvetage. Ma main n’en fait pas le tour, il est vraiment énorme mais pas très dur. C’est souvent le cas des gros sexes, rarement vraiment très durs.Je me redresse à moitié pour me jeter dessus et le sucer mais je n’arrive qu’à ne prendre que le bout en bouche alors je le lèche comme une désespérée.Je ne sais plus où je suis, je me fiche absolument qu’on puisse me voir, je le veux tout entier et c’est tout ce qui compte.Ma bouche s’est un peu habituée à ce format et j’arrive un peu à le sucer réellement quand je suis prise d’un affreux doute.... La taille de nos préservatifs sera t elle suffisante ? Je jette un coup d’oeil à mon mari qui s’approche.Après avoir profité du spectacle il vient me caresser à son tour.Il tiens un étui de capote que je ne connais pas en me précisant que c’est à lui.Je suis soulagée sans me poser la question de savoir comment c’était arrivé là et il me propose que nous allions dans le bois.Je lui arrache l’étui de la main, l’ouvre fébrilement et le place sur l’objet de ma convoitise.Il se laisse faite à demi allongé, une fois en place je l’enjambe pour me placer au-dessus de lui.J’ai bien conscience que ce n’est pas forcément la meilleure position pour commencer avec un tel gabarit mais je suis tellement mouillée que ça devrait passer sans dégât. Je m’ajuste, mon mari vient me soutenir.Les premiers centimètres passent et je me sens déjà complètement dilatée. Je prends appuis sur son ventre des deux mains et descends tout doucement....Putain que c’est bon ! Je me sens remplie comme jamais.Ça y est je suis assise sur lui, ça bouillonne dans mon ventre et dans ma tête aussi.Mon mari me caresse les seins, j’ai ouvert les yeux et je regarde mon bas-ventre, incrédule, comme pour vérifier que tout est bien rentré.Je bouge un peu, presque timidement, rien que du plaisir qu’aucune douleur ne vient perturber.Lui, de son coté bouge imperceptiblement son bassin en contractant ses fesses et c’est comme un volcan qui se réveille dans mon ventre.Je ne fais même plus attention à François qui me triture les seins comme il sait si bien le faire mais son activité participe certainement à l’orgasme qui me submerge. Il me laisse quelques secondes de repos puis me propose de changer de position. Je sais par expérience que c’est souvent une façon de laisser retomber la pression pour l’homme alors bien sûr j’obtempère, n’ayant pas l’intention d’en rester là !Je me retire doucement et soudain je ressens un grand vide à l’intérieur.Je me positionne à quatre pattes et lui demande de venir, c’est même une supplication.Il appuie sur mes reins et je plie les genoux pour compenser la différence de taille. Je le sens promener son gland sur ma fente, c’est bien agréable mais ce n’est pas ce que mon ventre réclame dans l’immédiat et c’est moi qui me recule pour le lui faire comprendre. Alors il me pénètre doucement, tout doucement et une sorte de béatitude m’envahit au même rythme. C’est bien ma position préférée, je confirme. François vient se placer devant moi et j’essaie de redresser le buste pour l’atteindre. Habituellement dans cette position j’aime sucer en même temps mais les coups de boutoir de celui qui est derrière m’en empêchent. Là, rien que de la douceur, ses mouvements sont légers et lents. Il recule de quelques centimètres, revient lentement m’écraser les fesses et je sens ses testicules frotter sur mes lèvres et mon clitoris, c’est merveilleux. François à semble t il compris et s’agenouille devant moi, je me jette sur sa bite pour l’engloutir. Je ne sais même plus où je suis, j’ai perdu toute notion de temps mais ce que je reçois dans la bouche est bien la jouissance de mon mari, ce qui déclenche la mienne immédiatement. Je me sens soulevée et comme en lévitation empalée sur ce pieux il jouit à son tour en me mordant l’épaule. Je pense avoir perdu connaissance une seconde ou deux. Il m’a déposée délicatement sur le côté et il me faut un petit moment pour réaliser où je me trouve.Nous restons là sans bouger ni parler puis c’est lui qui rompt cet instant magique en déclarant qu’il doit partir retrouver sa sœur.Sans bouger je les entends parler pour se dire au revoir mais une phrase me fait sortir de ma torpeur.Mon mari lui dit :"Bon je te rappelle avant la fin de la semaine "Encore une fois il avait tout organisé y compris ce voyage sur le Bassin....Je n’en reviens pas !
