Les réseaux sociaux nous permettent parfois de bonnes choses, comme retrouver de la famille que l’on connaît peu ou pas et de retisser des liens.
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Cela faisait quelques années que j’étais en contact avec ma petite cousine sur les réseaux sociaux mais nous ne nous étions encore jamais vus. Le courant passait bien. Nous étions contents de nous découvrir l’un l’autre et de connaître un peu mieux notre famille. Nous avions respectivement 34 et 21 ans et étions séparés de 1000 km. Cette cousine était toute aussi jolie qu’adorable. Il m’arrivait parfois, et de plus en plus souvent, de fantasmer sur elle en découvrant ses nouvelles photos sur lesquelles elle posait pour y être sexy. Un jour comme un autre où je découvris une de ses nouvelles photos me fit encore fantasmer, mais cette fois ce fut après un apéro légèrement arrosé. Ce jour-là je fis ce que sûrement je n’aurais jamais osé sans avoir consommé quelques verres. J’allai la complimenter en privé sur la beauté qu’elle dégageait de cette photo. Je la sentis flattée.[SMS]< Merci, c’est gentil> Mais, c’est vrai ! Tu es canon. Dommage que tu sois ma cousine... J’avais perçu sa timidité, mais je n’avais pas pu m’empêcher de lui envoyer cette réponse. La sienne ne tarda pas.[SMS]< Pourquoi dommage ?> Simplement parce que sinon j’aurais tenté de te séduire. T’es ma cousine et ça ne se fait pas. Tu ne trouves pas ?< Oui, lol !> Ou alors, faut pas le dire.< Oui, c’est une solution. Je compris à ce moment qu’il était peut-être possible d’aller beaucoup plus loin.Nous discutâmes pendant quelques jours en parlant non plus de la famille mais de ce qu’on aimait faire au lit et en s’excitant mutuellement. Mais voilà, un jour, son petit ami tomba sur nos conversations. Elle me demanda de stopper car elle ne voulait pas que cela se sache et nos échanges redevinrent redevenus normaux.
Il ne passa rien pendant deux ans. Jusqu’au jour où je rendis compte qu’elle n’était plus avec son petit ami.
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Après quelques échanges où j’avais abordé le sujet, elle m’avait avoué ne plus être avec lui. Je lui avais dit sans équivoque que l’on pouvait alors reparler sexe, mais elle avait refusé, argumentant que ce n’était pas bien, qu’il ne fallait pas… Mais, elle s’était vite laissé tenter par le diable. Nous échangeâmes comme ça quelques jours et ça devenait de plus en plus hot.Nous n’avions plus parlé de nos préférences sexuelles mais ce que nous ferions si on se voyait. Puis arriva l’échange de photos coquines. Je fus le premier à lui envoyer une photo de moi nu, lui montrant bien sûr mon attribut dressé par l’excitation qu’elle suscitait en moi. Bien qu’un peu dévergondée, elle était assez timide pour montrer son corps. J’eus droit à quelques photos où je découvris ses seins et le bord de son joli minou. Cela dura quelques temps et nous décidâmes enfin de nous voir. Il fallait enfin se rencontrer et cette envie d’être l’un contre l’autre et de faire l’amour était devenu trop forte. Nous nous étions décidés. Je posai mes jours de cp et fis la route pour découvrir ma petite cousine. Je dormis chez un ami pour ne pas éveiller les soupçons. Notre rendez-vous était fixé pour le lendemain soir.
Mon impatience et mon stress grandirent. Je passai à la douche vers 16h30 pour arriver chez elle vers 18h30, après que ses enfants furent partis chez leur père. Arrivé devant chez elle, je l’appelai. Elle vint m’ouvrir son garage pour ranger la voiture. Après un échange de bises pudiques, nous montâmes enfin chez elle.Dans l’escalier étant derrière, je ne pus m’empêcher de regarder ses jolies fesses dans son jean blanc moulant. Une fois chez elle, son frère, habitant au même palier, vint nous saluer. Il était sympa et nous échangeâmes tous les trois sur notre famille. Puis il regagna son appartement pour nous laisser dîner et apprendre à nous connaître. Après un petit apéro très raisonnable, ma cousine attaqua le repas en même temps.Alors qu’elle s’activait devant ses fourneaux, je dévorais son corps du regard. Un visage d’ange sur un corps parfait. Ses petites fesses me faisaient plonger le regard en permanence. Je me dis qu’il nous fallait nous rapprocher pour qu’il se passe quelque chose. — Tu me rejoins dans le canapé pour boire ton verre ? Le temps de la cuisson, elle vint à côté de moi et nous discutâmes, la télé face à nous. Je la pris alors contre moi, ma main sur sa nuque. Elle se blottit contre moi. Je l’embrassai dans les cheveux. Elle me regarda dans les yeux et nous nous embrassâmes tendrement. Puis d’un coup tout s’emballa. Nous nous embrassâmes avec passion et commençâmes à nous toucher de partout. Je la caressais tendrement, les cuisses, le ventre et sa poitrine. J’avais l’impression que mon cœur allait bondir de mon thorax. J’étais rempli d’excitation, d’amour, de tendresse et presque de peur. Ses baisers avaient un goût différent, me faisant me demander si c’était comme si j’embrassais ma sœur. — Viens, on va dans ma chambre. Elle se leva et ferma à clé l’entrée par précaution au cas où son frère reviendrait. Il fallait que cela reste notre secret absolu. Une fois dans la chambre nous nous déshabillâmes chacun d’un côté du lit dans le noir presque total. Son manque de confiance en elle l’empêcha de se montrer à la lumière. Mais heureusement pour moi, un peu de lumière du lampadaire me fit apercevoir sa si jolie silhouette. Une fois sur le lit, les caresses et baisers s’enchaînèrent. Les mains allèrent de plus en plus dans les endroits intimes et s’y attardaient. Je la pris contre moi et elle vint volontiers. Nous roulâmes et elle se retrouva sur moi ses cuisses tombant autour des miennes et nous nous embrassâmes tendrement pendant que je caressais et tenais son petit cul entre mes mains. Je fis un mouvement du bassin pour dégager mon sexe collé sur son ventre. Une fois libre, il heurta l’entrée de son sexe que je sens humide. Et ce moment sembla se dérouler au ralenti en moi par cette montée d’adrénaline qu’il me procurait. Je me sentis pénétrer doucement ma cousine tout en ayant conscience de ceci. Je me dis enfin nous concrétisions cette envie. Mon cœur tapa une nouvelle fois pour sortir de ma poitrine.Je fis quelques va et vient qui m’envoyaient de plus en plus profondément en elle. Elle se redressa sur moi et je pus attraper ses jolis petits seins. Dans la pénombre, ce fut un moment de rêve que je vivais. Nous fîmes l’amour comme ça, plein de tendresse en changeant plusieurs fois de position. Je vins sur elle en remontant ses cuisses pour rentrer bien profond. J’entendis à chaque fois le bruit de son sexe mouillé qui m’accueillait volontiers. Ceci m’excitait terriblement et je lui chuchotai dans l’oreille que je ne pouvais plus tenir. — Vas-y. Lâche-toi ! Et là j’explosai en elle. Cette satisfaction d’être l’un contre l’autre et de jouir en elle fut un moment inoubliable. Je me retirai après un instant et nous fîmes un câlin avant de nous relever et partir manger comme si de rien était. Une fois le repas fini, nous recommençâmes de façon naturelle. Mon cœur avait moins envie de traverser ma poitrine mais c’était tout aussi bon.Nous décidâmes que je dormirais officiellement dans le canapé. L’excuse d’un verre de trop était toute trouvée.Mais le canapé ne me vit pas cette nuit-là.Nous refîmes l’amour une troisième fois avant de dormir.La nuit je me réveillai et me rendormit en lui caressant les fesses sans la réveiller. Le lendemain matin, le réveil sonna car elle devait aller travailler. Impossible de la laisser filer comme ça. Avant de nous lever, je l’attrapai contre moi, quelques bisous, quelques caresses et nous fîmes de nouveau l’amour en cuillère avant de filer à la douche.Je l’accompagnai au travail et la regardai partir après un baiser tout en regardant toujours ses jolies fesses.
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Nous en avons reparlé sans jamais avoir l’occasion de faire plus.Ça reste un merveilleux souvenir sans le moindre regret.Peut-être un jour j’écrirai la suite.
