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La rencontre de ma vie

Chapitre 1

La rencontre

Hétéro
L’histoire que je vais vous raconter est ma rencontre avec la plus belle personne qui partage ma vie, l’amour de ma vie Mindy !Lorsque je l’ai rencontrée, j’avais tout juste vingt et un ans. Je débutais ma première année en master informatique au Québec, et j’habitais alors un petit appartement de trente-huit mètres carrés non loin de ma faculté. Pendant les vacances d’été, je faisais des stages en entreprise pour me perfectionner dans le développement d’applications, de logiciel, et autres programmes informatiques. Je travaillais aussi pour payer mon loyer, mes études ; parfois je devais demander un peu d’argent à mes parents, car certains mois je n’arrivais pas à joindre les deux bouts.À ce moment-là, j’avais un physique plutôt normal. Un peu large, de taille moyenne et assez peu musclé. J’avais en permanence une barbe de 3 jours, les cheveux longs et bruns, que j’attachais en queue-de-cheval avec un bout de tissu bleu auquel je m’attachais peu à peu ; c’était un peu mon doudou. De toute façon, j’adorais mon corps et n’avais aucuns complexes à me promener nu dans mon appartement ; du moins quand j’étais seul. Je prenais beaucoup de plaisir à me regarder niaisement nu dans la glace, je me trouvais beau et sexy. Je passais des heures à me regarder, à me toucher, à explorer mon corps, surtout mes fesses et mon sexe que je massais doucement. J’étais assez égocentrique, un de mes principaux défauts. Pendant longtemps je souffrais de timidité sociale, un véritable fléau qui me mettait dans la quasi-impossibilité d’aller à l’encontre des gens. J’étais assez introverti et malgré les quelques amis que j’avais, je sortais quand même très peu de chez moi ; du coup quand j’avais du temps libre, je jouais aux jeux vidéo sur mon ordinateur. Je matais aussi du porno et me masturbais des heures entières, en effet j’adorais ça, et parfois je me lançais des défis. Je me souviens qu’un jour, alors que je n’avais pas envie de sortir, j’eus l’idée de tenter une expérience ; ou plutôt de me lancer un défi. Il consistait à rester entièrement nu et rester toute la journée avec la queue à la verticale puis, de me faire éjaculer au moins quatre fois dans la journée, en récupérant mon sperme dans un verre et de le boire en fin de journée pendant la dernière branlette. Dès le matin je me suis levé, comme tous les matins avec la trique. J’ai donc allumé mon ordinateur et je choisis site de « Hentai » pour m’exciter.
Je petit-déjeunais d’une main, l’autre s’occupait de ma bite et de mes couilles ; le verre était posé sur la table juste à côté de ma tasse, prêt à récupérer mon jus. Le moment venu, ce fut un vrai plaisir et je fus assez content de la quantité de sperme recueilli. Pendant le reste de la matinée, je me secouais le poireau pour qu’il reste raide. À dix heures du matin je me suis fait éjaculer dans mon verre et j’ai continué ainsi jusqu’à la fin de la matinée. Puis, je trouvais une vidéo où une jeune fille découvrait pour la première fois les plaisirs de la masturbation ; exactement ce qu’il me fallait ! Je me suis vidé à nouveau dans mon verre, le niveau montait petit à petit, mais pas assez à mon goût ; il m’en fallait plus. Plus je me branlais et plus je voulais que le verre soit plein. Plus le temps passait et plus j’avais envie de trucs encore pus hard ; j’ai alors cherché des trucs plus sales pour que mon excitation monte à son paroxysme.
Midi arrivait déjà, et alors que je mangeais mon repas d’une main et m’astiquais la queue de l’autre. Telle ne fut pas ma surprise de je tombais par hasard sur de la zoophilie. Je considérais ça comme sale et dégueulasse mais portant cela m’excitait encore plus. Toute l’après-midi j’avais contemplé ces dessins de fille se faire lécher par des chiens, des chats, et d’autres bêtes comme une qui suçait un cheval. J’avais chaud ma bite commençait à me faire mal, mais ma conscience ou le vice me dit :
«  Allez continue, tu as voulu faire ce truc débile ; prouve-toi que tu as des couilles ! Que tu es capable de tenir un engagement ! »
 Alors je me suis forcé et quatre fois de plus j’avais joui dans mon verre. À 18 h et à bout de mes forces, je me décidais d’en finir. Je saisis le verre, l’odeur était horrible j’ai failli reposer le verre ; mais je voulais me prouver que j’en avais dans le froc. Je sentais que j’allais jouir alors j’ai avalé tout le contenu du verre pendant que mon sperme m’engluait les doigts dans une explosion de jouissance. Dans la seconde qui suivit, je me suis précipité dégueuler dans l’évier de la cuisine. Je faisais souvent ce genre d’expérience personnelle, et toutes me laissèrent des souvenirs incroyables. J’étais assez fier d’avoir une activité sexuelle débordante, cependant il me manquait quelque chose dans ma vie, ce quelque chose qui pourrait me combler encore plus, c’était l’amour, rencontrer une fille et l’aimer. L’amour, c’était quelque chose que je n’avais pour ainsi dire que très peu vécu, et qui me manquais terriblement. Grâce à mes défis ridicules, je me prouvais que je devais arriver à entrer en contact avec des gens et peut-être une fille. Au Québec, les gens sont très sociables et chaleureux. Au bout de quelque temps, j’ai commencé à sortir et à parler avec les gens. Après deux mois, j’allais mieux, j’arrivais à croiser le regard des gens et leur parler ; un peu. Puis un matin en me levant je me suis dit que c’était le moment d’agir, alors je me suis lancé un défi : rencontrer une fille et lui parler.Je me souviens. C’était un mardi après-midi, il était 14h. Je venais de terminer mon cours de programmation matriciel,  et une heure de pose m’attendait. Je pensai alors que ce moment était parfait pour aller travailler à la bibliothèque universitaire et pourquoi ne pas tenter de faire une rencontre. J’entrais dans la bibliothèque à pas de velours, et je me rendis à une place libre avec un ordinateur. En passant devant une table, une jeune fille d’une beauté incroyable attira mon attention. Elle était là juste à côté de moi, assise, le nez plongé dans ses cours.
Tout en elle m’attirait, ses cheveux mi-courts, blonds presque blancs.
— Excusez-moi Mademoiselle…— Oui… ? me répondit-elle sans même lever le nez de son bouquin.— Je…je… voulais vous dire que…
Enfin elle lève la tête vers moi et me répond d’un ton ferme :
— Me dire quoi ?
Complètement détruit par le stress, mes mains tremblaient, mon cœur s’emballait et les mots refusaient de sortir. J’étais là, planté devant elle. En un regard je découvris, tout d’abord ses yeux d’un bleu électrique qui me firent frissonner.  Puis son corps fin et sa toute petite poitrine, si petite qu’on ne la voyait presque pas ressortir. Même ses vêtements avaient de l’effet sur moi. Elle était habillée d’une chemise à carreaux rouges, un jean assez peu serré et des « Convers » beiges clairs. Ce fut un choc pour moi ! Je n’avais aucune idée de ce qui se passait en moi, j’étais comme tétanisé. Elle me regarda de la tête aux pieds, puis revint sur mes yeux et cette fois, je me suis retrouvé terriblement gêné ; je devais ressembler à une statue de glace. Elle me fixa et son regard me fit l’effet d’une balle, comme si j’avais été touché en plein cœur ; le monde s’arrêta. Elle me fixait toujours et avec un sourire d’ange et une voix douce, elle me dit :
— Ça va aller ? Tu n’es pas bien, tu es tout pâle.
Mon cerveau se mit à tourner à cent à l’heure et une voix au fond de moi, la même qui me pousse tout le temps, me souffla :
« Aller Greg ! C’est le moment, regarde comme elle est belle, tu ne peux pas, tu n’as pas le droit de laisser passer une si belle occasion ! »
Je faillis lui répondre :
« Oui, mais… »
Et avant que je continue la voix me cria dessus :
« Greg ! Tu te bouges ou tu attends qu’elle replonge dans son bouquin ? »
Je pris une grande respiration pour lui dire :
— Oui, ça va, enfin pas trop vous me faites …
Je crois qu’à ce moment-là, elle comprit à qui elle avait affaire. Avec un large sourire, elle me fit signe de m’asseoir à côté d’elle. J’étais soulagé, mais inquiet et c’était avec les jambes flageolantes que je pris place à ses côtés.
— Ça va aller ? Me redemanda-t-elle sur un ton rassurant.— Oui oui ! Je suis désolé, je dois vraiment passer pour un idiot.— Mais non ne dit pas ça ! Tu es timide, tu n’oses pas, c’est ça ?
J’avais la « gogo », je transpirais, j’avais envie de fuir, c’était horrible. Alors, je lui répondis un « Oui » étranglé.
— Je te comprends, ne t’inquiète pas, retoqua-t-elle avec un léger rictus. Alors qu’est-ce que tu voulais me dire ?— Bah… laisse tomber, c’est vraiment stupide...  dis-je sur un ton dépité.— Mais si… allez, fais un effort ; dis-le moi ! Et arrête de penser que tu deviens ridicule.
Je dus mobiliser toutes les forces de mon corps pour pouvoir lui répondre !
— Je... Je voulais te dire que je te trouve vraiment très belle...
J’eus tout à coup, l’impression de soulever des montagnes tellement ce fut difficile, mais j’y étais arrivé !Elle rougit et semblait être un peu mal à l’aise.
— Oh... Heu, je... Heu ; merci ! Me dit-elle avec un joli sourire. C’est vraiment gentil de ta part, je n’ai pas vraiment l’habitude qu’on me dise ça comme ça ; habituellement, c’est plus cash et moins élégant.
Elle avait l’air heureuse, et cela me remplissait de joie. J’avais enfin réussi une approche et au fond de moi, je franchissais une étape importante. Assis à côté d’elle, j’étais un peu plus détendu, mais elle me replongea dans le stress quand elle me dit :
— Tu sais que toi aussi tu es mignon, tu as une tête d’ange.
Cette fois c’était le coup de grâce, je sentais mon sang monter vers mes oreilles ; le rouge me montait, j’avais terriblement chaud, mes mains me collaient et je bafouillais un « Merci ». Après une seconde grande inspiration, j’entamais la discussion. J’appris qu’elle s’appelait Mindy, qu’elle suivait des cours pour obtenir une licence de lettres et qu’elle était de deuxième année. Puis, nous avons parlé de nos vies respectives. Elle m’annonça qu’elle habitait encore chez ses parents, à quinze minutes de la Fac. Quant à elle, elle fut assez surprise d’apprendre que j’étais déjà en master d’informatique et que j’avais mon appartement.Je fus surpris qu’elle me pose tout un tas de questions sur moi. Mis en confiance je lui racontais ma vie, mes soucis et cette timidité qui me faisait souffrir. Je trouvais un peu bizarre qu’elle puisse poser autant de questions à un inconnu ; en fait, c’était moi qui étais bizarre. Que c’était plaisant de pouvoir se livrer à quelqu’un.Ainsi, elle apprit de moi que j’avais passé mes années de licence en France, chez mes parents. Puis qu’ils avaient décidé de venir vivre au Québec, mon père y trouva du travail et nous y  avions déménagé. La Fac étant trop loin de notre domicile, je pris un appartement en location pour gagner en indépendance ; à cette nouvelle, elle parut surprise mais visiblement admirative ; ce qui me flattait énormément.J’avais l’impression en me livrant à elle de la sorte, que je lui plaisais ; son sourire, ses gestes, ses réflexions et parfois ses rires, tout en elle me le laissait fortement penser qu’elle avait de l’admiration pour moi. Ce dont j’étais vraiment sur en l’occurrence, c’est qu’elle me plaisait. À vrai dire j’étais tellement envoûté par sa présence que plus rien ne comptait autour de moi. Je voulais en savoir plus sur elle, je m’apprêtais alors à lui poser quelques questions sur elle, quand je m’aperçus que ça faisait déjà plus d’une heure qu’on parlait tous les deux.
— Houla ! m’écriais-je. Je devrais déjà être en cours, je suis désolé, il va falloir que je te laisse !
En voyant sa déception, je ne puis m’empêcher d’être un peu triste ; mais je n’avais pas le choix ; il fallait que j’y aille.Je pris vite mes affaires et commençais à me lever.
— Attends ! Dit-elle. Quand est-ce qu’on pourra se revoir ?
Je serais bien resté mais il fallait y aller. Je lui répondis dans la précipitation.
— La semaine prochaine, même heure, même endroit ça te va ?— D’accord… Pas avant ?  répondit-elle d’un air déçu.
Je tournais les talons et me dirigeai vers la sortie, mais ma conscience me rattrapa :
« T’es un grand malade ! Tu ne vas pas la laisser poiroter une semaine ! Tu crois, qu’elle va t’attendre ! Oh ! »
Alors je me suis retourné et je lui ai crié :
— Demain, Mindy, demain même heure !— Oui, oui…à demain !
Alors je suis parti, en courant à moitié pour rejoindre ma salle de cours, et vite !J’étais heureux et surpris de mon exploit, j’avais même du mal à réaliser ce qu’il venait de se passer. Perdu dans mes pensées, je n’avais pratiquement rien écouté du cours qui suivait ; mon esprit était occupé que par elle ![À suivre]
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