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Rencontres du 3ème sexe,

Chapitre 2

au pluriel

Orgie / Partouze
Le soir au retour de la plage, mon oncle commente à Jade notre journée et notre rencontre avec Adam et Eve. Jade d’ajouter :
— Mon petit neveu a été gâté aujourd’hui et a besoin de se reposer !
Je ne réponds pas, je connais ma tante à présent, elle m’a déjà fait un reproche similaire. Il est vrai que cette fois, j’en ai pris plein les fesses ! La soirée s’achève assez tôt chacun dans sa chambre.
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Le lendemain matin, nous nous retrouvons tous les trois et prenons le petit-déj. quand le téléphone sonne, ma tante répond :
— Allô ! ... Adam ! oui Théo m’a parlé de votre rencontre hier ... Oui avec Eve... Non bien sûr, il n’y a pas de problème ... Les revoir ? ... Nous revoir ???... Euh les femmes sont acceptées ? ... Une minute, je leur demande : — Adam nous invite cette après-midi chez lui, il y aura deux autres couples et je serai la seule femme sans « something extra ».
Mon oncle de répondre :
— Si John est d’accord (j’approuve de la tête) et si ça te va, moi je suis d’accord !— Allô Adam ! Pour nous, c’est d’accord ... À 14 heures... Ce soir, vous avez un avion... Pas de problème, votre adresse oui, je note ... Oui, moi aussi très heureuse de vous rencontrer ... Moi aussi impatiente ... A tout à l’heure ... Bises !
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En début d’après-midi nous arrivons chez Adam, sa propriété à l’écart du village est close d’un haut mur, nous entrons directement dans le jardin. Il nous reçoit en boxer et tee-shirt blancs, très ajustés et qui souligne sa musculature, il fait probablement un peu de musculation. Il salue ma tante et pour la mettre à l’aise, avec sa permission, l’embrasse sur les lèvres alors que pour Théo, c’est une tape sur l’épaule et moi la main sur les fesses.
Je vois Eve de dos un peu plus loin, ses cheveux blonds tombant sur les épaules, elle est en bikini ; sa silhouette callipyge est juste marquée par la cordelette du soutien-gorge et le triangle noir du slip brésilien au sommet de ses fesses. Elle se retourne vers moi, son sourire est ravageur ; elle vient et se colle à moi pour m’embrasser puis fait à Théo et Jade un bisou sur les lèvres.
Adam nous invite à avancer et nous présente ses amis (tous ayant environ 40/50 ans) :

— Je vous présente Paul et Martine (elle, grande, longs cheveux noirs, la robe lycra bleu-nuit à mi-cuisse dégage les jambes fines et moule de jolis petits seins et un ventre un peu rebondi ; lui, musclé, épilé juste en slip bleu-nuit contenant difficilement son sexe)— Nous trois de répondre en les embrassant : Enchantés.— Et voici Moussa et Monique (elle, petite, brune, en robe blanche ouverte sur le devant, couvrant à peine ses beaux seins épanouis et ses cuisses un peu potelées ; lui, un grand sénégalais, plutôt mince en boxer jaune soulignant l’énormité de son sexe).
Adam nous offre un verre, tout de suite l’ambiance est très amicale. Hommes et femmes, nous nous embrassons le plus souvent sur les lèvres puis faisons connaissance. Rapidement, les conversations tournent autour des rencontres de plages, la sexualité, les soirées. Eve en maîtresse de maison sert boissons et mignardises.
Les conversations, les caresses, les baisers font que la glace fond. On s’allonge librement sur la pelouse, le hasard, les affinités, les attirances forment les groupes. Adam s’occupe de ma tante ; mon oncle et Paul entreprennent Monique ; alors que je fais connaissance de Moussa et Martine qui semblent avoir leurs habitudes. Elle a abandonné sa robe, elle est juste en mini-slip bleu et seins nus tout pareils à ceux d’Eve, lui nu exhibe un membre noir d’ébène magnifiquement veiné qui me rappelle le gode ceinture de ma tante.
C’est ma première sortie libertine en dehors du cercle familial. Timide et indécis de nature, c’est Marine qui m’engage à quitter mon boxer. Elle s’intéresse immédiatement à mon sexe qui ne bande pas vraiment. Mal à l’aise, je lui caresse superficiellement un sein et m’enhardis en lui suçant gentiment un téton pas plus gros que celui d’une jeune fille.
Sous le regard amusé de Moussa qui lui caresse les jambes, elle bouscule mon attitude de petit garçon embarrassé en me poussant la tête vers son pubis. Même mon sexe sans relever vraiment la tête ne me fait pas honneur jusqu’au moment de l’arrivée de Eve qui quitte son deux pièces et s’allonge pour embrasser à pleine bouche son amie. Martine peut-être un peu désabusée par mon sexe somnolant, s’empare de l’appendice d’Eve qui se redresse immédiatement pour se transformer en une belle petite bite au bourgeon décalotté.
Le tableau me désinhibe et mon sexe explose. Les deux « filles » se câlinent, j’aide Moussa à libérer Martine de son slip.
La verge plaquée par le tissu entre les fesses se déroule et se redresse comme le clown qui sort de sa boîte. Le sexe paraît démesurément long par rapport à son épaisseur pas plus grosse que deux doigts et les couilles sont deux noisettes dans un petit sac. Moussa me cède la place, je me place entre les cuisses de la « fille », lui prends la tige et le bouton en bouche, la branle avec mes lèvres, j’alterne de longs va-et-vient et de simples caresses du bout de la langue. Alors que je suis à quatre pattes, Moussa s’intéresse à mon petit trou qu’il trouve à son goût puisqu’il y plonge deux doigts. Martine appuyée sur ses pieds relève le bassin et de ses deux mains s’écarte les fesses. Elle m’ordonne d’une voix rauque :
— Viens, baise-moi. !
Ça claque comme « Action » lors de la réalisation d’un film.
Je plaque ma bouche sur son anus proéminent, le lèche et aspire le bouton violet en excitant le trou avec la langue. Elle gémit et renouvelle son ordre « Viens ». Je me redresse contre ses fesses, elle pose une jambe sur mon épaule, je pointe mon gland qu’elle avale d’un mouvement de bassin, pose l’autre jambe sur mon épaule et d’un autre coup de bassin s’empale sur mon tronc.
Pendant ce temps, Eve enjambe la figure de sa copine en me tournant le dos, se met à quatre pattes pour se faire sucer le jonc ou le « clito » comme elle dit et m’exhiber sa rondelle. Je l’embrasse dans le dos, appuyé sur les mains et pour mieux pénétrer Martine, je me rapproche d’elle, lui fais relever le bassin et la besogne presque à la verticale.
L’offre est trop belle pour Moussa, il écarte mes fesses, me lèche la raie, je sens sur mon anus son pénis. Il se positionne, je ne bouge plus, ses deux mains sur mes globes, il pousse son gland sur ma rondelle, il force, la tête est grosse et sa forme en champignon ne facilite pas la pénétration. Il force encore, recule, me lèche le petit trou, se replante plus fort, écarte mes fesses, m’élargit, pousse, mes chairs cèdent, le gland s’enfonce vainqueur, Moussa annonce sa victoire :
— Yeah ! John, tu as un cul d’enfer, on va prendre son temps, sois tranquille !
Il me prend par les hanches, il laisse les chairs se connaître. Mon anneau à son habitude se détend. Il me tire à lui, il glisse dans le rectum lentement et régulièrement jusqu’au fond, mais son ventre n’est pas contre mes fesses. La pression se maintient constante, mes sucs abondent ; mon cul se liquéfie, les intestins s’ouvrent et ... la perforation se poursuit jusqu’à ce que son pubis touche mes fesses.
— John ! Je suis tout en toi.
Ainsi en levrette, les fesses relevées, et appuyé sur les coudes, je ne bouge plus. Eve sent ma respiration haletante sur son dos. Un moment après, je vais et viens doucement dans le ventre de Martine tout en lui pelotant les seins. Moussa reste encore immobile, je sens les contractions de son membre au fond de moi, puis il prend mon rythme. Il me besogne de toute la longueur de son sexe. La grosseur de son gland fait que pour l’instant, il coulisse dans mes chairs sans les quitter. On baise ainsi tous les quatre. Chacun, chacune appréciant la situation : Eve se fait sucer, Martine se fait peloter et baiser, moi j’encule et suis sodomisé, Moussa baise à fond.
La douceur fait place à la frénésie et c’est Eve qui donne le ton. Elle se redresse pour se faire bouffer le cul par sa copine et se branle avec énergie, j’entends sa main battre sur ses couilles. Moi à l’identique, je me relève en m’appuyant sur mes cuisses pour usiner plus rapidement le cul de Martine tout en creusant les reins pour rester offert. Tout ça libère le bourrin qui m’encule en me tenant par la taille, ses coups de mandrin se répercutent dans le rectum de Marine.
La partie carrée s’accélère. Eve s’astique le membre. Martine lui bave sur les fesses et me martyrise les tétons. Je la baise tout en la masturbant. Le bourrin m’encule comme un damné en sortant complètement de mon ventre pour replonger jusqu’aux intestins.
Les deux trans sont les premières à éjaculer, Eve part en arrière en s’appuyant sur les hanches de Martine et mes épaules, ses jets sont aussi puissants que ses râles, dans ma main, je sens la tige de Martine se contracter, j’accélère ma branlette et la fais jouir sur sa poitrine, 3 beaux jets de sperme la couvrent.
Moussa m’encule et je besogne Martine au même rythme. Il a des ressources, ça dure encore alors que j’abandonne. Je lâche tout dans le rectum, « le vagin » de ma partenaire. Le bourrin continue sa chevauchée, qu’est-ce qu’il est gros ! qu’est-ce qu’il est long ! Mon anus doit fumer tellement ça chauffe. Enfin, un coup brutal me pousse en avant puis tout s’immobilise. Ses doigts me labourent les hanches, il me jute directement dans les intestins, je sens tout au long de mon rectum son chibre se contracter quatre-cinq fois. Il me lâche, je suis anéanti et roule sur le côté.
Les autres groupes se sont déjà disloqués et Adam amène quelques boissons et sandwichs ... Les commentaires vont bon train sur notre accouplement. Jade me retrouve en compagnie d’Eve qui semble attirée par une relation avec elle. Moussa, insatiable, vient la draguer, elle va le rejoindre accompagné de Paul tout en promettant à Eve de se retrouver après.
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Visiblement, Martine après avoir goûté au neveu veut se faire l’oncle et se colle à lui avant de l’entraîner sur l’herbe.
Monique m’a physiquement attiré dès que j’ai vu sa poitrine très femme type 90B et son sexe très homme. J’ai l’impression de ne pas la laisser indifférente et nous commençons à nous câliner sur l’herbe quand Eve se joint à nous pour nous sucer le pénis alternativement. Nous rapprochons nos queues de sorte qu’elle puisse nous prendre ensemble. Intervient alors Adam qui me met sur le dos en me chevauchant la poitrine et me regardant dans les yeux :
— Voyons voir si tu suces aussi bien que ta tante !
Il me chevauche et se penche au-dessus de moi, je prends son braquemart à deux mains et suce juste le gland. Sa position fait que je ne vois plus rien des deux trans qui s’affairent sur mon sexe. Elles savent faire et me font bander comme un cerf. Heureusement rapidement, l’une d’elles se met sur mon bassin et s’emmanche sur mon sexe tandis que l’autre écarte mes jambes pour me taquiner la rondelle, je relève genoux et bassin pour mieux m’offrir. Qui fait quoi ?
Adam en levrette me baise la bouche. Je lâche sa queue pour découvrir au toucher qui s’est planté sur mon tronc : la poitrine fait la différence, c’est Monique ! Je palpe les seins avec douceur, leur forme est superbe, la mamelle bien qu’agréable n’est pas naturelle, je prends les tétons très sensibles et commence à les triturer, de sa main, Monique me conduit à être plus doux.
Eve cesse ses taquineries anales, elle allonge mes jambes et se place à califourchon sur mes cuisses. Elle pousse Monique à se coucher sur ma poitrine en ayant la tête de côté sur une jambe d’Adam. Alors que je pistonne Monique, je sens Eve me taquiner la queue de sa langue avant de placer son gland contre ma bite et... pénétrer son amie ! Monique et Eve doivent être habituées aux doubles, la tige s’appuie sur mon tronc, glisse doucement, se fait une place dans le fourreau de sa copine, rapidement, je sens les coucougnettes d’Eve sur mes burnes.
Un moment d’attention et c’est Eve qui donne le signale de la chevauchée, tout se met en action. C’est elle qui donne le rythme à la fornication, lente, rapide, petits coups ou grandes frappes. Adam en levrette, le cul haut perché au-dessus de ma bouche et la tête au sol, me baise la bouche comme un vagin. De temps en temps, il sort complètement pour me permettre de déglutir et reprendre une grande inspiration puis il reprend sa fornication. De mes mains, je limite sa pénétration. Eve s’active dans le cul de son amie, sa bite collée à la mienne.
Je subis les assauts de l’un et j’accompagne Eve dans sa fornication. Les choses s’accélèrent dans les deux trous. Adam se fait de la place dans ma bouche en me pénétrant un peu plus profondément. Mon bruit de gorge encourage le baiseur. Eve et moi nageons dans les entrailles de Monique débordant de jus.
La jouissance arrive toujours trop tôt et à un moment où on ne peut plus la contrôler, Eve la première, moi tout de suite après et enfin Adam nous nous vidons dans les vases que nous baisons.
Nos cinq autres amis sont devenus spectateurs tout en se faisant des cajoleries, Jade entre ses deux mâles et Théo avec une Marine.
Adam nous confirme qu’il doit se préparer à prendre le taxi qui l’amène à l’aéroport. Jade réagit vite, souhaitant approfondir sa relation avec Eve :
— Adam, tu pars et Eve reste seule ?— Oui, je rentre demain soir, mais Eve est habituée, question travail !— Et qu’en dites-vous si Eve vient avec nous maintenant, on la ramènera demain soir ?— Oh pour moi pas de problème, mais je passerai chez vous et nous rentrerons ensemble.— Et pour moi avec grand plaisir, merci Jade de m’accueillir chez vous ! A demain mon Amour !— Parfait ... et demain soir, Jade, on se retrouve ;
Et mon oncle de rajouter :
— Si vous voulez, je vous chercherai demain à l’aéroport.— Top là Théo, c’est super sympa !
Et il embrasse fougueusement Jade alors que tout sourire, Eve vient vers moi et m’embrasse dans le cou. On se dit au revoir les uns les autres, un dernier baiser appuyé, une dernière caresse sans équivoque, on passe juste un slip, Jade sa robe et nous rentrons tous les quatre. Théo prend le volant et Jade s’étant déjà accaparée d’Eve, monte à l’arrière.
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