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Rencontres du 3ème sexe,

Chapitre 3

au masculin

Hétéro
Cette après-midi lors d’une réunion libertine avec mes oncle et tante, nous avons retrouvé Eve connue la veille à la plage. Jade a sympathisé avec elle et l’a invitée à passer la nuit et la journée de demain à la maison.
Eve est une jolie blonde d’une trentaine d’années, au visage d’ange, tout est finesse en elle jusqu’à ses mains parfaitement manucurées et ses seins d’ado. Très féminine, elle est née garçon.
A présent sur le chemin du retour à la maison, ma tante Jade est à l’arrière de la voiture avec son hôte. Mon oncle Théo conduit et moi à son côté, j’observe ce qui se passe à l’arrière sans en avoir l’air dans le miroir de courtoisie.
A la demande d’Eve, Jade déboutonne sa robe sous laquelle elle est nue. Tout en s’embrassant à pleine bouche, les yeux fermés, elles se caressent. Les seins de Jade sont la splendeur maternelle, un peu lourds, une courbe parfaite, un téton arrogant ; ceux d’Eve sont l’image de l’adolescence, à peine développés, le cône parfait de 5-6 centimètres de hauteur au sommet duquel un téton disproportionné pointe. Les mains se perdent dans les cheveux, cajolent le cou, les oreilles, le visage, survolent la poitrine, le doigt pointe le téton. Les lèvres restent soudées, on peut entendre quelques gémissements.
Arrivée à la maison, Jade abandonne sa robe et par respect de son invitée, passe un string de sorte que les deux sont habillées d’un « cache-sexe » alors que Théo et moi gardons nos shorts.

Théo disparaît dans la maison, Jade va préparer le dîner en me demandant :
— John, fais visiter la maison, vois si Eve souhaite que tu lui prépares la chambre d’invités.

A peine seuls, Eve se plaque à moi, nos lèvres se retrouvent, ses tétons pointent et m’excitent, enfin son ventre féminin ondule contre le mien et fait que ma colonne se dresse entre nous, puis elle me dit:
— Alors tu me fais visiter... tu me fais voir ma chambre ?— Coquine !!!

Un baiser du bout des lèvres, je présente la maison. J’omets de signaler la double fonction du séjour (voir Ma tante, mon oncle et tous les autres - chap 10) par contre lui montre la commodité des toilettes. Elle est impressionnée par la chambre de Jade entourée de miroirs et commente « On est toujours à plusieurs à faire l’amour ici ». Au cours de notre visite, nous rencontrons Théo qui bricole dans le garage et nous annonce qu’il sera demain avec des potes jusqu’au retour de Adam. Nous arrivons à la cuisine et retrouvons Jade :
— Alors Eve, tu as visité la maison ? Tu sais où tu vas dormir. ?
— Oui, la maison est superbe. Ta chambre est très belle, je la partagerais bien avec toi, mais pour ce soir peut-être, je vais te laisser avec ton mari et pour éviter du remue-ménage si tu veux, je vais dormir avec John ? Théo nous a dit que demain, il sera absent, peut-être me feras-tu alors découvrir la tienne ?— Je serai à côté de vous et... et demain, je serai tout à toi, tu seras tout à moi !!!

Jade comme pour affirmer ses envies et souder sa promesse la prend par le cou et lui fait un gros bisou sur la bouche :
— On va dîner ! John, va chercher Théo, il se fait tard et je pense que vous avez envie de dormir.
..........
Effectivement peu après le dîner « on a envie de dormir » et c’est Jade qui entraîne Théo pour nous laisser seuls. Dans les chambres, les portes restent ouvertes et on éteint les lumières.
Allongés, l’un face à l’autre, les jambes intercalées, les cuisses sont en contact avec l’entrejambe de l’autre. Nous avons soif l’un de l’autre. Nous nous embrassons, le baiser est immédiatement fougueux, féroce, animal, les gémissements de manque, de faim se font écho, puis, la première soif étanchée, le baiser devient tendre, sensuel. Les mains tout d’abord en manque parcourent les corps de manière désordonnée puis... trouvent le calme, la sagesse, la douceur, la tendresse.

Je m’attarde sur les seins, j’aime leur forme d’adolescente, je les caresse superficiellement, ils me semblent si fragiles, tripote doucement les tétons mi-homme mi-femme. Eve murmure :
— Ils te plaisent ?— Oui ! Comment as-tu fait pour qu’ils soient si féminins ?— Je prends des hormones, la poitrine s’est développée, mais depuis un certain temps, elle n’évolue plus, avec Adam, on envisage de faire des piqûres, quant aux tétons, c’est avec une pompe et des pinces-étaux.— Des pinces !!!... Je connais !— Ah tu connais... je comprends alors ! tes tétons sont hyper-érectiles et très développés, et les pinces, tu aimes ?— Difficile à porter au début, mais très excitant, en fait oui j’aime... je crois que je suis un peu maso !

Eve caresse mes fesses, abaisse mon boxer, je l’accompagne et le retire, mon sexe jaillit contre son ventre. Elle le prend par la pointe en mettant le gland dans la paume de sa main, ses doigts tout autour le décalottent délicatement.
Je la suis dans sa progression, une main descend dans son dos, glisse sous le slip brésilien, arrive à l’anus sans rencontrer de verge, l’autre sur le devant caresse le pubis épilé jusqu’à toucher la base du pénis. Eve retire son bikini et libère son sexe qui se dresse brutalement et bande comme une baguette. Elle me fait voir la cachette, une sorte de poche cousue au milieu de l’entrejambe qui part vers l’arrière, la verge y est coincée le long du périnée entre les cuisses et même en bandant, elle reste prisonnière en laissant le ventre d’apparence très féminine.
— Mais quand tu bandes comme maintenant, ça ne te gêne pas ? — Pas vraiment, mes coucougnettes ne prennent pas de place et ma tige est flexible. Je suis habituée, personne ne le remarque quand je suis en maillot !

Nus, tout s’accélère, plus de pudibonderie, je la chevauche en 69, elle allongée sur le dos. Elle me prend la queue à deux mains et me fait direct une gorge profonde tout en me massant les couilles. Immédiatement, je lui baise la bouche tout en lui suçant le sexe semblable à un gros sucre d’orge. Je le branle de trois doigts comme une flûte le pouce sur le canal de l’urètre.
Je veux son cul et mets ses jambes sous mes aisselles. L’anus est légèrement ouvert et enflé, la rosette largement striée forme une auréole brune, visiblement Eve est une sacrée baiseuse. Sa position l’excite, son bassin s’anime, l’anus se contracte et se relâche. J’écarte les fesses, le cratère du volcan s’ouvre facilement sur le monde obscur, j’y pointe la langue et le pénètre de presque de deux centimètres.
A ce moment en réponse à mon traitement, Eve me plante deux doigts dans les fesses puis un troisième. Elle connaît ma souplesse, elle m’a prise en double hier sur la plage, elle se porte directement sur le point sensible. Ma langue va-et-vient, mes doigts écartent le bord de la caldeira et la pénètrent. Eve commence à gémir, à murmurer :
— Oui, plus profond, suce bien !

Ma bouche collée à son cul aspire l’anus qui forme un gros bouton de rose entre mes lèvres. Je n’en peux plus, cette femelle en chaleur me fout le feu aux burnes ! Je me place à genoux entre ses cuisses, elle relève le bassin, mon gland est contre son petit trou, un petit coup de reins, je la pénètre sur toute ma longueur. Elle pose ses jambes sur mes épaules :
— Oui, baise-moi bien profond !!!!

A genoux, j’avance vers elle, la plie en deux, me couche sur sa poitrine, nos lèvres se joignent et je la prends verticalement et lentement pour faire durer la pénétration. Elle apprécie, tous ses muscles me sucent, m’aspirent, son cul devient vagin. Je la baise en missionnaire, je la cloue sur le lit.
Mes bras libèrent ses jambes qui glissent de mes épaules et s’ouvrent en V sur mes hanches. Nos poitrines sont plaquées l’une à l’autre, nos corps vibrent à l’unisson, sa langue est dans ma bouche ce que mon sexe est dans son vagin. Nos rythmes s’harmonisent, nos « Han ! Han ! Han ! », nos râles deviennent de plus en plus audibles au fur et à mesure que notre union s’accélère. Comme dans le Boléro de Ravel, nous approchons des dernières mesures, la puissance a pris le pas, mon bassin de l’ampleur, les mains caressantes sont devenues ongles plantés dans les chairs. Nous exprimons librement à haute voix notre jouissance.
— Oui ! Ouiii ! Ouiiiii ! » Jusqu’à mon explosion... AAAAH !

Je reste immobile, mais son vagin est en folie, il m’aspire, me tète, me pompe. Je lui donne tout, trois, quatre jets puissants l’arrosent, mes couilles se vident, mon sperme coule lentement, mon gland pleure les dernières larmes de bonheur. On reste longtemps accouplés en silence. Nous nous détachons l’un de l’autre, pivotons sur le côté. Notre silence est troublé par les gémissements de mon oncle et ma tante qui dans la chambre d’à côté font l’amour. Nous sourions, écoutons, c’est très érotique, très excitant... ! Ça rallume notre feu au ventre.
Elle n’a pas 30 ans, moi pas 20. Nos envies reviennent vite, envies de baiser, envies de jouir. Ma verge retrouve toute sa virilité, les mains d’Eve toute leur féminité, leur désir de sexe, ma bouche sur ses seins, ma main sur son pénis, son clito. Tout son corps crie « PRENDS-MOI ! ».
Je me remets à califourchon en 69, lui offre mes fesses et prends son sexe en bouche. Je la veux comme avant ses jambes sous mes aisselles. Elle, c’est mon cul qu’elle veut ! Elle me fait pivoter le bassin vers le bas, pointe sa langue sur mon œillet et me fait une feuille de rose bien baveuse. Puis elle me pousse en avant, à genoux, j’ai les fesses élevées. Avec une main sur les fesses et l’autre sur la rondelle, elle me pénètre de trois doigts, elle taquine mon point sensible, un quatrième doigt se joint aux autres. Elle est aussi douce que sa main est fine.
Les quatre doigts massent les parois de mon antre, puis sortent avant de revenir, le pouce dans la paume. C’est une pointe de lance qui se plante dans l’anus. La lance me paraît plus large que celle de Suan, la masseuse asiatique qui la première m’a ouvert avec la main (voir : Ma tante, mon oncle et... tous les autres – chap.8). Le travail commence, Eve est appliquée sans être pressée. Elle fore le puits, sort, revient, pousse, relâche, l’anus se laisse ouvrir, la jonction des doigts passe, la main envahit la caverne, elle y est toute entière.
Je suis immobilisé par l’action d’Eve dans mon ventre, mon esprit s’évade, je m’abandonne.

Maintenant, doucement elle me pistonne de son poing. La main touche la porte secrète de mes intestins, elle ne va pas plus loin. Son bras se transforme en tronc, son poing en gland. Les mouvements s’amplifient, s’accélèrent ; la main se remet en forme de lance, tente de ressortir, y renonce, puis une nouvelle fois, elle force un peu, l’anneau s’ouvre. La main sort pour replonger immédiatement et recommencer à me bourrer, puis ressort, entre et ressort. Mon anus a acquis toute la souplesse souhaitée.
Je passe du rêve à la réalité, Eve me fiste avec beaucoup d’attentions. Maintenant, c’est moi qui m’empale sur son poing, elle a l’avant-bras levé, le coude au sol, je suis droit sur elle en m’appuyant sur sa poitrine ; je vais et je viens sur son poignet, longtemps. Puis je lui redonne la main, c’est le cas de le dire, pour reprendre en bouche son sexe en érection. Eve continue son labour à la main. Mon excitation est telle que je lui fais une gorge profonde tout en lui doigtant le cul noyé de mon sperme. Sous mon massage et ma fellation, Eve s’abandonne et me lâche tout son jus au fond de la gorge, au moins trois jets m’abreuvent, je suis surpris par l’importance du jus de ces deux coucougnettes. Elle vidée, moi abreuvé, elle sort la main de mon ventre et me dit à haute voix :
— Mets-toi en levrette !

Je pense que Théo et Jade suivent oralement notre gymnastique. Offerte comme demandé, Eve s’installe sur ses talons face à mon postérieur et replonge la main dans mes entrailles avant de la ressortir pour la remettre avec précaution et là, surprise, mon anus résiste. Elle reprend un peu maladroitement le forage, sort, revient, deux trois aller-retour, l’anus résiste à nouveau. Elle fore, elle pousse, relâche, pousse plus fort et... sa main me pénètre ! Elle bouge, me baise comme avant puis ressort et replonge à l’identique. Enfin, elle murmure :
— Tu es parfaitement ouvert à présent, je te fiste alternativement de droite et de gauche, ton cul est devenu un vrai punching-ball !

Je reste bouche bée ! Son jeu dure un moment, puis ma bite s’affole. Elle commence à tressauter, je vais me vider à nouveau sur les draps. Elle se rend compte que je vais jouir dans ma main, elle me lâche et me bascule sur le dos. Ses mains pleines de mouille me prennent tronc et fruits, me branle rapidement et en bonne bouffeuse de bites, m’avale la queue, deux trois aller-retour avant d’être arrosée de sperme.
Ma jouissance est violente, mon râle probablement éveille à nouveau l’attention de nos voisins. Elle me masse et me presse les couilles pour récolter tout le jus et me branle le tronc pour s’assurer de la dernière goutte de sperme, elle me tète encore un peu et me lâche.
Je m’allonge à son côté, l’embrasse à pleine bouche et elle me déverse une bonne partie de ma jouissance. Nous restons ainsi collés, le silence est total sauf qu’on entend des murmures dans la chambre voisine. Nous sommes repus, fatigués, Eve se tourne, se met contre moi. J’ai une main sur sa féminité, une autre sur sa masculinité, j’ai ses fesses contre mon ventre, son cul plein de sperme continue de se vider lentement, nous nous endormons emboîtés en cuiller.
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