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Rencontres du 3ème sexe,

Chapitre 5

au féminin - 2

Erotique
Ma tante après avoir fait l’amour avec Eve, née garçon et devenue fille, lui demande :
— Ma chérie, veux-tu me parler de toi, de ta transformation ? Tu es tellement femme à présent...
Eve dans les bras de Jade lui sourit :
— Comment je suis devenue femme ? C’est une longue histoire :
D’abord mes parents voulaient une fille, enfant ils m’habillaient en fille, rien de choquant avec mon physique fluet, ma coiffure à la Jeanne d’Arc et mes jeux. Dès mon plus jeune âge, nous fréquentions les plages naturistes ainsi je voyais bien que mon corps de garçon ne se développait pas normalement. A mon adolescence je faisais un vrai complexe avec mon sexe pas plus gros qu’un doigt, mon "robinet" restait définitivement petit. Pourtant tous disaient que j’avais un corps ravissant, je plaisais beaucoup aux hommes avec mes belles petites fesses et mon "zizi". Eux m’impressionnaient  avec leur sexe que je trouvais plus intéressants que les abricots fendus des filles. Certains étaient très caressants et attentionnés et naturellement ce sont eux qui m’ont fait découvrir ma sexualité. A 18 ans, mon corps était svelte presque imberbe, mon sexe était un appendice, durant les vacances un admirateur de plus de 50 ans me dépucela, j’en ai gardé un mauvais souvenir. Après  j’ai eu plusieurs aventures masculines, jusqu’à rencontrer Jack lors d’une exposition de peintures érotiques de Paul-Émile Bécat. Devant une représentation mythologique d’un homme découvrant un jeune berger endormi et lui caressant le pénis, il vint près de moi et me demanda ce que je pensais de l’œuvre, lui expliquant mon intérêt il me prit par les épaules et nous avons continué la visite ensemble. Il me parlais du peintre et d’autres peintures du même genre, il attirait mon attention sur certaines scènes de groupe. A la sortie il m’invita à prendre un verre. Nous nous sommes revus et avons sympathisé. Il avait un peu plus de 40 ans, marié, riche industriel, nous découvrions qu’outre la peinture nous aimions le cinéma. Un jour d’hiver nous allâmes voir : Talons aiguilles d’Almodovar.Là, dans l’obscurité, notre amitié prit une nouvelle forme, lui assez entreprenant, moi assez disponible, à la fin du film, nous nous embrassions sur la bouche, nos mains connaissaient l’intimité de l’autre. Après un verre pris ensemble, nous allâmes dans ma chambre, il me fît merveilleusement l’amour et nous sommes devenus naturellement amants. On se retrouvait plusieurs fois par semaine dans ma chambre ou chez lui, puis un peu partout en extérieur. J’aimais comme il s’imposait, comme il m’obligeait sous une porte cochère, dans un cinéma. Nous avons vécu ainsi presque un an.J’avais 19 ans lorsqu’un jour, chez lui, sa femme Josiane nous surprit en train de faire l’amour, de colère elle nous fouetta d’un martinet. A ce moment je chevauchais Jack et lui me maintenait fermement de ses mains tout en continuant de me forniquer alors que les coups pleuvaient de plus en plus fort sur mon dos et mes fesses. Pour la première fois je ressentis une sensation étrange, le mélange de douleur, d’excitation et de jouissance. Au moment de partir Josiane me prit par l’oreille et me donna une grande gifle en m’ordonnant de revenir la semaine suivante.
Malgré mes réticences Jack me ramena chez lui et me fit l’amour devant sa femme qui de nouveau me fouetta. Cette double relation candauliste, masochiste se renouvela plusieurs fois. Plus tard j’appris que notre première rencontre fut organisée.A la demande de Jack j’entrais au service de Josiane pour lui rendre quelques services ménagers ou l’accompagner lors de ses achats comme portefaix ou ses emplettes comme confident et complice. Ainsi une certaine intimité se développait entre elle et moi. Par ailleurs l’aisance matérielle qu’elle offrait, me facilitait ma vie d’étudiant. Progressivement  je menais une double vie, étudiant à l’université et demoiselle de compagnie pour le couple, elle me voulait son amie, et lui son amante !Mes 20 ans marquèrent un changement important de ma personnalité. Josiane me fit changer de garde-robe, m’apprit à me maquiller, à marcher en escarpins, à cacher ma masculinité en modifiant des slips brésiliens, ainsi  mon apparence évolua. Elle m’inscrivit au club de gym qu’elle fréquentait pour affiner ma silhouette, affermir mes fessiers, et acquérir un nouveau comportement et à son institut de beauté pour mon épilation et des soins de beauté. Je vivais dans un milieu féminin, je devenais femme !.  Je prenais l’habitude de porter des bas, des porte-jarretelles et des slips qui me féminisaient en plaquant mon sexe contre mon périnée. A l’université je m’habillais en garçon, avec elle je m’habillais en femme. Elle m’entraînait dans des situations de plus en plus licencieuses comme dame de compagnie… Je plaisais beaucoup à ses amis ou amies et progressivement je m’habituais à être partagée.Un jour, un de ses amants regretta que je n’eusse pas de seins, un autre que mes fesses ne fussent pas assez ouvertes. Alors Josiane me fit porter des plugs et consulta un médecin pour mes seins qui lui proposa de me donner des hormones, de me faire des massages et des aspirations sous jets d’eau froide …Ajouter à ces traitements des exercices physiques, au bout d’un an je commençais à avoir des petits cônes sur ma poitrine qui avec certains soutien-gorges me faisaient de jolis petits seins. Quant aux tétons ils grossissaient et s’allongeaient sous les mains expertes de Josiane et par le port régulier de pinces sous mes habits.  Enfin mon anus s’assouplissait  et s’habituait à toute pénétration.J’étais femme ! avec des robes soulignant ma féminité, sauf en faculté où jeans machos et pulls amples cachaient mes formes.
Josiane avait transformé mon physique mais elle voulait transformer aussi mon mental. Avec son mari, elle me voulait "Femme bisexuelle", en corps et en esprit, juste avec mon petit appendice comme signe distinctif. Nos relations devenaient celles de lesbienne et avec son mari celles de courtisane. Elle m’apprenait à embrasser, à caresser, à doigter, elle faisait de mon cul une vagin, lui m’apprenait à sucer, à branler, à masser, il faisait de mon cul une chatte. Ensemble ils m’ouvraient aux doubles pénétrations et au fisting … Je devais les satisfaire en pensée et en comportement, sinon ils me punissaient, m’attachaient, m’écartelaient, me suspendaient, me fessaient de 100 manières... Sous leurs coups mon goût pour le masochisme se développait.A 21 ans, sortie de l’université, je quittais ma chambre d’étudiante et m’installais chez eux pour former un ménage à trois. Le sexe était au centre de la vie familiale, je devenais leur amie,  leur soumise. J’étais leur femme avec un "quelque chose en plus", je partageais leur lit, le matin ils me trayaient une ou deux fois, lui était autant assoiffé de mon lait qu’elle. Parfois en cours de journée, pour  me maintenir en courtisane, à nouveau on me trayait. Les soirées d’orgie étaient fréquentes à la maison j’étais servante et participante, ils me prêtaient à leurs amis chez qui je séjournais  parfois jusqu’à une semaine comme servante ou esclave sexuelle, j’ai connu tous les vices et sévices possibles.J’ai partagé leur vie pendant plus de trois ans, malgré tout les habitudes se sont installées et l’ennuie avec. Nous nous sommes séparés et je me suis installée chez des amis, j’ai continué à faire la fête, à rencontrer de nouvelles personnes, en étant définitivement femme avec ce petit appendice.
Pendant que Eve nous racontait son histoire, les deux femmes étaient restées ensemble sur le lit à se cajoler et moi sur le canapé en spectateur.
— Aujourd’hui, mes vies privée et professionnelle sont à l’unisson, je suis femme pour tous et peu savent que je suis transgenre, j’aime mon petit pénis et ne le perdrais pas donc pas d’opération …. depuis un an je suis avec Adam et nous vivons pleinement notre liberté, je suis une Femme bisexuelle.— Ton histoire est extraordinaire Eve, et je ne peux aujourd’hui que féliciter Josiane, OUI tu es Femme avec un « petit quelque chose en plus »!— Oui, c’est vrai de corps et d’esprit, seul mon appendice me rappelle mon état de naissance....Hum ! Dis-moi ton gode-ceinture est impressionnant, un beau black !— Tu veux qu’on joue ensemble ?— Oui ! Tu dis que je suis femme alors prouve-le moi !!!
Eve allongée sur le dos cuisses ouvertes, Jade équipée se place entre ses jambes. Eve se met sur le flanc tournée vers moi, lève et tient haut une jambe pour ouvrir au maximum les cuisses et offrir son petit trou, Jade y colle la bouche. Commence une mélodie de gémissements à deux voix. Les deux s’accordent, sont en symbiose, la jambe et le bassin d’Eve battent la mesure des coups de langue.Jade se redresse à califourchon sur la jambe allongée sur le lit, d’une main elle relève la jambe à plus de 90°,  de l’autre pointe le gode entre les fesses. Eve de ses deux mains expose son petit trou, son visage se crispe au fur et à mesure de la progression du monstre dans son fondement. C’est un spectacle sans parole auquel j’assiste, on entend seulement les respirations et les gémissements de souffrance, de plaisir. Les deux bassins se rapprochent, le pubis de Jade progresse puis touche les fesses de sa compagne :
— Je suis en toi ma Chérie— Qu’il est long et gros, doucement, laisse-moi m’ouvrir …. Oui comme-ça, Mmm c’est bon ! Oui, viens maintenant, fais-moi l’amour !
Jade commence à la besogner avec précaution tout en la caressant avec tendresse de partout. Eve une jambe en l’air, couchée sur le côté et Jade à califourchon sur la cuisse allongée, m’exhibent leur accouplement et l’appendice féminin endormi qui se ballotte au rythme des va-et-vient. Eve se le caresse, le touche, décalotte le gland pas plus gros que mon pouce, se branle doucement et demande :
— Jade caresse-moi le clito
Elle rythme le massage de la tige encore mole à sa fornication. Les doigts de fée de ma tante redresse la fleur. Tout est au même tempo à présent, va-et-vient, branlette, respiration et gémissements. Tout s’amplifie et s’accélère, les visages traduisent l’attention de l’une et la tension de l’autre. Les coups de reins lents et puissants, de toute la longueur du gode se prolongent dans le ventre et sur le pénis de Eve qui les yeux fermés la bouche ouverte en recherche d’air jouit :
— OUIIIIIIIIIIIIIII !!!
L’appendice est devenu une belle tige raide qui se contracte. La main s’active, la jouissance est double, anale et clitoridienne, le bouton rouge vif crache un petit jet de sperme qui s’étale sur le lit. Après un moment de repos, Jade se dégage et se libère de la ceinture pour lécher sur le drap le jus répandu. A quatre pattes la position est trop tentante pour Eve qui en une minute s’équipe de la ceinture, fait une superbe feuille de rose au beau cul offert avant de positionner la tête du gode. La surprise est grande mais l’acceptation est totale, Jade creuse les reins et s’offre à la pénétration :
— OH ! Oui, viens !
Les mains à la taille de ma tante, elle pénètre avec précaution le cul et commence à labourer le ventre. Jade surprise ne réagit pas quand Eve, très femelle, s’empare de ses seins et les malaxe avec rage. Jade connais le gode, son cul l’a pratiqué plusieurs fois mais avec une telle intensité ?   probablement jamais !.La furie s’empare des deux corps, il n’y a pas de limite dans leur action. La machine est lancée à toute vapeur, le piston va d’avant en arrière dans le cylindre moteur , les "Han ! Han !" de l’une se confondent aux "Oui ! Oui!" de l’autre, la baise des deux sauvages est impressionnante en vitesse et en intensité les respirations sont celles d’athlètes en course…. Jusqu’au moment où la fatigue physique l’emporte, la machine ralentit, Jade s’écroule sur le ventre. Eve se décolle du postérieur, le gode noir sort des entrailles, luisant de mouille, des glaires jaunâtres coulent, elle se défait du sex-toy, s’écroule contre son amante, elles s’embrassent, ferment les yeux, s’endorment.Je ne suis plus là, je n’ai jamais été là, sauf qu’à mes pieds s’étale une grande tâche de sperme, je n’ai cessé de me caresser, de me lubrifier le dard de salive, de me branler durant tout le spectacle offert, j’ai joui deux fois de suite,   je quitte la chambre sans bruit et vais me reposer sur la terrasse devant la baie vitrée de la chambre.
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