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Rencontres du 3ème sexe,

Chapitre 7

Métamorphose

Travesti / Trans
Ma relation avec Eve prend une nouvelle forme après avoir accepté d’être à la fois son frère et sœur de cœur. Une double personnalité qui correspond à mon ressenti sexuel, tantôt homme, tantôt femme.Face à cette situation, ma tante suggère de me féminiser à l’occasion pour sortir entre filles. L’idée m’amuse et nous enthousiasme. Nous convenons de me dissimuler en femme pour la soirée de mes 19 ans et Eve propose de m’aider dans cette préparation. Aujourd’hui nous allons toutes les deux à Montpellier pour me métamorphoser, il nous reste 2 jours pour réussir l’impensable.Pour l’occasion Eve s’est habillée style jeune femme décontractée, cheveux au vent, lunettes de soleil, en blouse jaune transparente nouée à la taille très sexy avec un soutif coque jaune et en jupe orangée évasée arrivant mi-cuisses. Je suis moins élégant en jean et tee-shirt blanc. Dans le bus, elle m’explique qu’elle a déjà pris rendez-vous avec Mado. Pendant ce temps elle ira acheter des prothèses mammaires et une perruque. Ensemble nous convenons qu’un bonnet A pour les prothèses serait le mieux et que pour la perruque il serait préférable de rester dans ma couleur naturelle, châtain clair, avec une longueur jusqu’aux épaules. Ensuite on s’occupera du vestimentaire et elle m’assure que ce soir je serai méconnaissable et femme.
— Comment veux-tu qu’on t’appelle une fois devenue femme ? Joanne ? Jaa ? Jeanne ?? Non... Jane ! OUI Jane à l’anglaise « Djène »!!!!, qu’en dis-tu ?— Ah OUI ! Jane à anglaise, c’est top ! Yesssss ! JANE !!! « Djène »
On arrive déjà en ville et immédiatement on va chez Mado :
— John ! Bonjour que fais-tu là ? C’est gentil de venir me voir, tu es en charmante compagnie, Bonjour mademoiselle !— Bonjour madame ! Je suis Eve et j’ai rendez-vous pour un gommage et un maquillage— Voyons-voir ? Oui en effet. — A vrai dire le rendez-vous c’est pour John !— Euh ?? Oui, c’est-à-dire ?— Samedi c’est son anniversaire et il est convenu qu’il soit en femme !— Ah !!! je comprends, mais d’ici samedi ?— Effectivement, ce qu’on voudrait c’est que vous prépariez la peau et fassiez aujourd’hui un essai de maquillage léger, nous repasserions samedi en début d’après-midi pour le maquillage du soir !— Ah ! c’est très bien ainsi.— Voyez en même temps si son épilation ne mérite pas une retouche ?— Oui, bien sûr.— Bon, je vous laisse tous les deux.— D’accord, nous en avons pour un peu plus d’une heure !— C’est parfait, à tout à l’heure et toi John soit bien sage (elle me quitte en me faisant un bisou du bout des lèvres)
— A nous deux mon chéri (elle marque son territoire en me faisant un autre bisou du bout des lèvres). On va d’abord commencer par retoucher ton rasage, puis je ferai le gommage pour bien nettoyer la peau, pendant que tu garderas le masque, je vérifierai ton épilation. Le plus simple est de passer dans le petit salon, si tu veux déshabille-toi, je vais chercher les crèmes.
Mon nouveau goût pour l’exhibition me facilite le déshabillage et je suis nu avant qu’elle ne revienne, j’ai du mal à garder mon calme et me présente avec une légère érection qui attire son regard dès son entrée dans le réduit.
— Mouais !... il fait déjà chaud de bon matin
Le geste accompagne la parole, elle ouvre deux boutons en haut et en bas de sa blouse dégageant ses seins retenus dans un soutien-gorge à balconnet et ses jambes jusqu’à mi-cuisses. L’effet sur ma verge est immédiat, elle se dresse comme un obélisque.
— Toi, c’est plus tard (elle me donne une tape sur le manche) maintenant c’est le visage de monsieur qui m’intéresse. S’il te plaît, mets-toi dans ce fauteuil de coiffeur.
Avec beaucoup de professionnalisme elle utilise coupe-choux et crème, peu sensible à ma main qui s’est glissée entre ses cuisses sans être trop entreprenante. Après un quart d’heure de soin mon visage couvert de crème :
— Tu es un coquin ! Samedi pour le maquillage tu viendras sans te raser, ça sera plus simple pour moi. Maintenant à moi de t’exciter et toi de subir, allonge-toi sur le lit que je vérifie ton épilation, mets-toi sur le ventre, jambes écartées
Elle me rend la monnaie de ma pièce et avec professionnalisme et attention elle scrute et me caresse tout le corps, avec une pince à épiler, tire un poil par-ci, par-là, elle s’attarde peut-être plus que nécessaire sur la raie des fesses et sa langue s’assure de ma peau de bébé. Elle me fait mettre sur le dos et son jeu recommence de plus belle, elle prend un plaisir sadique à caresser, masser certaines zones sensibles, à tirer un poil ici ou là. Ma verge est outrageusement dressée.
— John, ce n’est pas sain d’accumuler de telle tension, si tu permets je vais te soulager...
Elle ne me laisse pas répondre et me branle tout en me faisant une fellation très professionnelle. En même temps ma main passe entre ses cuisses. Cinq minutes après les tensions sont tombées elle s’est abreuvée à ma source et m’a inondée la main de cyprine. Avec un bisou du bout des lèvres elle me dit :
— Suan (voir Ma tante, mon oncle et... tous les autres, chap 8) m’avait dit que tu étais une vraie source de jouvence !
Elle me demande de revenir sur le fauteuil pour terminer le gommage et réaliser le maquillage. Elle porte une attention particulière aux cils et sourcils qu’elle ajuste en épilant deux, trois cils disgracieux. Elle étale un fond de teint léger qui dissimule toute masculinité, au crayon elle dessine le contour des lèvres, souligne les sourcils, puis elle applique fards, mascara, eye-liner et gloss... Mon visage est transformé, féminin et lumineux. Je termine de m’habiller quand Eve arrive :
— Bonjour... Oh ! Mado tu es une magicienne, c’est superbe ce que tu as fait !— C’est vrai ça te plaît ? C’est un maquillage léger de jour, samedi ça sera plus soutenu— J’ai apporté une perruque— Fais voir, elle est magnifique dans sa couleur naturelle c’est parfait, si tu veux je la pose ?— Avec plaisir.
Vraiment le résultat est surprenant, de visage je suis méconnaissable, un dernier baiser, une dernière caresse et nous quittons le salon.
— Bien maintenant habillage ! Commençons par les sous-vêtements, je connais un magasin pas loin d’ici chez Aude où on va trouver ce dont tu as besoin, les veux-tu en blanc, en noir, en couleur ?— Je crois en blanc, qu’en penses-tu ?— Oui ça dépend de ta robe !— OK en blanc alors !
Bras dessus bras dessous, en rigolant nous arrivons chez Aude :
— Bonjour ! Aude est-elle là ?— Oui, au fond du magasin, madame !
Allant vers le fond on trouve une jolie brune.
— EVE !... bonjour quel plaisir de te voir. Comment vas-tu ?
Aude embrasse Eve sur les lèvres, certainement cliente habituelle du magasin :
— Bonjour Aude ! je viens pour mon amie, Jane— Ouiiii ! Bonjour Jane, tu permets que je t’embrasse (et sans attendre ma réponse, en me prenant par l’épaule elle me fait un bisou sur les lèvres). Que cherches-tu Jane ? — Eve répond :Un trois pièces en blanc !— D’accord, soutien-gorge, serre-taille, slip, en blanc... Fermons la porte, nous serons plus tranquilles et Jane si tu veux bien te déshabiller !!!!
Un peu moins à l’aise qu’avec Mado, je me déshabille en gardant mon boxer.
— Ooooh ! Jane a un beau clito à voir ainsi, voyons déjà pour le soutien-gorge et le serre taille— Oui Aude en bonnet A, j’ai amené de quoi garnir— Que c’est agréable avec toi, tu penses à tout, je viens de rentrer un combiné brassière et serre-taille en dentelle très classe qui devrait convenir à mademoiselle. Pour vous mesdames la brassière est le soutien-gorge que je recommande.
Elle revient nous voir avec différents modèles. Après essayage on adopte une brassière tout en dentelle qui englobe parfaitement les prothèses tout en permettant un décolleté vertigineux et le serre-taille assorti qui m’affine en arrondissant les hanches.
— Je crois mesdames que vous faite un excellent choix. Le serre-taille te va à ravir Jane, les jarretelles sont mobiles, je pense qu’en été tu n’en as pas besoin par contre en hiver le port de bas est conseillé. Je ne l’ai pas trop serré pour commencer et t’ y habituer. Passons au slip. Je suppose un slip brésilien ? modifié par nos soins pour notre clientèle de votre genre (Eve confirme la proposition de la tête). Jane, veux-tu me faire voir ton trésor ?
Je n’ai d’autre choix que d’enlever mon boxer et de présenter mon soit-disant clito au garde-à-vous !
— OUI Jane ! Magnifique, c’est bien ce que je remarquais, la nature t’a gâtée, mais je sais cacher à tous cette merveille pour qu’elle les surprenne encore plus en se découvrant.
Elle me prend la queue en main, l’astique deux-trois fois et l’embrasse du bout des lèvres :
— Je préfère que le clito soit bien développé pour choisir le slip. Là pas de fantaisie mais du confortable. Bien sûr entre vous deux pas d’échange possible ! Question hygiène mets-toi cette capote pour l’essayage.
Elle revient avec deux slips semblables, ayant la même coupe,
— Jane ! essaye d’abord cette poche (elle me présente le slip comme pour mettre un préservatif). Oui c’est ce que je pensais il te faut un XL, essaye celui-là, il doit être bien, (j’y glisse ma queue et je dirai qu’il me va comme un gant). Oui c’est parfait ainsi, tu n’as plus qu’à le passer !
J’enfile le slip brésilien en mettant ma verge dans la poche et le remonte à l’arrière bien au-dessus des fesses et là... miracle ! Je suis femme ! La découpe sur le ventre jusqu’à la base du pénis laisse le pubis totalement découvert et un peu vallonné par la racine des testicules. De face on voit un liseré blanc qui remonte dans l’aine jusqu’à la taille. Un renflement se note à l’entrejambe pour la poche plaquant le sexe au périnée ; il se dissimule facilement en serrant les cuisses. Grâce à dieu mes deux fruits ne sont pas encore à pleine maturité. Aude me demande mon avis et me confirme que seulement assis, le sexe en érection peut créer une petite gêne très supportable, Eve satisfaite du résultat demande trois slips.
— Jane tu gardes tout sur toi ?— Oui ! Je pense,
Et Eve confirme de la tête, je vais pour me rhabiller quand Aude propose:
— Je pense que vous allez faire un peu de lèche-vitrine, mais avec ce jean ce n’est pas très sexy !— C’est vrai Aude à raison, Jane c’est pas top !
Je ne sais que penser, c’est vrai ça fait macho et Aude d’ajouter :
— Je vous propose un petit short très féminin !— Oh ! oui, qu’en dis-tu Jane ? Après on ira acheter une robe pour ton anniversaire !
Sans plus tarder Aude part chercher un minishort en jean, il me va sur mesure, il moule mon ventre plat et mes fesses en bien les séparant, quant à mon tee-shirt blanc ma poitrine y est à l’étroit et d’autant plus provocante avec ses deux tétons légèrement proéminents. Ainsi on paie et je sors en femme sexy sans être vulgaire. Eve est très contente du résultat, elle m’embrasse du bout des lèvres :
— Maintenant manucure, parfumeur et chaussures.
Le travail de la manucure est assez long, je n’avais jamais apporté d’attention particulière à mes ongles mais le résultat est remarquable, l’ongle bien dégagé paraît beaucoup plus long, le vernis rose-beige est en harmonie avec ma chevelure châtain et mon rouge à lèvres. Chez le parfumeur après bien des essais on s’accorde sur une eau de toilette pour homme très sensuelle voire sexuelle d’après Eve : « Terre d’Hector » avec une fragrance boisée et minérale et comme elle dit j’en habille le cou, les aisselles, le torse et le ventre sous le tee-shirt.
— Tu sais Jane, j’adore le parfum, même nue il ne te quitte jamais, il fait partie de ta personnalité, il marque ton passage, ton domaine, signe tes habits. Bien sûr tu peux changer de parfum comme d’habit mais quand tu trouves TON parfum, normalement c’est pour la vie, on se rappelle de toi par ton parfum comme par ton regard ou ta voix peut-être aussi par ta sexualité !
Quant aux chaussures Eve m’oriente sur une chaussure à lanière avec un talon de quatre-cinq centimètres pour être confortable et féminine, le talon cambre et affine la jambe mais dans le jardin les talons aiguilles sont impraticables. La métamorphose est accomplie, voyons la réaction des gens...
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