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Rencontres du 3ème sexe,

Chapitre 8

en ville.

Travesti / Trans
Depuis ce matin avec Eve, je vais d’esthéticienne en magasin de lingerie, de manucure en parfumeur pour me métamorphoser en Jane. Ma féminisation accomplie toutes les deux nous déambulons à présent dans le centre de Montpellier en attendant l’heure de déjeuner.Dans les ruelles nos rires et le bruit de mes talons résonnent. Eve me donne des conseils quant à ma gestuelle, et ma démarche en alignant les pieds l’un devant l’autre pour chalouper des fesses. Elle me fait faire également des exercices pour poser ma voix de manière naturelle et féminine. Après une demi-heure de balade nous décidons de valider mon attitude en allant place de la Comédie, la place principale de la ville bondée de monde à cette heure. C’est le grand bain, le moment de vérité. Bras dessus, bras dessous, collées l’une à l’autre,  nous rions, parlons fort, notre attitude sexy et libérée attire l’attention. Nous nous amusons à allumer les mecs, elle en blouse transparente et jupette de tennis, moi en tee-shirt et mini short étriqués. Notre succès est probant, pour éloigner ou exciter nos admirateurs nous nous embrassons comme deux amoureuses ou nous caressons les fesses. Résultats, on nous siffle ou on nous traite de sales pétasses ! Ma féminisation est validée.Après un tour dans le centre commercial du Polygone, il est temps de déjeuner. Les terrasses se remplissent et pour continuer notre petit jeu de salopes Eve décide de nous installer en première ligne d’un restaurant de la place. Elle est très à l’aise dans son rôle d’allumeuse, sa jupette jaune lui découvre largement les cuisses. Quant à moi, le short au ras de la touffe comme on dit, m’expose à qui veut me voir. La mise en avant de nos jambes féminines et joliment galbées attire le regard des passants. Derrière ses lunettes de soleil elle observe les spectateurs et ne manque pas une occasion pour décroiser les jambes et changer de position comme si de rien n’était, en short je n’ai pas besoin de jouer pour attirer les regards d’autant moins avec mon tee-shirt trop ajusté sur mes formes féminines.
Par ailleurs nous rions beaucoup du gringue que nous fait le serveur. Nous bavardons beaucoup, rions encore plus. Eve se soucie un peu de ma nouvelle tenue :
— Comment te sens-tu en femme, assise sur tes attributs ?— A vrai dire quand je ne bande pas ça ne me gêne pas vraiment, par contre si ça se réveille comme maintenant, la gêne est réelle et m’oblige à écarter les cuisses de manière indécente pour une femme !— Et à attirer le regard du mâle, petite coquine !
Effectivement c’est excitant. A la fin du repas, Eve reprend les directives :  
— Bon ma chérie, encore un conseil, une femme attentive vérifie son rouge à lèvre à la fin du repas.
Pour la première fois je me lance dans cet exercice et fait une retouche...
— Ben c’est parfait ma chérie, une vraie BCBG !... OK, ce n’est pas le tout, on va faire maintenant du lèche-vitrine, occupation favorite des femmes. On va te chercher une robe pour ta soirée, tu as une idée de ce qui te plairait ?— Oui je pense à une robe blanche et boutonnée avec un joli décolleté.— Oui on peut s’amuser avec le décolleté ; tu as vu tes deux prothèses s’harmonisent parfaitement à ta poitrine et à ton bronzage. Elles forment un superbe vallonnement sur le sternum et avec la brassière le rendu est parfait. Le toucher est exceptionnel (elle accompagne le geste à la parole)  on a vraiment la souplesse du sein.  Sous ton tee-shirt, ta poitrine est super bandante, les tétons qui pointent, sont terriblement excitants !
On cherche, on fouille, on farfouille, puis nous arrivons face à une boutique retirée dans une petite rue. Un modèle en vitrine attire notre regard, nous entrons, une femme d’une quarantaine d’années nous accueille :
— Bonjour mesdames,  que puis-je faire pour vous ?
— Eve très à l’aise : Bonjour, nous voudrions voir pour mon amie la robe blanche présentée dans la vitrine— Oui bien sûr, une jolie petite robe de cocktail, la coupe est près du corps et le décolleté met en valeur la poitrine. Quelle taille pour mademoiselle ?... un 42 je pense— Moi découvrant ma taille de femme, de répondre: Oui, c’est çà !— Si vous voulez, passez dans la cabine d’essayage j’arrive de suite.
Toutes les deux nous entrons et le rideau de la cabine entrouvert, je quitte short et tee-shirt, mon parfum embaume l’espace. La vendeuse revient avec l’article et tout en demandant la permission, ouvre le rideau de la cabine. Elle me voit en sous-vêtements, son œil exercé découvre mon travestissement et s’en amuse :
— HUMMM ! ce parfum est d’une telle sensualité, il vous habille à merveille ! Si vous permettez, mademoiselle puis-je vous aider ?— Oui, avec plaisir
Au lieu de me passer la robe, elle se place derrière moi face au miroir. Mon absence de réaction est un encouragement, je sens sa poitrine appuyée à mon dos, elle me frôle les épaules, me caresse les bras, la sensualité de son toucher me provoque la chair de poule. Elle le constate et s’enhardit, je ferme les yeux, ma tête part en arrière, je m’abandonne, elle descend sur les hanches, ses mains posées sur mon ventre et mon pubis me plaquent contre son corps. Je sens sa respiration dans mon cou. Elle murmure d’une voix chaude et suave :
— Vous avez de superbes courbes ! Vous êtes très belle ainsi, j’adore votre genre!
Effectivement elle adore mon genre. Elle se colle à mon dos, je sens la souplesse de ses seins, la vigueur de sa verge contre mes fesses. Sa bouche me dévore le cou. Eve entre en scène sur notre côté en appuyant une main sur celles qui me caressent le pubis dénudé, et probablement en posant l’autre sur la fesse de la vendeuse qui nous demande :
— Avez-vous un peu de temps pour cet essayage ? — Oui, nous ne sommes pas pressées, répond Eve.— Attendez une minute, en début d’après-midi il n’y a pas beaucoup de monde mais je préfère fermer la boutique.
Sans attendre elle ferme le magasin et revient vers nous. Eve va à sa rencontre et l’embrasse au milieu du magasin à pleine bouche. Elle attaque fort, avec dextérité et l’aide de la vendeuse elle défait la robe qui tombe à terre et dévoile une superbe femme de notre genre ! Sa poitrine est offerte dans un soutien-gorge demi-bonnets en dentelle noire transparente qui laisse apparaître les tétons gros comme la pulpe de mon auriculaire et son pénis de belle taille est à peine caché dans un string assorti. Naturellement pas de poil disgracieux sur cette beauté.
— Moi c’est Josy— Moi Eve et elle Jane (Djène)
Les présentations sont faites, les deux se mettent à l’abri des regards extérieurs en me rejoignant au fond de la boutique. Le baiser se prolonge, la vendeuse à demi-nue se fait maltraiter les tétons, alors que en un coup de main elle dénoue le chemisier jaune de Eve et l’en débarrasse et de l’autre découvre sous la jupe la vraie nature de Eve :
— Coquine, tu caches vraiment bien ton jeu ! J’avais un doute.— Oui c’est un joli petit service trois pièces
Eve ravie de la supercherie, quitte sa jupette et son slip brésilien de couleur assortie. Alors qu’elle prend en main le phallus sorti du string, Josy lui dégrafe le soutif jaune et libère sa jolie petite poitrine d’adolescente. Leur aparté ne dure pas longtemps avant qu’elles ne me rejoignent à la cabine.La vendeuse s’en prend immédiatement à mon bas ventre et en connaisseuse me dégage le sexe qui jaillit énorme de sa cachette, en un geste je me débarrasse de mon slip qui tombe au sol. A entendre son sifflement d’admiration elle semble impressionnée par le membre qu’elle commence à masturber. Je ne suis plus maître de rien devant cette furie, sa voix change de tonalité et m’ordonne :
— Couche-toi !
En une fraction de seconde, je suis allongé au sol mon ventre dénudé. Elle quitte son string et s’empale d’un coup sur mon tronc en me chevauchant. Immédiatement, appuyée sur mes seins elle s’active sur mon ventre. Eve m’enjambe et debout au dessus de moi se place face à elle en lui offrant son clito à peine réveillé. Josy la prend par fesses et la plaque à sa bouche, elle lui avale tout le morceau avec les noisettes, et lui taille une belle pipe baveuse. Un grand bruit de succion accompagne son petit mouvement de tête. Une sacrée suceuse la Josy!Tout en suçant elle continue sa danse sur mon ventre, je la prends par les hanches et accentue son va-et-vient de mon bassin. Elle lâche Eve qui maintenant présente une superbe érection et vient s’installer à califourchon sur mes jambes derrière Josy. Le ballet est parfaitement orchestré, Josy ralentit sa fornication, se couche sur moi, creuse les reins, relève les fesses et s’offre. Eve colle son pénis au mien qui lui sert de tuteur. Elle se glisse dans le fourreau qui visiblement est habitué aux doubles pénétrations. Le souffle lent et profond de Eve, la retenue de la respiration de Josy, suivis du Pfiou de soulagement de l’une et du Ouiiii de satisfaction de l’autre, sonorisent l’action.Eve s’accroche à ses hanches et l’encule violemment. Josy se laisse faire avant de reprendre doucement son va-et-vient sur mon phallus sans perdre la colocataire. Elle creuse les reins pour bien s’offrir à la fougue de Eve et se redresse dans la position du cobra pour bien m’offrir ses seins dans son soutien-gorge seins-nus, je les palpe dans leurs coupes et triture les tétons qui pointent. Elle gémit de douleur, son visage exprime la souffrance mais aussi le désir d’aller plus loin que ce soit plus intense, alors je les tire encore plus et les tord en même temps. Les seins s’allongent, les gémissements deviennent hurlements. Elle place sous ma tête un coussin et se penche vers moi , je la retiens par les côtes, ses seins sont sur ma bouche, mes lèvres la tète, ma  langue rafraîchit la brûlure des doigts. Tous les trois copulons encore un moment. Nos gémissements de jouissance emplissent la boutique. Eve est la première à décharger, je sens son jus chaud me couvrir et emplir le rectum, elle se retire du fondement et permet à Josy de partir en arrière en s’appuyant sur mes genoux.
Eve debout sur le côté lui présente son service trois pièces maculé de jouissance pour que Josy fasse la vaisselle. Immobile sur mon ventre elle s’applique avec gourmandise à la tâche ménagère. A nouveau la bouche suce bruyamment accompagnée de râles de satisfaction.  Le nettoyage opéré, elle usine encore son fion par deux-trois aller-retours sur toute la longueur de mon mandrin. Josy maîtresse du jeu, change de rôle. Elle se désarçonne de mon ventre pour se placer entre mes cuisses. Elle me prend par les jambes, son sexe est impressionnant sombre, épais et long, les veines le marbre merveilleusement, son gland rouge carmin est en forme de fraise. Elle n’hésite pas, deux doigts couverts de salive me doigtent et tout de suite elle pointe sa fraise sur l’anus. D’un coup brutal qui me soulève, elle me pénètre de toute sa longueur. Je la reçois, juste d’un bref « Hun », le visage crispé, les yeux fermés et la bouche grande ouverte comme pour expirer l’air comprimé dans mon ventre. Deux petits coups de boutoir tout au fond de moi pour bien se loger, un moment tranquille un soupir d’aise avant qu’elle ne commence à me besogner. Mes jambes se balancent de chaque côté de ses hanches au rythme de ses coups de reinsMon sexe libéré brillant de jouissance anale et de filets de sperme se dresse long et dur entre nos ventres. Il est gros, bien raide avec deux jolis fruits mouillés du jus de Josy. Je le prends en main et l’astique, le prépuce est très souple et coulisse bien découvrant et recouvrant successivement un gland renflé comme un champignon, brillant et rouge carmin, mes couilles battent contre son ventre.Elle m’encule... et je me branle... Qui des deux va exploser la première ?  En fin de compte je ne peux me retenir, je ne contrôle plus ma main qui accélère le mouvement, puis se bloque d’un coup sur le pubis, le prépuce tiré au  maximum. Ma verge se contracte de manière répétitive. Je jouis, j’éjacule, de grands jets de sperme me couvrent le ventre. je me vide, je ralentis puis reprends ma branlette pour faire le rinçage des conduites et me libérer des dernières gouttes de jute. Pendant ce temps Josy se fait sa place dans mon ventre, son pistonnage est puissant, il s’accélère, le choc contre mes fesses est brutal, tout mon corps est secoué par ses coups de reins. Mon antre est totalement façonné par le socle qui le laboure. Mon bassin relevé elle me baise à la vertical, j’aime sa force, son ardeur, sa brutalité, j’aime la rondeur de ses seins dénudés dans son soutien-gorge qui se ballottent au-dessus de mon visage. Le Clap ! Clap ! de nos corps, le Han ! Han ! de sa respiration, le chuintement de mon anus rythment sa danse  animale. Je suis une femelle assouvie baisée par un mâle en rut. Mais la machine s’emballe, en descente elle ne retient plus les wagons qui la poussent, elle perd le contrôle, elle explose, le piston s’immobilise au fond du bloc moteur.
A mon habitude dès que Josy m’a pénétrée, mes muscles du ventre se sont contractés au rythme de ses va-et-vient, je sais combien ce massage est agréable. Immobile, je sens la verge se contracter une, deux fois, elle tressaute encore trois, quatre fois, elle m’arrose, elle se vide... je reprends doucement mon massage anal. Le mâle immobile me sourit, m’offre ses seins, comme au début de notre accouplement, il me donne la tété. Je suis friand de ses deux mamelons, il me les donne à sucer l’un après l’autre. Dans mon ventre sa chair perd de sa virilité et se confond avec la mienne. Elle se redresse, me quitte, nos corps se séparent, elle vient à califourchon en levrette sur ma bouche, la queue pendante et luisante de mouille, je la happe, prend le gland couvert de sperme, et le suce. Même après le coït le membre a belle allure. Je masse l’urètre et reçoit quelques dernières gouttes de nectar, je déguste, je lèche, je nettoie.Pendant que je fais une petite gâterie à Josy, elle suce le bourgeon qu’Eve lui présente à genoux à sa tête. Le temps passe et la vendeuse reprend son rôle :
— Mes chéries il va falloir que j’ouvre la boutique, j’ai passé un super moment avec vous. Toi Jane tu es une super Sissi. Tu es une femelle en chaleur et en plus bien membrée. Ta chatte est très souple et ton vagin une merveille, un magnifique sac à jute... Tu es couverte de sperme, j’ai juste des toilettes avec un lavabo à t’offrir, passe-y si tu veux ?
Je m’éclipse, dans les toilettes pas très pratiques mais je fais au mieux pour me laver les fesses dégoulinantes de jouissance et le ventre aspergé de mon éjaculation. Je constate que mon serre-taille est tout tâché. J’appelle Eve pour avoir son avis :
— Ouais, ce n’est pas grave, il faudra le laver, garde-le ainsi pour l’instant. Jane s’amusera vraisemblablement que tu l’aies baptisé si rapidement
Je me rhabille, mon sexe retrouve sa cachette étroite et mon short me redonne tout mon sex-appeal. Mon maquillage n’a pas trop souffert, juste un petit coup de rouge à lèvre et je suis comme à mon entrée dans le magasin il y a deux heures. Je reviens vers la cabine d’essayage, deux autres clientes sont dans le magasin. Je retrouve Josy très professionnelle, un sourire aux lèvres :
— Ça va mieux mademoiselle ? Voulez-vous essayer la robe ?
Elle me passe la robe, je vais pour la mettre sur mes habits quand  la vendeuse intervient :
— Puis-je vous aider mademoiselle ?— Oui, s’il vous plaît !
Elle entre en refermant le rideau :
— Ça me paraît bien, mais je préférais la voir sans tee-shirt !
Elle m’aide, de nouveau en soutien-gorge elle murmure en me faisant un bisou du bout des lèvres :
— Tu es magnifique Jane, reviens vite, j’ai plein d’amies qui seront heureuses de te rencontrer …
Sans perdre de temps je passe la robe et me présente à Eve qui me trouve ravissante :
— Elle est faite pour toi, tu peux même laisser un bouton ouvert en bas, tes jambes sont magnifiques et le décolleté te va très bien, ta poitrine est superbe.
L’affaire est conclue, Eve emporte la robe pour la payer, je remets mon short et tee-shirt. Nous quittons le magasin très naturellement, la vendeuse nous donne le carton avec la robe :
— Au revoir mesdames et merci, je vous laisse la carte de notre boutique.— Merci madame et à bientôt !
Josy nous ouvre la porte, en sortant elle me caresse le bras tout en faisant une moue de bisou et me murmure :
— Reviens vite ma chérie, j’adoooore ton parfum et ta sensualité !
 Nous quittons la vendeuse, contentes de notre achat et du moment passé !!! Encore une promenade avant de prendre le bus pour revenir chez ma tante et mon oncle.
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