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Rencontres naturistes inter âges

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Adia et Sophia bronzaient nues sur une plage de l’Atlantique à quelques dizaines de kilomètres de leur domicile. Agées toutes les deux de trente ans, collègues et amies, la première divorcée, la seconde célibataire, elles avaient découvert les plaisirs du naturisme sur une plage voisine en franchissant la barrière symbolique séparant les "textiles" des "nudistes". Elles avaient constaté, épatées, la liberté qui régnait chez les "sans maillot" dont la plupart auraient pu être leurs propres parents. Nadia avait proposé à Sophia de faire l’expérience et elle n’avait plus jamais foulé le sable de la plage voisine surpeuplée de braillards alors qu’ici, le calme régnait entre gens de bonne compagnie, indifférents à leurs disgrâces corporelles ou aux atteintes de l’âge. Elles avaient aussi goûté le plaisir ineffable de se baigner à poil et ne voyaient pas sans déplaisir quelques regards de quadragénaires s’attarder sur leur flatteuse anatomie, sans pour autant les importuner, bien que les hommes seuls furent ici nettement plus nombreux que les femmes seules, les couples représentant néanmoins la large majorité des plagistes.
Nadia, grande et mince, et Sophia, petite aux formes pleines, se trouvaient moins moches depuis qu’elles fréquentaient les naturistes. Et c’était déjà une victoire pour ces deux grandes blessées de la vie en couple, déçues par les hommes mais toujours, quoi qu’elles en disent, à la recherche du compagnon idéal. Leur libido était même stimulée par cet environnement nu et elles ressentaient de plus en plus le besoin de sexe. C’est pourquoi n’avaient-elles pas fait trop de manières certains petits matins, après une nuit en boite, pour entrer dans le lit de quelques jeunes mâles en rut qui, à défaut de satisfaire leur romantisme, assouvissaient plus ou moins (c’était selon) leurs besoins physiologiques tout en leur offrant un gîte pour la nuit, elles qui ne disposaient que d’une simple tente de camping sur un terrain surpeuplé.C’est donc dans ce contexte qu’un bel après-midi sur la plage, elles découvrirent une femme d’âge mûr s’installer seule à quelques mètres d’elle, sans parasol malgré sa peau blanche. Nadia la considéra avec attention. Cette femme, avec cette coiffure un peu démodée, courte et en hauteur, lui disait quelque chose. Mais oui, c’était bien elle...
— Je crois que c’est madame F, mon ancienne prof de français, souffla-t-elle à Sophia. On l’aimait bien car elle sortait totalement des codes des prof. Elle parlait cru et vrai. Elle détonnait. Cela dit, si on m’avait dit à l’époque qu’elle serait là, à poil, à côté de moi... Je pense qu’elle doit être à la retraite, elle doit bien avoir soixante ans.— Elle ne les fait pas, répartit Sophia. Son corps est pas mal conservé et elle n’a pas beaucoup de cheveux blancs. Tu as vu son pubis ? Il est drôlement fourni. Elle se fiche pas mal de se raser, pas comme nous...— Oui, au moins elle ne souffre pas... Bon, qu’est-ce que je fais ? Je vais la voir ?— Bien sûr. Ce sera amusant de voir sa réaction.Nadia s’avança avec précaution et se présenta :— Bonjour madame, excusez-moi de vous déranger, le lieu est un peu particulier, mais je suis Nadia D., votre ancienne élève, vous vous souvenez de moi ?La femme la scruta derrière ses lunettes noires et son visage austère, déjà marqué par l’âge, se détendit :— Ah oui bien sûr, Nadia, je vous reconnais, comment allez-vous ?— Très bien merci, je suis avec une amie (elle désigna Sophia) et on vient souvent ici. On ne vous avait encore jamais vue.— Je viens seulement de temps en temps, d’ailleurs vous voyez, je suis toute blanche, mais j’adore être nue. J’ai pris mon après-midi pour prendre quelques coups de soleil, je n’ai ni crème, ni parasol... Vous au moins, vous êtes caramel. Bravo. Mais au fait, que devenez-vous ?Nadia lui raconta sa vie post études sans entrer trop dans les détails car ce n’était pas toujours à son avantage. Madame F. ("appelez-moi Christiane", lui avait-elle dit) ne s’épancha pas trop non plus. Nadia savait qu’elle était célibataire et avait consacré toute sa vie à son enseignement. Elles évoquèrent toutes les deux les plaisirs du naturisme et l’ambiance de la plage.— Ici, on n’est pas importunées, les mecs nous laissent tranquilles, c’est assez étonnant, dit Nadia.— Un peu trop calme, je trouve, grogna Christiane F. Je me ferais bien draguer plus souvent. Vous les filles d’aujourd’hui, vous êtes un peu chochottes. Je vois ça comme un recul. Et encore vous, vous vous mettez à poil sur une plage alors que la plupart des nanas de votre âge ne montrent même plus leurs nichons. Bon, j’arrête de jouer les vieilles biques rétro. Heureusement, les hommes ne sont quand même pas tous tétanisés par la crainte des féministes pures et dures. Quelque part, des femmes comme moi les rassurent. Quand c’est non, c’est non, mais quand c’est oui, c’est oui.
Nadia crut avoir mal entendu. Son ancienne prof était en train de lui dire qu’il lui arrivait de se faire emballer par un naturiste mâle.— Vous voulez dire que... un des hommes seuls qu’on voit ici vous emmènent parfois ?Christiane rit franchement.— Emmener, c’est un terme délicat. Vous voyez le petit bois, là derrière. Eh bien, c’est là que des couples se forment, souvent des homosexuels mais pas seulement. Pour vous dire les choses crûment, chère ancienne élève, je me suis fait baiser plus d’une fois sous les arbres, et ce malgré mon âge. Les réputations se font vite et comme on sait que je baise facilement, j’ai quelques occasions et je me permets même parfois de choisir. Enfin, c’était vrai jusqu’à ces derniers temps mais les opportunités de baiser à mon âge se font plus rares. Et vous, vous n’êtes pas sollicitées par ces messieurs ?Nadia fut obligée de répondre par la négative et se trouva un peu sotte. Peut-être, en effet, elle et Sophia faisaient-elles peur par leur jeunesse alors que Christiane devait rassurer par sa maturité.
Elles en étaient là de cette discussion lorsqu’un quidam s’approcha. Grand et mince, coiffé d’une casquette qu’il avait mise la visière en arrière comme un jeune, intégralement bronzé et doté d’une moustache à la Michel Cardoze, il vint faire ses civilités :— Ah Michel, bonjour, comment vas-tu ? Je te présente Nadia, une ancienne élève et sa copine plus loin là-bas.L’homme s’inclina respectueusement. Nadia remarqua qu’il avait une queue longue et des couilles encore bien accrochées alors qu’il devait avoir pas loin de la soixantaine. Elle voulait se retirer lorsque Christiane l’interpella :— Ah non, restez. Appelez votre copine, on va papoter, ça me changera de la solitude.
Comme elles disaient ces mots, après que Sophia se fut présentée, un autre homme s’approcha, corpulent et débonnaire, tout aussi bronzé que le précédent, puis un autre, grand et sec, tous les deux contemporains de Christiane.— Je vous présente Francis et Armand, deux vieux copains à moi, dit-elle à l’intention des deux jeunes femmes. Lesquelles conclurent qu’en fait de "copains", c’étaient sans doute d’anciens amants... ou actuels. Une discussion animée s’engagea à dominante marine. Tous étaient visiblement passionnés par la mer. Puis le petit groupe partit se baigner, à l’exception de Christiane et Michel qui avaient des choses à se dire. Après le bain, Christiane proposa un petit repas champêtre dans son jardin en soirée, à charge pour chacun d’apporter sa gamelle et ses boissons. Nadia et Sophia acceptèrent, toutes heureuses de rompre la monotonie vespérale et d’échapper à l’onéreuse sortie en boite et l’aléatoire conquête sexuelle qui en découlerait.
*******
La soirée fut aussi gaie que les deux copines l’espéraient. Tout en goûtant aux divers plats proposés, elles se faisaient gentiment draguer par Francis et Armand et répondaient par des rires. Au bout d’un moment, tous s’aperçurent que Christiane avait disparu, mais aussi Michel. Armand eut un clin d’oeil coquin :— Ils ont dû avoir besoin de s’isoler un peu...La conversation badine se poursuivit lorsque Francis, à l’orée de la maison, leur fit un signe indiquant qu’ils devaient s’approcher.— Chut, pas de bruit, venez voir...Il ouvrit discrètement la porte du salon et quatre têtes s’insinuèrent dans l’ouverture, plongeant sur le canapé. Ils découvrirent Christiane nue, les cuisses largement ouvertes et Michel mélangeant sa moustache au pubis foisonnant de l’ancienne prof, qui roucoulait de plaisir en lui tenant la tête. Puis Michel  se relevant, dévoilant un pénis tendu qu’il enfonça avec précaution dans la fente béante tandis que les jambes de Christiane s’enroulaient autour du dos du moustachu. Alors, quatre paires d’yeux se fixèrent sur le cul bronzé de l’homme virevoltant entre les cuisses charnues de la femme qui lui pressait le dos avec une vigueur étonnante, comme pour mieux enfoncer la bite en elle. La pièce s’emplit du bruit du choc des peaux nues mélangé avec les halètements du couple. Nadia et Sophia étaient épatées par la vitalité de cet accouplement, à l’évidence très désiré. Puis Christiane s’exclama dans un souffle :-Prends moi par derrière maintenant.En se relevant, elle découvrit les quatre spectateurs et déclara :— Bandes de voyeurs ! Vous feriez mieux d’en faire autant au lieu de nous mater.Et elle se positionna sur le canapé, les mains sur le dossiers, son cul plantureux dressé, en attente. Nullement décontenancé par la présence dans son dos des quatre voyeurs, Michel s’enfonça en elle avec résolution et martela son plaisir jusqu’à ce que Christiane s’exprime avec force :— Dans mon cul maintenant !
Stupéfaites, Nadia et Sophia découvrirent les yeux écarquillés Michel sodomiser tranquillement Christiane à sa demande. Elle tortillait son croupion en signe de contentement. Et dire qu’elles refusaient cette privauté à leurs partenaires. L’érotisme torride de cet accouplement eut un effet puissant sur les deux jeunes femmes.— Je m’en vais, je suis en feu, souffla Sophia à l’oreille de Nadia, qui restait fascinée devant la scène du canapé. De voir ainsi son ancienne prof s’exhiber sans la moindre gêne en train de faire l’amour à soixante ans passés la bouleversait dans ses profondeurs. Elle aussi ressentait maintenant un manque terrible dans son entre-jambes.
D’autant que maintenant, les deux protagonistes y allaient de leurs commentaires salaces. Nadia sentit une main s’insinuer entre ses cuisses, tout contre la culotte, encouragée par l’humidité qui y régnait. Elle se retourna : c’était la main de Francis, le costaud aux poils abondants sur tout le corps. Pas vraiment son type à Nadia. Elle l’aurait sèchement viré en d’autres temps. Mais elle se laissa faire car la main était adroite et précise. Elle faisait exactement ce qu’elle désirait sur le moment : la masturber. Elle écarta légèrement les jambes pour lui faciliter le passage tout en continuant d’observer le couple qui avait encore changé de position. Michel s’était assis sur le canapé et Christiane le chevauchait de dos, offrant aux voyeurs la danse de ses seins lourds et le rictus de plaisir sur son visage, sans la moindre gêne. Et cela durait, durait... La culotte Nadia était désormais par terre, habilement glissée par la main experte de Francis qui désormais la masturbait sans intermédiaire textile. Elle avait l’impression de dégouliner sur ses doigts et ondulait maintenant en signe d’encouragement. Elle sentait venir un orgasme et se cambra en criant au moment même où Christiane et Michel atteignaient une jouissance commune, elle profondément empalée sur lui.
Alors, Francis murmura à l’oreille de Nadia :— Viens maintenant, c’est à nous.Elle le suivit sans résister. Il lui fallait absolument une bite, c’était clair. Une bite pour la soulager de l’incendie dans son tréfonds. Il la prit par la main pour la diriger vers une chambre. Au passage, ils découvrirent dans la cuisine Sophia assise sur la table, en appui sur les coudes, et Armand debout la pilonnant en la faisant piailler, les talons d’elle plantés dans ses reins à lui. Nadia avait déjà vu sa copine se faire baiser lorsqu’elles se retrouvaient parfois dans le même lit en train de se faire prendre par deux loustics en vacances, mais jamais avec un tel enthousiasme. Elle exultait littéralement à chaque coup de bite d’Armand et ses seins lourds jouaient une samba effrénée.— Tu vois, ta copine, elle ne fait pas de manière, elle baise, dit l’homme corpulent à l’oreille de Nadia.
En d’autres temps peut-être, celle-ci se serait offusquée de la facilité avec laquelle sa copine avait cédé à ce type plus âgé qu’elle. Au contraire, son attitude légitimait la sienne, qui était de très vite éteindre le brasier de son entre-jambes, quel que soit l’âge de la bite. Aussi se laissa-t-elle conduire sans résister vers une chambre vide avant de se débarrasser illico presto de son tee shirt sous lequel ses petits seins étaient libres de tout soutien. L’homme fit glisser sa mini jupe en un tourne main tout en continuant de tremper un doigt dans sa fente. Elle s’accroupit, baissa le short du senior et libéra un engin dont le volume lui fit pousser un oh de surprise. Mon dieu quel braquemard ! Quand elle l’emboucha, elle dut écarter fortement ses mâchoires pour que le gland ne l’étouffe pas. Vraiment costaud, le gars. La consistance était ferme, le goût un peu sauvage mais elle avait vraiment l’impression de tailler une pipe et non de sucer un bonbon comme cela arrivait parfois.
L’homme avait enlevé son débardeur, dévoilant un torse puissant, velu et ventru. Il l’écarta pour se coiffer d’un préservatif, preuve qu’il était prévoyant. Il la coucha en travers du lit et la pénétra lentement debout afin qu’elle pût prendre la mesure de son volume. Nadia se sentit aussitôt tellement envahie qu’elle poussa un long soupir venu non de la poitrine mais du ventre. Elle s’ouvrit au maximum afin qu’il puisse aller et venir dans un confort mutuel. Mais elle était tellement lubrifiée qu’elle ne ressentit aucune douleur. Bien au contraire, une satisfaction mêlée de soulagement l’étreignit jusqu’au tréfonds de son être. La bite énorme était comme une lance d’incendie sur un feu intense.— Tu aimes ça, hein ? lança l’homme en calculant savamment ses poussées, tantôt latérales, tantôt profondes.— Ah oui, encore, ne t’arrête pas surtout.
De la cuisine venait les bruits de baise, Sophia n’était décidément pas discrète dans son expression sexuelle et Nadia se fit un devoir de lui répondre par quelques commentaires bien sentis sur l’efficacité de la bite de Francis. Celui-ci n’en revenait pas de sa chance. Non seulement il besognait une fille d’à peu près la moitié son âge, mais elle était belle et chaude en prime. Le nirvana. Il n’allait sûrement pas se hâter.Le vagin désormais complètement distendu, Nadia savourait elle aussi ce moment rare. Elle n’aurait jamais cru qu’un type de l’âge de son père lui procurerait autant de plaisir. En voilà un qui savait y faire, pas comme ces godelureaux pressés d’éjaculer pour se rendormir après une nuit en boite. La virilité poilue du sexagénaire, si elle n’obéissait pas aux canons de la mode privilégiant les peaux imberbes, agissait puissamment sur sa libido, à tel point qu’elle lui imposa de se coucher par terre pour pouvoir le chevaucher et mater son torse velu. Son animalité la subjuguait. La belle et la bête... L’homme se fit d’autant moins prier qu’il voulait lui aussi mater ce corps de femme mince et intégralement bronzé qui dansait sur sa bite avec autant d’ardeur que sur un rythme disco. Elle lui montra ensuite son petit cul couleur pain d’épice en mouvement et Francis admira la souplesse de ses hanches qui faisait aller sa bite là où beaucoup d’autres, probablement, ne s’étaient jamais aventuré. Les cris de plaisir de Nadia avaient largement franchi l’espace de la chambre, à tel point que Christiane et Michel étaient venus aux nouvelles pour regarder le couple en action. Ils furent bientôt rejoints par Sophia et Armand, qui en avaient terminé avec leurs ébats.
Nullement troublée par cette assistance, Nadia y trouva au contraire une motivation supplémentaire pour inciter l’homme à la prendre en levrette, face aux spectateurs. Elle ne se sentait pas particulièrement portée sur l’exhibition mais le contexte était tel qu’elle voulait qu’on la regarde en train de baiser, fût-ce avec un "vieux". Surtout Sophia, sa copine, qui l’avait précédée. Egalement stimulé, l’homme la pilonna avec vigueur mais une torsion des hanches de Nadia, accompagnée d’un commentaire salace sur sa bite, eut raison de sa résistance et il explosa dans sa capote sans qu’il ait eu le temps d’essayer de la sodomiser comme il en avait eu le projet. Il se demanda brièvement si son coeur n’allait pas le lâcher tant son orgasme avait été violent. Nadia, in petto, regretta qu’il n’ait pas duré un peu plus, mais se dit qu’elle avait eu tout de même son content et qu’il ne fallait quand même pas demander à un sexagénaire la même endurance qu’un trentenaire. L’essentiel était la qualité, et elle était là. Les spectateurs se retirèrent et Christiane, comme Sophia, très échauffées par la scène finale, auraient bien remis le couvert, se heurtant elle aussi aux ressources séminales limitées de leur partenaire. Tout le monde était ainsi à égalité...
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Cette soirée marqua chez les deux jeunes femmes un vrai tournant. Comblées par leur amant d’un soir, elles délaissèrent les soirées en boites de nuit avec des jeunots pour draguer les hommes mûrs, sur la plage ou dans les cafés. Non sans provoquer parfois de vives réactions de compagnes réapparaissant au mauvais moment, ou bien de compagnons une fois qu’il fut établi que l’homme courtisé était homosexuel, ce qui n’était pas écrit sur son front. En particulier à la plage. Néanmoins, elles obtinrent quelques touches fructueuses, en particulier de deux quinquas encore vaillants vivant sur un bateau dans le port voisin. Traitées comme des reines, elles comblèrent leurs deux amants par leur ardeur en cabine, mais aussi parfois sur le pont, au large, le nez au vent et le cul en l’air. Inspirées par l’exemple de Christiane, elles acceptèrent même d’être sodomisées, contre tout principe antérieur et y trouvant même, grâce à l’habilité de leurs baiseurs, un plaisir certain. Ce fut, au fond, la principale découverte de leurs vacances, avec la conviction qu’il valait mieux, à tout prendre, épouser un jour ou l’autre un homme plus âgé aux revenus confortables qui les ferait jouir tout en leur offrant un confort de vie inespéré. Mais ceci est une autre histoire.
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