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Rencontres nocturnes : Carla, femme de bureau

Chapitre 1

Hétéro
La pluie coule doucement le long de la fenêtre tandis que j’observe une dernière fois le ciel bleu pétrole avant que la chambre ne soit plongée dans l’obscurité. Cette ambiance semi-nocturne, couplée avec le bruit étouffé des gouttes d’eau sur la vitre ne fait que souligner le calme qui règne dans la pièce. J’allume quelques lampes disposées çà et là, les reliefs dorés que portent ces lumières éclairent légèrement la maison désormais plongée dans l’ombre. La demeure est enveloppée dans une douce ambiance tamisée. Le jardin, lui, est calme, l’herbe humide est légèrement éclairée par diverses lampes à énergie solaire, de même que le sentier qui mène jusqu’à la porte de la maison. Je patiente ainsi en contemplant l’horizon, en gardant cependant un œil sur la porte du jardin, cela pour une raison bien particulière : j’attends quelqu’un.

Voilà maintenant une dizaine de minutes que je suis positionné à ce point stratégique de la maison. La lune monte doucement dans le ciel, je la contemple tandis que ma vision périphérique capte un mouvement : la porte du jardin s’ouvre lentement. De l’embrasure surgit une silhouette faiblement éclairée, juste assez pour entrevoir sa chevelure brune qui flotte au gré du vent. D’où je suis-je ne peux distinguer clairement les traits de son visage, juste une petite silhouette qui traverse le jardin en direction de la porte d’entrée. Je laisse passer les secondes qui me paraissent être éternité avant d’entendre finalement la femme sans visage frapper doucement à la porte. Sans accélérer le pas, je me dirige vers l’entrée et lui ouvre. En silence, je fais deux pas en arrière pour qu’elle puisse en faire deux en avant, elle ferme délicatement la porte derrière elle et lève enfin la tête. Deux yeux bruns viennent alors capter mon regard, souligné par le mascara et l’eye-liner, ils semblent me traverser de part en part. Je détourne légèrement le regard en me fixant un instant sur ses lèvres entrouvertes, puis sur ses cheveux bruns encore humides. Elle semble un peu essoufflée, haletante, elle a sûrement été surprise par l’averse. Tandis qu’elle reprend peu à peu son souffle, je constate que, trop occupé à se jauger, personne n’a encore dit mot. Sans doute aussi intrigué par l’un que par l’autre, je lui fais finalement signe de la tête de me suivre. Arrivée au salon, elle pose sa veste sur l’un des accoudoirs du canapé, je la regarde faire avant de finalement dire :

— Carla, c’est ça ?

Elle acquiesce, elle n’est pas beaucoup plus bavarde que moi, ce qui m’arrange probablement un peu. J’ouvre le bar et prépare avec application deux verres, je tends naturellement l’un à Carla. Je perçois à nouveau ses deux grands yeux qui semblent me passer au radar, je fais de même. Elle porte un chemisier en haut, ainsi qu’une jupe qui lui arrive juste au-dessus des genoux. En dessous, une couche de nylon me laisse par transparence deviner ses jambes, elle a les hanches plutôt larges par ailleurs. Je sors de ma rêverie et repose sur la table basse le verre que j’ai à la main, elle également. Après un bref silence, elle laisse échapper d’une voix basse :

— On s’y met ?

Effectivement, je sais ce qu’elle fait ici, elle le sait aussi, pas besoin de plus s’étaler.

— Oui, suis-moi, dis-je d’une voix presque chuchotée.

Je traverse la demeure avec Carla dans mon dos. Les lampes qui éclairent le couloir mélangent nos deux ombres ensemble, comme un feu de bois dans la nuit où se mêleraient la lumière et obscurité. Arrivé à la chambre, je jette un rapide coup d’œil au-dessus de mon épaule, elle est toujours là, les yeux à demi baissés. Après ce court arrêt, j’entre finalement dans la pièce, elle est telle que je l’avais laissée : les gouttes d’eau glissent toujours sur la fenêtre, les lumières tamisées font leur office. De même, la chambre offre une vue quasi globale du jardin, la lune brille désormais haut dans le ciel nuageux. Elle s’assoit sur le lit, regarde de part et d’autre de la chambre, analyse la pièce comme elle l’a fait avec moi. Ses yeux s’arrêtent sur un petit meuble, près de la fenêtre, elle regarde l’objet posé dessus avec curiosité.

— C’est un tourne-disque, dis-je.

Je saisis l’un des disques posés à proximité et l’extrais avec délicatesse de sa pochette. Je sens le regard de Carla dans mon dos tandis que je place le disque sur la platine. Bientôt, et à raison de trente-trois tours minute, l’objet enveloppe la pièce d’une musique dont je laisse volontairement le volume assez bas. Après avoir donné un dernier coup d’œil au jardin, je me retourne et échange une nouvelle fois avec Carla un moment de silence. Cette fois-ci, je sens que l’atmosphère a évolué, une tension nous attire l’un vers l’autre, il me semble qu’elle l’a aussi sentie. Je me laisse porter par cette attraction tandis que j’avance vers le lit sur lequel elle est toujours installée. Arrivé à sa hauteur, et dû au fait qu’elle est assise, son visage est plus bas que le mien. Alors, dans un mouvement involontairement simultané et symétrique, nos deux visages se rapprochent l’un de l’autre, après une ultime impulsion, je l’embrasse doucement.

Après plusieurs secondes, nos lèvres se séparent tandis que je recule légèrement mon visage. Je croise à nouveau le regard de Carla, elle semble en attendre un peu plus. Sans un mot, je lui pousse alors légèrement les épaules, son corps s’incline sur le lit. À présent sur le dos, elle s’enfonce dans le coton du lit comme dans des sables mouvants. Je ne tarde pas à la rejoindre et me positionne parallèlement au-dessus d’elle. Presque naturellement, nos corps s’enlacent et s’embrassent à nouveau. Mes mains viennent alors parcourir son corps, de ses jambes jusqu’en haut de ses hanches, de sa taille à son visage, je suis ainsi ces lignes qui la constituent. Je glisse doucement ma main le long de sa cuisse, la fine couche de nylon qui la recouvre est douce au toucher, dans mon élan, je retrousse légèrement son jupon. Je viens aussi trouver ses mains, dégagées par les manches retroussées de son chemisier. Tandis que ma main gauche agrippe légèrement la sienne, ma main droite, elle, remontre et frôle un à un les boutons de sa chemise. Arrivé au bouton le plus haut, dans un mouvement inverse, je déboutonne une à une les attaches du vêtement. À mi-chemin, je marque un court arrêt et prends du recul pour observer le corps allongé de Carla, comme dans un état de stase, alors que le temps semble être au ralenti. D’un geste souple, ses mains viennent défaire les derniers boutons, je fais de même avec mon haut. Je porte à nouveau mes mains sur son corps, plus particulièrement sur sa jupe tailleur que je tire vers moi, sans plus de résistance, elle glisse le long de ses jambes. Elle porte de la lingerie noire, la dentelle se confond avec les lignes de nylon dans de sublimes nuances obscures. Sa jupe au pied du lit, alors que je contemple ses jambes, celles-ci viennent brusquement m’agripper la taille. Pris au piège, je lève la tête, le corps tout entier de Carla se relève, sans que j’aie le temps de réagir, elle vient m’embrasser le cou. À califourchon sur moi, elle me chuchote doucement à l’oreille :

— Laisse-moi faire.

Alors je sens ses mains se saisir de ma ceinture dont elle défait rapidement la boucle. À son tour, elle tire la lanière de cuir qui glisse sans résistance, laquelle tombe avec fracas au pied du lit. Ses jambes relâchent leur emprise, je me lève presque par réflexe, face à moi, Carla à demi nue est toujours assise sur le bord du lit. Tandis qu’elle me regarde dans les yeux, ses mains déboutonnent mon pantalon, en un rien de temps, je suis moi aussi à demi nu. Je suis déjà dur, elle l’a évidemment remarqué, mais fait mine de rien, je lui dis calmement :

— Tu l’as dit toi-même, je dois te laisser faire.

Je vois dans son regard un air joueur que je n’avais pas encore eu l’occasion d’apercevoir, elle tend alors sa main et agrippe par-dessus mon caleçon ma queue. De haut en bas, elle commence à me caresser, tandis que sa main gauche effectue quelques va-et-vient, sa main droite est retournée faire quelques mouvements circulaires au niveau de son entrejambe. Je durcis de plus en plus et bientôt, il me faut un peu plus qu’un contact indirect. Je me penche pour l’embrasser, dans le même mouvement, je me déshabille entièrement. Alors que je reprends ma position initiale, Carla n’a d’yeux que pour ce qui se trouve au niveau de son visage, presque aussi rapidement, sa main reprend les va-et-vient, en plongée, j’ai l’image de Carla qui me masturbe tout en se touchant. Sa main est douce et glisse fermement dans un mouvement ascendant régulier.

— Regarde-moi dans les yeux, dit-elle alors.

Je m’exécute et me perds à nouveau dans le brun de ses yeux. Alors qu’elle tient le contact visuel, son visage se rapproche de plus en plus, toujours les yeux dans les yeux, elle ouvre légèrement la bouche et commence à me sucer. Une sensation de chaleur m’envahit tout à coup, toujours debout, je regarde de là-haut les lèvres de Carla glisser de long de ma queue. De plus en plus rapidement, c’est son visage tout entier qui effectue aller-retour sur aller-retour. Elle vient chercher ma main qu’elle vient placer à l’arrière de sa tête, je lui agrippe les cheveux, c’est moi qui dicte désormais la cadence. Sous mon impulsion, ma queue pénètre sa bouche, la sensation de succion est excise, si bien que j’ai du mal à retenir mon plaisir. Après une dernière impulsion, je relâche mon étreinte, sa bouche relâche son emprise. Face à mon plaisir, je crois voir sur son visage le début d’un sourire de satisfaction.

— Allonge-toi, laisse-t-elle échapper.

Je m’exécute et me pose tout entier sur le dos, tète contre de dossier. De là, je vois Carla prendre la posture d’une féline qui, à quatre pattes, s’avance doucement vers moi. Ses cheveux bruns me frôlent légèrement les jambes à mesure qu’elle s’approche, les hanches relevées, le dos courbé. Une fois arrivée au niveau de mon entrejambe, elle saisit la base de ma queue, après m’avoir jeté un rapide coup d’œil, elle reprend là où elle s’était arrêtée en me prenant tout entier dans sa bouche. Je lâche un soupir de plaisir tandis qu’elle effectue de longs aller-retour, arrivée en haut, elle laisse sa langue faire quelques mouvements circulaires autour de mon gland. Tandis qu’elle continue de me sucer, sa main suit le mouvement ascendant et descendant. Peu à peu, sa salive s’accumule à la base de ma queue sur laquelle sa main glisse désormais sans effort. Elle porte toujours ses sous-vêtements noirs ainsi que ses collants, ses hanches relevées me donnent à voir son sublime fessier. Alors que nos regards se croisent à nouveau, avec ma queue dans sa main, plus dure que jamais, elle me dit :

— Qu’est-ce que tu as envie de me faire ? Je te vois regarder mes fesses, tu sais.

— Reste à quatre pattes, répondis-je simplement.

Je me redresse et lui fais signe d’avancer encore un peu plus, elle est désormais au centre du lit. Je viens me positionner juste derrière elle, de là je peux enfin voir ses fesses de plus près. Je porte mes mains sur le nylon que je caresse doucement et sens le relief de la culotte en dentelle noire juste en dessous. Je viens saisir ses hanches que je fais aller et venir tandis que ma queue frotte contre ses fesses, la texture si particulière du nylon est exquise. Je lève la tête et contemple le dos courbé de Clara qui suit le mouvement régulier que je lui impose. J’ai envie de toucher directement ses fesses maintenant, alors que je relâche ses hanches pour baisser son collant, elle laisse échapper :

— Arrache-le

Après un bref instant, je lui obéis, je saisis deux côtés que j’étire, le nylon se déchire sans résistance. Les collants effilés, je peux désormais caresser ses fesses directement, je viens frotter ma queue directement contre sa culotte. Au fur et à mesure des va-et-vient, elle s’enfonce progressivement entre ses deux fesses, malgré la dentelle, sa culotte est étonnamment douce. Je suis tellement excité et elle aussi, j’écarte encore un peu plus le nylon. Je suis prêt à aller plus loin, je dis alors :

— Et maintenant ?

— Ecarte ma culotte et prends-moi par-derrière.

Je saisis alors sa culotte que j’écarte d’une main, de l’autre, je viens saisir ma queue que je viens frotter contre sa chatte. Mes mains retournent saisir ses hanches et d’un mouvement de bassin sec, je pénètre enfin Carla. Une sensation de chaleur m’envahit à nouveau, de mouvements légers, je viens bientôt accélérer le rythme, mes mains ordonnent à ses hanches des aller-retour réguliers. Sous mon impulsion, son cul rebondit contre moi avec fracas, l’onde de choc se propage en de sublimes vagues. Sa chatte est de plus en plus humide, ma queue glisse sans effort. Carla se met doucement à lâcher des soupirs de plaisir, moi aussi. J’attrape ses cheveux tandis que je la tire vers moi, son corps se soulève et son visage arrive à hauteur du mien. De là, nos soupirs se confondent, j’embrasse son cou, ma main libre glisse sur ses seins. Je relâche mon étreinte, le corps de Clara retombe sur le lit, j’attrape à pleines mains ses fesses que j’écarte légèrement. Ma queue rentre entièrement à chaque impulsion, chaque aller-retour est meilleur que le précédent. Son corps tout entier vibre au son de mes impulsions, musique et soupirs se mêlent ensemble. Entre deux gémissements, Carla laisse alors échapper.

— Doucement... Regarde-moi faire.

Sa main agrippe légèrement ma hanche, elle effectue alors de langoureux mouvements où elle vient s’empaler sur ma queue, laquelle disparaît entièrement à chaque à-coup. Je me retire alors et enlève complètement ce qui reste de son collant, ses jambes sont sublimes. De même, je retire enfin sa culotte et son soutien-gorge que je jette au pied du lit. Carla est entièrement nue, je m’allonge alors et lui dis :

— Mets-toi au-dessus, de dos.

Elle s’exécute et saisit ma queue et la guide jusqu’à sa chatte puis s’assoit sur moi, ma queue disparaît à nouveau entre ses deux fesses, complètement engloutie. Carla fait glisser son cul contre mon bassin, sa peau est douce, mes bras sont assez longs pour caresser ses fesses. Elle courbe alors légèrement le dos et se met à faire des va-et-vient, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement.À la vue de son cul qui rebondit avec fracas, je ne peux résister à l’envie de le voir se déformer encore plus, d’un geste ferme, je lui mets une fessée, son cul tout entier vibre. Deux puis trois claques, sa peau commence à virer à l’écarlate, à chaque coup, Carla laisse échapper un petit cri. J’attrape ses cheveux et la tire vers moi, son dos se courbe en demi-cercle, après un ultime mouvement, son corps tout entier tombe contre le mien. Tous deux haletants, je caresse ses seins et lui embrasse le cou, elle soupire doucement. Ma main remonte au niveau de son visage et frôle ses lèvres entrouvertes, sent son souffle. Je lui chuchote à l’oreille :

— Retourne-toi.

Carla se met à plat ventre contre moi et pose sa tête contre mon épaule, je lui embrasse le front et me retourne pour me positionner au-dessus d’elle. Carla est allongée de dos sur le lit, je saisis ma queue et la prends doucement en missionnaire. Je lui embrasse les seins, le cou puis remonte pour trouver ses lèvres, toujours entrouvertes, elle vient mettre ses bras autour de mon cou. J’accélère de plus en plus mes mouvements de bassin, ses jambes s’enroulent autour de mes hanches, ma queue s’enfonce complètement dans sa chatte à chaque impulsion. Nos corps vibrent de plus en plus, je saisis son bassin tandis que le mien effectue aller-retour sur aller-retour. Je sens que je suis à deux doigts de jouir, au climax. Je me retire alors et dis :

— À genoux.

Carla s’exécute.

— Suce-moi

Elle prend ma bite qu’elle avale tout entière tandis qu’elle me branle avec sa main, elle me regarde droit dans les yeux. La pression monte de plus en plus. De mes deux mains, je saisis son visage tandis que ma queue baise sa bouche. De la salive coule le long de sa joue, des gouttes tombent sur le drap. Elle me regarde toujours, ses lèvres glissent sur ma queue. Je vais jouir sur son visage. Je sens sa langue qui tourne autour de ma bite. Mon basin effectue un dernier aller-retour, sa bouche relâche ma queue, sa main continue de me branler. Elle ouvre la bouche et tire la langue, elle a compris où je voulais en venir. Après une dernière seconde, un ultime instant, yeux dans les yeux, mon corps tout entier vibre. Une décharge de six mille volts vient éclabousser son visage, elle a un soubresaut tandis que mon sperme recouvre peu à peu sa figure, contraction après contraction. Le dernier soubresaut passé, sa main arrête tout mouvement, elle la porte à son visage et s’essuie du revers de la main le coin de sa bouche. Avant de dire quoi que ce soit, elle avale les quelques gouttes de sperme sur sa langue, après une longue déglutition, elle pousse un soupir et me dit :

— Pour le reste du visage, je vais avoir besoin d’aide.

Je vais chercher sur la table de chevet un paquet de mouchoirs, elle s’essuie rapidement le visage, alors que je tends mon bras pour en prendre un, sa main attrape la mienne.

— Non... Je vais m’en occuper personnellement, me dit-elle.

Elle attrape ma queue qu’elle prend en entier dans sa bouche et, en un unique retour, efface toutes les traces de ces minutes gravées pour l’éternité dans ma mémoire.

Oscahr Etteux
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