J’ai décalotté le gland doucement entre le pouce et l’index de la main gauche. J’ai ouvert la bouche, pointé ma langue et j’ai délicatement léché son gland. J’ai tout de suite aimé son goût fort, nous étions en fin de journée et Bob24 n’avait pas pris le temps de faire la moindre toilette avant de venir. J’ai adoré qu’il soit un vieux laid et dégueulasse. J’étais venu pour sucer et j’avais le gland goûteux d’une vieille bite sous la langue, j’étais sûr de me régaler. Dans mon jogging, mon sexe prenait vigueur à cette première impression. De la main droite, je dressais la bite de Bob24 qui malgré mes premiers coups de langue restait à demi molle et je faisais glisser le gland entre mes lèvres, ma langue l’enroulant, pointant le méat. Bob24 a gémi, il a dit "Mmm c’est bon". De l’entendre prendre plaisir à ma fellation, m’a immédiatement excité encore plus, j’ai senti entre mes lèvres sa bite prendre encore de la raideur. J’ai gardé dans ma bouche son gland et de la main j’ai branlé la base de sa bite. Au fur et à mesure que sa queue prenait du volume, je la prenais de plus en plus loin en bouche jusqu’à arriver à l’avoir complètement. Elle était bien épaisse, mais pas très longue, ce qui me rendait la prise facile. Je sentais le bout de sa queue contre mon palais. Ma main était libérée, je l’ai glissée pour m’emparer de ses couilles velues. Je les ai malaxées, poussant mes doigts vers son périnée. De mon autre main, j’ai baissé mon jogging pour libérer ma propre bite et me branler. En prenant tout mon temps, j’ai fait plusieurs aller-retour de ma bouche sur la queue de Bob24, puis je l’ai sortie complètement, désormais elle était bien bandée et restait dressée sans soutien. Je l’ai alors léchée du méat jusqu’aux couilles, au moins une dizaine de fois. Puis j’ai gobé une couille en reprenant le branle de sa bite. Bob24 a geint à nouveau. Bob24 s’est tourné de trois quarts, j’avais maintenant sa bite en vue de profil. Elle était vraiment belle ainsi, droite, le gland gonflé, brillant de ma salive. Je l’ai caressé sur toute sa longueur en murmurant. — Elle est belle ta bite Bob, je la vois là sous mes yeux toute bandée, et tes grosses couilles bien pleines qui vont me régaler de ta jute... Mmmmmm... — Oh oui tu vas me sucer et me branler jusqu’au jus, Mmmmmmm...— En plus tu es venu sans te nettoyer de ta journée, peut-être même depuis plus longtemps, elle est bien crade, avec une bonne odeur de pisse. J’adore ça, regarde comme ça m’excite. Mmmm je me branle en te suçant, trop bon. Bob24 a reposé sa main sur ma joue, elle était ridée et sale aussi, les ongles étaient noirs, son pouce a forcé mes lèvres. Je l’ai sucée comme j’avais sucé sa bite que je branlais de plus en plus vite. De mon autre main, je lui ai caressé les fesses, elles étaient molles et elles aussi ridées. J’ai dirigé l’index vers son anus. — Ahhhhh ouiiii, salope tu vas me branler le cul, il est aussi crade que ma bite, tu vas aimer. Je grogne avec le pouce de Bob dans la bouche. — Mmmmmm. Bob m’a défoncé la bouche avec deux doigts, il y a mis beaucoup de vigueur. J’ai introduit mon doigt dans son cul, jusqu’à la dernière phalange. Je l’ai fait tourner dans un sens puis dans l’autre, je l’ai ressorti, je l’ai rentré à nouveau. Bob a contracté ses jambes pour me donner meilleur accès. J’ai jouté mon majeur à mon index et j’ai baisé son cul avec ces deux doigts. Bob a sorti les siens de ma bouche, il a descendu sa main sur mon cou. — Oh Bob tourne-toi encore un peu que je te bouffe le cul.
Je n’ai pas eu besoin de répéter, Bob s’est tourné pour m’offrir son cul, il s’est légèrement penché vers l’avant. J’ai sorti mes doigts de son rectum et les ai portés à mon nez, j’ai vu au passage qu’ils étaient ressortis bien souillés. Je les ai reniflés, ils étaient bien puants. Je les ai glissés dans ma bouche quelques instants. Puis de mes deux mains, j’ai écarté les fesses de Bob, j’ai vu son trou du cul flétri cerclé de brun. J’ai avancé la bouche et j’ai sucé son cul, je l’ai baisé en y introduisant le bout de ma langue. J’avais le nez dans ses poils de cul. Une forte odeur m’a envahi les narines, le goût acre et fort de son trou du cul m’a rempli d’allégresse. — Mmmmm cochon tu me lèches le cul comme un mort de faim... Mmmm. J’ai continué à lécher son cul encore deux ou trois minutes, puis j’ai forcé de mes mains sur son bassin pour le tourner à nouveau face à moi. Sa bite toute raide était au bord de l’explosion. Je l’ai caressée doucement, en passant mon pouce sur son gland. Je me suis branlé comme un malade. — Ohhhhh ohhhh je vais juter.— Mmmmm envoie ton jus, moi aussi je vais cracher. J’ai senti les spasmes de sa queue dans ma main et le premier jet de sperme est venu s’écraser sur mon nez, suivi d’un autre que j’ai pris dans ma bouche ouverte. — Ahhhh je jouis, prends tout salope.— Mmmm oui inonde-moi, je le veux ton jus, Ooooo moi aussi je jouis. Agenouillé devant Bob la bite en main, je crache mon jus en partie sur ses chaussures. Plusieurs giclées de son foutre m’ont arrosé le visage, il s’est vidé les couilles sur ma gueule. Sa bite a ramolli quasiment immédiatement. Je me suis penché et j’ai léché mon propre sperme sur ses chaussures. J’ai eu dans le gosier le mélange de nos deux foutres. J’ai relevé la tête pour regarder Bob. Il a posé sa main sous mon menton et m’a attiré vers lui, je me suis relevé, le pantalon sur les chevilles. Sa main est allée de mon menton à ma nuque, avec une force impressionnante, il m’a plaqué contre lui, son visage proche du mien avec sa bouche où il manquait plusieurs dents et où celles qui restaient n’avaient pas vu de brosse à dents depuis une éternité. J’ai soufflé mon haleine pleine de sperme et lui m’a soufflé la sienne puante. Il s’est emparé de ma bouche, sa langue a forcé mes lèvres, nous nous sommes embrassés. Comme ce baiser a été bon... Mmmmm... Il m’a maintenu contre lui tout le temps de ce partage, une main sur ma fesse nue, un doigt titillant mon anus. Puis Bob s’est écarté, il m’a regardé en souriant, il a remonté son jogging. — Salut ma salope. Puis il a tourné le dos et il est parti en direction du parking par le sous-bois. Je l’ai vu disparaître derrière les arbres. A mon tour, j’ai remonté mon pantalon et je suis retourné jusqu’à ma voiture. Depuis ce jour, j’ai inscrit ce lieu dans mes favoris sur le Net. Je suis alerté quand quelqu’un du site s’y rend. Les messages sont nombreux, mais ça c’est une autre histoire.
