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Rendez-vous à l'aire de repos

Chapitre 3

Gay
Après la première régalade avec Bob24 j’en ai connu de nombreuses sur cette aire de repos et sur d’autres que j’ai fréquenté au fil du temps.
J’ai sucé des bites, léché des couilles et des culs ; des jeunes, des vieux ; des propres et des moins nets…J’ai aimé toutes ces rencontres d’inconnus au hasard des échanges sur les sites spécialisés sur le net.Bien sûr j’ai connu quelques échecs, mais le plus souvent après plusieurs messages et échanges de photos, les rendez-vous se sont concrétisés par de bonnes giclés de sperme au fond de ma gorge gourmande.
Pourtant je sentais que sucer ne me suffisait plus. Il me fallait des sensations plus intenses. Je voulais être complètement la « femelle » de ces étrangers rencontrés.Mes doigts et mes jouets n’étaient pas assez « vivant » pour répondre à mes envies croissantes.Bref, il me fallait me faire enculer. Je voulais sentir glisser une queue dans mon rectum de salope. Je voulais être empalé profondément et sentir les spasmes de jouissance de mon partenaire me remplir le cul de foutre.
J’ai donc sélectionné parmi tous les sites que je fréquentais, celui qui me paraissait le plus approprié à mon projet : à l’écart des grands axes de circulation et où l’on pouvait s’isoler pour un rendez-vous sodomie. Sans hésitation, tellement le besoin me taraudait, j’ai déposé un message sur le flow de ce lieu : « Salope friande de sperme, mon cul sera disponible pour toi qui restera inconnu ce soir à partir de vingt-trois heures ».
J’ai ensuite passé la fin de l’après-midi de ce jour que j’espérais être ma dernière journée de « pucelle » à mater des vidéos de mecs se faisant enculer, plus la soirée approchait plus j’étais excité. A vingt heures je n’en pouvais plus, un plug vibrant dans le cul je me branlait frénétiquement jusqu’à jouir sur la table du salon. Je me suis alors agenouillé devant le fruit de mon plaisir et j’ai consciencieusement dégusté mon foutre en guise d’apéritif.
A vingt-deux heures trente j’ai enfilé ma tenue de trainée, jogging et sweat, spéciale aire de repos. Pas de sous-vêtement inutile pour mon projet. J’ai chaussé mes baskets, j’ai rejoint mon véhicule dans la rue. La nuit de juin était sèche et chaude, le temps idéal pour un rendez-vous nature nocturne. Je pensais que la probabilité que mon message ne soit pas vain était bien importante et qu’une demi-heure plus tard je pourrai être en train de me faire baiser par une belle queue bien raide.Installé dans ma voiture j’ai mis le contact, enclenché la première et je suis parti vers le site choisit. Trente minutes de trajet à espérer, à fantasmer, à frétiller du cul…
A vingt-trois heures précises j’étais arrivé, j’ai quitté la route et je suis allé me stationner sur l’aire de repos à l’abris des arbres en limite de sous-bois. J’ai coupé le moteur. Aucun éclairage, seule la lune dans le ciel dégagé. Personne, pas un bruit. J’ai éteint les feux de croisement de mon véhicule et allumé le plafonnier. J’ai reculé mon siège au maximum, jambes écartées je me caressais la verge à travers le jogging. Une tension terrible me tenait excité, comme une pile déchargeant son électricité dans le creux de mes reins. Les minutes s’égrenaient lentement, très lentement mais en même temps trop vite, il était déjà vingt-trois heures dix et toujours personne au rendez-vous.
Soudain j’ai entendu un moteur vrombir, immédiatement j’ai jeté un œil dans mon rétroviseur, aux loin deux feux sur la route se rapprochait à petite vitesse de mon lieu d’attente. A cette heure-ci sur cette route c’était forcément pour moi, en tout cas c’est ce que j’espérais fortement. Lorsque le véhicule est arrivé à une cinquantaine de mètre de l’aire de repos j’ai eu la joie de voir le clignotant droit flasher, plus aucun doute n’était possible, j’allais bientôt avoir une bite dans le cul.
Enfin le véhicule s’est engagé sur le parking, il roulait au pas. Arrivé à ma hauteur il ne s’est pas arrêté et à continuer encore une vingtaine de mètres avant de s’arrêter lui aussi le long du sous-bois. Le conducteur a alors coupé son moteur et éteint ses lumières, plongeant à nouveau l’aire dans le clair-obscur de la lune. J’avais distingué lorsqu’il m’avait dépassé un seul individu dans le véhicule. Je devinais depuis ma position sa silhouette derrière son volant.
Dans ma poitrine mon cœur battait la chamade. Mon message avait été efficace. Peu m’importait qui était cet inconnu, j’espérais juste qu’il était bien équipé pour me fendre le cul en deux. Le fait d’y penser à cet instant là j’ai senti dans mon jogging mon sexe durcir.J’étais sa « femelle » avec pour seule envie celle d’être pris bien profondément, sentir enfin une queue me défoncer l’anus, me remplir le fondement. Tendre mon cul ouvert à cette bite qui était venue pour s’y vider. Sentir les contractions de mon partenaire expulsant ses jets de foutre, ses deux mains calées sur mes hanches pour bien m’empaler, ses couilles écrasées contre mes fesses. J’allais enfin l’entendre gémir son plaisir. Puis lorsqu’il allait se retirer je sentirais sa bite s’évacuer de mon cul, de mon anus distendu pas sa pénétration d’écoulerai sur ma cuisse son jus…
Toutes ces pensées m’avaient envahi en moins d’une minute, il était temps pour moi d’aller retrouver cet homme qui était venu jusqu’à moi sur cette aire de repos pour profiter de mon offre à me faire sodomiser.J’ai éteint mon plafonnier, il ne restait que la lumière naturelle de la lune pour éclairer l’endroit. J’ai ouvert la portière de ma voiture et j’en suis sorti. Mes jambes tremblaient, mon cœur palpitait et surtout le cul n’était plus que la seule partie de mon corps dirigeant mon cerveau. Une sorte de frisson intérieur m’envahissait tout entier. Dans le véhicule devant moi l’homme n’avait pas bougé depuis son arrivée, je le distinguais, masse sombre à travers la lunette arrière.
Lentement mais sûrement je me suis mis en marche en direction de la voiture stationnée. Moins de vingt mètres et j’étais arrivé au but…
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