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Rendez-vous à l'aire de repos

Chapitre 6

Gay
Je suis très loin de mes bases habituelles, seul dans un hôtel pour un séminaire de l’entreprise pour laquelle je travaille et qui commence demain. Il est près de vingt trois heures, je n’ai pas sommeil. Je viens de passer plus de deux heures à « chatter » avec des hommes sur un forum gay, à parler de fellations et de sodomies. Je suis tout excité, pas vraiment sommeil et j’aimerai plus qu’une branlette en solitaire.
C’est décidé je me connecte à mon site préféré sur les lieux de drague et je fais une recherche sur le secteur où je me trouve. Bingo ! Dans l’immense parc jouxtant l’hôtel une roseraie est indiquée comme lieu de rencontre. Aucune hésitation j’ai trop envie de sucer et de l’être… Je quitte mon peignoir, je suis nu, je file prendre une douche.
Me voilà propre et net de partout, j’enfile un jean, un polo, pas de sous-vêtements (inutiles compte tenu de mon projet). Je chausse ma paire de mocassin et je quitte la chambre puis l’hôtel en direction du lieu indiqué par le site.Je marche à peine une dizaine de minutes et j’arrive par une allée sous la pleine lune à la roseraie. Le lieu est caché des regards par un petit bosquet, il n’est pas immense et pourvus quelques bancs.
Je vais m’asseoir sur le banc le plus éloigné et le moins éclairé. Je m’installe en position décontractée. Je sors mon portable pour regarder l’heure, la lumière flashe dans la pénombre de l’endroit, il est presque minuit. J’éteins le téléphone et le glisse dans ma poche. Je pose un bras sur le dossier du banc, mon autre main caresse la bosse qui orne mon entrejambe.
Enfin j’entends des bruits de pas dans l’allée, la lumière de mon portable devait être visible de loin et a signalé ma présence. Je distingue dans l’obscurité une silhouette qui s’approche. A sa démarche je devine qu’il s’agit d’un homme. Il devait être présent et aux aguets avant mon arrivée, comme cela est souvent le cas sur ces lieux de rendez-vous entre inconnus.
-    Bonsoir
-    Bonsoir
-    Tu es seul ?
-    Hélas
Je réponds en accentuant le mouvement de ma main sur mon entrejambe. Malgré la pénombre, mon interlocuteur est suffisamment près pour comprendre ce que je fais.
Je l’observe, il est plutôt costaud, vêtu d’un short et d’un polo sombres. Il me parait relativement âgé, certainement plus que moi.
-    Moi aussi je suis seul ! Je peux m’asseoir ?
-    Bien volontiers, ce banc est très spacieux !
L’inconnu ne perd pas de temps et il s’assoit à mes côtés, je le vois bien mieux et je confirme ce que j’avais deviné quant à son âge, mais peu m’importe qu’il soit vieux ou jeune pour ce que j’envisage. Je laisse glisser mon bras du dossier sur son bras et je le serre contre moi. Sa main se pose sur ma cuisse et vite remonte recouvrir la mienne qui me caresse.
-    Mmmmm, tu es bien excité. Tu aimes que je te caresse ?
Je retire ma main, dans le même mouvement je déboutonne mon jean et descends le zip.
-    Oui caresse moi, prend ma bite, sens comme elle a envie de ta main, de ta bouche, mmmmm.
-    Oh oui elle est bien dressée.Dit-il en me branlant lentement. Puis de son pouce il me caresse le gland avec des petits mouvement de rotation. C’est très excitant pour moi, je reçois à chaque passage de son doigt sur mon méat une décharge électrique dans les reins.
Je remonte ma main de son bras à sa nuque et attire son visage vers le mien. Nos bouches se soudent. J’ouvre les lèvres, sa langue pénètre le passage. Nous échangeons un long et voluptueux baiser. Sa main accélère sur ma tige.
Lorsque nous cessons notre embrassade, je passe mon polo par-dessus ma tête, je déchausse les mocassins, je soulève mes fesses et je fais glisser mon jean. Je me retrouve nu, sur le banc avec cet inconnu qui s’occupe de moi.D’une main il me caresse les couilles, de l’autre il me pince le sein. Sa bouche contre mon oreille il murmure :
-    Tu es bonne, mmmm, tu me fais bander, tiens regarde.
Je n’en attendais pas moins, à mon tour de masser son entrejambe. Je ne suis pas déçu par le volume que j’y découvre.
-    Mmmm je la veux, tu me baises, je n’en peux plus, j’ai trop envie d’en prendre plein le cul…
-    Oooooo cochonne, oui je vais te baiser, bien à fond, je vais me vider les couilles dans ton trou de pute, tu vas déborder.
-    Lève-toi
Il se met debout devant moi, je m’agenouille devant lui. Je fais descendre son short sur ses chevilles. Il ne porte pas de slip, sa bite se dresse fièrement devant mon nez. Elle est splendide, bandée, droite, le gland bien décalotté. Je l’estime entre dix-huit et vingt centimètres. Magnifique je vais j’en suis sûr me régaler. Ses couilles sont elles aussi appétissantes. Mmmm.J’approche mes lèvres de son gland, je le prends en en bouche, l’enrobe avec ma langue. De la main je caresse les couilles.La main de mon inconnu caresse mes cheveux. Il tend son bassin vers ma bouche, insère sa bite jusqu’au fond de ma gorge.
-    Mmmmm trop bon.
Il fait le mouvement inverse du bassin jusqu’à ramené son gland au bord de mes lèvres, puis s’enfonce à nouveau, puis encore, encore, encore, il me baise la bouche et j’adore cela.
-    Ooooh ma salope j’ai trop envie de te baiser
Me dit-il en relâchant la pression de sa main sur mon crâne. Je frotte ma joue contre sa bite raide en murmurant :
-    Mmmmm oui baise moi, viens me fourrer ta grosse bite dans le cul, viens vider tes grosses couilles dans mon cul. Mmmm baise-moi, baise-moi, baise-moi.
Mon amant d’un soir m’attrape le bras et me relève, puis sans ménagement il me retourne et appuis sur mes épaules. Je m’agrippe au dossier du banc, penché vers l’avant, les deux jambes bien écartées.
Je sens sa main descendre la courbe de mes reins, s’immiscer entre mes fesses. Son index force mon anus et le branle. Je me cambre au mieux pour lui faciliter le passage. Après quelques allers et retours il ajoute son majeur.Je râle de plaisir.
-    Ohhhhh ahhhh, mmmm, oui, oui, ouiiiiiiiii. Vas y chéri encule moi, je n’en peux plus d’attendre.
Immédiatement il retire ses deux doigts et guide sa queue tendue vers mon trou du cul bien ouvert. Je sens son gros gland forcer, c’est douloureux. J’adore cette souffrance au moment de la pénétration, elle est toujours pour moi annonciatrice de plaisir à venir.
-    Mmmmmm vas-y défonce moi.
-    Oui je vais t’éclater ton cul de salope.
Sur ces mots, les deux mains sur mes hanches mon amant donne un coup de rein et éclate mon cul de toute la longueur de sa bite. Je sens ses couilles contre mes fesses. Un éclair de douleur monte de mon rectum à mon cerveau. Je gémis, je pleure. Mon amant ne fait plus un seul mouvement. Lentement la douleur s’estompe, je sens sa bite palpiter dans mon cul et le plaisir envahi petit à petit mon esprit. Mes pleures de douleur devienne de joie. Je tourne mon visage vers mon partenaire :
-    Oh je la sens, elle est bonne ta queue…. Mmmm défonce moi, laboure-moi le cul…
Mon amant n’attendait que ce signal, il commence alors à me bourriner le fion, lui aussi gémis. La cadence s’accélère, il rentre et sort sa queue de mon cul plusieurs fois. Enfin il se fige, planté en moi.
-    Mmmm oui rempli moi de ton jus, donne-moi tout.
-    Tiens salope prends ma jute.
Je sens les contractions de sa bite dans mon conduit, il se vide les couilles dans mon cul, trois ou quatre jets puis se retire dans un soupir.Immédiatement je lâche le dossier du banc, je me retourne et tombant à genoux, je prends sa bite à la main, elle est encore à moitié raide et de la langue je lèche son gland poisseux et souillé. Je sens son sperme coulé de mon cul sur l’intérieur de ma cuisse.
Quand sa bite est nettoyée je reste agenouillé devant, je la garde en main. Je lève mon visage vers mon amant et je lui souris sous la lumière pâle de la lune. J’ouvre grand la bouche et lentement la remet dans l’axe de sa queue à quelques centimètres. Pas besoin d’échanger de paroles, nous nous sommes compris, je l’ai lu dans son regard. Je n’attends pas longtemps pour que le jet d’urine vienne me désaltérer, j’avale au fur et à mesure, je guide sa bite de la main pour m’inonder le visage et la poitrine de pisse jusqu’à ce que son flot se tarisse.
De nouveau je lève mon visage vers l’inconnu. C’est lui qui tombe à genoux contre moi, nos visages se rapprochent et pour la seconde fois nos lèvres se soudent. Il m’embrasse fougueusement, sa langue plonge dans mon palais parfumé à l’urine, ses mains courent sur mon torse, remonte sur ma nuque, passe dans mes cheveux. Je me branle frénétiquement pendant tout notre baiser et à mon tour j’expulse plusieurs jets de sperme qui s’écrase sur son ventre.Notre embrassade cesse, il s’écarte de moi et s’essuie avec la main. Il me donne alors ses doigts à lécher, ce que je fais avec avidité.
Il se relève et me fais signe d’en faire autant. Nous voilà debout, face à face, bite à bite, nu dans la nuit sous la lune. Lentement il s’écarte de moi, récupère son short et son polo qu’il enfile.
-    Adieu ma salope.
Sans un autre mot, il tourne le dos et disparait dans la nuit.
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