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Rendez-vous buccal

Chapitre 1

Chez la dentiste

Lesbienne
La consultation touche à sa fin. Je me redresse et prends le gobelet pour me rincer la bouche du reste de dentifrice que la dentiste m’a appliqué. Une fois fait, je m’assois et fais passer mes pieds sur le côté du siège. Je suis prête à me lever lorsqu’elle m’interrompt :
— Vous avez encore un peu de dentifrice sur le menton.
Elle me tend alors un mouchoir pour que je puisse enlever la trace restante. Je saisis le bout de tissus et m’essuie le menton. Je vois qu’elle me regarde à nouveau et elle me dit que c’est toujours là. Je la fixe et je lui demande
— Où m’en reste-t-il ?
Curieusement, je me demande ce qu’elle va faire. Elle choisit de retirer son masque. Je peux enfin observer son visage en entier. Depuis le début du rendez-vous, elle est à moitié masquée par ce bout de tissus bleu clair. Je n’ai pu voir que ses yeux. Elle a des yeux d’une couleur vert d’eau. Des cils très fins. Elle est légèrement maquillée.
Sans son masque, je peux découvrir son nez fin lui aussi, et une bouche plutôt généreuse, bien dessinée. Elle est jolie. Elle dégage un air timide et peu convaincu. Mais ça lui donne du charme. Elle manque d’assurance, et pourtant, c’est elle la professionnelle dans cette pièce.
Elle fait donc pendre le masque à son cou et m’indique à l’aide de son index l’endroit où il me reste une certaine tache blanche. Je refrotte mon menton là où elle me l’a indiqué. Mais je vois à son expression que la tache n’est pas partie. Elle a un léger sourire en coin. Je continue de la fixer. Là, elle se lèche instinctivement le doigt et se rapproche de moi. Dans un geste rapide, et surtout spontané, elle m’attrape délicatement le menton avec l’index et vient frotter avec son pouce humide sur la trace. Le geste est bref. Je la regarde de près lorsqu’elle se rapproche pour me retirer la souillure. Elle me surprend un peu par ce geste, mais ça me plaît. Lorsqu’elle a fini la courte opération, elle se recule de quelques pas et c’est là qu’elle recroise mon regard. Je crois que c’est à ce moment qu’elle a compris qu’une certaine ligne a été franchie. Une frontière imaginaire. Dont elle n’était absolument pas consciente. Mais qu’elle a franchi sans peine et sans hésitation.
Lorsqu’elle s’en rend compte, elle rougit légèrement. Je n’ai pas cessé de l’observer. Elle baisse alors les yeux et repart vers son bureau pour finaliser quelques papiers. Moi je lui ai souri quand j’ai constaté le déclic. Pendant qu’elle s’affaire, je reste assise sur le fauteuil médical. Mon entrejambe s’est un peu réchauffé. Face à la tension qui monte dans la pièce, je me suis mise à mouiller un peu plus. Maintenant, c’est à moi de jouer. J’ai envie de la tester, de voir ce qu’il est possible d’en tirer. Je suis tentée de voir comment je peux la bousculer et observer sa réaction.
J’aime la situation. Son fiancé est dans le hall d’accueil. Nous sommes à quelques mètres de lui. Le cabinet est bien aménagé. Des murs vert bouteille, de la même couleur que sa tenue de dentiste. Une chaise vintage avec une petite couverture pour rendre l’espace cosy. La pièce est très lumineuse. La porte qui donne accès à l’arrière, vers le hall d’accueil, est ouverte.
Je lui laisse un court moment de répit. Puis, je lui demande :
— C’est bon, je n’ai plus rien sur le menton ?
Je porte une robe aujourd’hui, comme la plupart du temps. Elle m’arrive à peine aux genoux. J’ai mes bas mi-cuisses et je ne porte aucun sous-vêtement, parce que c’est comme ça qu’il désire que je sois. Quand je lui pose la question, je me repositionne dans sa direction, les jambes croisées. Au moment, où elle se retourne pour me répondre, je les écarte délicatement. La manière dont je déplace ma jambe du dessus ne lui laisse aucune chance pour constater que je suis en effet nue sous ma robe. Mes tétons pointent, car je les ai pincés pendant qu’elle s’occupait de ses papiers. Elle me regarde pour me répondre que non, et en même temps, je vois son regard plonger dans mon entrejambe. Elle rougit de nouveau, car elle n’a pu retenir cette envie instinctive de voir l’intimité d’une autre. Je garde les jambes légèrement écartées.
Je me tiens droite, les seins bien en avant et les mains en appui de chaque côté de mes cuisses. Elle recroise mon regard, je sens qu’elle est perdue. Elle retourne alors dans ses papiers. Je vois que ses mains sont fébriles. Elle se redresse et se retourne, bien malgré elle, vers moi. Elle me tend les papiers. Je vois qu’elle n’avancera pas jusque moi. Je décide alors de me relever. Mes talons retouchent le sol, le bruit l’a légèrement fait sursauter, alimentant le rouge de ses joues. Je marche vers elle. Je m’arrête à sa hauteur, je saisis les papiers qu’elle me tend. Mais je ne les prends pas tout de suite avec moi. Mon geste est bref, comme pour lui donner une courte respiration de répit. Puis je continue mon chemin vers la porte entrouverte. Je la referme très légèrement, pour ne pas attirer l’attention du fiancé. Par contre, c’est un signal pour l’autre personne présente dans la salle d’attente. J’espère juste qu’il n’arrivera pas trop vite.

Je ferme délicatement la porte et fais tourner tout doucement la clé dans la serrure. Je reste une seconde dos à elle et face à la porte. Je prends une respiration pour garder le contrôle de la situation et gérer la tension. Je me retourne alors vers elle. Mon regard est doux, mais déterminé. Je ne veux pas lui faire peur, je veux la rassurer d’abord, pour arriver à la faire céder. Elle me regarde, un peu ébahie, elle a toujours les papiers en main. Je me rapproche d’elle calmement. Je prends les papiers et je les repose sur le bureau. Elle suit des yeux mes gestes. Elle ne sait pas quoi faire, elle ne sait pas trop ce qui se passe. Peut-être est-ce la première fois qu’une femme tente de la séduire ? Peut-être est-ce la première fois qu’un de ses patients agit de la sorte ? Elle n’a plus vraiment de contrôle sur la situation. Comme elle semble tétanisée et que son bras ne s’est pas détendu depuis que je l’ai dépossédée de ses feuilles, je dépose ma main gauche sur son épaule droite.
Et doucement, en lui effleurent le long du bras, je l’invite à reprendre une position plus détendue. A mon contact, elle se raidit un peu, mais quand j’ai fini de la caresser, je sens qu’elle s’est détendue.
— Alors j’avais un peu de dentifrice sur le menton, lui dis-je.
Elle acquiesce légèrement. Ma main gauche a continué sa route jusqu’à sa main et mes doigts passent délicatement sur les siens. Je parle très bas, je n’ai pas envie d’être entendue par l’homme auquel elle a décidé de se lier. La tension est toujours présente ;
— Tu as vu que je n’avais pas de sous-vêtements ?
Je me pince le téton droit en lui disant ça. Elle acquiesce à nouveau. Du même geste, ma main droite se rapproche de son visage et je viens replacer délicatement une mèche de cheveux derrière son oreille. J’en profite pour effleurer son visage. Je rapproche alors mon corps du sien. Elle commence à reculer, mais elle se trouve vite bloquée les fesses contre le bureau. Nos corps ne se touchent pas encore.
Sous sa tenue de dentiste, j’ai du mal à saisir ses formes. Je pense qu’elle est mince. Sa poitrine est petite. Elle est un peu plus grande que moi. Ainsi coincée, je décide d’effleurer ses seins avec ma poitrine. Le contact me plaît. J’observe son souffle s’accélérer. Je lui dépose alors doucement un baiser sur la joue. Je lui prends la main droite. Et je la tire vers moi en même temps que je me dirige vers le fauteuil médical.
Je m’assieds à nouveau sur le siège et je laisse me regarder quelques centimètres en face de moi. Je remonte ma robe pour lui faire observer davantage mon entrejambe. Elle a quitté mes yeux et son regard profite du spectacle. Ma chatte est propre et tout juste épilée. Elle luit un peu de l’excitation montante de ce rendez-vous. Je garde les jambes bien écartées et je dirige ma main droite sur ma zone humide. Je la regarde et je lui souris. Je me caresse délicatement. Je tourne autour de mon clitoris. Je répartis la cyprine sur mes lèvres. J’aime sentir que ça glisse. Je crois que ça l’excite. Son regard est captivé. Le rouge aux joues toujours présent. Mais je ne sais plus si c’est par surprise ou par excitation. Ensuite, je lui souffle :
— A quoi penses-tu ?
En même temps, je me rentre doucement le majeur dans le vagin. Elle a la bouche légèrement entrouverte, mais aucun mot n’en sort.
De ma main gauche, je lui prends doucement la main et je viens la déposer sur ma cuisse gauche, sur ma peau nue, juste au-dessus du bas mi-cuisse. Je vois qu’elle commence à me caresser. Son autre main arrive à hauteur de ma poitrine et elle vient me toucher le sein droit doucement. Juste là où le téton pointe à travers le tissu. Il réagit d’ailleurs à ce contact et se durcit davantage. La main sur la cuisse commence à remonter doucement sur mon flan. Je la regarde et je lui demande si elle veut en voir davantage. Elle acquiesce à nouveau. Elle a perdu le sens de la parole. Je saisis le bord de ma robe et je la fais remonter en un geste fluide au-dessus de ma tête et la laisse tomber par terre. Je suis nue sur le siège. Il y a un peu de mon fluide qui se retrouve dessus d’ailleurs. Alors elle commence à me parcourir de ses deux mains. Elle passe sur mon ventre, ma poitrine. Elle s’attarde surtout sur mes seins. Elle redescend sur mes cuisses.
Elle passe par-dessus ma chatte, mais ne s’y attarde pas. Moi aussi j’ai envie de découvrir son corps. Mais j’ai envie qu’elle aille plus loin d’abord. Je me redresse un peu et nos visages sont plus proches. Je la fixe. Ses mains se sont arrêtées sur mes hanches. Je rapproche mes lèvres de sa bouche. Mais je ne l’embrasse pas. La tension monte encore. Finalement, elle cède. Elle m’embrasse, vite et furtivement. Je suis satisfaite de son comportement.
Alors, je décide de prolonger le baiser. D’abord, j’ai envie que nos lèvres glissent les unes sur les autres. Ensuite, le baiser devient plus langoureux, nos langues se collent l’une à l’autre. Ses mains sont partout sur moi. Mais pas encore sur mon entrejambe. De mon côté, j’ai glissé mes mains sous sa veste. Je rencontre un soutien-gorge que je décide de défaire pour mieux palper ses seins. Ses tétons sont très petits, à peine sortis. Ses seins sont très fermes, ils tiennent dans ma main. J’ai envie d’en voir plus. Alors, sans lui laisser le choix, je soulève sa blouse. A nouveau, elle rougit, mais elle ne s’oppose pas. Je reste un instant à l’observer. Découvrir la forme et la couleur de ses tétons. Ils sont très foncés et aux aréoles plutôt larges. Je remonte mon regard vers le sien, le sourcil droit légèrement relevé et un sourire en coin. Je vois qu’elle écarquille un peu plus les yeux, l’incertitude augmente encore. C’est alors que je me jette rapidement sur son sein gauche.
Je saisis le téton entre mes lèvres et puis je me stoppe. Et là, je commence à le laper doucement. J’ai envie de voir comment il réagit. Il se durcit à peine, ne sort pas plus. Encore une dont les seins ne sont pas assez travaillés. Je lui suce, lui aspire, lui mordille légèrement cette petite proéminence. De l’autre main, je manipule le sein libre. Je pince le téton esseulé pour le rendre plus sensible. Puis j’alterne, ma bouche entame la route vers l’autre sein. Pendant la traversée, je relève les yeux et je croise son regard, un peu abasourdie sur ce qu’elle est en train de vivre. En baladant ma langue du sein gauche au sein droit, je m’attarde à hauteur de son sternum. Je lui lèche un peu le creux de la poitrine avant d’atteindre l’autre sein. Je vois que ça lui plaît. Elle a la bouche entrouverte et elle observe les mouvements de ma langue. Une fois sur l’autre sein, le traitement est le même. J’entends son souffle qui s’est accéléré.
Elle passe alors sa main dans mes cheveux délicatement et timidement. Elle descend dans ma nuque, sur mon épaule. J’abandonne son sein pour descendre plus bas sur son ventre. Chacune de mes mains sur ses seins, je fais onduler ma langue sur son ventre avant de rejoindre son nombril, où j’y reste un peu. Je mordille légèrement les bords, j’y enfonce ma langue, la fais tourner, le lape, l’aspire.
C’est à ce moment que la porte s’ouvre. Comme prévu, suite au signal, il a attendu quelques minutes avant d’inventer une excuse au fiancé et de lui faire croire qu’il avait quitté le cabinet. Il est maintenant dans la même pièce que nous. Cette porte ne ferme pas à clé. Il croise d’abord mon regard. Je suis contente de le voir et encore un peu plus excitée. Elle, par contre, a sursauté et s’est reculée de quelques pas. Je l’ai rattrapée par la main pour qu’elle ne se retrouve pas hors de ma portée. L’attitude de mon homme la calme. Il prend place dans la chaise avec le plaid et dit
— Je ne voulais pas vous interrompre, continuez.
Le regard de la dentiste est perdu. Elle passe de moi à lui, de lui à moi. Je me mets debout pour la rejoindre. Je colle mon corps au sien et je recommence à l’embrasser, pour la ramener dans la bulle que nous avions créée. Je passe mes doigts dans ses cheveux, je redescends dans son dos et malaxe ses fesses doucement.
Je l’attire vers moi et je nous dirige vers le fauteuil. Je lui fais comprendre que je désire qu’elle s’allonge. Elle comprend ce que je veux et timidement se couche sur le siège. Je la chevauche alors. Je continue de l’embrasser, j’ondule de mon corps sur elle, je l’effleure. Je me positionne de telle manière à pouvoir me caresser l’entrejambe sur sa cuisse. Je commence de légers mouvements d’avant en arrière. La pression reste légère. J’en profite aussi pour passer mes seins au-dessus de son visage. Ses mains sont sur mes fesses puis parcourent mon dos. Je lance des regards de temps à autre, à mon homme, qui nous regarde et qui a abaissé son pantalon jusqu’aux chevilles. Là assis, la queue déjà bien en forme, il se branle doucement en nous regardant. Je lui souris. Son regard est plein d’excitation. Mes mouvements de bassin se font plus insistants sur sa cuisse, j’accélère le frottement et je sens l’orgasme monter.
Puis, d’un coup, je reçois une décharge dans la poitrine, je suis surprise, car elle a pris l’initiative de m’attraper le téton droit dans la bouche. Je reprends mon ondulation sur sa jambe. Mon clitoris est bien gonflé, l’orgasme continue à se rapprocher. Elle est un peu maladroite dans ses baisers sur mon sein, mais le fait qu’elle ait osé m’excite. Je ferme les yeux pour me concentrer sur les sensations : mon entrejambe sur sa cuisse et le tissu qui frotte, ses mains sur mes fesses qu’elle caresse doucement et sa langue qui lèche et tourne autour de mon téton. L’orgasme est prêt à déborder. C’est là que je rouvre les yeux et tourne ma tête vers lui. Il me fait alors un signe pour le rejoindre. Visiblement, il veut être celui qui me fera accéder à l’orgasme. C’est lui le Maître, je m’exécute. Je tourne mon visage vers notre jolie dentiste et je lui dis :
— Profite du spectacle, en l’embrassant.

Je me redresse et j’observe que j’ai taché son pantalon en me frottant. Ça me plaît et je me demande quelle excuse elle trouvera à son futur mari.
Je descends du siège et traverse la pièce pour le rejoindre. Il s’est levé lui aussi. Je l’enlace et commence à l’embrasser langoureusement. Je suis très excitée. Sa queue me donne envie. La scène d’exhibition à venir rend mon désir d’être prise insupportable. Il le sait. Il s’assure que la dentiste nous observe. Il veut lui montrer comment caresser le corps d’une femme. Ses mains expertes parcourent tous les recoins de mon corps. Il malaxe fermement mes seins. Il claque mes fesses, pas trop fort, pour ne pas réveiller les soupçons du fiancé. Il me rentre deux doigts dedans et me masturbe très vite, tout en parcourant mes seins avec sa bouche. Son passage sur mes tétons est intraitable. Je retiens les cris qui montent. Je suis maintenant trempée. Prête à l’utilisation. Il s’arrête alors et se tourne vers notre spectatrice :
— Ne te retiens surtout pas si tu as envie de te toucher ou de nous rejoindre.
Là il me saisit par les cheveux et me positionne dos à lui.
J’ai mes fesses contre son pénis. Il m’a positionnée face à l’accoudoir du fauteuil. Il me force alors à me pencher vers l’avant. Il écarte mes grandes lèvres, place son gland face à mon antre trempé. Il me ressaisit les cheveux pour me cambrer encore plus. Puis, il rentre alors très très très lentement. Chaque millimètre enfoncé déclenche des tremblements dans mes jambes. Une fois empalée jusqu’à la garde, il reste comme ça. C’est comme si je suffoquais. Pour accentuer cette sensation de manquer d’air, il place une main sur ma gorge et commence ses mouvements de bassin. Il y va lentement. Il préfère éviter de faire claquer son bassin contre moi. Chaque pénétration est longue et profonde. Il va le plus loin possible. A chaque fois qu’il est au fond, mes jambes tremblent plus fort. J’ai envie de crier, mais il me tient fermement à la gorge et aucun son ne peut sentir. Je manque bientôt d’air et il le sent. Il déplace alors sa main sur ma bouche.
De cette manière, je peux respirer, mais mes cris seront retenus. Les cheveux toujours tirés et maintenant muselée, il effectue des mouvements de plus en plus rapides. Il me lime. Le plaisir est fort. Je sais ce qu’il est en train de faire. Ça monte, ça monte très vite et très fort. Je suis tellement excitée. Il sait ce qu’il doit faire pour que je sois submergée. Et il s’y prend si bien, que je ne peux retenir l’éjaculation qui vient et qui trempe mes jambes et les siennes. Il vient alors coller son buste contre mon dos et me redresse contre lui. Sa main tient mon visage contre le sien. L’autre traverse mon buste et me saisit un sein. On regarde notre jolie dentiste. Le rouge de ses joues est cramoisi. Elle a sa main dans son pantalon. Il semblerait que son orgasme fut intense aussi.
Mon chéri continue ses mouvements de queue en moi. Je la regarde et ça m’excite encore plus. Il descend sa main sur mon clitoris. L’autre main est revenue sur ma bouche pour ne pas alerter le fiancé. Un nouvel orgasme monte et me met KO. Il sort sa queue doucement, s’assure que je ne m’effondre pas. Il me glisse dans l’oreille que nous devons y aller maintenant. Le prochain client est déjà là. Il remonte son pantalon et se dirige vers le fauteuil et la dentiste. Il lui souffle
— Tu n’auras pas vu grand-chose, mais j’espère que ça t’aura donné envie.
Puis il l’embrasse tout en glissant sa main sous son pantalon. Je ne vois pas ce qu’il lui fait, mais j’ai une idée. Car très vite, elle monte et elle ne sait pas retenir de lâche un petit cri. Une tache se dessine sur son pantalon vert bouteille. Il retire sa main et se penche pour récupérer ma robe. En se relevant, il lui dit
— Tu as nos coordonnées, j’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir.
Il se rapproche de moi et me donne la robe pour que je me rhabille. Une fois revêtue, je me dirige alors vers le bureau pour récupérer le papier. Nous la laissons là, couchée sur le siège. Nous sortons et je me dirige vers le guichet pour régler la consultation auprès du fiancé. Mon homme m’accompagne. Le fiancé semble surpris de nous voir à deux. J’ai les cheveux ébouriffés, les joues rouges, les traces de ses doigts sur ma gorge. Je paie la note et puis nous quittons le cabinet, sous l’air dubitatif du fiancé et le sourire béat de la dentiste.
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