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Rendre service peut changer ... la vie ?

Chapitre 12

Travesti / Trans
Cela fait 3 mois que je vis avec une espèce de gueule de bois quand je reçois un courrier d’un notaire du sud de la France.Antoine, mon ancien patron, est décédé d’une crise cardiaque, me laissant patron-orphelin de son gourou professionnel.
Ces jours furent très compliqués, heureusement, j’ai toujours mon "parrain" Patrick (ex-patron barman à "l’autre monde") et ma marraine Christiane, ma coiffeuse préférée, qui me soutiennent fortement. Laura, avec qui je suis désormais pacsé, est d’une aide précieuse au quotidien.
Côté travestissement, je suis désormais très rarement en femme, seuls mes seins siliconés restent la trace de mon passé tumultueux.
Le courrier est une convocation pour l’héritage d’Antoine, je suis très surpris d’être concerné, car effectivement nous avions partagé les parts de la société, mais je pense que ses parts doivent revenir logiquement à ses 3 enfants. La lettre précise que je dois venir en "Paul-Lyne", je suis étonné de cette demande sachant qu’Antoine n’aimait pas mon personnage féminin.
Je n’ai pas envie d’y aller, mais mes soutiens m’y obligent aussi, je passe cette journée à me féminiser. Christiane m’a convaincu de repasser chez elle pour, comme au premier jour de notre rencontre, m’occuper de mon système pileux et de ma coiffure. J’avais bien fait une épilation totale au laser, mais avec le temps, quelques poils sont revenus. L’épilation fut donc vite terminée, reste à mettre les extensions pour me refaire une coupe au carré comme quand j’étais jeune. On a le temps de bien discuter et Christiane a toujours les bons mots pour me redonner la pêche. Elle me demande si je veux me maquiller pour rentrer, étant habillé en homme, je me mets juste un coup de crayon aux yeux pour lui prouver que je n’avais pas perdu la main. Arrivé à l’appartement, Laura m’attendait :
— Ca te va toujours aussi bien cette coupe, Paul-lyne m’avait manquée, tu es très belle comme cela, je t’ai préparé des fringues sur le lit, tu vas être sexy ma chérie.— je ne sais pas si j’ai envie d’être femme et sexy aujourd’hui, j’ai une valise à faire pour partir en train demain.
Laura me suit dans la chambre, effectivement, je vois ma lingerie sur le lit et à côté, ma jupe droite en cuir et un petit pull-mohair noir qui a un col en V, fameux col qui m’a valu de grands succès par le décolleté qu’il annonce. Je n’ai pas envie de contester Laura; aussi, je me déshabille et me retrouve en culotte et soutien-gorge en coton rose devant elle.
— Ah ! Tu vois. Tu as repris de la lingerie ce matin, moche, mais c’est de la lingerie.— je ne me voyais pas aller chez Christiane en slip kangourou !
Laura vient se coller à moi, elle m’attrape les seins et les malaxe fortement; une forte érection immédiate fait sortir mon pénis de la culotte. Laura détache mon soutif, laissant ma poitrine toujours aussi ferme et fausse jaillir. Elle me pousse sur le lit, sa bouche se jette sur mon sexe, si ce n’est ma bite très raide, pour le reste je suis très passive alors que Laura s’active sans se restreindre. Sa langue est toujours aussi douce et plaisante, sa mâchoire puissante fait des succions régulières, je me retiens le plus possible, mais une nouvelle charge de la langue de Laura associée à son index qui est venu explorer mon anus me fait lâcher toute résistance, et c’est au fond de sa gorge que finit toute ma semence disponible.
Les lèvres de Laura viennent rejoindre les miennes, nous nous embrassons maintenant amplement et mon sperme est dispersé dans nos 2 bouches, il y avait longtemps que je n’avais pas retrouvé ce goût, que ce soit le goût de mon propre sperme ou celui d’un amant de passage (toujours autorisé par Laura !).
Après quelques minutes à nous être enlacés, je commence l’effleurage de Laura; mon but est simple, allez butiner son entrejambe. Ayant rapidement atteint mon but, ma langue explore toutes les parties des parties intimes, fraîchement épilées, j’adore lécher Laura, tous ses petits bouts de peau sont lisses et doux. Ma langue, accompagnée d’un ou deux doigts, est tellement active que le corps de Laura ondule littéralement, ses 2 mains posées sur mon crâne appuient autant que possible afin que je reste au contact.
Nous avons chacun pris notre plaisir, aussi nous nous retrouvons sous la douche, et comme d’habitude, nous nous faisons un combat de seins, ceux de Laura étant pourtant 100 % naturels, ils sont aussi fermes que les miens. Ces 4 masses se percutent et rebondissent les uns sur les autres, on aime ce contact, en général nos tétons durcissent au fur et à mesure et c’est celle qui ressent la première, une douleur aux tétons, arrête la partie. Cette fois-ci, j’ai perdu !
Pendant que je prépare ma valise, Laura est aux fourneaux. Un couvercle de conserve étant récalcitrant, elle me rejoint dans la chambre pour l’aider.
— Tiens, ouvre s’il te plaît.— C’est fait.— C’est quoi ces fringues ? T’as pris tes fringues d’Olivier, avec ta coiffure, il faut que tu voyages en Paul-lyne, ce serait plus discret.— Oui, t’as raison, je recommence, on fait quoi cette après-midi ?— T’es mignonne dans ta petite jupe en cuir, pourquoi on ne ferait pas les magasins pour nous détendre ?
— OK, bonne idée, je vais reprendre mes bonnes habitudes à marcher en talon.
La journée s’est terminée tranquillement.
Le réveil sonne, 6h15 c’est tôt pour moi. Douche et petit-déjeuner bouclés en moins d’une demi-heure, j’enfile ma petite robe noire (et le parfum qui l’accompagne) puis mes escarpins, je vérifie valise (car je reste une nuit sur place) et sac à mains, manteau et écharde sur les épaules, je fais un bisou à Laura avant de claquer la porte.
Il y avait longtemps que je n’avais pas pris les transports en commun; si tôt, je me fais remarquer avec mes collants fins, les autres personnes sont plutôt très couvertes.
Arrivée à la gare, j’ai de la chance, mon train est juste là, je trouve le wagon et ma place, un beau gosse est assis à ma place contre la fenêtre. Je lui demande avec ma voix à moitié enrouée et peu aiguë (il faut que je me "ré" entraîne) de se déplacer. Il me dévisage de la tête au pied, pas vraiment d’un air aimable, je me penche pour poser mon manteau sur mon siège, il ne gêne pas pour se rincer l’œil dans le fond de mon décolleté. Ensuite, je monte ma valise dans son emplacement, cela remonte ma robe sur le haut de mes cuisses laissant partiellement apparaître le motif qui sépare les jambes de la culotte sur mon collant. Il ne décroche pas les yeux de mes cuisses et va jusqu’à pencher la tête pour voir mon fessier moulé dans ma robe ajustée. Je m’assois enfin à ma place, il s’assoit à côté et visiblement, n’arrive pas à détacher son regard de mes cuisses.
Je me dis que 4 heures de train à se faire mater, cela va être long. Heureusement, le contrôleur passe nous contrôler, me demande une pièce d’identité, car j’ai une réduction par le biais de mes activités professionnelles, en me rendant mon passeport, il dit :
— Merci Monsieur.— De rien, bonne journée.
J’ai volontairement pris ma vraie voix d’homme, mon voisin écarquille les yeux, le contrôleur ayant continué son chemin, j’interpelle cet homme qui baisse désormais la tête, son regard visant ses genoux.
— Vous voyez, il faut se méfier des apparences, maintenant que vous avez bien apprécié la vue de mes seins et mes cuisses, voulez vous voir aussi les options cachées sous ma robe ?— Dé, dé, désolé, excusez-moi, je vais me chercher un café au bar, puis je vous en ramener un pour me faire excuser ?— OK, court sucré, j’en profiterai pour passer aux toilettes en votre absence, vous savez ce que c’est les femmes et les toilettes. Je lui fais un clin d’œil, il est gêné. Je le suis dans le wagon, je ne me rappelais pas que cette robe aussi courte et ajustée attirait autant les regards, même les femmes me suivent des yeux, il faut dire, sans me vanter outre mesure, que je suis super bien foutue dedans. Mon voisin est revenu avant moi, il me regarde approcher et se lève afin que je rejoigne mon siège. Je ne fais même pas l’effort de tirer sur le bas de ma robe, laissant clairement visiblement le motif de mon collant, mon voisin l’a vu en me tendant mon café.— Tenez.— Merci beaucoup (en reprenant une voix plus féminine, je m’entraîne pour le rendez-vous de l’après-midi)— Je vous ai pris une serviette si vous voulez.— Merci, je vous sens très perturbé, c’est le fait d’avoir eu un début d’érection en me matant tout à l’heure qui vous pose problème.— Non, rien de tout ça.— Menteur, j’ai entraperçu une belle bosse sur votre entrejambe.
J’ai pris l’ascendant psychologique et j’ai bien l’intention que son aventure matinale lui serve de leçon les prochaines fois où il va voir une femme arriver à côté de lui. Je pose ma main sur sa cuisse en lui disant :
— Je suis certaine de vous faire de nouveau dresser votre membre qu’en posant ma main comme cela.
Il repousse ma main sèchement.
— Ca va pas, j’suis pas PD.— On ne dit pas PD, mais homosexuel pour commencer. J’aurai posé ma main au même endroit il y a une demi-heure avant le passage du contrôleur, vous ne l’auriez pas enlevée, n’est-ce pas ?
Il est rouge écarlate et s’embrouille pour me répondre :
— Honnêtement non.— Je me serai penché pour vous sucer, vous vous seriez laissé faire, n’est-ce pas ? Vous m’auriez peut-être même appuyé sur la tête pour exprimer votre toute-puissance, non ?— Parlez plus bas, tout le monde vous entend.— Répondez-moi, vous faire faire une pipe dans le train sans savoir que j’étais un travesti, vous n’auriez pas dit non ? Hein ?— Chut, plus bas ! Sans doute oui.
Des regards se dirigent vers nous, on devine que certains ont écouté notre conversation. J’arrête là mon "agression instructive" sur mon voisin pour revenir à un échange plus cordial.
On se présente mutuellement et comme nous descendons au même endroit, il me propose même de faire un resto ensemble ce soir si les enfants d’Antoine ne m’invitent pas aussi, il me laisse son 06. Arrivé à la gare, mon galant voisin me descend même ma valise jusqu’au quai et, connaissant les lieux, m’indique la direction à prendre. Je trouve le bâtiment du notaire, j’ai juste 45 minutes avant pour déjeuner, le fast food juste à côté fait très bien l’affaire; une petite retouche maquillage dans les toilettes et me voilà prête et anxieuse pour affronter les enfants d’Antoine. Il m’avait souvent parlé d’eux, j’ai presque l’impression de déjà les connaître.
Je suis déjà dans la salle d’attente quand je vois deux hommes et une femme entrer. Tous les trois jettent des regards vers moi en discutant entre eux sans oser faire la démarche de m’interpeller. Je les reconnais, Antoine ne m’avait pas menti, un timide, une "grande- gueule", et au milieu, la sœur qui gère. Je fais donc l’effort de me diriger vers eux et me présenter.
— Je me présente "Olivier / Paul-lyne", sincères condoléances.— Ah ! On s’attendait à un vieux travelo déguisé en pute, mais vous êtes classe.
La femme demande à son frère de rester correct "pour une fois". On se présente, j’apprends qu’ils sont surpris de me voir là et surtout que leur mère ne soit pas conviée (pour mémoire, Antoine avait très mal vécu le divorce avec la mère de ses enfants). Je leur explique que je suppose que je suis convié, car Antoine et moi avions encore tous les deux des parts dans notre société et les sociétés annexes que nous avions créées par la suite.
Le notaire lit les actes du testament, Antoine a bien travaillé, les 3 enfants découvrent des biens dont ils n’avaient pas connaissance. Ils héritent chacun d’une maison et de terrain, sans parler d’une bonne somme d’argent dont ils auront bien besoin pour donner sa part à l’état.
Arrive le moment de la société dont je suis le gérant. Antoine avait vraiment réfléchi, aussi il a séparé ses parts de façon à ce que chaque enfant ait 15 % du capital et que j’ai au total toujours 55 % du capital dans les différentes sociétés. Les enfants, bien que ne connaissant rien de l’affaire, s’étonnent d’être minoritaires, aussi le notaire explique le raisonnement d’Antoine, précise aux enfants que je ne touche qu’entre 3 à 7 % des parts d’Antoine. Un des frères s’offusque; sa sœur lui dit que cela est la volonté de leur père, et semble correct aussi, il faut accepter les choses. Le rendez-vous terminé, nous prenons un café tous les quatre, nous échangeons nos coordonnées.
J’avais réfléchi il y a quelque temps à l’évolution de la société à la demande d’Antoine, et nous avions prévu 3 possibilités que j’expose à ses enfants : 1, on vend tout et j’ai trouvé un groupe susceptible de racheter, 2, on garde tout comme cela, 3, je leur vends mes parts s’ils veulent reprendre l’affaire. Nous nous mettons d’accord de boucler la succession avant toute décision et donc de nous rappeler dans 6 mois.
Vu l’heure, j’aurais pu prendre un billet de train pour le soir, trop tard, j’en profite pour faire le tour de la ville et appeler Laura pour lui raconter le rendez-vous et l’anecdote du train. Laura est contente pour moi, et me précise que si je recroise mon beau, et goujat voyageur, j’ai toujours sa bénédiction pour m’amuser avec lui. Sa réflexion cogite dans ma tête sur le chemin vers l’hôtel, à la fois, j’aime bien la liberté que l’on se donne, mais j’ai de plus en plus de mal à accepter qu’elle aille brouter le minou de sa copine de fac quand de mon côté, je me fais un extra; et pourtant comment pourrai-je lui interdire ?
Je suis dans mon bain quand j’entends mon téléphone sonner, je sors, tout mouillé pour répondre, c’est Mathieu, mon voisin de train qui a annoncé à sa famille qu’il avait un repas d’affaires ce soir et il souhaite m’inviter et me prendre à mon hôtel vers 19h30 si je le souhaite. J’accepte. Mon défi du soir : convertir un hétéro aux plaisirs homo, tout simplement le faire devenir bi comme moi.
C’est Laura qui a finalisé ma valise et elle sait que j’adore, quand je suis en femme, être la plus féminine possible. Je vais donc me mettre au top pour mon gentleman du soir (enfin gentleman goujat). J’attaque par la guêpière noire, j’accroche mes bas-coutures, puis j’enfile mon string, c’est toujours compliqué de faire rentrer mon sexe d’homme dans ce petit morceau de dentelle quand en même temps les jarretelles font tout pour faire descendre celui-ci quand je marche. Ma robe noire est aussi moulante en haut et patineuse sous la taille; j’ai du mal à fermer la fermeture éclair dans le dos, j’aurai peut-être un prince charmant ce soir pour l’enlever, qui sait ?
Je m’applique sur le maquillage, je mets mes escarpins, je vérifie mon sac à main, je vois que Laura a glissé quelques préservatifs sur le côté, elle sait que dans les moments où j’ai le blues, avoir une activité sexuelle avec un homme me détend, c’est bien la seule chose qui m’attire des hommes, leurs pénis, je ne me verrai vraiment pas vivre au quotidien avec un mâle.
Mathieu m’attend devant l’hôtel, c’est marrant, il me fait la bise avant de me monter son véhicule. Dans la voiture, je le sens stressé, il parle sans arrêt, il m’explique que c’est la première fois qu’il ment à sa femme, que cela le gêne de la laisser seule avec leurs trois jeunes enfants à s’occuper avant qu’ils partent au lit.
— Si tu regrettes de m’avoir invité, je peux rentrer à l’hôtel, cela ne me dérange pas.— Non, non, je voulais vraiment te revoir.— Je t’ai perturbé ce matin, j’ai vu, tu es attiré par les hommes, les travestis ?— Non, à vrai dire, ce matin, je me suis dit : c’est une "chaudasse" celle-là; je lui défoncerai bien le cul.— Ah ! Et tu es un adepte de la sodomie ?— C’est un fantasme que j’aimerai assouvir, mais jamais une de mes anciennes copines ou ma femme n’a accepté.— Et tu penses que j’aime la sodomie ?— Si tu es habillé en femme, c’est que tu aimes faire la femme, non ?— Pas si simple que cela; mais effectivement, de temps à autre, faire la femme comme tu dis ne me déplaît pas, ma femme aime bien aussi.— Mais tu as une femme ?— Eh oui, alors tous tes préjugés sont démolis ce soir, hein ?— Euh, un peu oui.— Ca te dirait une petite pipe en amuse-gueule ce soir, je vois que tu as déjà la gaule.— C’est vrai, tu veux ?— T’as jamais trompé ta femme depuis tes gosses ?— Même avant.— Je ne le fais jamais, mais je peux te sucer sans préservatif; j’ai envie de goûter ton sperme, arrête-toi sur le parking là-bas.— OK.
La voiture s’arrête, Mathieu ne dit plus rien, j’ai pris les choses, enfin...la chose en main. On recule les sièges, je le déboutonne, il a le regard perdu, je sors son sexe de son étui, j’ai l’impression que le coup est déjà proche du départ, en petite salope que je suis dans ces cas-là, je lui dis de penser à sa femme et ses enfants pour se calmer. Effectivement, cela le calme de suite, je peux reprendre les choses à mon rythme, je sens quand même que ce serait rapide, léchage de gland, quelques allers-retours, une bonne succion comprimante, quelques nouveaux allers-retours, et voilà "mon" Mathieu qui se libère tout au fond de ma gorge. Ma langue nettoie entièrement son sexe afin qu’il puisse le remballer pour continuer notre chemin. Avant cela, je lui pose mes lèvres sur les siennes; après un léger recul, il accepte, puis il ouvre sa bouche afin que nous mélangions nos langues; à sa surprise, j’avais gardé un peu de son sperme afin qu’il en profite aussi.
— Salope, tu m’as refilé du sperme.— Je t’avais promis un amuse-gueule, c’est bon non ? Et puis, c’est le tien ce sperme, c’est pour ne pas gâcher, du recyclage en somme.— T’as de la chance, ton jus a bon goût, ce n’est pas toujours le cas, certains sentent l’urine. Allez, en route, si tu ne veux pas rentrer trop tard ce soir, et tu veux mon cul en dessert.
Nous arrivons à un petit resto en basse campagne, visiblement coté. Je joue à fond le rôle de la femme amoureuse, Mathieu en est encore une fois très perturbé. Le resto se déroule sans encombre, Mathieu répond au SMS de sa femme qui lui donne des nouvelles de sa famille et lui demande de rentrer le plus tôt possible s’il le peut. Pour rigoler, je lui propose de faire un selfie pour l’envoyer à sa femme, il apprécie très peu ma plaisanterie.
Repas terminé, je lui propose de venir dans ma chambre pour tenir ma promesse et qu’il réalise son fantasme. Il refuse prétextant qu’il peut être reconnu en centre-ville et aussi, il préfère faire cela dans la nature.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons près d’un espace vert que nous finissons par rejoindre à pied. On ne voit pas grand-chose de nuit, mais on devine un point d’eau; je m’appuie sur une rambarde pour observer, les mains de Mathieu sont déjà à caresser mes fesses au-dessus de ma robe puis les passent en dessous. Je l’arrête pour lui donner un préservatif, il l’enfile, sa queue est encore plus dure que tout à l’heure, l’air frais ne lui coupe pas l’effet.
Après avoir humidifié un doigt avec lequel il me prépare, son sexe pointe devant mon anus, j’avoue que je mouille un peu, quelques coups de boutoir suffisent pour me pénétrer, Mathieu devient violent, presque bestial, mais je ne le freine pas; voire même, j’accentue ses mouvements en l’accompagnant. L’affaire est vite et bien terminée, dans un souffle, en éjaculant, Mathieu me dit "merci". String remonté, robe rabaissée, je remonte en voiture, Mathieu reste de nouveau silencieux. Je lui demande s’il a aimé, sans un mot, d’un signe de la tête, il me répond que oui. Nous sommes devant l’hôtel, Mathieu me tend la main pour me dire au revoir, je lui impose un bisou.
Retour dans ma chambre, j’envoie un SMS à Laura pour lui dire que j’avais fait un "extra", elle me répond qu’elle a aussi fait un "extra", avec un minou qui a fini bien mouillé, elle le sait que cela m’agace.
Lendemain matin, première heure, je suis de nouveau dans le train pour mon retour, je reçois un SMS de Mathieu pour me remercier. Il me dit avoir tout avoué à sa femme, elle a pleuré, mais a compris. Elle fera un effort pour essayer la fellation et la sodomie dans les temps à venir. En réponse, je propose un soutien technique à sa femme si elle le veut.
Mathieu m’écrit qu’au final, ce qu’il y a de plus perturbant chez moi, c’est mon humour !
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