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Rendre service peut changer ... la vie ?

Chapitre 13

Travesti / Trans
6 mois ont passé depuis la visite chez le notaire pour l’héritage d’Antoine, nous avons de nouveau rendez-vous chez le notaire, car les enfants d’Antoine ont décidé de racheter mes parts et reprendre l’entreprise initiée par leurs pères. Ce n’est pas une surprise, c’est sa fille qui va diriger les affaires. Les papiers signés, elle me propose de m’inviter à dîner, je refuse, car j’ai toujours gardé des contacts avec Mathieu donc une nouvelle fois, il va mentir à sa femme et prétexter un rendez-vous d’affaires.
Je repasse donc à l’hôtel pour me changer et me faire aussi féminine que possible, body dentelle, bas résille, petite robe noire et escarpins surélevés, me voilà prête pour la séance maquillage ! Je le fais un peu provocant, un rouge à lèvres rouge vif, et j’ai collé des faux cils très longs.
Je descends à l’entrée, Mathieu m’accueille par un bisou sur les lèvres, lui qui se voulait discret avant. Nous partons au restaurant, il me raconte sa vie, sa nouvelle vie. En effet, il a voulu pratiquer une sexualité un peu différente avec sa femme, mais vraiment, celle-ci n’apprécie pas, ni la sodomie ni la fellation, aussi, elle autorise Mathieu à aller faire des "extra" s’il se protège.
Le repas est vite terminé, Mathieu étant pressé de retourner à l’hôtel. A peine arrivé, je pars me soulager, je reviens vers le lit, Mathieu est déjà allongé nu comme un ver, le sexe au garde à vous. J’envoie voler mes escarpins et descends la fermeture éclair de ma robe, c’est donc toute en dentelle que je rejoins mon homme du soir. Il me regarde et ne dit rien, il me tend un préservatif, je m’applique à le dérouler sur son membre rigide.
Ma langue frôle le bout de ce sexe puis caresse tout le tour du dessous du gland, Mathieu pousse déjà des petits cris qu’il essaye de contenir. Ça y est, ma bouche englobe son gland, j’alterne les allers-retours, mais aussi des succions avec pression, ce sont carrément des râles que désormais Mathieu pousse. Je relâche mon effort et viens placer mon anus en face de ce buttoir. Je m’humidifie un peu mon orifice pour faciliter le passage. Je laisse mon poids faire le nécessaire pour que mon corps s’enfile littéralement sur le pénis de Mathieu, j’entame des mouvements réguliers, profitant de toute la longueur de son membre, après quelques bonnes séries d’accélération, Mathieu explose dans son préservatif.
Nous nous allongeons côte à côte, pour se reposer, Mathieu semble ailleurs puis se décide à me poser une question, enfin la question, comment cela fait de se faire sodomiser, j’essaye de lui décrire et tout simplement lui propose de l’initier, même si ce n’est pas ma tasse de thé. Il se laisse faire, c’est donc un doigt puis deux qui visitent le petit intérieur de Mathieu, il réagit vite, mais se laisse toujours faire. Mon sexe n’est pas entièrement raide, mais suffit pour que je puisse enfiler un préservatif et venir me présenter face à l’anus de Mathieu. Il commence à me dire "tout compte fait non non", mais je suis trop excité pour m’arrêter, alors d’un seul coup, je rentre entièrement mon membre, il pousse un cri à la fois de joie et de douleurs. Je reste sans bouger quelques secondes puis j’entame les va-et-vient, Mathieu souffrant quand même un peu, je me dépêche de me finir puis me retire.
Il se lève pour partir aux toilettes et revient à petits pas, me disant qu’il avait mal "au cul", de mon côté, mon sexe me fait mal aussi, et ce n’est pas la première fois. Nous discutons un peu, puis Mathieu se rhabille, malgré sa douleur, sa nouvelle expérience lui a donné envie de recommencer. Nous nous quittons sur ce nouveau projet pour mon amant d’un soir.
Le lendemain, de retour à la maison, je pars à la recherche d’une nouvelle activité même s’il n’y a pas d’urgence, car la vente de mes parts de l’entreprise m’a mis à l’abri de tout besoin jusqu’à la fin de ma vie.
Laura est en congé, nous faisons l’amour classiquement, cela fait du bien des fois de rester dans la sobriété. C’est en Paul-Lyne que j’accompagne Laura à un vernissage d’une de ses connaissances. Je ne me sens pas très bien, encore mal au sexe comme la veille. J’en parle à Laura qui me conseille de consulter.
Rendez-vous chez le médecin trois jours plus tard, il touche mon sexe, va palper ma prostate en me précisant que cela se voit que je n’ai pas peur du toucher rectal. Il fait des grimaces, préconise prise de sang, prélèvements, etc. il reprend un gant et me demande de reprendre une nouvelle fois la position pour qu’il vérifie une nouvelle fois la prostate. La situation est assez comique, car avec deux doigts dans mon anus, il malaxe ma prostate, et de l’autre main, il téléphone à un confrère qui a une clinique afin qu’il me fasse passer prioritairement des examens.
Mon sexe se raidit un peu, il voit que ses activités dans mon anus me font effet, il retourne à son bureau.
La semaine suivant, j’entre à la clinique, mes seins siliconés et mon allure féminine amusent le personnel. Tout va très vite, la sentence tombe, je suis atteint de la maladie qui fait tant de dégâts. Ils prennent donc la décision de faire des tests sur tout l’appareil génital, deux jours après, la sanction est là, il faut tout enlever, prostate, pénis, testicules, et cela, rapidement.
Le professeur m’explique en détail l’avenir, les ablations, la reconstruction et les traitements. Il me conseille de voir un psychologue vu ma particularité, en clair, mes seins siliconés.
L’opération a eu lieu, c’est très douloureux, Laura me soutient autant que possible, elle est très présente, elle est là le jour où le psy vient me rendre visite. C’est une femme, elle est très directe, on peut me reconstruire un sexe d’homme, mais dont la seule fonction sera d’uriner. Ils vont me donner un traitement à vie d’oestrogène, aussi je vais prendre de la poitrine et d’autres atouts féminins, donc elle conclut par la possibilité, après m’avoir précisé de s’être entretenu avec Laura, que je devienne une femme.
Un an vient de passer, beaucoup de souffrance, mais la maladie est derrière moi, j’ai rendez-vous à la mairie pour aller chercher mes nouveaux papiers, disparu Olivier, disparu Paul-Lyne, bienvenue Pauline.
Je rentre à la maison, l’amour de ma vie Laura est toujours là. Je lui montre mon passeport, preuve que je suis désormais femme officiellement.
Nous nous embrassons, les petits bisous se transforment rapidement en baisers fougueux, je lui enlève sa robe, elle enlève la mienne, je lui décroche son soutien-gorge, elle détache le mien, je me baisse pour faire glisser sa culotte dentelle le long de ses jambes, à son tour, elle fait tomber mon string. Je lui lèche les seins, aspire ses tétons, je la pousse sur le lit, elle se retrouve sur le dos, les cuisses ouvertes, ma bouche se jette sur son entrejambe, ma langue remue ses petites lèvres, elle se retient de pousser des petits cris, puis se lâche. A son tour, elle vient amuser mon nouveau sexe, il est encore douloureux, elle n’insiste pas, un gros câlin me suffit.
Elle me regarde, et tout en souriant, me dit : tu devrais écrire un livre "comment je suis passé d’hétéro à BI à lesbienne".
En voilà un nouveau projet.
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