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René et la lampe magique

Chapitre 1

Les trois vœux

Voyeur / Exhibition
Je me présente, René, retraité de soixante-cinq ans encore vert de la queue, mais marié avec Jeannette, soixante-deux ans, plus vraiment attirée par la bagatelle. Personnellement, je suis plutôt du genre voyeur, j’aime observer ce qui se passe autour de moi, et croyez-moi, quand on sait observer, il se passe beaucoup de choses inavouables autour de nous.
Je suis également un grand collectionneur, tout m’attire, les cartes postales érotiques, les timbres et les beaux objets. C’est justement en faisant le tour d’une brocante que je suis tombé en extase devant une magnifique lampe à huile. Vous savez, dans le genre de celle qui contenait le génie dans Aladin. Elle était tellement belle que j’ai succombé, je l’ai achetée.
Une fois rentré chez moi, je me suis enfermé dans mon garage qui me sert à entasser toutes mes trouvailles, une vraie caverne d’Ali Baba. J’ai pris un chiffon et j’ai commencé à astiquer la lampe pour lui redonner son éclat d’antan. Tout à coup, une énorme flamme est sortie du bec de la lampe, suivie d’un énorme nuage de fumée blanche. J’ai été tellement surpris que j’ai ouvert mes mains et la lampe s’est retrouvée par terre. Une voix caverneuse se fit alors entendre :
— Non, mais, ça va pas, c’est quoi ces façons de me réveiller de pareille sorte ?
C’est alors que sortant du nuage de fumée un étrange bonhomme, vêtu comme le druide dans Astérix s’approcha de moi :
— C’est toi qui m’as secoué comme ça ? Tu pourrais être un peu plus délicat avec le vieux matériel.
Je devais être dans un rêve éveillé, j’avais des hallucinations. J’allais ouvrir les yeux et me réveiller.
— Ben ça alors, tu en fais une tête, on dirait que tu as vu le diable en personne. — Qui êtes-vous donc ? demandais-je. — Ça ne se voit pas ? Je suis le génie de la lampe, d’où crois-tu que je vienne ? C’est bien toi qui l’as astiquée tout à l’heure ? Tu m’as appelé, je suis là, que puis-je faire pour toi ? — Franchement, je ne sais pas trop, vous avez quels pouvoirs ?— Ils sont sans limites, demande et tu seras exaucé. Seule restriction : seulement trois souhaits. — Si vraiment vous pouvez tout faire alors je me lance. J’ai toujours rêvé de pouvoir claquer des doigts et d’être instantanément transporté là où je le voudrais tout en étant invisible, c’est possible ça ?— Bien sûr, continue, encore deux souhaits :— Eh bien, bien que je sois invisible, je voudrais pouvoir toucher les personnes sans qu’elles me voient. — Ah je comprends ! Comme baiser une gonzesse par exemple, elle sentirait ta queue et tout le reste, mais sans te voir, c’est ça ? Pas de problème, plus qu’un vœu. — Eh bien, si ce n’est pas trop demander, j’aimerai bien que ma bite soit cinq centimètres plus longue. — Ça peut s’arranger mec, laisse-moi retourner dans ma lampe, dans une heure, tout sera comme tu l’as désiré. Mais attention, n’en abuse pas, sinon tes pouvoirs disparaîtront sans prévenir.
D’un coup, le nuage et le génie s’engouffrèrent dans la lampe. Est-ce que j’avais rêvé ? Dès ce soir, je vérifierais tout cela.
En allant pisser avant de me coucher, je fus surpris de constater que ma queue faisait bien cinq centimètres de plus qu’hier. J’étais impatient de tester mes deux autres pouvoirs. Nous habitions dans une HLM et je savais qu’à l’étage au-dessus habitait une jeune femme d’environ vingt-cinq ans, bandante à souhait et surtout non accompagnée. Quand mon épouse se fut endormie, je m’installais sur le bord de mon lit et je visualisais mentalement l’appartement situé juste au-dessus. J’ai claqué des doigts et deux secondes plus tard, je me retrouvais dans la chambre de la jeune femme qui était au téléphone.
Elle ne semblait pas se rendre compte de ma présence. Elle était juste vêtue d’une petite nuisette transparente qui ne cachait rien de ses merveilleux appâts. Elle avait de très beaux seins en forme de poire, les pointes dressées semblaient vouloir traverser le léger vêtement. Elle était assise en tailleur dans le milieu du lit, une de ses mains s’activait entre ses cuisses. Quand je m’approchais d’elle, elle n’a eu aucune réaction, je devais donc bien être invisible à ses yeux. Mon regard fut attiré par un petit objet rose qui sortait de sa chatte rasée. La belle demoiselle avait un petit vibro bien enfoncé entre ses grandes lèvres. Elle se tortillait sur place, par moments, elle se mordait la lèvre inférieure tout en gémissant, le petit objet devait faire son effet. Elle tenait le téléphone d’une main et conversait avec celui qui devait être son petit ami tout en s’activant entre ses cuisses.
Ensuite, elle se pencha vers la petite table de nuit et elle sortit du tiroir un gode de belle taille ainsi qu’une petite bouteille. Elle l’ouvrit et versa une partie du contenu sur le gode qui devint tout luisant, c’était certainement une huile pour lubrifier l’engin. Elle se mit à genoux et plaça le gode juste en dessous de son petit cul, le tenant fermement d’une main, l’autre tenait toujours le téléphone.
— Attends, je vais te faire voir comment je voudrais que tu me la mettes dans le cul mon amour, regarde comme il rentre bien, hummmm.
Joignant le geste à la parole, elle fit glisser le téléphone sous ses fesses, le chéri devait avoir un gros plan sur la pénétration qui se faisait en direct. Elle plaça le gode dans sa rosette et elle se laissa descendre en faisant des petits allers-retours. En m’approchant plus près, je jetais un coup d’œil sur l’écran et je pus admirer la belle queue de son amoureux. Il se l’astiquait consciencieusement tout en fixant l’écran.
Il va sans dire que de mon côté, je ne perdais pas de temps, prenant exemple sur le bel hidalgo, je me branlais comme un fou. Elle s’empala sur le gode jusqu’à la garde tout en se branlant le clitoris, elle avait les yeux révulsés, ce qui présageait d’une jouissance proche. Ils atteignirent le sommet du plaisir pratiquement en même temps, elle cria son bonheur au même moment que son amoureux déchargeait sur l’écran du téléphone. Dans les secondes qui suivirent, je crachais mon foutre sur la cuisse de la belle qui n’en croyait pas ses yeux.
Il était temps pour moi de m’éclipser avant qu’elle ne cherche à comprendre d’où venait cette trace de foutre. J’étais rassuré sur l’efficacité de mes pouvoirs, c’était merveilleux de pouvoir assister à un tel spectacle sans déranger les acteurs.
(A suivre ...)
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