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René et la lampe magique

Chapitre 4

Et ça continue

Voyeur / Exhibition
Cette troisième expérience m’avait fait prendre conscience d’une chose, c’est qu’il ne fallait jamais se fier aux apparences et se méfier de l’eau qui dort. On dit que dans chaque homme sommeille un cochon, mais je m’apercevais que derrière chaque femme pouvait également se cacher un être totalement différent de celle qu’elle semblait être.
Ma quatrième expérience se présenta à moi, totalement par hasard. Je me promenais en ville quand, passant devant la terrasse d’un café, mon regard fut attiré par une merveilleuse créature qui sirotait une boisson à la menthe à l’aide d’une paille qu’elle portait délicatement à sa bouche. Je m’installai à quelques tables d’elle de façon à pouvoir la mater tranquillement sans être trop près.
Cette grande blonde aux cheveux longs était habillée très chic. Une paire de lunettes noires cachait ses yeux, elle portait un chemisier blanc avec un profond décolleté qui dévoilait une partie de sa généreuse poitrine. Pour compléter le tableau, elle avait une jupe noire pas trop longue qui dévoilait ses longues jambes gainées de collants noirs également. Ses jolis pieds étaient élégamment chaussés d’une paire de chaussures couleur or avec de très hauts talons. Tout dans l’apparence de cette femme n’était que sensualité et volupté.
Elle semblait un peu nerveuse et regardait fréquemment sa montre, très chic aussi d’ailleurs, tout en croisant et décroisant ses longues jambes fuselées. C’est quand elle changea de position que furtivement, je me rendis compte que ce n’était pas des collants qu’elle portait, mais de somptueux bas qui s’arrêtaient mi-cuisses, sublimés par un liseré de dentelle. Sa peau très blanche contrastait à merveille avec la noirceur de ses bas.
Après un quart d’heure d’attente, elle fit un petit signe de la main en direction de l’autre côté de la rue. Une grande et belle brune apparut dans mon champ de vision, sublime elle aussi. Cheveux mi-longs, yeux verts, ses lèvres bien dessinées étaient sublimées par un rouge à lèvres assez discret. Elle portait très élégamment une robe digne d’un grand couturier que le vent faisait virevolter, dévoilant ses jambes nues bien bronzées. Elle était également juchée sur des talons d’une bonne dizaine de centimètres, lui donnant une démarche chaloupée. Elle vint s’installer en face de la jolie blonde qui lui tendit sa main aux longs doigts manucurés qu’elle s’empressa de prendre entre les deux siennes. Elles se sourirent d’un air entendu et commandèrent deux boissons avant de se mettre à discuter.
Elles étaient radieuses, parlant et riant bruyamment sans se préoccuper de savoir si elles étaient entendues par les autres personnes autour d’elles. Sitôt leurs verres terminés, elles se levèrent d’un même élan, la brune s’approcha de la blonde et lui roula une pelle, puis elles s’éloignèrent main dans la main.
Par hasard, je venais de tomber sur un couple de lesbiennes et ces deux-là n’avaient pas l’air de vouloir rester à se regarder dans le blanc des yeux. Sans plus réfléchir, je décidai de les suivre, tout excité à l’idée d’assister à une belle partie de jambes en l’air. Elles se dirigèrent vers un immeuble de grand standing à quelques pas du centre-ville et entrèrent en utilisant un badge magnétique. Pour être sûr de ne pas les perdre de vue, je claquai des doigts et je leur filai le train.
Sitôt entrées dans l’ascenseur, les deux belles s’étreignirent et s’embrassèrent à pleine bouche, me provoquant d’emblée une belle érection. La brune commençait à passer sa main entre les cuisses de sa partenaire lorsque l’ascenseur arriva à destination. Se tenant toujours par la main, elles entrèrent dans un appartement hyper-classe qui devait être au moins trois fois plus grand que le mien. Cet appartement de grand standing était meublé très moderne, mais avec un goût bien féminin.
Les deux femmes s’enlacèrent sitôt la porte fermée. La brune semblait être celle qui prenait les initiatives. Elle appuya sa partenaire contre la porte et leurs langues s’emmêlèrent. Pendant ce temps, la main de la brune descendit vers le sexe de la blonde qui écarta instinctivement les cuisses. Les longs doigts se glissèrent en dessous de la petite culotte blanche et pénétrèrent la vulve déjà humide. La blonde gémit doucement en remuant le bassin afin d’accompagner la pénétration.
De son autre main, la brune fit descendre la jupe de sa partenaire qui se retrouva en culotte, cette dernière se retrouva rapidement en tas avec la jupe sur le sol. La brune se mit à genoux et approcha sa langue de la fente bien ouverte. C’était bien une vraie blonde, un léger duvet recouvrait le mont de Vénus. La langue s’insinua entre les grandes lèvres et commença un lent va-et-vient. La blonde en profita pour ouvrir et quitter son chemisier dévoilant une fabuleuse paire de seins en forme de poire qu’elle se mit à malaxer.
Quelle belle entrée en matière ! Évidemment, ce beau spectacle me faisait bander comme un âne. Après quelques minutes, la brune se releva et emmena sa belle compagne dans la chambre attenante où les attendait un lit immense. Elles quittèrent leurs chaussures et la blonde fit glisser la robe de la belle brune dévoilant un corps parfait juste caché par un string minuscule, pas de soutien-gorge. La jolie blonde se mit à caresser les seins de sa partenaire, prenant les pointes entre ses lèvres tout en les tordant. Puis elle retira le minuscule morceau de tissu qui dévoila une belle chatte rasée de près qu’elle se dépêcha de pénétrer avec sa langue. Elle trouva rapidement le petit bouton d’amour qui sortait d’entre les lèvres telle une petite bite en érection.
Pendant ce temps, la brune ne perdait pas de temps, elle glissa deux doigts dans le sexe trempé de la belle blonde qui se mit à tortiller des fesses en suivant le rythme des doigts enfoncés bien profondément dans sa chatte. Cette fois, c’était la brune qui gémissait sous la caresse douce et précise qu’elle recevait. J’assistais en direct à un charmant concert de gémissements et de plaintes lascives.
La blonde pivota doucement et vint placer sa vulve dégoulinante juste sur la bouche de la belle brune pour un soixante-neuf bien excitant. Cette dernière engouffra sa langue pour déguster la liqueur vaginale qui s’écoulait. Pendant ce temps, ses mains ne restaient pas inactives. Elle caressait le corps de sa partenaire en suivant les courbes harmonieuses, des hanches jusqu’en haut du dos, elle malaxa au passage les deux globes de chair qui se balançaient au rythme du mouvement de tête de la belle blonde.
Ses mains redescendirent sur les fesses qui se tortillaient doucement, elle fit enter son index dans la chatte trempée pour lubrifier son doigt et l’enfila d’un coup dans la petite rondelle dilatée du cul de la belle. Cette dernière cria, puis se mit à pisser sans retenue avec de longs jets bien chauds dans la bouche qui se trouvait juste en dessous. La brune semblait apprécier cette douche assez originale, car elle fermait les yeux et avalait le liquide par petites goulées.
La brune claqua un grand coup ses mains sur le fessier qui se trémoussait sur elle puis se releva. Elle se dirigea vers la table de nuit et sortit du tiroir un gode ceinture qu’elle plaça autour des hanches de la belle blonde. C’était étrange de voir cette jolie femme avec un sexe de plus de vingt centimètres. La brune lui tendit un petit flacon qu’elle vida en partie sur le phallus en plastique. Cette dernière se mit à quatre pattes sur le lit, le cul tourné vers l’énorme engin. La blonde se plaça entre ses cuisses et enfila le gode sur toute sa longueur dans la chatte ruisselante, la brune poussa un râle de plaisir tout en remontant sa croupe pour faciliter la pénétration.
La blonde semblait prendre un plaisir évident à besogner ainsi sa compagne, tout en donnant de grands coups de reins, elle se malaxait les seins. La brune tourna la tête vers l’arrière et ordonna à sa maîtresse d’une voix grave, mais mélodieuse :
— Mets-la-moi dans le cul maintenant ; vas-y, encule-moi.
La blonde se recula un peu pendant que sa compagne se positionnait, elle lubrifia à nouveau le phallus et le pointa vers la rosette brune qui s’ouvrait. Elle posa l’engin sur sa cible, et d’un coup de reins brutal l’enfila jusqu’aux couilles en plastique. La brune hurla :
— Vas-y, bien au fond ! Encule-moi, oh putain que c’est boooooon.
L’enculeuse ne se le fit pas dire deux fois, elle accéléra ses allers-retours en s’agrippant à sa partenaire en faisant entrer ses doigts dans les hanches. Deux minutes plus tard, la jolie brune s’écroula, les bras en croix sur le lit, après avoir rugi à faire trembler les murs.
J’avais accompagné cette chevauchée fantastique en me branlant frénétiquement et j’éjaculai dans les rideaux de la fenêtre située juste à côté de moi. Les deux femmes s’allongèrent et s’étreignirent en s’embrassant et se caressant mutuellement. C’était pour moi une belle découverte, ce bel amour au féminin m’avait ému aux larmes.
Je décidai de laisser les deux déesses se remettre de leurs émotions ; je n’avais plus rien à faire ici.
(A suivre) ...
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