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René et la lampe magique

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
Quand je travaillais, j’avais à mon service une secrétaire, très efficace, que l’on pourrait qualifier de vieille fille. Plutôt coincée la demoiselle, toujours vêtue d’un pantalon assez vague ou d’un jeans, chemisier boutonné jusqu’au cou. Pourtant, je ne pouvais pas dire qu’elle était moche, mais elle ne faisait rien pour se mettre en valeur. Quand je suis parti à la retraite, elle devait avoir environ 40 ans, ce qui lui ferait maintenant presque 45.
J’avais toujours eu l’envie de voir ce que pouvait bien faire une vieille fille le soir à la nuit tombée. Est-ce qu’elle se servait d’un gode ? De quelques légumes pour se donner du plaisir en se passant un bon vieux film de cul ? Même une vieille fille célibataire devait avoir des pulsions de temps en temps. Je décidais donc d’aller lui rendre une petite visite, histoire de contenter ma curiosité, je vous l’ai dit, je suis un tantinet voyeur et là, ça me démangeait sérieusement d’en savoir un peu plus. Je savais qu’elle habitait une petite maison un peu en sortie de la ville, je visualisais les lieux et d’un coup, je me retrouvais dans la salle à manger de mon ancienne secrétaire.

Des bribes de conversation me parvenaient, n’était-elle pas seule ? Les voix me guidèrent jusqu’au bout du couloir, une petite lumière tamisée éclairait faiblement la pièce. En entrant dans la pièce, je faillis tomber sur le cul en découvrant un spectacle que je n’aurais jamais pensé imaginer voir chez cette vieille demoiselle.

Elle était à quatre pattes sur le lit, complètement à poil, ses gros seins lourds se balançaient de gauche à droite. Elle avait le cul tourné vers deux énormes écrans d’ordinateur connectés qui lui renvoyaient l’image d’un homme qui tenait une bite monstrueuse dans sa main, il se branlait comme un fou en regardant cette chère demoiselle qui s’enfonçait un gode dans le cul tout en poussant des cris de jouissance. Elle avait également un vibro rose qui sortait de sa chatte poilue. En m’approchant un peu plus près, je pus reconnaitre le site de XStory Cam. Eh oui ! Comme tout bon voyeur, j’étais venu moi aussi me taper une petite séance gratuite de branlette en regardant toutes ces filles qui s’offraient en pâture à tous ces vicieux qui payaient pour une séance de porno bien hard virtuelle.

De temps en temps, le branleur de l’écran faisait vibrer le vibro bien enfoncé dans la demoiselle qui gloussait et se tortillait comme un ver coupé. Finalement après deux minutes de branlette, l’homme déchargea une quantité impressionnante de foutre qui inonda l’écran. Il coupa la connexion et l’image revint sur la demoiselle qui commençait à remettre un peu d’ordre dans sa tenue.

Elle enfila un string rose transparent d’où dépassait le bout du vibro et elle remit en place un minuscule soutien-gorge qui devait être deux tailles trop petit tant il serrait ses deux globes bien charnus. Elle se mit face aux écrans, assise sur le bord du lit. De nombreux messages défilaient dans le « chat » lui demandant de se mettre à poil, de se mettre un gode ou de sortir ses gros nichons. Elle répondait à certains quand soudain, son attention sembla attirée par un message envoyé par un voyeur désigné par le doux nom de «TuLaSentMaQueue ». Ce message disait :
— Coucou ma belle chatte poilue, tu es prête à me faire aller au 7ème ciel comme la dernière fois ?
Elle s’empressa de répondre « oui go pv amour ». Elle tapota quelques touches sur son clavier et l’image d’un homme d’un âge certain apparut sur l’écran.
— Tu m’as manqué depuis l’autre jour ma belle, commence à te branler le clito. Je bande déjà, regarde, dit-il en lui montrant un petit sexe de quelques centimètres.

Au même moment, une petite sonnerie indiqua à la demoiselle que l’homme venait d’actionner le vibro longue vibration. Elle se dépêcha d’enlever son soutien-gorge et son string. Elle s’allongea sur le lit et présenta sa fourche bien ouverte à la caméra puis elle commença un lent va-et-vient dans sa grosse chatte poilue qui suintait de bonheur.
— Mets-toi un gode en même temps, cria le bonhomme, le gros noir comme l’autre jour.

Elle tendit la main sur le côté et se saisit d’un gode d’au moins 20 centimètres qu’elle fit entrer dans sa fente béante. L’exercice devait lui plaire, car elle ne semblait pas simuler son plaisir, elle accéléra sa pénétration jusqu’à obtenir un énorme jet de jouissance qui s’éleva à plus d’un mètre de haut. Ça alors cette femme si réservée était en fait une belle femme fontaine qui cachait bien son jeu.

Le bonhomme avait beau s’astiquer comme un beau diable, pas la moindre réaction, son membre restait aussi mou qu’une baguette de pain un jour de pluie.
— Tourne-toi et mets-toi le gode en forme de poing dans le cul en même temps, tu le fais si bien, ordonna-t-il.

Cet homme devait être un bon client, car elle n’hésita pas une seconde pour se mettre à quatre pattes face à l’écran, elle se saisit d’un énorme gode blanc, terminé à son extrémité par un gros poing qu’elle s’enfonça dans le cul après l’avoir badigeonné d’une bonne couche de lubrifiant. J’en tombais sur le cul de la voir s’enfiler ce monstre dans la rosette comme si c’était un suppositoire. Elle se ramonait le cul tout en continuant de s’enfoncer l’autre gode dans la chatte. Le pauvre petit vieux en bavait derrière son écran, mais malheureusement pour lui, sa queue était toujours aussi molle et sans réaction. Il n’arrêtait pas d’actionner le vibro longue durée, ce qui encourageait d’autant la demoiselle, qui n’arrêtait plus de jouir.
— C’est bon, arrête ta comédie, j’en ai assez pour aujourd’hui, cria-t-il à la femme.
Il remonta son slip et referma sa braguette d’un air dépité.
— Tu as été merveilleuse, comme d’habitude, mais tu vois, plus rien n’y fait, je ne peux même plus bander. Mais je suis content de t’avoir donné une belle somme ce soir, je reviendrais te voir une prochaine fois, je t’embrasse, à la prochaine, mon amour.

La fille n’avait même pas eu le temps de lui répondre qu’il avait coupé la connexion. Elle semblait prise au dépourvu. Elle prit le temps de nettoyer ses outils de travail et d’arranger le lit. Puis après avoir remis son string et le soutien-gorge, elle coupa les écrans. Le calme revint dans la pièce, elle enfila un pyjama en coton gris clair et elle se coucha.

J’avais découvert un autre visage de celle que l’on avait surnommée au bureau « le congélateur ». Il ne me restait plus qu’à rentrer, mais encore une fois, le proverbe avait bien raison :
— Il ne faut jamais se fier à l’eau qui dort.
(A suivre ...)
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