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René et la lampe magique

Chapitre 6

Mes pouvoirs s'envolent

Voyeur / Exhibition
Il y avait bien longtemps qu’un fantasme me hantait. Je savais qu’il existait en centre-ville un club libertin. D’un tempérament timide, je n’avais osé franchir le seuil de cet établissement. J’avais là l’occasion de pouvoir le faire, et sans être vu en plus. Une fois mon épouse endormie, je visualisais l’adresse du club et je fus transporté en un temps record juste devant la porte. Il suffisait qu’un des membres se présente pour que je puisse enfin réaliser mon rêve.
Il ne fallut pas plus de dix minutes pour qu’un homme se présente et se fasse ouvrir la porte après avoir montré la carte de membre au gardien. Le temps qu’il vérifie la carte, j’étais déjà à l’intérieur. Un grand couloir peu éclairé s’enfonçait vers l’intérieur de la maison. Au bout du couloir, une porte coupe-feu bien étanche semblait étouffer les bruits venant de l’intérieur.
Un peu anxieux, je poussais la porte. Je fus accueilli par un brouhaha fait d’un mélange de musique assourdissante, de soupirs, de gloussements et de cris de jouissance. Dans tous les coins et recoins de la grande pièce se trouvaient des canapés, des fauteuils et quelques poufs où s’agglutinait un entrelacs de corps plus ou moins dénudés. Toutes les couleurs de peau étaient représentées, des personnes de tous sexes et de toutes orientations sexuelles copulaient sans se soucier du regard des autres participants.
Femmes avec femmes, hommes avec hommes, hommes avec femmes et inversement s’entassaient sur tous les éléments du mobilier. Quelques couples se roulaient à même le sol. Toutes les positions possibles et imaginables étaient mises en œuvre pour satisfaire tous ces affamés de sexe. Sur les canapés, de nombreux couples légitimes ou illégitimes se mélangeaient sans se soucier de l’apparence de la personne qui se présentait devant eux.
Toutes les formules possibles étaient représentées, deux personnes, des trios, des quatuors, cinq, six, sept personnes voire plus. Des groupes de tous sexes confondus se mêlaient dans une totale indifférence. A partir du moment où un trou à boucher se présentait, que ce soit une chatte, une bouche ou bien un cul, il trouvait forcément un engin pour le boucher.
Tout autour de moi, ce n’était qu’un concert de soupirs de gloussements, un savant mélange de cris de jouissance ou de douleur. Cet endroit était vraiment la représentation des grottes de l’enfer où se retrouvaient les damnés condamnés à l’exil.
Plus loin, une femme promenait un homme tenu en laisse qui marchait à quatre pattes devant elle en aboyant. Elle tenait une cravache à la main et ne se privait pas d’assener de nombreux coups sur les fesses rebondies de l’homme qui râlait de plaisir à chaque frappe. Il se retourna et vint lécher les pieds de sa maîtresse. Elle le rabroua d’un violent coup de chaussure dans le ventre. L’homme s’écroula sur le côté, de la pointe de sa chaussure à talons hauts, elle le retourna et commença à le branler avec sa chaussure. L’homme se releva et se mit à frotter son membre congestionné contre la jambe de la femme qui le frappait toujours avec sa cravache. En deux minutes, il éjacula sur le mollet de sa maîtresse tout en poussant de petits aboiements.
Une femme attira mon attention dans un coin de la pièce. Elle était nue, bien sûr et surtout tous ses membres étaient attachés à de nombreuses chaînes qui la reliaient au plafond. Elle s’exposait bras et jambes écartés, plusieurs femmes léchaient son sexe rasé tandis qu’un homme avec un ventre bedonnant s’en donnait à cœur joie en la sodomisant sans retenue. Une autre femme lui donnait des coups de martinet sur les seins, laissant des marques sanglantes sur sa poitrine généreuse.
Tout à coup, des têtes qui ne m’étaient pas inconnues passèrent près de moi. Les deux anges blonds qui s’étaient tapé ma femme étaient là. Ils cherchaient visiblement quelqu’un. A voir leur sourire, ils venaient de trouver celle qu’ils cherchaient. Une voix haute perchée se fit entendre :
— Ah mes chérrrries, mes tous petits, venez voirrrr maman. C’est l’heure de la tétée mes petits.
Quand je me fus approché, je vis mes deux blondinets qui montaient sur les genoux d’une femme qui devait bien peser deux cents kilos. Un amas monstrueux de graisse et de replis se tenait assis sur deux poufs qui semblaient proches de l’éclatement. Les deux jeunes hommes prirent chacun à pleine main un énorme sein qu’ils se mirent à téter goulûment. La femme gloussait de bonheur en se tortillant sur les poufs pendait qu’elles branlaient les deux vits qu’elle avait sous la main. Au bout d’un moment, elle éjecta l’un des deux garçons en se laissant tomber en arrière sur un énorme divan. Elle entraîna avec elle le deuxième garçon qu’elle plaça entre ses énormes cuisses.
— Maman veut sentir ta queue dans son ventrrrre, mon chérrrri. Viens vite me la mettrrrre bien au fond.
Le pauvre garçon sembla comme aspiré par l’énorme chatte poilue de la goulue. Si l’entrée était aussi monstrueuse que le reste du corps, il n’allait pas peiner à l’enfiler. Il prit place entre les cuisses qui se touchaient et d’un brusque coup de reins, il pénétra la grosse qui poussa un cri de plaisir. Un véritable raz de marée se mit en branle quand la grosse femme se mit à bouger sous les coups de boutoir du malheureux garçon qui se démenait comme un beau diable pour comble la grosse dodue.
Son frère qui jusque-là s’était branlé tranquillement en regardant le spectacle s’approcha de son frère et l’enfila d’un coup sans crier gare. Les deux garçons poussaient maintenant en même temps, poussant un peu plus profondément la queue du premier garçon dans l’énorme huitre trempée de jus qui béait. Un bruit de succion se faisait entendre à chaque aller-retour.
J’étais tellement excité par ce spectacle hors norme que je m’approchais du joyeux trio, me plaçant bien en face du petit cul de qui se tortillait sous mes yeux, je m’enfonçais moi aussi sans prévenir. Le deuxième garçon se retourna, mais ne vit personne, pourtant il ne rêvait pas, il s’en prenait plein le cul. C’est à ce moment-là que m’arriva la même chose. Un énorme engin s’engouffra dans mon fondement qui jusque-là n’avait jamais été exploré. Une formidable douleur se propagea dans tout mon corps et me fit éjaculer entre les fesses du jeune garçon. Derrière moi, un énorme rire me fit me retourner. Celui qui me pourfendait n’était autre que le génie de la lampe qui s’en donnait à cœur joie et m’explosait le cul.
— Je t’avais bien prévenu, il ne fallait pas trop en abuser de tes pouvoirs. En entrant ici, tu ne pouvais pas trouver d’endroits plus chargés de pulsions sexuelles. Je suis désolé, mais tu vas perdre définitivement tous les pouvoirs que je t’avais donnés, mais au moins tu en auras profité.
En effet, je sentis ma bite se réduire de quelques centimètres, et d’un seul coup, je devins visible par tous les participants à cette orgie. Le génie en profita pour décharger dans mon trou ravagé avant de s’en aller dans un nuage de fumée. Je décidais de filer sans m’attarder et sans attendre la réaction des deux jeunes garçons. Oui, mais voilà, comment rentrer chez moi ? Je n’avais plus le pouvoir de me télétransporter d’un endroit à un autre. J’ai eu beau sonner plusieurs fois, personne ne m’entendit pour venir m’ouvrir. Le lendemain matin, ma femme vint me réveiller alors que je m’étais endormi sur le pas de la porte d’entrée.
— Mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu es sorti quand ? Tu n’avais pas tes clés pour rentrer ?
Je crois bien qu’elle me prit pour un fou. Enfin, j’avais vécu de belles choses et je ne regrettais rien, sauf de ne plus avoir mes pouvoirs. J’allais redevenir ce que j’étais auparavant : un simple voyeur.
FIN
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