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Renée et Odile ou la cinquantaine merveilleuse

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Pierre, je suis kinésithérapeute et j’ai fêté mes trente six ans depuis un mois.L’histoire que je vais vous conter contient une bonne partie de réalité et l’autre est imaginaire. Je laisse donc au lecteur le soin de démêler le vrai du faux ou plutôt le vrai du rêve; le rêve est plus joli que le faux, non?
J’ai vécu avec Chantal, à la colle comme on le dit trivialement, pendant un peu plus de cinq ans. Ce fut un coup de foudre brutal, dévastateur, irraisonné qui nous a réuni, puis le courant nous nous liait tant au début est passé de continu à alternatif et il n’y eu plus que quelques étincelles et un jour plus rien. Notre dernière année de vie commune ne fut plus qu’une relation amicale partagée sous un même toit et depuis belle lurette il n’y avait plus rien entre nous du coté sexuel.. C’est peut- être cela qui a fait, qu’après notre séparation, il y a plus de quatre ans, nous sommes toujours restés en bons termes et que nous avons pris l’habitude de nous voir de temps en temps pour aller à un spectacle ou au restaurant. Chantal est devenue pour moi une très bonne copine et même parfois une confidente et cela est réciproque. Elle habite désormais dan la banlieue ouest de Paris
Sa mère Odile qui a eu, cette année, cinquante quatre ans ,habitait et habite toujours la banlieue sud de Paris, pas très loin de chez moi .Odile est une femme brune, aux formes épanouies mais pas ronde pour autant. Elle a été dotée par dame nature d’une belle poitrine, un bon 95 je pense et depuis que je la connais, lorsqu’elle porte un jean serré, ses fesses bien rondes sont pour moi deux aimants visuels.Depuis plusieurs années, un rite s’est installé à l’occasion des deux salons annuels du prêt-à-porter de Paris.Ma maison, héritage de mes parents trop tôt disparus , étant très grande, je reçois durant une semaine, Chantal, sa mère Odile ainsi que Renée, l’amie d’enfance d’Odile qui habite à Reims et qui tient un magasin de vêtements pour femme et lingerie fine . C’est pour les trois femmes l’occasion d’arpenter le salon de long en large, pour Renée de prendre contact avec les stylistes et créateurs pour passer les commandes des collections de vêtements et sous-vêtements de la saison suivante qu’elle commencera à vendre dans sa boutique plusieurs mois plus tard.
Ce que je vais vous raconter a débuté il y a maintenant deux ans. Le mois de janvier était là et depuis plusieurs mois déjà, huit jours étaient cochés sur mon agenda pour me rappeler que durant cette période, je devrais mettre la pédale douce dans mon activité de kiné car c’était devenu une tradition, je faisais la cuisine pour mes invitées et nous consacrions deux soirées pour aller au théâtre et voir un spectacle de chansonniers.Je m’évertuais à trouver un maximum de distractions pour Odile car le décès accidentel de Jacques, son mari, quatre années avant le début de cette histoire l’avait laissée seule et désemparée à quarante sept ans.Le temps, malgré tout, avait fait son œuvre et j’étais toujours resté aux cotés d’Odile quand elle souhaitait de l’aide dans toutes les démarches qu’elle avait à entreprendre et une solide relation de confiance s’était installée entre elle et moi Odile et Renée ont toutes deux le même age. Renée quant à elle était divorcée depuis plusieurs années J’avais donc proposé à Renée de venir la chercher à la gare de l’Est dimanche après-midi, Odile et Chantal venant elles directement chez moi en voiture pour le dîner du dimanche soir.

Dimanche
Le train de Renée était à l’heure et je la retrouvais toujours aussi élégante.C’est une très belle femme aux cheveux châtain blond mi-courts avec des mèches claires encadrant des yeux dorés ; de taille assez grande, environ un mètre soixante dix et dont la silhouette n’avait pas beaucoup changé depuis le moment où je l’ai connue au début de ma relation avec Chantal. Sa poitrine est plus menue que celle d’Odile. Un rien lui va, elle peut s’habiller comme elle le veut et est toujours ravissante. .Nous avions plus de trois heures devant nous avant d’arriver à la maison pour l’heure du dîner et je proposais à Renée d’aller boire un verre dans un des bars autour de la gare. Elle accepta volontiers et nous nous assîmes à une table pour boire un thé.Renée était toute guillerette de venir passer une semaine à Paris, pensez donc, cela lui donnait l’occasion de courir les magasins avec son amie Odile de voir Chantal, moi et sortir. Ces cinq jours étaient une fête et je faisais en sorte que mes invités soient heureuses de les passer en ma compagnie.Renée était de très bonne humeur et me remercia par avance pour les jours que nous allions passer ensemble. — Tu n’as pas à me remercier Renée tu sais, je suis très fier d’être avec une aussi belle femme que toi. Elle rosit sous le compliment et serra ma main qui était sur la table
— Tu me flattes Pierre et c’est bien agréable à entendre
Elle aussi, après la disparition du mari d’Odile, avait œuvré pour la distraire. Elle l’avait entraînée dans sons cercle d’amis et lui avait, au début du moins, forcé la main pour faire des voyages.Depuis Odile et Renée avaient retrouvé leurs liens d’enfance et toutes deux faisaient chaque année un voyage et une croisière pour se distraire et un peu s’étourdir .Bref, elles s’entendaient comme deus larronnes en foire et c’était bien agréable de voir Odile avoir repris aussi vite goût à la vie Renée me questionna sur ma vie privée, ce que je devenais depuis six mois qu’on ne s’était pas vu et si au moins, j’envisageais de retrouver une compagne— Tu sais à ton age, Pierre, tu ne dois pas rester seul, d’autant plus que tu es très mignon et que les jeunes femmes ne doivent pas être indifférentes en te voyant, non?......Je répondis à Renée que j’y songeai mais que pour l’instant, je n’avais pas, trouvé la femme avec laquelle je voulais vivre et pas seulement quelques années comme ce fut le cas avec Chantal.— Tu sais très bien Renée que cela ne se décide pas, mais j’espère trouver une femme …….. un peu dans ton genre …. Je ne dis pas que les soirs, seul dans ma grande maison, je suis toujours heureux mais, que veux-tu c’est comme ça…..— excuse moi si je te choque, mais là je vais te parler comme une mère puisque nous avons dix huit ans de différence d’age, le coté charnel d’une femme ne te manque pas ?— Si bien sûr, mais je me débrouille.Les joues de Renée rosirent, elle eut un sourire fermé et elle changea de conversation. Elle sortit de son sac un cahier sur lequel elle avait préparé tout le programme de la semaine à venir et noté les noms des différents exposants à voir absolument et ceux qu’elle pourrait rencontrer si elle avait du temps. Elle me montra les pages griffonnées et me dit,— Si tu veux Pierre, tu peux venir avec nous une journée si le cœur t’en dit, je serais tellement contente que tu nous accompagnesJe restais silencieux quelques secondes, une journée à déambuler dans les allées d’un salon ne me donnait guère envie. J’en avais fait dans le cadre de mon travail et connaissais la fatigue générée par le piétinement dans les allées des stands, le bruit , les spots ……et si encore ce type de salon était susceptible de m’intéresser , la lingerie féminine, oui , mais le prêt-à-porter , c’était une autre histoire……..
Après deux bonnes heures de conversation, nous primes un taxi qui nous amena à mon domicile, une maison en proche banlieue ; Renée me demanda si elle pouvait aller dans la même chambre que d’habitude et monta au premier étage.En attendant l’arrivée de Chantal et Odile, j’allumais un feu dans la cheminée du salon afin de créer une ambiance de bon aloi et j’allais à la cuisine pour les derniers préparatifs du dîner.
Quelques minutes plus tard, un coup de sonnette, c’était Chantal et Odile qui arrivaient avec force bagages !!!!Après les bises de bienvenue et quelques minutes de bavardage, elle montèrent au premier occuper leur chambres respectives. La quatrième chambre m’était réservée et j’étais content de voir de la vie dans cette maison trop vaste pour un homme seulOdile redescendit la première et vint me rejoindre en cuisine — Laisse-moi voir ce que tu nous as préparé Pierre; Oh super ! Une choucroute de poisson … tu es un amour, tu sais que j’adore ce plat Dit-elle en me claquant une grosse bise sur la joue.— Au fait Pierre, avec ce mauvais temps, je souffre de douleurs dans le dos. Toi qui es aux dires de Chantal un bon kiné, tu ne pourrais pas me soulager un peu ? — Pas de problème, passe demain à l’heure du déjeuner à mon cabinet et je te ferais un massage léger qui te remettra d’aplomb pour affronter sereinement cette dure semaine.C’est à ce moment que Chantal et Renée firent apparition.
Nous étions tous les quatre réunis dans le salon et la conversation entre les trois femmes, heureuses de se revoir, battait son plein.
J’en profitais pour m’éclipser à la cuisine afin de finir la préparation du dîner et de mes toasts apéritifs.Une heure plus tard, sous des "enfin" et "on commençait à avoir faim" plusieurs fois répétées je revenais au salon apportant de quoi se caler un petit creux dans l’estomac.Chacune d’entre d’elles se servirent directement en toasts et boissons et la conversation ponctuée de tas de recommandations pour les premières visites de demain après-midi, reprit de plus belle.Odile dit à Renée, — Demain, avant de partir, je passerai au cabinet de Pierre, il doit me masser le dos pour calmer cette satanée douleurRenée sourit et répondit— Et moi, je pourrais peut-être aussi venir afin qu’il me masse les jambes pour les préparer à cette dure semaine de marche, non ?— Et pourquoi pas, je vous ferai un tarif de groupe dans ce cas, répondis-je.On rigola bien et Chantal se mit elle aussi de la partie en décidant qu’elle viendrait elle aussi afin de surveiller cette affaire pas très claire à son goût.
On en resta là et on passa à table.Vers dix heures, Chantal dit vouloir aller se coucher et sa mère fit de même.Renée et moi nous restions seuls et nous sommes allées de nouveau dans le salon, histoire de boire un petit cognac et fumer elle une cigarette et moi un petit cigare.
J’avais mis une douce musique d’ambiance des années 70 et cela nous rappelait à elle et moi de nombreux souvenir — Tiens Pierre, tu vois c’est sur cette chanson que me mon futur mari m’a draguée. Ah si j’avais su que trente ans après mon mariage on divorcerait ………-— Et pourquoi avez-vous divorcé, tu ne m’en as jamais parlé, non?— Tu sais c’est tout bête , la monotonie, la routine s’était installée dans notre vie provinciale et puis un jour , je suis partie à Milan à un salon et là-bas , j’ai rencontré un Italien , l’image parfaite du latin lover , et au bout d’une journée j’ai succombé à son charme . Ce ne fut qu’un moment intense de plaisir partagé, d’exaspération des sens et en revenant chez moi tout était rentré dans l’ordre car ce n’était qu’une aventure et non une liaison mais le lendemain en discutant avec Yves, je me suis emmêlée dans la conversation sur mon activité durant ce salon et je lui ai dit la vérité. La soirée fut houleuse et à partir de là, plus rien ne marcha bien entre nous; chambre séparée, Jacques si mit à rentrer de plus en plus tard puis à découcher, bref, à la fin, il avait trouvé ailleurs une consolation.— Et tout cela a fini avec le divorce -Et oui, mais remarque, je ne le regrette pas car j’ai pu me donner du bon temps et profiter à fond de la vie. Je me suis encore plus rapprochée d’Odile et si pour elle au début ça a été dur après la mort de jacques, crois-moi depuis, toutes les deux on commence à s’éclater comme des folles, moi libre comme l’air et elle reprenant progressivement goût à la vie qu’elle mâche désormais avec gourmandise……
Ces mots jetés tels quels me donnèrent l’impression diffuse qu’Odile et elle ne se contentaient peut-être pas seulement d’admirer les paysages et le folklore local des pays qu’elles visitaient mais était-ce une pure idée de ma part ; j’étais bien décidé à en savoir un peu plus cette semaine et ma foi, pourquoi ne pas prendre une journée complète de congé et aller au salon avec ces trois femmes.
La soirée en compagnie de Renée continua ; on en était à notre troisième digestif quand mu par un désir soudain, je l’invitai à danser un slow devant la cheminée ; elle ne se fit pas prier et je me retrouvais avec le corps de Renée contre le mien, mes mains liées derrière ses hanches et elle avait ses deux mains autour de mon cou. Au bout des quelques minutes, la musique changea mais nous restâmes sur le rythme lancinant du slow bien qu’il ne fût plus du tout approprié avec les chansons diffusées. Renée semblait toute heureuse et me susurra— Alors Pierre, toi qui as bon goût, comment me trouve tu maintenant ? Suis-je encore séduisante, crois-tu que je pourrais retrouver un homme sincère pour m’accompagner le reste de ma vie ?Je ne m’attendais pas à ce genre de question et ne savais pas quoi répondre. Après quelques secondes de réflexion ponctuées par un sourire je lui répondis— Tu sais Renée, mise à part Chantal, j’ai toujours été attiré par des femmes plus âgées que moi, elles ont un quelque chose d’indéfinissable doublé d’un savoir-faire que j’apprécie énormément. N’aie aucune crainte, tu auras la possibilité de retrouver quelqu’un avec le charme que tu dégages.— Tu es un amour d’homme et j’espère rencontrer quelqu’un comme toi mais de mon age bien sûr, dit-elle en se blottissant contre mon épaule.
Elle appuya sa tête contre mon torse et je la serrais un peu plus contre moi, sa poitrine s’écrasait sur mon corps et insensiblement je sentais une érection poindre dans mon pantalon. Je devenais confus et essayais de m’éloigner un peu d’elle pour ne pas me trahir mais j’avais aussi très envie de sentir son corps au plus près du mien. Elle ne pouvait pas ne pas s’en apercevoir mais elle ne fit aucun geste pour m’éviter.Cela faisait bien trente à quarante minutes que nous faisions du frotti-frotta et ni l’un ni l’autre nous ne prononcions plus de parole. On était bien c’était tout.Renée me regarda et me dit -attends Pierre il faut que j’enlève ce pull, il fait très chaud devant cette cheminée, aide –moi s’il te plait.
Je la lâchais et lui enlevais son pull. Elle portait dessous un petit corsage rose pale très léger qui me laissait entrevoir un soutien –gorge couleur chair.Je me dis, le charme est rompu, c’est foutu pour reprendre notre séance de slows, elle va s’arrêter là. Et oui, c’est ce qui se passa. Renée retourna dans un fauteuil, moi dans un autre et tout était à refaire.Elle se tapota les joues qui avaient pris des couleurs, émotion ou chaleur et me dit — Pierre, j’ai failli me laisser aller, excuse-moi, je n’aurais jamais du agir comme cela, c’est indigne de ma part ; chez toi avec Chantal et Odile qui dorment à l’étage du dessus, mais c’était plus fort que moi, je voulais voir si je pouvais encore séduire un homme et je suis un peu plus rassurée maintenant. Bon et bien après toutes ces émotions, je vais aller me coucher et faire, je l’espère de beaux rêves.J’éteignis le feu et nous quittâmes le salon; arrivés devant la porte de sa chambre, elle me souhaita d’une vois basse une bonne nuit, mais je l’attrapais par les épaules et l’embrassais sur la bouche sans insister pour lui faire entrouvrir ses lèvres.Au bout de quelques secondes qui me parurent très longues elle ouvrit la bouche et nos langues se mêlèrent dans un baiser. Je bandais très fort et là elle me dit — Merci, j’e suis sûre de pouvoir séduire encore, et si ce n’est pas un homme de mon age et bien ce sera un plus jeune, pas vrai Pierre.Elle me caressa la joue, ouvrit la porte de sa chambre et la referma derrière elle.
J’allais vers ma chambre et me déshabillais puis dans ma salle de bain.Mon sexe était tout lubrifié par l’excitation ressentie en présence de Renée et je ne pouvais pas me coucher dans un tel état, il me fallait me soulager et le seul moyen fut une bonne masturbation en pensant à Renée. Après avoir éjaculé de belles giclées de sperme, je me couchais et passais une nuit assez agitée espérant ne pas parler durant mon sommeil comme cela m’arrivait quelques fois.

Lundi
Le lendemain matin, à sept heure, après avoir pris ma douche, je préparais le petit déjeuner et une bonne odeur de café moulu embaumait la cuisine quand des bonjours virent à mes oreilles. C’était Chantal et Odile qui arrivaient.— Et alors Renée n’est pas encore là, on va se mettre en retard si cela continue dit Odile. Pierre, tu n’oublies pas que je passerai à ton cabinet vers midi et quart, tu me feras un petit massage du dos et on ira manger à la pizzeria en face si tu veux, je t’invite.— Ok Odile, répondis-je
Chantal, Odile et moi avions quasiment fini le petit déjeuner quand Renée fit une apparition ponctuée de remarques sur son retard et sa mine chiffonnée.
Chantal commença, — Renée, tu n’as pas l’air bien réveillée ce matin et puis tu es en retard — Excusez-moi, j’ai mal dormi, j’ai eu un sommeil un peu agité, sûrement le changement d’air, l’excitation du salon, et puis d’ici une heure, après une bonne douche, cela ira mieux.Odile reprit,— Mais dis-moi, à quelle heure vous êtes vous couchés tous les deux ?En me regardant dans les yeux, Renée lui répondit— Oh! , pas très tard il devait être une heure du matin pas plus. Là-dessus, je les laissais discuter pour préparer ma journée de travail. En revenant, Chantal et Odile partirent pour se préparer. Le salon était l’importance numéro un de la semaine et comme Chantal avait pris deux journées de congés, elles avaient décidé d’en voir le plus possible et ce, dès cet après-midi.
je restais seul dans la cuisine avec Renée qui ne disait pas un mot et regardait fixement son bol de café au lait. Il fallait bien que l’un des deux parle, alors je commençais— Comment vas-tu depuis hier ? Tu sais je n’ai pas pu dormir correctement, tu m’as enflammé hier au soir— Tu as raison Pierre, ce n’est pas bien de ma part, je te l’ai dit mais ça a été plus fort que moi et je le regrette maintenant— Moi Renée, je ne regrette pas, j’aurais même voulu aller un peu plus loin, mais ……..— Non pas ici, s’il te plait, ailleurs peut-être que je n’aurais pas dit non mais pas chez toi.
Sur ces mots, elle laissa ses toasts presque intacts et partit dans sa chambre en sanglotant avec son bol de café au lait.Je me retrouvais comme un couillon, seul, à nettoyer la cuisine puis je montais m’habiller pour aller ouvrir mon cabinet.Ma matinée fut perturbée par le souvenir de ce qui s’était passé entre Renée et je n’arrivais pas à me détacher de cette pensée.
Les heures passaient et midi approchait quand je vis dans la salle d’attente le visage d’Odile qui, en souriant me dit — Tu n’as pas oublié au moins que je venais me faire masser ?— Non, absolument pas et puis mon dernier patient du matin ayant annulé son rendez-vous, on peut commencer maintenant si tu le veux.Elle passa devant moi et se dirigea vers la chaise en face de mon bureau.— Alors Odile, où as-tu mal ?— Au niveau des reins; la semaine dernière j’ais fait des efforts pour vider une partie de mon grenier et pour finir, j’ai failli tomber d’un escabeau à la suite d’un mauvais mouvement; depuis, j’ai une douleur et le changement de temps n’arrange certainement rien
— Allez, allonge –toi sur la table en te mettant sur le ventre — J’enlève mon pull et quoi d’autre ?— Ton pull suffira si tu n’as rien d’autre en dessous — Quoi mon soutien-gorge aussi ?— Mais non Odile à moins que ce ne soit un corset qui ne te cache le dos !!— Idiot va !!
elle enleva le pull à col roulé et se trouva devant moi en soutien gorge et en jupe — Le collier aussi ?-Non, tu as mal au cou ou dans le dos ? Elle s’allongea, je pris de l’onguent et commençais à le lui appliquer sur la partie qui était douloureuse. Mes mains étaient redevenues professionnelles et faisait le mieux possible pour la soulager.
Après dix minutes Odile dit qu’elle se sentait moins nouée et que le massage lui faisait sûrement du bien et qu’il fallait sûrement le continuer à son avis pendant quelques jours — Peux-tu aussi me masser les épaules ? — Oui mais il faut dégrafer ton soutien –gorge— Pas de problèmeElle ne se contenta pas de le dégrafer mais l’enleva carrément et une fraction de seconde, je pus voir sa poitrine lourde se balancer au dessous de la table de massage.Je passais maintenant délicatement mes mais sur tout son dos et ses épaules. Elle ne disait rien. mes mains partirent doucement vers ses flancs et effleurèrent le coté de son sein droit — Oh Pierre ce n’est pas mon dos ni mes épaules que tu masses là !Je ne répondis pas à sa remarque et recommençais à effleurer encore son sein droit
Elle tourna alors sa tête vers moi et me sourit.— Pierre j’ai parlé avec Renée ce matin et elle m’a dit t’avoir demandé si elle pouvait, à ton avis encore séduire un homme, vrai ?— Oui et alors ?— Elle a été satisfaite de ta réponse et bien à mon tour de te questionner. Elle se releva de la table et s’assit tournée vers moi avec sa poitrine charnue bien en vue — et mes seins, comment les trouves-tu ? Ils tombent légèrement maintenant, c’est vrai mais sont –ils encore excitants pour toi ? Je ne savais pas comment réagir — Dépêche-toi de me répondre Pierre, il va falloir aller manger — Odile, tes seins sont bien et à mon avis et ils satisferont la main d’un honnête homme. Je ne les avais encore jamais vus avant ce jour, seulement devinés, mais ils me plaisent beaucoup — Merci Pierre. Ils deviendront plus flasques avec le temps, j’essaye au mieux de les entretenir pour qu’ils ne perdent pas leur tonicité et j’espère de tout cœur ne pas les avoir un jour en forme de gant de toilette. Dieu merci, ils se tiennent encore bien je trouve— je fais du combien à ton avis ?— 95 ?— Oui, bravo, 95 C. Bon si on allait manger — Je m’enhardissais espérant que Renée ne lui avait rien dit de plus — Odile avant de partir j’aimerais trop les toucher pour voir leur texture et je te dirais ainsi ce que j’en pense.J’inventais n’importe quelle connerie pour avoir le plaisir de lui toucher les seins et elle n’était pas dupe — Si cela peut te faire plaisir, vas-y, tu peux faire ton expertise espèce de coquin …
Je ne me fis pas prier et mes mains commencèrent à lui palper les seins puis je m’attardais sur les mamelons que mes doigts s’obstinaient à titiller. Ils durcirent très vite et Odile poussa un petit gémissement sourd. Je continuais et ma bouche soudain se plaqua sur son sein droit et je me mis à le sucer lentement.— Non Pierre arrête, ce n’est pas ce que l’on avait dit. arrêêêêête, oh oui ….. Je profitai de la situation et l’embrassai sur la bouche. et après un oh de surprise elle ouvrit ses lèvres et me rendit mon baiser. Cela dura de longues secondes.— Odile, que dirais-tu si nous n’allions pas manger de pizza ? on pourrait faire autre chose, non? — Attends, je vais régler cela vite fait Elle se jeta sur mon pantalon de travail mis mon sexe à l’air et le suça avec ardeur et avidité. Sa bouche coulissait le long de ma tige et ses lèvres finirent, par descentes successives, à l’absorber toute entière.Bon dieu, la mère de Chantal connaissait la fellation avec gorge profonde ? mais où avait-elle appris à faire des pipes aussi sublimes ? Il me revint soudainement à l’esprit les paroles de Renée disant que toutes les deux, elle s’éclataient comme des folles durant leurs voyages !
Ne pouvant plus me retenir je jouis dans sa bouche et elle recracha mon sperme dans un essuie-tout.— Désolé mais je ne peux pas encore avaler ……maintenant que tu es soulagé, on va aller la manger cette pizza, non? Et puis cette semaine, tu aura l’occasion de me montrer tes talents et crois moi, motus et bouche cousue avec Chantal et Renée, personne n’en saura rien ; ce sera notre secret à tous les deux. Tiens tu vois, je crois que demain midi je quitterais bien le salon pour un nouveau massage mais plus approfondi peut-être. De toute façon Renée sera avec Chantal, donc pas de problème, tu es d’accord ?— Oui Odile
On se rhabilla et nous partîmes manger rapidement une pizza puis Odile me laissa pour aller à la maison rejoindre Chantal et Renée et moi je repartis vers mon cabinet.
Bonté divine, j’avais passé la matinée à penser à Renée et c’est Odile qui m’avais fait une somptueuse pipe. Si je m’étais attendu à une telle chose. Tout était confus en moi. Je n’avais qu’une envie pouvoir faire l’amour avec Odile et Renée.
L’après-midi passa assez vite et j’avais hâte de les revoir ce soir et pensait à leur réaction et attitude à mon égard.Je rentrais chez moi vers dix neuf heures et attendais impatiemment leur retour. Soudain je vis les phares d’une voiture qui s’arrêtait devant la maison et elles sortirent du taxi Je les accueillis et elles se précipitèrent dans le salon et se laissèrent tomber dans les fauteuils. Visiblement elles étaient crevées et bien m’en avait pris de ne pas prévoir de sortie ce soir d’autant plus que le lundi n’est pas une journée très favorable pour sortir dans Paris.— Je vous propose que vous alliez prendre un bain pour vous relaxer et pendant ce temps je préparerai les agapes du soir— Chic, on a faim, dit Chantal
Elles montèrent à l’étage et j’allai dans la cuisine.Durant les préparatifs, je me demandai de Renée ou d’Odile j’allais bien pouvoir m’approcher plus avant, et puis, si je me prenais un râteau ……. Oh non, quand même pas Au bout d’une heure les trois femmes descendirent et tout était installé dans le salon et la salle à manger pour passer une bonne soirée ; ne manquaient plus que les convives autour de la table.
Je me retrouvais installé entre Odile et Renée et Chantal était en face de moi.— Alors racontez-moi comment s’est passée cet après-midi — Imagine-toi Pierre, dit Chantal, que Renée a déjà pu voir les nouvelles collections de ses fournisseurs préférés et il semble bien que ses clientes rémoises vont tomber par terre devant la beauté de ce qu’elle va leur proposer pour cet été.— Renée tu as déjà passé tes commandes, alors tu repars donc demain ? Dis-je d’un air taquin — Pierre ne vas pas si vite en besogne, j’ai pris contact et j’ai regardé c’est tout, tu devras me supporter une semaine, ne crois pas t’en tirer à si bon compte mon ami et te débarrasser de moi aussi vite que tu le voudrais .Me répondit Renée dans un sourire.
Elles me contèrent à tour de rôle et par le menu leur après-midi très chargé et étaient toutes les trois d’accord pour admettre être bien fatiguées par cette entrée en matière.Renée interrompit cette discussion et me demanda-Au fait Pierre, si cela te fait plaisir, quel jour voudrais-tu venir avec nous ? N’oublies pas que c’est réservé aux professionnels et que tu ne pourras entrer qu’avec une invitation ; comme Chantal ne viendra plus avec nous à partir de mercredi et le salon de la lingerie commençant jeudi, si tu veux, Odile et moi on t’emmène jeudi car vendredi on ira voir les fabricants dans leurs ateliers ; alors ?— Ah oui, je suis d’accord pour jeudi, je ne dis pas que je resterai comme vous la journée entière mais j’essaierai d’être de bonne compagnie
Le repas tirait à sa fin et rien dans l’attitude d’Odile ou de Renée ne laissait présager autre chose qu’un simple "bonne nuit" de rigueurs d’ici quelques minutes, mais je me trompais, Renée me dit — Au fait Pierre, Odile n’a plus ressenti sa douleur aigue cet après midi et il semble que ton massage de mi-journée a porté ses fruits et l’a soulagée.Je regardais Odile et j’avais l’impression de devenir tout rouge. Odile souriait — Oui Renée, c’est bien vrai à tel point que demain, j’ai déjà demandé à Pierre de me faire un nouveau massage à la même heure. Je vous laisserai Chantal et toi et je reviendrai vous rejoindre après.— T’es gonflée toi, l’interrompit Renée, je voulais justement qu’il me masse les jambes qui sont bien lourdes ce soir.— Mais pourquoi veux-tu attendre demain pour cela , c’est avant de te coucher qu’il faut faire cela, fais –toi déjà couler de l’eau froide sur les mollets et demande ensuite à Pierre d’opérer. Tu verras, demain tu courras comme un lapin, ou plutôt une lapine …. Mais moi, je vois Pierre demain à midi, Le rendez-vous est déjà pris et ne peut pas être changé. Dit Odile en rigolant
Chantal rigolait de bon cœur en voyant sa mère et Renée se chamailler pour un simple massage — Et quand je pense que j’ai eu Pierre sous la main pendant presque dix ans; je peux dire qu’au moins, j’en ai bien profité et ce fut ma foi bien utile et décontractant — Ah, ah, dirent ensemble, Odile et Renée
Je proposais au trois femmes de passer au salon pour boire un café et un cognac mais Chantal qui se disait crevée préféra aller se coucher.Renée et Odile me suivirent. Je n’avais pas allumé de feu dans la cheminée ce soir car je sentais bien que nous n’aurions pas eu le temps d’en profiter.Une douce torpeur s’empara de Renée qui décida de suivre le conseil de son amie et d’aller se baigner les mollets.— Pierre si je t’appelle d’ici trente minutes pour me masser les mollets pourras-tu venir ? -Oui, c’est possible mais tu devras descendre, et oui j’ai déplacé la table de massage de la maison et elle est maintenant dans la salle du sauna et du jacuzzi. ; tu sais juste derrière la buanderie; alors à toi de voir .Si tu veux, je t’attends ici, mais pas plus de trente minutes — Ok, je reviens dans une demi-heure pas plus, moi aussi je sui un peu fourbue
Renée monta et Odile me dit tout doucement — Tu te rends compte, cette coquine voulait me piquer mon rendez-vous chez mon kiné, je ne vais pas me laisser chiper un massage par elle, même si c’est ma meilleure amie qui me le demande et puis, entre nous, on s’est fait une promesse hier, non? — Oui et j’espère bien qu’elle sera tenue cette promesse ….— Oh Pierre tu me connais bien quand même, j’ai toujours respecté ma parole. Elle se leva vint vers moi, posa sa bouche sur la mienne, sa langue ouvrit mes lèvres qui ne demandaient que ça et elle entreprit de me masser en même temps le sexe. Nos langues dansaient l’une sur l’autre et cette branlette ne me laissait pas de marbre. Brusquement Odile s’arrêta m’embrassa sur les joues et s’éloigna en me souriant — C’était un avant goût de demain midi et puis si tu en veux plus ce soir, demande à Renée, elle se dévouera peut-être, on ne sait jamais, finit-elle en rigolant — Bonne nuit Odile, elle était déjà au premier étage.Je me servis un petit cognac et attendait que Renée redescende, mais promis juré, encore dix minutes sinon, je monte me coucher.Je n’avait pas encore trempé mes lèvres dans mon verre , que je vis arriver en haut de l’escalier , Renée vêtue d’une chemise de nuit sur laquelle elle avait passé une robe de chambre et ses mules claquaient sur les marches.— Je ne suis pas en retard, Pierre ? — Non pas du tout, tu avais encore dix minutes — On y va ?

( La suite du lundi et la journée de mardi , dans quelques jours )
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