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Un renouveau

Chapitre 1

Hétéro
Je suis rentré d’un long voyage de 18 mois en pleine crise sanitaire et j’ai atterri chez un ami en mai 2020, qui m’a gentiment prêté son appart. Eric. J’ai dû m’isoler 15 jours, vous connaissez la musique.
J’ai eu une coupure de sexe de quatre mois et je craignais le pire pour rencontrer à nouveau quelqu’un. Et quand je dis rencontrer, je ne parle que de sexe, avoir une relation fixe ne m’intéresse pas du tout pour le moment. C’était déjà compliqué de rentrer, d’atterrir, de me poser de nouveau dans mon pays, les conditions sont assez précaires en général.
Eric m’a prêté son appartement pour une durée de cinq semaines. Absent les trois premières semaines, durant lesquelles il logeait chez sa copine avec qui il est depuis six mois, j’allais essayer de trouver un travail et un logement.
Les cinq semaines vite écoulées, je n’ai toujours rien trouvé et la copine d’Eric, Nelly, se retrouve dans la même situation ou presque : elle doit héberger un ami chez elle. Le logement de Nelly étant trop exigu, Eric me demande s’ils peuvent venir chez lui pour y passer une semaine ou deux. J’accepte bien évidemment. L’appartement fait 60 m2 et dispose de deux chambres et d’une salle de séjour. Une collocation de fortune s’organise chez Eric. Moi je cherche encore en vain travail et logement. Autant dire qu’à ce niveau, je ne vois pas ma vie sexuelle décoller de sitôt...
Eric a mon âge, 34 ans, et travaille dans la com. Je le connais vraiment super bien, il est adorable et très populaire. Il s’est trouvé une nana craquante, Nelly donc, assez grande, 26 ans, les cheveux teintés argent, coupés courts, très courts sur la nuque et plus long sur le devant, faisant une vague épaisse sur son front, coiffée comme un personnage de manga, un piercing à la narine assez discret, un regard très bleu, des lèvres pulpeuses, comme Scarlett Johanson, des traits assez ronds globalement. Eric a toujours eu de très belles copines. Et puis ce qu’on remarque chez elle, c’est son abondante poitrine... Difficile de passer à côté.
En plus elle est super sympa. La cohabitation se passe bien, nous passons les trois premiers jours ensemble et ça me fait un bien fou. Après des semaines d’absence totale de contact humain, je me sens revivre. Et puis il y a ce jour...
Eric part tôt ce matin-là, les rendez-vous s’enchaînent et la vie reprend son cours. J’ai laissé la grande chambre à Nelly et Eric bien sûr et je dors dans la petite chambre d’amis. Je me lève un peu tard et loupe le départ d’Eric. Nelly elle n’a pas repris le travail, elle est serveuse. Elle dort tard, une habitude chez elle. Je m’installe à mon ordi et je commence à trier des photos de voyage en prenant mon café. Nelly se lève enfin. Elle porte un large tee-shirt qui appartient à son mec et ses seins étirent le tissu à outrance. Ses jambes sont nues, mais je n’en vois pas plus.
Elle : Coucou !
Joviale mais embrumée, ses yeux s’ouvrent à peine. Elle file dans la douche. Nelly est sexy au sens le plus littéral du terme. Elle a quelque chose qui fait que dans toutes les situations, elle est sexy. Je me concentre sur ces photos. J’ai photographié pas mal de monde durant mes voyages. Des femmes beaucoup. Des portraits puis d’autres plus... disons plus sexy. Je les regarde avec nostalgie, je tremble un peu, j’ai chaud, j’ai besoin d’un contact humain. Puis Nelly sort de la salle de bain, habillée, elle porte un jean qui épouse ses courbes, et en haut une sorte de bustier faisant tout juste la largeur de ses seins dont on peut distinguer les courbes écrasées au-dessus et en dessous. Ce bustier est noir et fermé par un lacet qui croise entre ses seins. Ses épaules sont nues, comme son ventre. Elle porte très bien ce genre de tenue. Et le temps est beau et sec. Je la regarde sans doute avec insistance. Elle sourit : « Quoi ? »
Rien bien sûr, à part que tu es la copine de mon pote. Je cache mal mes émotions. "Allons faire un tour" je lance. Je laisse tout en plan. Et nous sortons dans le premier espace vert que nous croisons pour marcher simplement. Nelly me parle de vie sentimentale :
— Alors Ivan, prêt à te remettre en selle ?— Hmm bof, là je suis un peu rouillé, tu sais.— Pfff tu blagues ?! Tu claques des doigts, y en a dix qui tombent !— Je ne crois pas que ça fonctionne comme ça, répondais-je en riant, t’inquiète pas pour moi, c’est la période.— Hmhm, tu devrais t’entraîner un peu.
— A quoi ?— Tu sais... à séduire... Aborde une nana, vois comment tu peux exercer ton pouvoir de séduction, reprends confiance...
Je la regarde. Je crois bien qu’elle m’agace un peu, après tout, j’ai rien demandé, j’insiste pour changer de sujet. Elle répond :
— Comme tu veux... mais depuis un quart d’heure, cette nana promène son chien et te regarde...— Nelly, franchement avec toi à mes côtés, je pense que c’est mort.— Tu penses que les gens nous croient ensemble ?— Oui, c’est certain.— Je crois plutôt qu’ils pensent que je suis lesbienne...
Je suis surpris...
— Ah bon ?!— Ouais... les cheveux, les gens croient que je suis lesbienne à cause de ma teinture argentée... et les cheveux courts... il en faut pas plus...— ... OK... écoute j’ai juste pas envie ou alors je...— Arrête, Ivan, t’es en manque et ça se sent. Aller va lui parler, je rentre à l’appart et tu me raconteras...
Elle m’embrasse sur la joue de façon amicale, de manière qu’on remarque qu’on est juste copain.Je regarde la fille en question, une brune aux cheveux bouclés, elle a l’air jolie, fine et sexy, dans un pantalon blanc assez ample et un débardeur vert. Son chien, c’est un labrador... ça va c’est plutôt gentil... Je m’approche...
— Il s’appelle comment ?— Elle ! Elle s’appelle Dune.
...

Je rentre à l’appart en tout début d’après-midi. Je croise Nelly qui lit sur le canapé. Elle ne perd pas de temps :
— Alors ? J’avais raison ?
Je souris...
— Oui tu avais raison. On a parlé une grosse demi-heure de son chien, enfin de sa chienne, Dune, et comment elle était ravie que le confinement soit terminé. Elle a... beaucoup insisté pour m’expliquer que c’était dur d’être seule avec un animal pendant le confinement...— Ben oui, Ivan, parce que si toi tu t’es senti seul, y en a d’autres dans ce cas là donc tu vois, fallait y aller... Comment elle s’appelle ?— Julie. On s’est dit qu’on se rappelait dans la semaine.
Nelly m’apporte une bonne énergie, simple et apaisante. Je retourne à mon ordi, et je constate qu’elle s’en est servi. Avant que je ne dise quoi que ce soit, elle me dit :
— Dis, j’ai vu tes photos. T’es un petit coquin, toi...
Elle sourit...
— Qu’en dis-tu ? lui rétorqué-je.— Que tu t’es pas fait chier... Elles sont pas mal... les photos hein ; enfin, les modèles aussi.
Les photos en question sont une série de bustes nus de femmes, toutes habillées des pieds jusqu’à la ceinture. J’ai trouvé ce contraste entre nudité et parure de mode très sexy et artistique. Et la question est tombée...
— Et tu leur as enlevé le bas un moment à tes petites copines ?— Eh bien non, figure-toi. Il fallait que je sois sincère quand je leur demandais d’être nue, sans les désirer...— Et tu ne les désirais pas ?— Eh bien... si... mais j’avais l’intention ferme de passer outre mon désir, si tu veux...
Nelly sourit...
— Et, Ivan...— Oui ?— Tu me prendrais en photo ? Pour Eric...— Si tu veux... enfin... quel genre de photo ?— Le même style, je dirais...
J’avoue que la demande me fait faire un tour de grand huit intérieur. L’excitation grimpe d’un coup...
— Je... OK... quand veux-tu...— Là, maintenant. Tant qu’à faire... me coupe-t-elle.— OK...
Je vais chercher mon appareil photo. Et quand je reviens, Nelly toujours sur le canapé, les genoux pliés et les talons sur le bord de l’assise.
— Waoh... t’étais sérieux alors ?— Ben... je... c’est comme tu veux après...— Oui, oui, carrément ! Désolée. Oui, allez, montre-moi comment tu les mets à moitié à poil !— Arrête...— Quoi, je détends l’atmosphère ; je vais quand même te montrer mes seins, c’est pas rien...
Je ne dis rien ; j’enlève le cache.
— Alors tu leur demandes d’enlever le haut, et hop ?— Je prends d’abord quelques photos avant, je leur montre que c’est plutôt artistique, etc. Je prends mon temps...— OK... Tu fais ça ?
Je braque sur elle mon objectif et la prends en photo. Exactement comme j’aurais fait avec mes autres modèles. Et Nelly s’en donne à cœur joie, prenant des poses lascives, un peu décalées, toujours le sourire, et beaucoup de charme. Nous sommes en plein milieu de l’après-midi. Puis je m’assois près d’elle. Elle pose sa main sur mon épaule et se penche sur le retour de mon appareil, lui montrant les photos. Nelly est fascinée par son image...
— Elles sont trop belles tes photos !— Merci...
Elle me regarde...
— Tu es doué, sérieusement.— Merci.
Nous échangeons un dernier regard, un large sourire progressif se dessine sur ses lèvres. Et elle me dit :
— Bon, c’est parti ?— OK... c’est parti.
Je me redresse et j’ai cette idée un peu étrange, mais naturelle, de l’enjamber et de me mettre sur mes genoux de chaque côté de ses jambes. Je braque l’objectif et je prends quelques derniers clichés d’elle, sa poitrine palpée dans son corset. Ses premiers gestes me déclenchent une érection. Elle joint ses doigts sur le lacet, et commence à le défaire... J’observe ses seins se relâcher petit à petit, et enfin lentement ses doigts écartent le tissu... Deux seins absolument magnifiques surgissent. Deux mamelles fermes et généreuses... Je prend mes photos doucement. Son visage est grave et son attitude naturelle...
Puis elle plaque ses seins avec ses mains l’un contre l’autre. J’abaisse mon objectif... j’ouvre la mâchoire... elle comprend que je n’y suis plus, que j’ai autre chose en tête puis elle dit « pardon » et cherche à se redresser pour cacher sa poitrine... Je dis « non, ça va... » et je pose ma main sur son sein pour la retenir. Elle s’adosse au canapé, relâche sa prise et prend son sein à pleine main...
L’objectif échoue à nos côtés et ses seins se pétrissent dans mes mains, accompagnés de lents souffles chauds de sa part qui trahissent petit à petit quelques gémissements de plaisir. Ce don de sa part, le don de ses seins sublimes ne sera qu’une étape, puis elle pose ses mains sur mes cuisses. A ce moment-là, je comprend qu’elle ne se contentera pas de m’observer seulement la toucher, ébahi par sa beauté. Et désormais mon érection est grande et visible...
Puis ce moment de tension où tu ne sais plus où ça va et qu’une femme sait résoudre pour accélérer les choses.
— Mes seins te plaisent, on dirait...— Oui... ils me font grandir...— Je vois ça...
Je lâche sa poitrine pour défaire mon pantalon et sortir mon sexe long et dur sous ses yeux pendant qu’elle crache entre ses seins comme une chorégraphie préméditée... Je m’avance et pose ma queue de tout son long entre ses seins qu’elle presse maintenant avec force. Et comme si elle pouvait éprouver plus de plaisir que moi, elle commence à gémir et moi à bouger, à coulisser, à durcir encore... grossir encore et encore. Elle se met à parler :
— Putain, t’es bien dur, t’es chaud ! J’adoooore... hmmmm.
Je lui baise lentement les seins. Dans cette position, mon torse est très près de son visage. Mes mains se posent sur ses épaules, son cou, son visage ses joues. J’ai ce corps de femme pour moi, je sens sa peau, je sens que l’orgasme est proche. Je prends sa tête et la plaque contre mon bas-ventre, je sens sa langue par à-coups : elle me caresse le gland de sa langue. Je gémis et j’accélère. Mon sperme traverse ma queue et j’éjacule en explosion giclée sur ses lèvres, sa gorge, son cou et ses épaules. Elle gémit et je jouis... Enfin... Sous l’emprise d’une femme...
Mais c’est la femme d’Eric que je viens d’éclabousser de mon sperme...Je m’écarte. Ses yeux vitreux de désir frustré me regardent. Mon sperme s’agglomère en de petites flaques épaisses sur sa peau. Je m’écarte, et malgré l’envie d’aller plus loin je choisis le chemin de la douche.
Je la croise en sortant. Sa peau est moite et sa poitrine nue vibre et gonfle et dégonfle, le souffle court, quelque chose a changé depuis que je l’ai quittée... elle s’est fait jouir : son pantalon est ouvert. Elle me dit en souriant « Pardon » et elle prend ma place dans la salle de bain. Refusant le spectacle de sa nudité complète, je prends mes affaires et je sors.
Que faire ? Compromettre Nelly et être franc avec mon ami, ou ne rien dire et le trahir ?
A suivre.
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